vraiment

guérir du cancer et de sa politique et transmettre des infos à jour

  • Le travail de nuit peut faire le lit des cancers
    http://sante.lefigaro.fr/article/le-travail-de-nuit-peut-faire-le-lit-des-cancers

    Une étude confirme cette tendance, dûe notamment à la perturbation de l’horloge biologique et à la privation de sommeil. Certaines mesures peuvent y remédier.

    Hôpitaux, transports, restauration… Tous ces secteurs ont besoin de travailleurs de nuit pour fonctionner. Plus de 3,5 millions de Français partent travailler à la nuit tombée. Mais cette organisation du travail pourrait mettre leur santé en danger. Une nouvelle étude parue dans Cancer Epidemiology, Biomarkers and Prevention suggère de plus que les femmes ont davantage de risques de cancer que les hommes.

    Réalisés à partir de 61 études publiées de 1996 à 2017, ces analyses examinent les données de santé de 115.000 cas de cancers et 4 millions de participantes vivant en Amérique, Australie, Asie et Europe. À l’issue de leur analyse statistique, les chercheurs de l’université de Sichuan (Chine) indiquent que sur le long terme, le risque de cancer du sein augmente de 32%, celui de la peau de 41 % tandis que le risque de cancer digestif s’accroît de 18%. Parmi les cohortes d’infirmières, un surrisque de cancer du poumon de 28% est également observé.

    Mais ces niveaux de risques seraient à interpréter avec précaution, selon le Dr Laurence Weibel, chronobiologiste et chargée de prévention des horaires atypiques à la Caisse d’Assurance Retraite et de la Santé au Travail (CARSAT) Alsace-Moselle. « Il y a des faiblesses méthodologiques dans cette étude. Il manque une définition claire du travail de nuit, il existe une importante disparité ente les publications analysées et certains articles sont cités plusieurs fois, ce qui affaiblit la portée de ces travaux et peut conduire à une surestimation du risque de cancer, explique-t-elle. Néanmoins, la majorité des études réalisées sur ce sujet vont dans le même sens, ce qui doit nous alarmer. »

    Perturbation de l’horloge interne et dette de sommeil

    Un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) de 2016 confirme, en effet, que le travail posté peut être considéré comme un « cancérogène probable ». Une conclusion qui rejoignait celle du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) parue en 2007. Ces deux institutions ont, par ailleurs, indiqué que les hommes ne sont pas épargnés : un surrisque de cancer de la prostate est signalé.

    « L’effet sanitaire, et notamment cancérogène du travail de nuit, est lié à la fois à la désynchronisation circadienne due à une perturbation de l’alternance jour/nuit, et la dette de sommeil », indique le Pr Gérard Lasfargues, directeur général délégué au pôle scientifique de l’Anses.

     »
    Chez l’homme, les rythmes circadiens, proches de 24h, jouent un rôle clé dans la régulation des grandes fonctions cellulaires, métaboliques ou cardiovasculaires. Ils sont contrôlés par l’horloge biologique située dans le cerveau et elle-même influencée par l’alternance lumière/obscurité. Un cycle qui par définition est altéré dans le travail de nuit.

    D’importantes perturbations qui provoquent la baisse, voire l’arrêt, de la production de la mélatonine. « Uniquement sécrétée la nuit, cette hormone favorisant l’endormissement joue un rôle protecteur contre la prolifération cancéreuse. », commente le Dr Laurence Weibel. « La perturbation circadienne entraîne également un dérèglement cellulaire pouvant aboutir à la naissance de cellules cancéreuses. Cela passe notamment par une dérégulation des gènes contrôlant la division cellulaire, la mort cellulaire ou la réparation de l’ADN », ajoute le directeur général délégué de l’Anses.

    Les deux spécialistes soulignent également que l’impact des horaires de nuit sur la santé est en partie liée au mode de vie. Les travailleurs de nuit sont davantage fumeurs, sédentaires et portés sur le gras et le sucre. Le risque de maladies cardiovasculaires, d’obésité ou encore de diabète de type 2 s’en trouve accru.

    « Il est donc important de mettre en place des stratégies de prévention au sein des entreprises, soulève le Dr Weibel qui intervient auprès des entreprises. Par exemple, je conseille de travailler seulement deux nuits consécutives car cela perturbe moins l’horloge interne. Ce n’est, en effet, qu’au bout de 3 ou 4 nuits que la désynchronisation circadienne est majorée. Seul bémol : les employés sont sujets à la somnolence. Mais rien de mieux qu’une petite sieste de 20 minutes pour augmenter sa vigilance. La sieste est ici le seul médicament efficace contre la dette de sommeil. »

  • Chez #Orange, le silence sur la radioactivité a provoqué une vague de #cancers
    https://www.mediapart.fr/journal/france/010318/chez-orange-le-silence-sur-la-radioactivite-provoque-une-vague-de-cancers

    Yves Colombat dépollue un boîtier © Clotilde de Gastines Depuis plusieurs dizaines d’années, une vague de cancers liée aux expositions à la radioactivité touche des salariés des télécoms. La direction a tu les risques. Pour que ces victimes et leurs familles soient indemnisées, un ingénieur et d’autres témoins racontent à Mediapart l’ampleur de ce scandale sanitaire.

    #France #France_Telecom #Jean-Michel_Person #PTT #radioactivité #télécom

  • Paris Breast Rendez-Vous Congress | Free paper session
    http://www.parisbreastrendezvous.com/free-paper-session

    The next«Paris Breast Rendez-vous» will be held from May 24th to 26th 2018 in Paris.

    The aims of “Paris Breast Rendez-Vous” is to encourage surgeons to share their knowledge and experience in breast surgery. We welcome you to submit your abstract for the free paper session of the next Paris Breast Rendez-Vous; The two best communications will receive a special Award from the Scientific Committee.

    Abstracts are invited under the following themes:

    Oncological Breast Surgery - Reconstructive Breast Surgery - Aesthetic Breast Surgery

    Abstract submission deadline on april 1, 2018

    #reconstruction_mammaire
    #chirurgie
    #cancer_du_sein

  • Je dois maintenant réaliser pléthore d’examens pour le suivi avant d’entamer la prise de tamoxifène pour 5 ans.

    Visite au service gynéco, dans la salle d’attente de l’hôpital je note :

    Évidemment qu’un parcours médical chaotique et semé de traumatismes ne va pas aller en s’améliorant.
    Tout simplement parce que l’effet boule de neige s’exerce sur un corps traumatisé qui vieillit plus vite. Je pense à toutes les survivantes sur lesquelles on appuie toujours plus fort sur la tête.

    A croire que la bienveillance nous est interdite. #maltraitance_médicale

    Le refus de soin serait-il pire.

    Nous discutons, je lui dis que j’ai subi des violences sexuelles et que je viens très angoissée. Elle est très contente d’elle « Hé bien moi je vais vous agresser » tandis qu’elle prépare la sonde ando-vaginale. Elle ne m’a pas prévenu quand elle l’enfonce et après elle en fière vous n’avez rien senti parce qu’on parlait d’autre chose. Et moi je suis dépendante de ces résultats et je n’ai rien dit et c’est maintenant que la colère monte. Et je sais qu’il va falloir encore que j’en trouve une autre, avec 6 mois d’attente, et que je subisse les moqueries parce que je n’ai pas de gynéco attitré.

    Qu’elle aille se faire foutre, j’ai décidé de l’éliminer de mon crâne. Il est absolument nécessaire de stabiliser ces trop plein d’émotions ou de s’armer d’une indéfectible #joie_de_survivre.

    Il est absolument nécessaire de stabiliser ces trop plein d’émotions ou de s’armer d’une indéfectible #joie_de_survivre.

    • Je sais que suivant les personnes ça peut faire rajouter du stress, mais dans ces cas de maltraitances (physiques mais aussi orales), Martin Winckler dans une vidéo (dans le documentaire de Nina Faure) conseillait de clairement partir sans payer. Et en argumentant que le connard ou la connasse va pas vous suivre dans la salle d’attente, parce que c’est le meilleur endroit pour péter un scandale devant tout le monde et lui faire perdre la face et d’autres patientes.

      Évidemment quand on attend les résultats d’un examen qu’on vient de faire, je me doute que c’est pas toujours possible… vu que dans ce cas le⋅la médecin va pas envoyer les trucs au labo, et que du coup va falloir refaire ce même examen avec une autre personne.

      Mais ça fait quand même chier de filer du fric à une ordure pareille… :(

      Courage à toi, c’est vraiment immonde ce que tu racontes là comme comportement.

  • Cancer : la nourriture industrielle à risque
    http://sante.lefigaro.fr/article/cancer-la-nourriture-industrielle-a-risque

    Il ressort qu’une augmentation de 10 % de la portion d’aliments ultra-transformés (charcuterie, barres chocolatées, soupes…) dans le régime alimentaire est associée à une hausse de 12 % des risques de développer un cancer, et en particulier un cancer du sein. « Une tendance similaire est observée pour le cancer colorectal. Néanmoins, en raison du faible nombre de cas dans notre cohorte, nos résultats ne sont pas significatifs pour ce cancer », précise Bernard Srour, chercheur au sein de l’Eren. À l’inverse, les participants qui consomment davantage de produits bruts par rapport aux aliments ultra-transformés ont un risque de #cancer réduit de 9 %.

    #alimentation_industrielle
    #charcuterie

  • Accès à l’emprunt - Prêts et assurances | Institut National Du Cancer
    http://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Vos-demarches/Prets-et-assurances/Acces-a-l-emprunt

    Acheter une maison ou une voiture, ou encore créer une entreprise sont des projets que vous pouvez avoir envie de réaliser, même si vous avez été malade ou si vous êtes actuellement traité pour un cancer.

    (…)

    Pour des informations complémentaires ou pour vous aider à constituer un dossier d’accès à un prêt bancaire et à son assurance, vous pouvez contacter :

    le serveur vocal national d’information sur la Convention AERAS : 0801 010 801 (numéro vert gratuit) ;
    le site officiel de la convention AERAS : www.aeras-infos.fr
    Aidéa (Accompagnement et information pour le droit à l’emprunt et l’assurabilité), ligne téléphonique de la Ligue nationale contre le cancer, 0800 940 939 (prix d’un appel local) du lundi au vendredi de 9 h à 19 h
    Santé Info Droits : ligne téléphonique du Collectif Interassociatif Sur la Santé (le CISS) pour toute question juridique ou sociale liée à la santé au 0810 004 333 (coût d’un appel local) ou le 01 53 62 40 30 les lundis, mercredis et vendredis de 14 h à 18 h, et les mardis et jeudis de 14 h à 20 h.

    #mon_œil
    #emprunt
    #cancer
    #banques
    #assurances
    #prêt_bancaire

    #droit_à_l'oubli
    #guerre_aux_pauvres
    #guerre_aux_faibles

  • Le jeûne, une nouvelle thérapie ?
    https://www.arte.tv/fr/videos/043980-000-A/le-jeune-une-nouvelle-therapie

    à partir de 39:00 #jeûne et #chimiothérapie (avec Valter D. Longo), modification adn etc … passionnant et prometteur (réduction des migraines, nausées, etc ) avec affaiblissement des cellules cancéreuses menant à leur réduction, chimio ou pas.

    #expression_des_gènes
    #Réflexe_atavique

    Le documentaire nous emmène aussi en Allemagne, à la clinique Buchinger, sur les rives du lac de Constance, où l’on soigne par le jeûne des maladies chroniques, et aux États-Unis, où Valter D. Longo, professeur de biogérontologie à l’université de Californie, étudie les effets du jeûne sur des souris atteintes de cancer – il a mis en évidence le fait que, chez elles, le jeûne décuple les effets de la chimiothérapie. À l’aide d’infographies très claires, le film explique les bouleversements complexes qui s’opèrent dans un organisme à la diète.

    #cancer
    #abstinence
    #décroissance
    anti #big_pharma

  • Alimentation et Cancer Interview de Denis Corpet
    http://fcorpet.free.fr/Denis/Viande-Cancer.html

    Q. Si je ne mange que de la viande « Bio » ou des charcuteries artisanales, il n’y a aucun danger, non ?
    R. Beaucoup de gens pensent que c’est les élevages intensifs et les charcuteries industrielles qui posent problème. L’épidémiologie ne permet pas, aujourd’hui, de faire la différence entre les produits « Bio » et les autres. Cependant nos études de mécanisme montrent que c’est le #fer_héminique qui est pro-cancer. Il est présent dans la viande Bio comme dans toute viande rouge. Et pour les charcuteries c’est pareil : le petit artisan qui utilise du sel nitrité fabrique un produit aussi toxique que la grande entreprise. Peut-être même plus toxique, car il maîtrise souvent moins bien l’oxydation et la dose d’additif. Seules des viandes transformées sans nitrite seraient moins toxiques , mais la couleur, le gout, et la conservation ne sont plus du tout ceux des charcuteries classiques.

    Q. Prof. Corpet votre laboratoire travaille sur « viande et cancer » depuis 1997. Quel a été votre apport au travail du CIRC ?
    R. Au CIRC je présidais le groupe d’étude des mécanismes. En effet mon équipe de recherche a démontré que c’est « le rouge de la viande » (le fer héminique) qui catalyse la formation de nitrosamines cancérogènes et de produits d’oxydation des graisses, toxiques dans l’intestin. Cela explique comment la viande rouge peut être cancérogène, et la charcuterie plus encore puisque peut s’y ajouter l’effet des nitrites. Mais nous recherchons aussi comment bloquer ces effets cancérogènes. Des solutions simples semblent à portée de main, lors de la fabrication des charcuteries ou le choix du menu, comme expliqué ci-dessous. Car la viande rouge est un aliment fort utile, qui apporte du fer assimilable et la vitamine B12, tous deux essentiels contre l’anémie.

    Q. Aux USA, les filières viande réfutent les conclusions de l’OMS. L’industrie ne peut-elle pas faire mieux que « se mettre la tête dans le sable » ?
    R. Oui, les industriels américains « nient l’évidence », et affirment que les jeux étaient fait d’avance . Je peux témoigner que ce n’est pas vrai, et eux aussi le pourraient : ils assistaient en observateurs aux travaux du CIRC. Ils ont donc pu voir que l’opinion du groupe d’experts a évoluée entre le début et la fin. Sur place, ces représentants de l’industrie n’ont pas fait de remarque sur la qualité du travail en cours quand on leur a donné la parole.

    La position des industriels français de la viande est plus intelligente : Associés aux chercheurs INRA de Toxalim à Toulouse, ils recherchent depuis 2005 comment prévenir l’effet cancérigène des viandes. Ces recherches menées par Fabrice PIERRE et moi-même, et largement citées dans la Monographie 114 de l’OMS, donnent des pistes sérieuses de prévention. Ainsi la simple addition de calcium au menu ou d’extraits de plantes aux charcuteries inhibe complètement l’effet promoteur d’un jambon expérimental. Fabriquer des viandes plus saines permettra de protéger aussi les catégories de population qui vivent dans la pauvreté ou l’incertitude, et ne peuvent pas suivre les recommandations nutritionnelles de prévention. Ce sont elles qui consomment le plus de charcuteries et qui payent le plus lourd tribut au cancer.

  • Un anticancéreux périmé a été administré dans des hôpitaux suisses et Français RTS - ats/ptur - 14 Janvier 2017

    Trois hôpitaux suisses condamnés pour utilisation de matériel défectueux RTS - ats/hend - 13 Janvier 2017


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    Anticancéreux périmé
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    Plus de 100’000 flacons d’un médicament anticancéreux périmé ont été distribués par une entreprise valaisanne et administrés à des patients en Suisse et en France entre 2007 et 2011, rapporte la presse dominicale.

    Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung rapportent que la société Alkopharma de Martigny (VS), distributrice du Thiotepa, falsifiait les dates de péremption de cet anticancéreux qui avait une durée de vie de 18 mois.

    Certains flacons ont été vendus sept ans plus tard et ne contenaient plus la dose de principe actif exigée. L’affaire touche la plupart des hôpitaux suisses. Les journaux soulignent que la moitié des flacons falsifiés ont été administrés à des enfants.

    Au total, Alkopharma a vendu 98’820 flacons du médicament en France pour plus de 3,2 millions d’euros et 2119 en Suisse pour plus de 207’500 francs.

    Recours de Swissmedic
    Un tribunal valaisan a condamné en juin 2016 les deux responsables de l’entreprise à des jours-amendes ou des peines pécuniaires. L’entreprise a fait faillite.

    Swissmedic a fait recours, estimant la peine trop légère, notamment parce que le juge n’a pas retenu la mise en danger de la santé des patients. L’affaire sera jugée prochainement.

    L’affaire éclabousse la Banque cantonale du Valais
    Les journaux dominicaux pointent en outre que le président de la Banque cantonale du Valais (BCVs) est un ami du patron d’Alkopharma. En faillite, l’entreprise avait bénéficié d’un crédit de 85 millions de la part de la BCVs. Selon les journaux, la banque risque de perdre 17 millions de francs à cause de la faillite d’Alkopharma.
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    Utilisation de matériel défectueux
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    Swissmedic a amendé les hôpitaux universitaires de Zurich et Bâle ainsi que l’hôpital cantonal de St-Gall. Ces établissements n’ont pas annoncé du matériel souillé, dangereux pour les patients, en provenance du Pakistan.

    En dépit de leurs obligations légales, ces hôpitaux n’ont pas informé Swissmedic à propos du matériel défectueux. Pour l’autorité de surveillance, ils ont gravement violé leur obligation de notification, a indiqué samedi Danièle Bersier, porte-parole de Swissmedic, confirmant une information de plusieurs médias.

    Les produits concernés comprennent entre autres des canules utilisées pour des opérations du coeur sur des bébés et des canules d’aspiration. Elles étaient en partie rouillées, déformées, contenaient des copeaux de métal ou se cassaient. Les produits provenaient du Pakistan et étaient commercialisés par une entreprise basée dans le canton de Zoug.

    En liquidation
    Swissmedic a pris connaissance des abus et des noms des hôpitaux livrés suite à une perquisition dans la firme zougoise.
    En juillet 2017, la sanction est tombée : 5000 francs d’amende. En cas de récidive, la facture peut grimper jusqu’à 50’000 francs.

    Procédure contre la société zougoise
    Swissmedic a également engagé une procédure contre l’entreprise zougoise. Selon les informations publiées sur le site de Moneyhouse, plateforme qui reprend des informations du registre du commerce, la société est en liquidation.

    Source : http://www.rts.ch/info/suisse/9246045-un-anticancereux-perime-a-ete-administre-dans-des-hopitaux-suisses.html

    #Suisse #France #médicaments #Santé #Cancer #Banque #Alkopharma #Swissmedic #Hôpital #Pakistan #fric #argent #Thiotepa #impunité #Anticancéreux

  • Soja : la fin d’un mythe
    https://www.agriculture-environnement.fr/dossiers/sante/article/soja-la-fin-d-un-mythe

    Portée aux nues par les végétariens et les associations écologistes, la consommation de soja fait aujourd’hui l’objet de sérieuses mises en garde de la part de nombreuses autorités sanitaires internationales. Non seulement l’alimentation à base de soja n’apporterait aucun élément bénéfique à la santé, mais une consommation exagérée serait même dangereuse.

    (…)

    La polémique des phyto-estrogènes

    Cependant, l’aspect le plus controversé du soja concerne sans aucun doute sa teneur en phyto-estrogènes, molécules s’apparentant aux perturbateurs endocriniens. Présents dans de nombreux végétaux, les phyto-estrogènes ont une structure chimique proche de celle de l’œstrogène (hormone sexuelle). L’industrie du soja a longtemps prétendu que cette légumineuse possédait des vertus anti-cancérigènes. Propos que l’on retrouve régulièrement dans la presse grand public sur la nutrition, ou dans des publicités vantant les mérites des produits à base de soja. Dans la revue belge Health & Food, le diététicien Nicolas Rousseau expliquait en décembre 2003 que « plusieurs études in vitro ont montré que la génistéine (la principale et la plus active isoflavone du soja) est susceptible de freiner la croissance de cellules cancéreuses prostatiques de lignée humaine ». C’est à Mark Messina que l’on doit l’origine de ces affirmations, qui figurent dans son livre The Simple Soy Bean and Your Health, publié en 1994. Dans le cadre d’un régime « optimal », le nutritionniste américain y recommande la consommation d’une tasse (230 g) de soja par jour « pour prévenir le cancer ». La même année, il publie dans Nutrition and Cancer un article faisant état de 26 études réalisées sur des animaux, qui indiqueraient que le soja a des effets protecteurs en matière de cancer pour 65 % d’entre eux. Cependant, il s’y montre beaucoup plus prudent que dans son livre, affirmant même que « les données présentées dans cette revue ne peuvent pas être utilisées en tant que preuves pour déclarer que l’ingestion de soja diminue les risques de cancer ». Comme le souligne Maria G. Enig, « chez l’homme, les résultats [des études] étaient en fait très mitigés. Quelques résultats montraient bien un effet protecteur, mais la plupart ne montraient aucune corrélation entre cancer et consommation de produits du soja ». Un avis partagé par l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), qui avertit ouvertement des effets possibles du soja sur le cancer du sein dans son rapport de mars 2005 : « Les études animales montrent que les isoflavones peuvent favoriser la prolifération et la croissance de tumeurs mammaires hormono- dépendantes, suggérant un risque potentiel pour les personnes ayant des antécédents personnels ou familiaux de cancers du sein hormonodépendants ». Depuis la publication des articles de Mark Messina, de nombreux travaux ont en effet remis en cause sa théorie. Dès 1996, le Dr Nicolas Petrakis a démontré que les femmes consommant des isolats de soja (extraits protéiques de soja devant atteindre au moins 90 % de protéines sur poids sec) présentaient une incidence accrue d’hyperplasie épithéliale, un état qui préfigure la formation de tumeurs malignes. L’année suivante, le Dr Craig Dees, de la Health Sciences Research Division du Laboratoire national d’Oak Ridge (Tennessee), a mis en évidence le fait que la génistéine (qui appartient à la famille des polyphénols) apportée par l’alimentation stimulait les cellules mammaires et les faisait entrer dans le cycle cellulaire. Ce qui l’a conduit à conclure que les femmes devraient s’abstenir de consommer des produits à base de soja pour prévenir le cancer du sein.

  • Algérie : des femmes abandonnées par leur mari après un cancer du sein
    http://geopolis.francetvinfo.fr/algerie-des-femmes-abandonnees-par-leur-mari-apres-un-cancer-d

    L’humiliation
    La plupart des femmes ayant subi une ablation du sein après un cancer souffrent énormément du regard des autres et notamment de celui des hommes. Elles sont souvent humiliées avant d’être abandonnées. « Je veux une femme entière, pas un trois-quarts de femme », a dit un homme à sa fiancée dès qu’elle lui a annoncé sa maladie et l’ablation du sein qu’elle venait de subir en urgence. Une autre jeune femme a préféré prendre les devants peu après une mastectomie en rompant elle-même ses fiançailles.

    L’accès à la reconstruction mammaire existe, mais il est difficile. Les hôpitaux publics où l’opération est gratuite sont surchargés et dans le secteur privé, l’intervention est très chère.
    Le cancer du sein touche chaque année entre « 9000 à 10.000 femmes », affirme Farid Cherbal, professeur de génétique du cancer à l’université d’Alger.

  • Comment les macbook électrocutent mes doigts.

    Chaque fois que j’essaie de reprendre mon ordinateur macbook titanium que ce soit celui d’un an ou l’autre de 5 ans, je m’électrocute dessus.
    Qu’il soit ou non branché à une prise secteur.
    Au début ce n’était que des picotements du bout des doigts, comme des micros brûlures. J’ai fait des recherches, questionnée autour de moi un peu incrédule, pas trop de retours, la flemme, tout le côté paranormal ou même fou me faisait refouler mes sensations pourtant bien réelles. Je ne voulais pas y croire. Bref, je ne prêtais pas trop attention à l’idée d’électro sensibilité, pourtant toujours ressentie avec les appareils apple en aluminium, surtout au niveau du trackpad et pas avec les blancs en plastique.
    Au bout d’une demie-heure d’usage maintenant cela me devient juste insupportable et le fourmillement remonte jusqu’à mon épaule. Ensuite je dois m’arrêter pendant pluieurs heures pour que cesse la sensation d’avoir de micros aiguilles plantées au bout des doigts.

    Voila, je ne supporte plus le clavier macbook pro et je suppose une liaison entre le #cancer du sein que j’ai eu et près de 10 ans d’usage des #macbook.

    Et vous ? avez-vous des infos ?

    • Si tu glisses à la surface plutot que d’etre bien en contact, c’est encore plus fort. Ca me le fait aussi avec un Sony Vaio de 1998 en alu.
      La conductivité de ta peau joue. Avec les mains super seches, ca doit sembler moins fort.
      Ce n’est pas ca l’electrosensibilité... Ca c’est de l’électrocution. La barrière de la peau c’est 60V. Donc ça doit dépasser 60V. Mais ça ne doit pas être très fort en intensité, genre 1mA, pour ne faire que des picotements.

  • En Colombie, des femmes aveugles détectent le cancer du sein
    http://www.leparisien.fr/laparisienne/actualites/societe/en-colombie-des-femmes-aveugles-detectent-le-cancer-du-sein-14-12-2017-74

    « Leur toucher est si précis. En réalité, je suis épatée parce qu’elles font preuve d’un grand professionnalisme », estime l’une d’elles, une commerçante de 42 ans. « Elles ont trouvé quelque chose, mais le médecin a dit que c’était seulement un ganglion enflammé », ajoute-t-elle.

    Avant de se former à cette méthode de diagnostic, Francia et Leidy étaient sans travail, comme 62 % des 500 000 handicapés visuels en Colombie, soit sept fois plus que la moyenne de la population dans ce pays de 48 millions d’habitants.

  • Les patients restent peu impliqués dans le choix des #traitements contre le #cancer – EURACTIV.fr
    http://www.euractiv.fr/section/sante-modes-de-vie/news/empower-cancer-patients-to-improve-quality-of-life-say-experts

    Le cancer du sein est la forme de cancer la plus répandue chez les femmes et la deuxième forme de cancer en importance, après le cancer du poumon. Elle tue plus de 90 000 personnes dans l’UE chaque année.

    Près du tiers de tous les patients atteints d’un cancer du sein développent une métastase, un stade avancé de la maladie qui se propage à d’autres parties du corps. Bien qu’ils soient extrêmement fréquents, le taux de survie chez les patients atteints d’un cancer du sein métastatique reste inférieur à 20 %.

    « Une action politique urgente est nécessaire pour prévenir et diagnostiquer le cancer à un stade précoce afin de sauver des vies et de réduire les coûts sociaux, et pour lutter contre la charge croissante des maladies chroniques », a indiqué l’eurodéputée Daciana Sârbu (S&D), qui siège à la commission parlementaire de l’environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire (ENVI).

    Un groupe de travail composé de parties prenantes du cancer du sein métastatique, y compris des organisations représentant médecins, infirmières, soignants et chercheurs, a demandé aux décideurs politiques de développer un système de soutien complet, afin de permettre aux patients et aux soignants de mieux coordonner le traitement avec d’autres aspects de leur vie. Le groupe de travail a publié sa feuille de route politique en octobre.

    • Ca fait bizarre ce texte sur le cancer du sein qui est écrit intégralement au masculin « les patients atteint de cancer du sein » sauf le mot « infirmières » qui y échappe par la magie sexiste de la langue française.

      Celle ci est rigolotte ;

      Les patients ont néanmoins du mal à jongler entre leur travail et les soins et nombreuses sont ceux qui craignent de dire à leur employeur qu’elles sont malades , par peur de nuire à leurs relations de travail ou à la perception de leurs compétences.

    • Un parcours de combattante méprisé pour chacune de ces femmes (pas le temps de noter, pas le personnel, pas d’intérêt, pas de soutien, aucune question, aucune étude, rien) seulement être traité comme du bétail, et malade, qui plus est.

      Adresse URL de l’article en anglais, ce qui explique peut-être la traduction hésitante entre masculin ou féminin.
      Ci dessous le texte mouliné sur Deepl que j’ai réajusté entièrement au féminin.

      Et le lien vers le policy roadmap en différentes langues, french is here :

      Un plan d’action pour la prise en charge du cancer du sein métastatique.

      https://lillypad.eu/WP/wp-content/uploads/MBC_Report_FR.pdf
      https://lillypad.eu/entry.php?e=3336

      http://www.euractiv.com/section/health-consumers/news/empower-cancer-patients-to-improve-quality-of-life-say-experts

      Donner aux patientes atteintes de cancer les moyens d’améliorer leur qualité de vie, selon les experts -... http://www.euractiv.com/section/health-consumers/news/empowe...
      Donner aux patientes atteintes de cancer les moyens d’améliorer leur qualité de vie, selon les experts
      Quelque 63 % des patientes veulent participer activement aux décisions concernant leur traitement,"et la proportion de patientes qui déclarent une telle préférence augmente avec le temps".

      Donner aux patientes atteintes de cancer les moyens d’améliorer leur qualité de vie, selon les experts -... http://www.euractiv.com/section/health-consumers/news/empowe...
      Un groupe d’experts en cancer du sein métastatique a exhorté les décideurs politiques à donner aux patientes un plus grand choix et une plus grande participation dans leur traitement et leurs soins, afin d’améliorer la qualité de vie des patientes, de leurs soignantes et de leurs familles.
      Le cancer du sein est la forme de cancer la plus répandue chez les femmes et la deuxième forme de cancer en importance, après le cancer du poumon. Elle tue plus de 90 000 personnes dans l’UE chaque année.
      Près du tiers de toutes les patientes atteintes d’un cancer du sein développent une métastase, un stade avancé de la maladie qui se propage à d’autres parties du corps. Bien qu’ils soient si fréquents, les taux de survie chez les patientes atteintes d’un cancer du sein métastatique sont inférieurs à 20 %.
      L’eurodéputée Daciana Sarbu, qui siège à la commission de l’environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire du Parlement européen, a déclaré à EURACTIV. com :" Une action politique urgente est nécessaire pour prévenir et diagnostiquer le cancer à un stade précoce afin de sauver des vies et de réduire les coûts sociaux, et pour lutter contre la charge croissante des maladies chroniques.
      Un groupe de travail d’experts composé de parties prenantes du MBC, y compris des organisations représentant des médecins, des infirmières, des soignants et des chercheurs, a demandé aux décideurs politiques de développer un système de soutien holistique pour permettre aux patientes et aux soignants d’équilibrer le traitement du MBC avec d’autres aspects de leur vie. Le groupe de travail a publié sa feuille de route politique en octobre.
      Faire des choix éclairés et habilités
      Il est courant que les patientes atteintes de CMC se sentent désemparés par leur état et leurs options de traitement. Mais cette situation peut être massivement améliorée par des politiques de santé qui visent à impliquer activement les patientes dans les décisions qui les concernent, disent les experts.
      Selon la feuille de route, environ 63 % des patientes veulent participer activement aux décisions concernant leur traitement,"et la proportion de patientes qui déclarent une telle préférence augmente avec le temps".
      Un meilleur accès à l’information et à des conseils professionnels sur les risques, les avantages et les incertitudes de certaines options thérapeutiques peut permettre aux patientes atteintes d’une CMC de faire des choix éclairés qui leur permettent d’équilibrer tous les aspects de leur vie de la façon qui leur convient le mieux.
      La feuille de route recommandait que la Commission européenne prenne l’initiative sur le cancer du sein (ECIBC) afin de répondre spécifiquement aux besoins des patientes atteintes d’un cancer du sein métastatique et de créer un parcours spécifique pour ces patientes, y compris un système d’unités spécialisées du sein (SBU) qui devrait garantir l’accès des patientes et des soignants informels aux services de soutien pour les besoins continus en matière de santé physique, psychologique et sociale. Les aidants peuvent jouer un rôle clé dans cette prise de décision « , a déclaré à EURACTIV Claire Champeix, chargée de mission pour Eurocarers, l’association européenne des aidants naturels.
      Pour aider à atteindre cet objectif, la feuille de route a exhorté la communauté de plaidoyer du MBC à » collaborer avec les principales parties prenantes pour construire des aides à la décision du MBC pour les patientes et leurs soignants informels, en s’appuyant sur les méthodologies existantes des meilleures pratiques ".

      Donner aux patientes atteintes de cancer les moyens d’améliorer leur qualité de vie, selon les experts -... http://www.euractiv.com/section/health-consumers/news/empowe...
      Il a également appelé les services de santé nationaux à former les médecins et les prestataires de soins de santé à la prise de décision et à la communication communes, un engagement déjà pris par l’European Society for Medical Oncology (ESMO) et l’American Society of Clinical Oncology (ASCO). Les deux sociétés ont déjà inclus dans leurs programmes d’oncologie l’exigence de formation des professionnels de la santé en communication.
      Conciliation travail-vie personnelle
      Comme le MBC est de plus en plus une maladie à long terme, avec de nombreux éléments d’une maladie chronique, il y a des patientes atteintes de cancer métastatique qui vivent encore une vie active et professionnelle « , est-il déclaré sur la feuille de route politique.
      Mais les patientes ont souvent de la difficulté à concilier leur travail avec leurs besoins en matière de soins et beaucoup d’entre elles se sentent incapables de parler de leur maladie à leur employeur, de peur de nuire aux relations de travail et à leur compétence. Selon la feuille de route, en plus de l’effet dramatique que cela peut avoir sur la qualité de vie des patientes, il peut aussi augmenter considérablement la pression sur ceux qui s’occupent d’elles, en plus des autres engagements familiaux et professionnels.

      Nous devons nous attaquer aux inégalités en matière de santé entre les États membres de l’UE, et il est important que la Commission européenne présente des lignes directrices pour les entreprises afin de limiter la discrimination sur le lieu de travail et les pertes d’emplois pour les patientes atteintes de CMC », a déclaré Sarbu.
      Les parties prenantes du MBC ont noté que le pilier européen des droits sociaux aiderait la Commission européenne à faire en sorte que les Etats membres de l’UE protègent adéquatement les travailleuses dans cette situation fragile. Ce cadre politique vise à garantir l’égalité des chances sur le marché du travail, des conditions de travail équitables ainsi que la protection sociale et l’inclusion de tous les citoyens de l’UE.
      Elle sera proclamée conjointement par la Commission européenne, le Parlement et le Conseil lors d’un sommet social extraordinaire qui se tiendra en Suède le 17 novembre.
      Cependant, alors que le pilier des droits sociaux contribuera dans une certaine mesure à améliorer la qualité de vie des patientes atteintes d’une MBC, la feuille de route a mis en lumière la nécessité de formaliser le rôle de leurs soignants et de veiller à ce qu’ils bénéficient d’une protection sociale adéquate et d’une reconnaissance de leur travail.

      Formaliser le soutien aux aidants naturels

      Les soins aux patientes atteintes d’une CMC sont souvent dispensés de façon informelle par des membres de la famille ou des proches du patient. Le plus souvent, ces aidants naturels n’obtiennent aucune compensation financière et doivent apporter de grands changements à leur propre vie pour fournir le soutien nécessaire, y compris supporter une partie de la charge financière.
      De nombreux aidants naturels informels sont contraints de réduire leurs heures de travail et sont parfois poussés à quitter leur emploi pour gérer la responsabilité de prendre soin d’une personne atteinte d’une maladie grave et à long terme « , affirme la feuille de route politique.
      Les membres de la famille devraient avoir l’occasion de faire des choix quant au niveau et au type de soins qu’ils reçoivent.
      sont susceptibles de fournir et d’être soutenus pour les soins qu’ils prodiguent », a déclaré M. Champeix.

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      Pourtant, le soutien et la reconnaissance des soignants eux-mêmes font cruellement défaut dans de nombreux pays, ce qui affecte non seulement leur qualité de vie et leur propre santé, mais aussi, dans certains cas, la qualité des soins qu’ils peuvent fournir.

      Les aidants doivent être soutenus par la reconnaissance formelle, l’information, les conseils et l’orientation, la formation, la flexibilité sur le lieu de travail, la compensation financière, ainsi que l’accès à des services de soins de longue durée de qualité et abordables ", a ajouté M. Champeix.
      Les experts à l’origine de la feuille de route politique ont indiqué que l’Autriche était un exemple des meilleures pratiques que les décideurs politiques de toute l’Europe devraient suivre. Ici, les aidants naturels ont droit à une formation et à une aide financière et leur droit au temps de récupération est protégé par la législation nationale du travail.
      Les auteurs de la feuille de route recommandent que les organisations de soignants soient associées aux discussions nationales sur les soins de santé, que les « soins informels » soient officiellement reconnus par la communauté clinique du MBC et que les gouvernements nationaux manifestent leur soutien concret en appliquant les principes du pilier des droits sociaux.

      Traduit avec www.DeepL.com/Translator

  • Li-Fi : Une alternative crédible au WIFI ?
    https://electrosensible.info/2016/01/08/li-fi-une-alternative-credible-au-wifi

    Au niveau réseau informatique domestique, on n’avait pas un choix immense surtout si l’on voulait de la mobilité, on était obligé de passer par un réseau WIFI, qui, s’il est simple d’utilisation et de déploiement, avait le désavantage d’avoir des débits plus ou moins rapides suivant la qualité de la réception et surtout la question des ondes qui restent toujours en suspens pour le moment, enfin pas pour tout le monde…

    Mais avec le Li-fi, ou Light Fidelity, cela risque de changer. En lieu et place de l’utilisation du spectre des radiofréquences pour envoyer des informations, c’est le spectre de la lumière qui va être utilisé via des ampoules LED qui vont faire transiter les données à un récepteur, un peu comme du morse optique mais dont le scintillement des lampes est si rapide qu’il n’est pas visible à l’œil nu.

    Le gros problème de la technologie à l’origine, c’est que l’information est envoyée unidirectionnellement, vous ne pouviez que recevoir les informations, c’était donc un gros retour en arrière, pire que le minitel, c’est dire… Dans un premier temps il a été évoqué de compléter par du WIFI ou du CPL pour la liaison montante, ce qui était moyen au niveau de l’exposition aux radiofréquences mais finalement c’est de l’infrarouge qui va être utilisé.

    Du point de vue technique, les lampes sont connectées uniquement à un câble filaire de type RJ45 et grâce a la norme POE, Power Over Ethernet, ou alimentation par Ethernet en bon français, pas besoin de les relier électriquement. Du côté de l’utilisateur, un simple boîtier USB connecté à un périphérique ou à un ordinateur permettra de se connecter au réseau local. Et un jour qui sait, si la technologie se vulgarise, ça sera intégré directement dans les terminaux.

    Au niveau des débits, Lucibel, la société qui produit cette technologie annonce un débit descendant de 10 Mégabits/seconde et de 5 à 10 Mb/s en débit montant, grosso modo, aussi rapide qu’une connexion ADSL2 en liaison descendante. Mais d’après cette même société, il sera possible d’atteindre des débits plus importants car la limite théorique de modulation d’une LED est de 1GB/s, soit 10 fois plus que le WIFI.

    https://www.youtube.com/watch?v=Cx9yUzXglHU

    je note le Mesmars TM-195 utilisé

    http://www.lucibel.io

    #LIFI

  • #Electro_sensibilité aux ordinateurs portables

    https://www.steadyhealth.com/medical-answers/laptop-heat-and-radiation-injuries-and-how-to-prevent-them-1

    j’archive ici les témoignages qui commencent à percer sur l’usage des ordinateurs et des gros problèmes de santé qui en découlent.
    Je pense que les picotements que je ressens des doigts jusqu’au bras depuis que j’ai un macbook pro (8ans) ne sont pas pour rien dans mes problèmes de santé. Sauf qu’il est difficile de trouver des témoignages, j’archive donc ici.

    un forum de près de 200 messages avec des témoignages

    I started feeling the same problem when put my laptop on my | Testicular Disorders & Male Fertility Issues discussions | Family Health center | SteadyHealth.com
    https://www.steadyhealth.com/topics/i-started-feeling-the-same-problem-when-put-my-laptop-on-my

    Hi, this part that you wrote really cause to my attention “I use a laptop computer for at least 3 hours each day on my lap. I have had this computer for only a few months and I am curious if the heat from my computer could cause any damage to my testicles that would cause this pain. My computer gets really hot also - i noticed some red, itchy patches on my thighs that look and feel like mild burns. Ive stoped puting it on my lap but my testicle pain is still present.”

    In fact when im working with it now i have to put a pillow between because the mild pain has gotten worse, I also feel some mild pain in the lower part of my testicles. At fist I though that it was just a coincidence but as I keep on using the laptiop i notice that it was getting worse. Not just there but It also makes me feel some kind of numbness on my leg. I did not wanted to be paranoid but I think that there is something on this laptop that my body does not like and that is causing this problem that i did not had before. Please let me know if you went to the doctor and what he said. Im also looking online as much as I can to see if ther is other people suffering from this problem.

    #EHS #cancer #macbook #laptop

  • Durant 50 ans, 84 % des lobotomies furent réalisées sur des femmes, en France, Belgique et Suisse | Lynda Zerouk
    http://information.tv5monde.com/terriennes/durant-50-ans-84-des-lobotomies-furent-realisees-sur-des-femme

    Une étude, menée par trois neurochirurgiens français, révèle que sur 1129 patients lobotomisés entre 1935 et 1985 en Belgique, en France et en Suisse, 84% des sujets étaient des femmes. Un chiffre qui montre combien les discriminations et les préjugés liés au genre influencent les pratiques médicales et comment la psychiatrie s’insère dans les rapports de domination. Source : Terriennes

    • #sexisme #femmes #psychiatrie #lobotomie #medecine #violences_medicales #violences_masculines

      La première à passer sur la table d’opération sera une femme. Egas Moniz pratique, le 12 novembre 1935, sa première lobotomie sur une ancienne prostituée de 63 ans, souffrant de mélancolie et d’idées paranoïaques. Son histoire ou plutôt son triste sort, Carlos Parada le raconte en détail dans Toucher le cerveau, changer l’esprit (Editions PUF) et le neurochirurgien Marc Lévêque dans son ouvrage, La chirurgie de l’âme (JC Lattès), co-écrit avec Sandrine Cabut. On y apprend que la patiente avait été transférée la veille, « de l’asile de Bombarda vers le service de Moniz », qui avait programmé cette intervention dans le plus grand secret. Deux mois après l’opération, le médecin conclut « au succès ». La femme étant devenue plus « docile », « le bilan n’est pas si négatif ».

      L’absence de consentement d’une femme ou d’une jeune fille était moins grave que pour un homme.
      David Niget, historien
      Qui viendra la plaindre ? « C’est l’une des clés de la lobotomie explique David Niget, maître de conférence en Histoire à l’université d’Angers et chercheur au Laboratoire CERHIO. Cette pratique était controversée, mais l’absence de consentement d’une femme ou d’une jeune fille était moins grave que pour un homme, qui par ailleurs pouvait demander plus facilement une intervention chirurgicale sur son épouse que l’inverse. Et socialement, le corps des femmes est davantage considéré comme disponible à l’expérimentation. »
      Un traitement différencié dès l’adolescence
      Loin d’être l’unique facteur, cet universitaire, co-auteur avec Véronique Blanchard de l’ouvrage Mauvaises filles (Editions Textuel), rappelle que le tout début du 20 ème siècle est marqué par « une progressive médicalisation de la déviance juvénile féminine ». La science va se conjuguer avec la morale pour renforcer le contrôle de leurs comportements.

      « A travers les statistiques des institutions dites d’observation de l’époque et qui appartiennent au champ de la justice des mineurs, on va s’apercevoir qu’il existe des prises en charge psychiatriques beaucoup plus fréquentes pour les filles que pour les garçons, souligne David Niget. En effet, quand le comportement des garçons est un peu irrégulier, erratique, ou violent, on considère que le problème est social. Qu’il peut se régler avec de l’encadrement, la réinsertion par le travail et puis une bonne hygiène de vie. » Les garçons pouvaient même être facilement « héroïsés ». Comme on peut le voir aujourd’hui autour de la figure du « bad boy » censé représenter la virilité.

      « Pour les filles, de manière très différenciée, on demeure dans le registre de la moralité, du danger social, d’un problème mental psychiatrique qu’il faut prendre en charge, poursuit-il. Avec l’idée générale que l’objet à traiter c’est le corps. Un corps problématique, dangereux, malsain dévié d’une certaine manière de sa finalité qui est de donner la vie, de procréer. »

      Lire aussi :
      > Qui sont "ces mauvaises filles " ? Des rebelles subversives
      En outre, les filles séjournent bien plus longtemps dans ces institutions et développent par conséquent des comportements anti-institutionnels. « Dans cette logique, poursuit le chercheur, elles vont être étiquetées comme « des incorrigibles » ou encore comme des hystériques - terminologie qui signifiait par étymologie une excitation anormale de l’utérus qui produit des comportements désordonnés - ou bien comme des déprimées et des suicidaires qu’il faut protéger d’elles-mêmes, ce qui va, là encore, justifier et même imposer un mode de traitement lourd. »
      La lobotomie hors contexte psychiatrique
      Aussi n’est-il pas étonnant de voir certains patients subir une lobotomie sans qu’aucune maladie psychiatrique ne soit diagnostiquée. Comme le rapporte Louis-Marie Terrier, « des personnes ont également été lobotomisées pour des problèmes de douleurs secondaires découlant de cancers et qui résistaient aux traitements médicaux ».

      Un cas est d’ailleurs resté célèbre, celui d’Eva Peron, la femme du dirigeant populiste argentin
      Eva Peron, épouse du dictateur argentin, Juan Peron lobotomisée pour soulager des douleurs provoquées par un cancer de l'utérus. (c) DR
      Eva Peron, épouse du dictateur argentin, Juan Peron lobotomisée pour soulager des douleurs provoquées par un cancer de l’utérus. (c) DR

    • « A ce moment-là, la lobotomie perd de son effet de mode et de sa pertinence, parce que la chimie va permettre d’intervenir sur le cerveau des malades, explique l’historien David Niget. « Ce qui est clair, c’est qu’on va beaucoup plus utiliser les neuroleptiques à l’égard des filles qu’à l’égard des garçons et ce, dès la fin des années 1950 et de manière assez massive. »

  • A Radiation Retrospective
    Thought I would do a photo-timeline of my radiation burn from start to finish.

    Série de photos d’une irradiation du torse sur 6 semaines de traitement, c’est surtout après la fin du traitement que ça chauffe le plus … pour ceux qui pensent que c’est comme un coup de soleil, ça y ressemble mais avec des brûlures en plus. Âmes sensibles, s’abstenir.

    #rayons_X
    #cancer
    #témoignage_femme

    https://myangrycancer.blogspot.com/2013/10/a-radiation-retrospective.html

  • Qu’est-ce qu’il faut pas subir pour se faire soigner !
    http://souriez_vous_etes_soigne.com/la_revolte_des_patients

    1er intervenante, sort du bloc de radiothérapie
    – On va y aller ?
    Moi, assise dans le couloir
    – Ah, excusez moi, je ne savais pas que vous me parliez, je n’ai pas l’habitude de l’utilisation de la 3em personne du singulier.
    – On va se déshabiller ici
    – Je crois pas que ça va le faire. Je ne suis pas un objet et je vous demande de me vouvoyer sinon je ne vous comprends pas. Merci de ne pas vous vexer.

    30 secondes après, 2em intervenante ouvre la porte de l’autre côté du cagibi vestiaire alors que je suis entrain de me déshabiller
    – on y va
    – Ah ben je ne suis pas prête
    je referme la porte, reprends mon souffle et la rouvre
    – Je peux garder mon foulard ?
    – pas de souci

    La 2em intervenante me devance jusqu’à la salle où est la machine
    – on va s’allonger ici et on met sa tête là
    – Alors je vous arrête tout de suite mais je préfèrerai vraiment comme j’expliquais à votre collègue que vous me considériez comme un personne en me vouvoyant. Je vous demande de ne pas vous vexer mais c’est très important pour moi que l’on utilise les mots exacts. Parce que si vous insistez pour vous allonger avec moi, je vous cède volontiers la place. (Elle me regarde avec un air mi choquée mi étonnée, secouant vaguement la tête pour tenter de remettre en place son cerveau)
    – Bien, pouvez-vous vous allonger s’il vous plait et découvrir le haut
    – Tout à fait, merci de me comprendre, est-ce que cela va bien comme cela ?
    – Très bien, ne bougez plus la tête et gardez la bien fixe sur la gauche, nous installons la machine grace à vos points de tatouages.
    J’entends vaguement le médecin arriver dans la salle qui me lance un bref « Bonjour Madame », il est en conversation au téléphone et je perçois qu’il regarde en même temps les points d’ancrages et qu’il explique quelque chose d’important à son interlocuteur. Puis il raccroche.
    – Auriez-vous l’amabilité de vérifier sans être au téléphone ? je suis stressée et je me suis fait abimer la machoire par un dentiste qui m’opérait tandis qu’il téléphonait et j’ai de très mauvais souvenirs.
    – Vous êtes absolument irrespectueuse de vous permettre ce genre de réflexion alors que j’ai quand même pris le soin de raccrocher.
    – Je dis ça car j’ai besoin de gérer mon stress et cela ne m’aide pas.
    – Quel irrespect, je n’ai jamais vu ça. Si vous avez un dentiste nul, ce n’est pas mon problème.
    Tout le monde sort de la salle (les 3 personnes)
    La séance dure environ 10 minutes, des lumières s’allument, ça clignote, ça s’arrête, ça repart. Je sens que ça chauffe tandis que je tente de calmer mon cœur et ma colère.
    Je repars en remerciant les 2 femmes, le médecin a disparu, je ne connaitrais pas son nom. Je ne peux m’empêcher de dire que si ce monsieur veut être respecter il faudrait qu’il pense à respecter ses patientes, si ce genre de situation se reproduit, j’irais faire les séances ailleurs. Un regard gentil des intervenantes me fait comprendre qu’ici on se tait devant les médecins, même devant leurs abus.
    Je ressors en passant devant les cerbères de l’accueil qui ne daignent jamais lever le nez pour dire bonjour ou aurevoir quand on les salue.
    Peu importe, il fait beau, je suis libre, plus que 29 séances après cette première.

    #cancer
    #radiothérapie

    • 2em séance,
      le premier jour de radiothérapie l’intervenante m’a dit de revenir le lendemain et m’a remis un papier imprimé. Or quand je m’en avise, je suis déjà presque chez moi, je dois téléphoner pour reprendre rendez-vous car le prochain noté n’est pas pour le lendemain comme prévu mais pour le lundi. L’appareil N°3 était déjà en panne le premier jour, c’est un peu la panique chez eux, mais il reste une place demain soir au N°4 à 17h30, ouf.
      Le lendemain, comme je viens rapidement en vélo j’arrive en avance et fais quelques courses dans le quartier mais je dois patienter une demie heure. Dans le long couloir en face des blocs où sont les machines, les numéros peints sur le sol permettent de se repérer, une femme enlève son manteau pour que je puisse m’asseoir. On aperçoit une opératrice sortir du bloc 6
      – Monsieur Pierre Martin il a besoin d’aller au toilettes ou on peut y aller ?
      La porte semi opaque coulisse devant nous et découvre un vieux type chauve l’air sympathique que j’ai déjà vu hier. Tiens, encore un abonné. Il ne veut pas qu’on le raccompagne, il préfère son autonomie même en chaise roulante. La femme à mes côtés commence à me raconter son début de traitement pour son hystérectomie quand elle est interrompue par la porte qui glisse à nouveau, une femme en blanc l’invite à aller dans le vestiaire A. On se salue, nous nous reverrons, elle a un abonnement pour le bloc 3, elle aussi.

    • 3em séance,
      quand j’entre dans la salle de la machine, ça sent la menthe, très fortement, naïvement je m’en étonne. Il vaut mieux que ce soit cette odeur là car on ne va pas vous en dire plus, c’est inutile, vous aurez compris.
      Ok.
      Je m’allonge là pour la 3em fois, torse nu, je relève les bras en mettant les coudes au dessus de ma tête. Heureusement que j’ai été me faire mes propres séances de rééducation en y allant au dos crawlé dans la piscine, sinon je n’y serais pas arrivé. Mon bras depuis l’opération me fait encore souffrir et ce jusqu’au doigts, il se raidit de temps en temps, voir corde lymphatique. Comme il est toujours ankylosé et insensible, je ne sens rien de l’omoplate à la cicatrice de l’aisselle, mais j’ai regagné en souplesse à force d’exercices quotidiens.
      Je regarde le plafond, la salle est sans fenêtre, mais ils ont pensé à installé un poster lumineux, un peu comme dans les restaurants chinois la cascade, les patient·es peuvent admirer un ciel bleu sur lequel se découpent des fleurs de lauriers roses. Ça égaye un peu la lumière des néons de la pièce.
      Je dois tourner la tête à gauche et ne dois pas bouger durant les réglages et la phase de soins. Je regarde donc à gauche et ne peux voir ce qu’il se fait à ma droite. Soudain, je sens une main qui me touche le sein, sans me prévenir l’opératrice est en train de faire je ne sais quoi avec celui-ci, par réflexe je me tourne vers elle.
      – Vous ne devez surtout pas bouger
      – Vous venez de me toucher le sein sans me prévenir et j’ai été surprise
      – Excusez-moi, je n’ai pas fait attention
      Je ferme les yeux
      – Merci de vous excuser, c’était juste un réflexe

    • Un peu de courage, je n’ai plus que 10 séances de radiothérapie.
      Ça va, je suis très fatiguée mais ça va, mon cerveau est un peu comme de la béchamel, j’oublie ce que je dois faire, dire, je m’isole par besoin de me reposer du monde. Ne pas perdre de temps et d’énergie à rassurer les autres, penser à moi, égoïstement, attendre que toutes ses séances se passent, après ça va aller mieux.

      Boucherie, Charcuterie, Rotisserie

      Ma peau s’est mise depuis une semaine à faire de petites cloques dûes aux brulures des rayons et je ne sens toujours pas mon aisselle, j’ai mal, mais ça va hein, je suis en vie.

      Je m’énerve contre les femmes qui ne se sont pas battues pour révéler l’ampleur des dégats. Combien de mutilations qui ne font que se multiplier ? Ce serait des nez, des oreilles, la médecine aurait trouver à ne pas les amputer. Et puis, ce serait sur un corps d’homme, jamais ce ne serait tut et accepté à ce point. Mais non, les gens subissent la médecine passivement, entérinent l’idée qu’on ne peut rien faire.
      Et si tu râles c’est la preuve que tu n’as pas accepté ta condition humaine. La tête du cancérologue quand je lui dit que mes questions sont celles d’une « femme politique », oui politique au sens où ce n’est pas que pour moi que je veux comprendre ces dysfonctionnements. On ne me changera pas, je suis au cœur même du système, prise en charge par des caméras de vidéosurveillance tandis que les machines m’irradient. Déchirement, si je veux être soignée il me faut baisser l’échine, me soumettre au système qui détruit mes cellules pour qu’elles se reconstruisent d’aplomb.

      Je me demande où passe tout ce fric pour la recherche en cancérologie, en produits de la chimie ?

      Les opérateurs des Clinac, les machines qui diffusent la radiothérapie, n’ont pas fait d’études de médecine, illes sont à peine formés à la psychologie, 3 ans de formation après la 3em. Toute la journée, parfois jusqu’à 22h à raison d’une personne à traiter toutes les demies heures, défilement incessant, usine à radiation, avec deux boxes pour se changer. Dans le couloir pour attendre son tour, beuglage de BFMTV, 4 téléviseurs qui diffusent de la maladie médiatique, j’arrache discrètement les prises dès que je peux.
      En haut, au premier étage, une fois par semaine, on peut voir le docteur cancérologue, et là on attend avec RTL2, si si, j’t’jure.
      Il n’a rien à dire, à tel point que les opératrices me disent qu’hier la plpart des patientes ne voulaient même pas aller le voir.
      Je lui dis que j’ai mal au poumon, mais ça ne l’inquiète pas, pas plus que le fait qu’à la seconde opération, le chirurgien aurait été un peu lourd avec son bistouri et qu’il m’a coupé les nerfs sous le bras.

      Au XXIem siècle, on arrive à modifier un brin d’ADN pour faire des yeux bleus, on peut greffer la peau d’un jumeau sur l’autre, pour le sauver quand son corps est brûlé à 90% en créant un maillage de peau qui cicatrise rapidement.

      Mais on coupe encore leur seins aux femmes qui ont une tumeur de 2 cm et on leur dit qu’il n’y a pas d’autre solution. Celles qui questionnent ne sont pas les bienvenues, vous êtes une révoltée. Qu’est-ce que ça aurait été si on vous avait dit que vous ne sentiriez plus votre bras.

      Hé, les femmes ? vous êtes où ? Dondé estan las féministas ? Elles disparaissent avec la maladie ? la honte ? les tabous ? qui va défendre nos corps quand ils ne ressemblent plus à celui d’une femen pour faire la Une de Lui ?

      #silence_des_femmes
      #cancer_du_sein

  • le #cancer du sein #censuré sur #Facebook
    http://catherinecerisey.wordpress.com/2010/11/26/le-cancer-du-sein-censure-sur-facebook

    "Anna Antell est une survivante. Après des traitements intensifs, dont une mastectomie, elle décide de faire des photographies de femmes opérées et les expose à Oxford (Malmaison Hôtel). Parallèlement, elle crée une page Facebook sur laquelle elle poste les images.
    Or cette semaine, quelle n’est pas sa surprise lorsqu’elle se rend compte que l’équipe du réseau social a supprimé une grande partie des photos, à savoir toutes celles montrant des femmes « amazones »."

  • Le repérage par tatouage pour la radiothérapie
    https://blogdemelilotus.wordpress.com/2012/02/25/detatouage-deconvenue

    Ce qu’on ne vous a pas dit quand vous êtes rentrée dans l’arène … D’ailleurs, comme l’a rappelé intelligemment le kinésithérapeute d’une amie : « ah ben oui, c’est le principe du tatouage, c’est pour la vie … »

    #c'est_pour_la_vie
    #silence_des_femmes
    #cancer_du_sein
    #france (ailleurs c’est au marqueur qui fini par partir)

  • Congrès de sénologie, accès internet bloqué

    Dijon 2016
    Cancer du sein : désescalades et prises en charge de précision

    http://senologie.tv/dijon-2016/plenieres

    Pour le prochain congrès, on pourrait proposer
    « Ouvrir les données scientifiques, un enjeu médical majeur dans la prise de décision des femmes. »

    En attendant, on se contentera des titres …

    TRAITEMENT LOCORÉGIONAL DES LÉSIONS INFILTRANTES À FAIBLE RISQUE : OÙ EN EST-ON DES DÉSESCALADES ?
    Tumeurs bifocales : peut-on faire un traitement conservateur ?
    Yann Delpech (Paris)
    Tumeurs plurifocales infiltrantes : peut-on faire un ganglion sentinelle ?
    Sylvia Giard (Lille)
    Ganglion sentinelle métastatique : peut-on éviter un curage axillaire ?
    François Golfier (Lyon)
    Récidives mammaires en territoire irradié : place d’un second traitement conservateur - Point de vue du chirurgien
    Pascal Bonnier (Marseille)
    RÉSULTATS DE L’OBSERVATOIRE PRACCIS (ÉTUDE NATIONALE SUR LES CANCERS CANALAIRES IN SITU)
    RÉSULTATS DE L’OBSERVATOIRE PRACCIS (ÉTUDE NATIONALE SUR LES CANCERS CANALAIRES IN SITU)
    Bruno Cutuli (Reims)
    LEÇON CHARLES-MARIE GROS
    Innovation et politique de santé
    Laurent Degos (Paris)
    TRAITEMENTS ADJUVANTS DES LÉSIONS À FAIBLE RISQUE : OÙ EN EST-ON DES DÉSESCALADES ?
    Peut-on se passer d’un traitement systémique pour une tumeur HER2 surexprimée/amplifiée ?
    Nadine Dohollou (Bordeaux)
    Jusqu’où est-il licite d’aller dans la désescalade des indications d’hormonothérapie adjuvante ?
    Sylvain Ladoire (Dijon)
    CANCER DU SEIN : L’AMBULATOIRE À TOUT PRIX ?
    Introduction
    Serge Uzan (Paris)
    Jusqu’où peut-on aller en chirurgie ambulatoire ?
    Philippe Rouanet (Montpellier)
    Comment organiser les traitements oncologiques médicaux en ambulatoire ?
    Olivier Trédan (Lyon)
    LÉSIONS INFILTRANTES À HAUT RISQUE : OÙ EN EST-ON DES PRISES EN CHARGE DE PRÉCISION ?
    Tumeurs triples négatives - Identification de biomarqueurs permettant l’utilisation de thérapies ciblées
    Suzette Delaloge (Villejuif)
    Tumeurs surexprimant/amplifiant HER2 - Traitements anti-HER2 (en dehors du trastuzumab) : quelles perspectives en adjuvant ?
    Renaud Sabatier (Marseille)
    Tumeurs surexprimant/amplifiant HER2 - Existe-t-il un sous-groupe à risque qui pourrait bénéficier d’une modification de la durée de traitement par trastuzumab ?
    Xavier Pivot (Besançon)
    Tumeurs luminales - 10 ans d’hormonothérapie : quelle hormonothérapie ? Quel bénéfice ? Pour quelles patientes ?
    Anne Lesur (Nancy)
    Tumeurs luminales - Tumeurs luminales non-HER2 : nouvelles orientations thérapeutiques : mTOR inhibiteurs, inhibiteurs CDK4-6
    Paul-Henri Cottu (Paris)
    Optimisation du contrôle locorégional - Irradiation de la chaîne mammaire interne : quel bénéfice ? Pour quelles patientes ?
    Christophe Hennequin (Paris)
    BILAN D’EXTENSION : POURQUOI NE SUIVONS-NOUS PAS LES RECOMMANDATIONS ?
    Quelles sont les recommandations ? Pourquoi ne les suivons-nous pas ?
    Catherine Uzan (Paris)
    Doit-on orienter les modalités du bilan d’extension en fonction du profil moléculaire de la tumeur ? - À qui et pourquoi ?
    Henri Roché (Toulouse)
    Doit-on orienter les modalités du bilan d’extension en fonction du profil moléculaire de la tumeur ? - Comment ? - Imagerie nucléaire
    Olivier Humbert (Nice)
    Doit-on orienter les modalités du bilan d’extension en fonction du profil moléculaire de la tumeur ? - Comment ? - Biologie moléculaire
    Jean-Yves Pierga (Paris)
    COMMUNICATIONS LIBRES
    B.06 : La radiothérapie mammaire tangentielle irradie-t-elle l’aire du ganglion sentinelle ? Étude prospective unicentrique
    Charline Gillard (Nice)
    B.09 : Le transfert des analyses en panel de gènes pour les cancers héréditaires du sein et de l’ovaire vers le diagnostic : quelles sont les implications pour la prise en charge des patients et de leurs familles ?
    Laurence Faivre (Dijon)
    C.02 : Repérage des ganglions axillaires suspects en échographie par le noir de charbon et corrélation avec les ganglions sentinelles dans le cancer du sein
    Claire Chapellier (Nice)
    C.09 : Identification du ganglion sentinelle (GS) dans les cancers opérables du sein par la technique SENTIMAG©
    Rémy Salmon (Paris)
    D.04 : Cancer du sein : comment améliorer sa sexualité grâce à l’Education Thérapeutique du Patient ?
    Baptiste Sauterey (Angers)
    SURVEILLANCE DES FEMMES ASYMPTOMATIQUES À HAUT RISQUE DE CANCER DU SEIN : OÙ EN EST-ON DES DÉSESCALADES ?
    Haut risque génétique - Qu’est-ce que le haut risque ? Est-il surévalué ?
    Laurence Faivre (Dijon)
    Haut risque génétique - Le bilan d’imagerie annuel n’est-il pas plus néfaste que bénéfique ?
    Anne Tardivon (Paris)
    Antécédent de lésions frontières - Quelles sont réellement les lésions frontières à surveiller ?
    Vincent Lavoué (Rennes)
    Antécédent de lésions frontières - Surveillance mammographique annuelle : peut-on faire moins ?
    Isabelle Doutriaux-Dumoulin (Nantes)
    COMMUNICATIONS LIBRES SÉLECTIONNÉES
    A.05 : PODIUM : première enquête nationale sur les recommandations et les déterminants psychosociologiques et physiques de la pratique de l’activité physique en oncologie et en hématologie
    Thomas Ginsbourger (Neuilly-sur-Seine)
    B.04 : Analyse descriptive d’une cohorte prospective d’accès au test Oncotype DX® en situation de “Vie réelle”
    Nadine Dohollou (Bordeaux)
    B.08 : Évaluation de l’hétérogénéité intra-tumorale, de la reproductibilité et leur impact dans les échantillons de cancer du sein évalués par Prosigna™ : résultats d’une étude prospective d’impact de la décision et une étude castémoins
    Rouzier Roman (Saint-Cloud)
    C.01 : Mastectomies en ambulatoire : réduction maximaliste de l’hospitalisation. Évaluation du parcours de soins et enquête de satisfaction
    François Dravet (Nantes, Saint Herbalin)
    C.12 : Faisabilité de la technique du ganglion sentinelle après chimiothérapie néoadjuvante dans le cancer du sein avec atteinte ganglionnaire axillaire prouvée : résultats de l’étude nationale multicentrique GANEA 2
    Cécile Loaec (Nantes, Saint Herbalin)
    D.02 : Travail de nuit, travail posté : facteur de risque du cancer du sein ?
    Julie-Charlotte Benabu (Strasbourg)
    E.12 : Étude de cohorte prospective non randomisée, évaluant la survie globale à 5 ans avec ou sans chimiothérapie, chez des patientes présentant un cancer du sein avec un test indiquant un haut risque de rechute (Mammaprint®)
    Pino Cusumano (Liège, Belgique)
    MALADIE MÉTASTATIQUE : OÙ EN EST-ON DES PRISES EN CHARGE DE PRÉCISION ?
    Meilleure caractérisation de la maladie métastatique - Imagerie métabolique : place de la TEP au fluoro-oestradiol et de la TEP au trastuzumab ou au pertuzumab marqué dans la prise en charge du cancer du sein métastatique
    Alexandre Cochet (Dijon)
    Traitements de précision - Place de la radiothérapie stéréotaxique dans la maladie oligométastatique
    Céline Bourgier (Montpellier)
    Traitements de précision - Faut-il proposer un traitement locorégional du sein dans la maladie métastatique et lequel ?
    Rémy Salmon (Paris)
    BÉNÉFICES DE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE (Session en présence de Lili Sohn, auteure de “La guerre des tétons”)
    Conférence “Cancer du sein et bénéfices d’une activité physique adaptée”
    Bruno Cutuli (Reims)