• Covid-19 : la France impose un test négatif obligatoire à tous les voyageurs, vaccinés ou non, arrivant de pays situés en dehors de l’UE
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/01/covid-19-la-france-prolonge-jusqu-a-samedi-la-suspension-des-vols-depuis-l-a

    Covid-19 : la France impose un test négatif obligatoire à tous les voyageurs, vaccinés ou non, arrivant de pays situés en dehors de l’UE
    Les autorités sanitaires françaises ont recensé treize cas suspects de contamination par le variant Omicron du coronavirus SARS-CoV-2 sur l’ensemble du territoire français, a par ailleurs annoncé Gabriel Attal, mercredi, après le conseil des ministres.
    Face à la propagation du variant Omicron du nouveau coronavirus, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a annoncé un renforcement du protocole sanitaire pour les voyageurs internationaux, mercredi 1er décembre. Paris va imposer un test de dépistage négatif au coronavirus pour tout voyageur, vacciné ou non vacciné, provenant de pays extérieurs à l’Union européenne (UE), a-t-il dit. Ce test devra être de moins de quarante-huit heures pour les personnes vaccinées et de moins de vingt-quatre heures pour celles qui ne sont pas vaccinées, a-t-il déclaré à l’issue du conseil des ministres.Les autorités sanitaires françaises ont recensé treize cas suspects de contamination par le variant Omicron du SARS-CoV-2 sur l’ensemble du territoire français, a annoncé par ailleurs Gabriel Attal, lors du compte rendu du conseil des ministres. Selon lui, il est donc fort probable que des cas d’infection par ce nouveau variant identifié en Afrique du Sud soient déjà présents en France et identifiés dans les heures ou jours à venir.
    Le porte-parole du gouvernement a également expliqué mercredi que les vols avec dix pays de l’Afrique australe reprendront à partir de samedi avec un encadrement « drastique » qui ne permettra de voyager qu’aux Français, aux ressortissants de l’UE, aux diplomates et aux navigants. Ces dix pays sont l’Afrique du Sud, le Lesotho, le Botswana, le Zimbabwe, le Mozambique, la Namibie, l’Eswatini, le Malawi, la Zambie et l’île Maurice.
    Ces voyageurs subiront en outre un test de détection du SARS-CoV-2 à leur arrivée en France, suivi d’un isolement de sept jours en cas de résultat négatif et de dix jours si le résultat est positif. Dans les deux cas, l’isolement « sera surveillé par des forces de sécurité intérieure, et, en cas de non-respect de l’isolement, une amende de 1 000 à 1 500 euros » sera infligée, a ajouté M. Attal. Plus tôt dans la matinée, le secrétaire d’Etat aux affaires européennes, Clément Beaune, avait détaillé sur RTL un protocole européen « extrêmement renforcé », faisant actuellement l’objet de discussions entre les Vingt-Sept. Il devrait comprendre des restrictions déjà prises à l’encontre des pays « en liste rouge » lors des précédentes vagues de propagation du Covid-19 (« test à l’arrivée, test au départ et isolement »). « Nous irons sans doute encore plus loin », avait alors ajouté le secrétaire d’Etat, expliquant déjà que mêmes les personnes vaccinées devraient probablement se soumettre à un test pour voyager entre la France et ces pays d’Afrique australe.

    #Covid-19#migrant#migration#afriquedusud#sante#france#lesotho#botswana#zimbabwe#mozambique#namibie#eswatini#malawi#zambie#ilemaurice#test#frontiere#circulation#vaccination

  • Covid-19 : face au variant Omicron, La Réunion renforce ses contrôles aux frontières
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/01/covid-19-face-au-variant-omicron-la-reunion-renforce-ses-controles-aux-front

    Covid-19 : face au variant Omicron, La Réunion renforce ses contrôles aux frontières
    Les vols en provenance d’Afrique du Sud et de six autres pays d’Afrique austral ont été suspendus jusqu’au 4 décembre. Le dispositif de test des passagers des vols régionaux « sera renforcé par des tests antigéniques ».
    Par Jérôme Talpin(Saint-Denis (La Réunion), correspondance). Après la confirmation d’un premier cas mardi 30 novembre, l’inquiétude grandit à La Réunion. L’île appréhende de savoir si d’autres habitants sont porteurs de ce nouveau variant du SARS-CoV-2 récemment signalé en Afrique du Sud, pays voisin dont les côtes sont distantes d’environ 3 400 kilomètres. Le résultat du séquençage effectué sur un autre cas suspect s’est révélé négatif. Un troisième cas, qui n’a aucun lien avec les deux premiers, a été testé positif au Covid-19 mais n’a pu être séquencé en raison d’une trop faible quantité de virus. Plusieurs dizaines de nouveaux échantillons arrivés mercredi 1er décembre sont en cours en séquençage pour des analyses de routine.Ce premier patient français positif au variant Omicron est un homme de 53 ans rentré chez lui, à La Réunion, le 20 novembre depuis l’île Maurice. Parti de Maputo, au Mozambique, il avait effectué sur son trajet une escale à Johannesburg, en Afrique du Sud. Lors de son passage à l’île Maurice, l’homme d’affaires avait subi un test antigénique obligatoire qui s’est avéré négatif.A son arrivée à La Réunion, il a dû se soumettre à un test RT-PCR, comme tous les voyageurs en provenance d’un pays de la zone océan Indien, là aussi négatif. Mais deux jours plus tard, le quinquagénaire, pris de fièvre et de douleurs musculaires, a été testé positif. Parce qu’il avait séjourné dans un pays à risque, un séquençage a été ordonné en urgence dans la journée de dimanche. Une hospitalisation ne s’imposant pas, le patient a été « isolé à son domicile et fait l’objet d’un suivi régulier », ont annoncé la préfecture et l’agence régionale de santé (ARS) de La Réunion. « Les cas contacts à risque ont également été identifiés et mis à l’isolement », ont-elles indiqué. Des prélèvements sur son entourage proche ont été effectués. Directeur de l’unité de recherches Pimit au Cyclotron Réunion océan Indien (université de La Réunion/CNRS/Inserm/IRD), qui a identifié le variant Omicron à La Réunion, le Dr Patrick Mavingui doute « qu’il n’existe qu’un seul cas dans l’île ». « Si nous avons découvert un premier cas, il ne peut être exclu que ce variant ait déjà été introduit et qu’il circule », déclare-t-il au Monde. Pour ce microbiologiste et épidémiologiste, « il ne faut pas paniquer, mais s’inquiéter en continuant à prendre des précautions. Pour l’instant, il n’a pas été constaté d’explosion du nombre d’hospitalisations et de cas graves en Afrique du Sud. »
    Sans céder à la panique, la préfecture de La Réunion a réagi rapidement et décidé de réduire le nombre de voyageurs arrivant dans l’île en renforçant les contrôles. Depuis le 27 novembre, les vols en provenance d’Afrique du Sud et de six autres pays d’Afrique austral ont été suspendus jusqu’au samedi 4 décembre, a annoncé le secrétaire d’Etat aux affaires européennes, Clément Beaune. Le dispositif de test systématique des passagers des vols régionaux (principalement en provenance de Maurice, Madagascar, Mayotte, des Comores et des Seychelles) « sera renforcé par des tests antigéniques permettant d’obtenir un résultat immédiat et d’isoler les cas positifs ». L’île Maurice a été classée, le 30 novembre, en « zone rouge » sur la liste des pays caractérisés par une circulation particulièrement active de l’épidémie de Covid-19. Le préfet Jacques Billant indique « avoir proposé des mesures de protection supplémentaires de l’île face à l’émergence du variant Omicron qui nécessitent une modification réglementaire de niveau national ». Il s’agirait de rendre l’isolement obligatoire pour les personnes testées positives au nouveau variant. Pour les vols de La Réunion vers la métropole, chaque voyageur vacciné doit, depuis dimanche, présenter un résultat négatif à un test PCR ou antigénique de moins de 48 heures. Les non-vaccinés sont dans l’obligation de présenter aussi des documents justifiant un motif impérieux pour se déplacer. Un test et un motif impérieux sont également exigés dans le sens métropole-Réunion.
    L’annonce de l’identification du variant Omicron à La Réunion intervient dans un contexte de progression de l’épidémie de Covid-19 jugée « préoccupante », mais à « un rythme légèrement ralenti », selon les autorités sanitaires. Le taux de positivité reste stable à 4,3 %, alors que le nombre de dépistages réalisés n’a jamais été aussi élevé depuis le début de la crise sanitaire. Les hôpitaux sont loin d’être saturés : sur 74 lits de soins critiques installés dans le département, 18 lits de réanimation étaient occupés mardi soir. Une situation là aussi considérée comme « stable ». La donnée jugée la plus rassurante par beaucoup de médecins reste le taux de 73,1 % de la population éligible présentant un schéma vaccinal complet, soit plus de 513 000 Réunionnais. « Nous percevons depuis une semaine un regain pour la vaccination », souligne un médecin généraliste. L’annonce de la présence du variant Omicron sur l’île risque d’accentuer davantage ce phénomène.

    #Covid-19#migrant#migration#france#metropole#lareunion#afriqueaustrale#afriquedusud#omicron#test#tauxseropositivite#vaccination#frontiere#circulation

  • Covid-19 : face au variant Omicron, La Réunion renforce ses contrôles aux frontières
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/01/covid-19-face-au-variant-omicron-la-reunion-renforce-ses-controles-aux-front

    Covid-19 : face au variant Omicron, La Réunion renforce ses contrôles aux frontières
    Les vols en provenance d’Afrique du Sud et de six autres pays d’Afrique austral ont été suspendus jusqu’au 4 décembre. Le dispositif de test des passagers des vols régionaux « sera renforcé par des tests antigéniques ».
    Par Jérôme Talpin(Saint-Denis (La Réunion), correspondance). Après la confirmation d’un premier cas mardi 30 novembre, l’inquiétude grandit à La Réunion. L’île appréhende de savoir si d’autres habitants sont porteurs de ce nouveau variant du SARS-CoV-2 récemment signalé en Afrique du Sud, pays voisin dont les côtes sont distantes d’environ 3 400 kilomètres. Le résultat du séquençage effectué sur un autre cas suspect s’est révélé négatif. Un troisième cas, qui n’a aucun lien avec les deux premiers, a été testé positif au Covid-19 mais n’a pu être séquencé en raison d’une trop faible quantité de virus. Plusieurs dizaines de nouveaux échantillons arrivés mercredi 1er décembre sont en cours en séquençage pour des analyses de routine.Ce premier patient français positif au variant Omicron est un homme de 53 ans rentré chez lui, à La Réunion, le 20 novembre depuis l’île Maurice. Parti de Maputo, au Mozambique, il avait effectué sur son trajet une escale à Johannesburg, en Afrique du Sud. Lors de son passage à l’île Maurice, l’homme d’affaires avait subi un test antigénique obligatoire qui s’est avéré négatif.A son arrivée à La Réunion, il a dû se soumettre à un test RT-PCR, comme tous les voyageurs en provenance d’un pays de la zone océan Indien, là aussi négatif. Mais deux jours plus tard, le quinquagénaire, pris de fièvre et de douleurs musculaires, a été testé positif. Parce qu’il avait séjourné dans un pays à risque, un séquençage a été ordonné en urgence dans la journée de dimanche. Une hospitalisation ne s’imposant pas, le patient a été « isolé à son domicile et fait l’objet d’un suivi régulier », ont annoncé la préfecture et l’agence régionale de santé (ARS) de La Réunion. « Les cas contacts à risque ont également été identifiés et mis à l’isolement », ont-elles indiqué. Des prélèvements sur son entourage proche ont été effectués. Directeur de l’unité de recherches Pimit au Cyclotron Réunion océan Indien (université de La Réunion/CNRS/Inserm/IRD), qui a identifié le variant Omicron à La Réunion, le Dr Patrick Mavingui doute « qu’il n’existe qu’un seul cas dans l’île ». « Si nous avons découvert un premier cas, il ne peut être exclu que ce variant ait déjà été introduit et qu’il circule », déclare-t-il au Monde. Pour ce microbiologiste et épidémiologiste, « il ne faut pas paniquer, mais s’inquiéter en continuant à prendre des précautions. Pour l’instant, il n’a pas été constaté d’explosion du nombre d’hospitalisations et de cas graves en Afrique du Sud. »
    Sans céder à la panique, la préfecture de La Réunion a réagi rapidement et décidé de réduire le nombre de voyageurs arrivant dans l’île en renforçant les contrôles. Depuis le 27 novembre, les vols en provenance d’Afrique du Sud et de six autres pays d’Afrique austral ont été suspendus jusqu’au samedi 4 décembre, a annoncé le secrétaire d’Etat aux affaires européennes, Clément Beaune. Le dispositif de test systématique des passagers des vols régionaux (principalement en provenance de Maurice, Madagascar, Mayotte, des Comores et des Seychelles) « sera renforcé par des tests antigéniques permettant d’obtenir un résultat immédiat et d’isoler les cas positifs ». L’île Maurice a été classée, le 30 novembre, en « zone rouge » sur la liste des pays caractérisés par une circulation particulièrement active de l’épidémie de Covid-19. Le préfet Jacques Billant indique « avoir proposé des mesures de protection supplémentaires de l’île face à l’émergence du variant Omicron qui nécessitent une modification réglementaire de niveau national ». Il s’agirait de rendre l’isolement obligatoire pour les personnes testées positives au nouveau variant. Pour les vols de La Réunion vers la métropole, chaque voyageur vacciné doit, depuis dimanche, présenter un résultat négatif à un test PCR ou antigénique de moins de 48 heures. Les non-vaccinés sont dans l’obligation de présenter aussi des documents justifiant un motif impérieux pour se déplacer. Un test et un motif impérieux sont également exigés dans le sens métropole-Réunion.
    L’annonce de l’identification du variant Omicron à La Réunion intervient dans un contexte de progression de l’épidémie de Covid-19 jugée « préoccupante », mais à « un rythme légèrement ralenti », selon les autorités sanitaires. Le taux de positivité reste stable à 4,3 %, alors que le nombre de dépistages réalisés n’a jamais été aussi élevé depuis le début de la crise sanitaire. Les hôpitaux sont loin d’être saturés : sur 74 lits de soins critiques installés dans le département, 18 lits de réanimation étaient occupés mardi soir. Une situation là aussi considérée comme « stable ». La donnée jugée la plus rassurante par beaucoup de médecins reste le taux de 73,1 % de la population éligible présentant un schéma vaccinal complet, soit plus de 513 000 Réunionnais. « Nous percevons depuis une semaine un regain pour la vaccination », souligne un médecin généraliste. L’annonce de la présence du variant Omicron sur l’île risque d’accentuer davantage ce phénomène.

    #Covid-19#migrant#migration#france#metropole#lareunion#afriqueaustrale#afriquedusud#omicron#test#tauxseropositivite#vaccination

  • Omicron Covid variant discovered in west Africa and the Gulf | Coronavirus | The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2021/dec/01/omicron-covid-variant-discovered-in-west-africa-and-the-gulf
    https://i.guim.co.uk/img/media/56b84c9ef8ce79954fdca128fff8ce4e565a7f17/0_192_5760_3456/master/5760.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Omicron Covid variant discovered in west Africa and the Gulf

    US tightens border controls as more countries report first cases of coronavirus variant
    The Omicron variant of Covid-19 has been identified in west Africa and the Gulf, as the US said it was further tightening its border controls. Washington’s announcement was made as more countries reported their first cases of the variant, suggesting it is spreading around the globe.
    With Ghana, Nigeria, Norway, Saudi Arabia and South Korea among the latest states to record cases, Omicron has been identified in 24 countries.
    Dozens of countries have imposed stricter travel rules, and the US Centers for Disease Control and Prevention (CDC) said on Wednesday it was requiring all air travellers entering the country to show a negative Covid-19 test performed within one day of departure.Fifty-six countries were reportedly implementing travel measures to guard against Omicron despite warnings by the World Health Organization that “introducing blunt, blanket measures … will only worsen inequities”.However, a report on Wednesday suggesting that retrospective analysis in Nigeria had found evidence of Omicron as early as October – raising fears it had been circulating weeks earlier than first thought – proved to be incorrect.In fact, the genetic sequence identified in October was for the prevalent Delta variant of the virus, Nigerian health authorities said.Saudi Arabia became the first Gulf state to identify an Omicron case on Wednesday. Authorities in Riyadh said the variant had been identified in a traveller arriving from a north African country, without naming it.
    In Asia, South Korea confirmed its first cases, and Japan asked international airlines to stop taking new reservations for all flights arriving in the country until the end of December in a further tightening of already strict border controls. The transportation ministry said the request was an emergency precaution.The move by the world’s third-largest economy, coupled with its recent return to a ban on foreign visitors, is among the most stringent anywhere, and more in line with its cloistered neighbour China than with some other democracies in the region.This week the World Health Organization urged countries to avoid blanket travel bans.Japan has confirmed a second case of the Omicron variant in a person who arrived from Peru, one day after it reported its first case in a Namibian diplomat.
    Scientists are working frantically to determine how threatening Omicron is. Much remains unknown about the new variant, which has been identified in more than 20 countries, including whether it is more contagious, whether it makes people more seriously ill, and whether it can thwart the vaccine.
    Dr Anthony Fauci, the top US infectious disease expert, said more would be known about the variant in two to four weeks as scientists grow and test lab samples of the virus.

    #Covid-19#migrant#migration#monde#sante#variant#omicron#frontiere#circulation#economie#visiteur#oms#etranger

  • Coronavirus: Hong Kong authorities set to unveil health code system, paving way for mainland China border reopening | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/hong-kong/hong-kong-economy/article/3158032/coronavirus-hong-kong-authorities-set-unveil

    Coronavirus: Hong Kong authorities set to unveil health code system, paving way for mainland China border reopening

    Hong Kong authorities are set to unveil a Covid-19 health code system on Thursday, paving the way for the long-awaited reopening of the city’s border with mainland China later this month, the Post has learned.
    Sources said the government would reveal details of the scheme, which would allow travellers to cross the border to Guangdong province and Macau without needing to undergo quarantine.The development comes after a meeting with mainland officials last week, during which the city was told it had met the “basic requirements” for border reopening, with only a few obstacles remaining, such as a health code app and further tightening of quarantine rules for aircrew.The move will bring the city more in line with mainland travel rules, but Hong Kong’s health code system is not expected to have a movement-tracking function, unlike the version across the border because of residents’ privacy concerns. A source said testing earlier this week of conversions of the Hong Kong health code to the Guangdong and Macau versions – needed when travellers cross from one jurisdiction to another – had been “very successful”, and a dry run of border openings had also been conducted and went smoothly.Francis Fong Po-kiu, honorary president of the Hong Kong Information Technology Federation, said he had learned from government and industry sources that authorities would not require all residents to integrate the existing “Leave Home Safe” risk-exposure app with the one for health codes, only travellers to the mainland would have to do so.
    To generate a health code, users will have to provide their real name and home address, as well as upload their vaccination record and Covid-19 test results.Users will have to export their visit records from the Leave Home Safe app over the past 21 days into a file, which will then be uploaded to the website. A self-filled health declaration form will also be needed.
    Once all the information is uploaded to the webpage, it will generate a colour-coded QR code, and the data will be sent to relevant government departments. The code will be scanned by border officers for those who need to travel to the mainland.Fong said he believed the Hong Kong version of the health code would not have real-time global positioning system (GPS) tracking because of technical limitations.The mainland version can store users’ travel history and generate a colour-coded warning system based on exposure risks to Covid-19 patients.Another component is the “itinerary code”, which tracks a user’s whereabouts using mobile phone signal data. This code makes use of data from three major telecoms companies on the mainland – China Telecom, China Unicom and China Mobile.It can show which countries or mainland cities a user has visited in the past 14 days. The code also captures the user’s movements with precision and stores the information for use by the authorities.
    But a code scheme has proved a controversial issue in Hong Kong, especially if it carries a movement-tracking function, over privacy concerns. The Leave Home Safe app, launched over a year ago last November, is a Covid-19 exposure notification device that allows users to scan QR codes outside buildings before entry and has since been made mandatory at government premises.Neighbouring Macau has its own health code system for border-crossing arrangements with Guangdong province and is regarded as a model for Hong Kong.Macau’s code does not have a tracking function, but generates coloured QR codes which indicate a person’s risk level based on their health status, possible contact with Covid-19 patients and travel history. The QR code, updated daily, is required to be displayed when people enter large public venues.It also allows users with negative test results to switch over to Guangdong’s health code system when they cross the border, but the two apps are not directly linked.Last Saturday, Macau launched a bus pass scheme that required passengers to register with their names to tap contactless stored-value cards when boarding a bus. Officials said the scheme could allow better Covid-19 contact tracing, and as of 10am on Tuesday, more than 165,000 people had registered online. It is uncertain this higher standard of tracing in Macau will increase pressure for Hong Kong to follow suit.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#macau#hongkong#sante#QRcode#tracking#droit

  • Omicron : La maladie fait son apparition en Afrique de l’Ouest
    https://www.seneweb.com/news/Sante/omicron-la-maladie-fait-son-apparition-e_n_365365.html

    Omicron : La maladie fait son apparition en Afrique de l’Ouest
    Par : Maria DIOP - Seneweb.com | 01 décembre, 2021
    Omicron : La maladie fait son apparition en Afrique de l’Ouest
    Le nouveau variant Omicron de la Covid-19 a fait son apparition en Afrique de l’Ouest. Trois cas ont été détectés au Nigeria, sur des personnes qui avaient voyagé en Afrique du Sud. L’annonce a été faite aujourd’hui par le Centre nigérian de contrôle des maladies. « Les échantillons prélevés sur les tests demandés à tous les voyageurs, deux jours après leur arrivée au Nigeria, se sont révélés positifs au variant Omicron chez trois personnes qui avaient précédemment voyagé en Afrique du Sud », informe le centre.
    Ces personnes arrivées la semaine dernière au Nigeria ont été mises à l’isolement. Elles sont suivies et la recherche de leurs cas contacts est en cours. Les autorités ont peur qu’il y en ait davantage dans le pays.
    Pour le directeur du centre, « il ne s’agit plus maintenant de savoir s’il y a d’autres cas du nouveau variant dans le pays, mais de savoir quand seront-ils découverts »

    #Covid-19#migrant#migration#afrique#afriquedusud#nigeria#variant#omicron#frontiere#circulation

  • Fermer les frontières ne stoppera pas la propagation du variant Omicron
    https://www.seneweb.com/news/Sante/fermer-les-frontieres-ne-stoppera-pas-la_n_365358.html

    Fermer les frontières ne stoppera pas la propagation du variant Omicron
    Par : slate.fr - Slate.fr | 01 décembre, 2021 à 13:12:32 | Lu 2687 Fois | 7
    La découverte du variant B.1.1.529 du SARS-CoV-2, baptisé « Omicron » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), suscite l’inquiétude au niveau mondial, et a mis la planète en état d’alerte général. Et pour cause : l’OMS l’a déclaré « variant préoccupant » , car sa protéine Spike présente un large éventail de mutations, ce qui fait craindre que les vaccins et les traitements actuels s’avèrent moins efficaces pour le combattre.Bien qu’il soit encore trop tôt pour en être certain, Omicron semble par ailleurs être capable de réinfecter les gens plus facilement que les autres souches. Suivant l’exemple des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni et de l’Union européenne notamment, l’Australie a elle aussi fermé ses frontières aux voyageurs en provenance de plusieurs pays d’Afrique australe. Les citoyens australiens qui cherchent à rentrer chez eux depuis l’Afrique australe pourront le faire, mais à leur arrivée ils devront rester en quarantaine à l’hôtel et passer des tests. Ceux qui, au cours des deux semaines passées, sont revenus des neuf pays concernés –Afrique du Sud, Namibie, Zimbabwe, Botswana, Lesotho, Eswatini, Seychelles, Malawi et Mozambique– devront quant à eux s’isoler.
    Le problème est qu’Omicron a déjà été détecté dans d’autres régions du monde que l’Afrique, notamment au Royaume-Uni, en Allemagne, en Israël, à Hong Kong et en Belgique. Ainsi, si une interdiction de voyager dans les pays d’Afrique australe peut ralentir sa propagation et faire gagner un peu de temps, il est peu probable qu’elle suffise à l’arrêter complètement.
    Les gouvernements d’Australie et d’autres pays mettent en place ces restrictions pour tenter de protéger leurs propres citoyens. Cependant, ces mesures devraient s’accompagner d’un déblocage de ressources supplémentaires destiné à soutenir les réponses mises en place par les pays d’Afrique australe et d’ailleurs.
    Ce variant a été identifié le 22 novembre en Afrique du Sud, à partir d’un échantillon prélevé sur un patient le 9 novembre.Les virologues sud-africains ont agi rapidement : ils se sont entretenus avec leurs collègues par l’intermédiaire du Réseau de surveillance génomique en Afrique du Sud, et ont assuré la liaison avec leur gouvernement tout en informant l’Organisation mondiale de la santé, le 24 novembre.Cette démarche est conforme au Règlement sanitaire international, qui fixe les directives selon lesquels les pays sont censés réagir dans un tel contexte.
    Les scientifiques et les hommes politiques africains ont été déçus par la mise en place des mesures d ?interdiction, qu’ils considèrent comme une réaction « réflexe » de la part des pays qui les imposent. Ils affirment qu’elles auront des effets négatifs importants sur l’économie sud-africaine, qui accueille traditionnellement des touristes du monde entier pendant la période estivale de fin d’année. Ils soulignent également que l’on ne sait toujours pas si ce nouveau variant provient effectivement d’Afrique du Sud, même s’il y a été identifié pour la première fois. Étant donné qu’Omicron a déjà été détecté dans plusieurs autres pays, il se peut qu’il circule déjà dans des régions non incluses dans les interdictions de voyages.

    #Covid-19#migrant#migration#afrique#monde#sante#variant#omicron#frontiere#circulation#economie#OMS

  • Un navire bétailler arraisonné en Espagne pour trafic de migrants
    https://lemarin.ouest-france.fr/secteurs-activites/shipping/41655-un-navire-betailler-arraisonne-en-espagne-pour-trafic-de-

    Publié le 29/11/2021
    Les autorités espagnoles ont arraisonné le 27 novembre, dans le port de Carthagène, le navire bétailler Elita, en provenance de Libye, soupçonné de participer à un trafic de migrants syriens.

    Le dernier navire de migrants sauvé du pire était un transporteur de bétail...
    https://lemarin.ouest-france.fr/secteurs-activites/shipping/20551-le-dernier-navire-de-migrants-sauve-du-pire-etait-un-tran
    Le dernier navire de migrants sauvé du pire était un transporteur de bétail...
    Publié le 05/01/2015
    Affreuse ironie, le troisième navire de migrants récupéré - et sauvé du pire - par la Guardia Costiera italienne depuis le 20 décembre est un navire dédié au transport de bétail... Il s’agit de l’Ezadeen, 73 mètres, 2 300 tpl, construit en 1966, battant pavillon de Sierra Leone, enregistré comme appartenant à un armateur libanais.
    https://lemarin.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/full/public/2015/01/05/1079615_ezadeen-les-migrants-ont-paye-entre-4000-et-8000-dollar

    #réfugiés #asile #migrations #migration #migrants #migrant #frontières #méditerranée #mourir_en_mer #Navires

  • Rapport de l’OIM : la COVID-19 entraîne une forte augmentation du nombre de migrants vulnérables en transit par les Amériques | International Organization for Migration
    https://www.iom.int/fr/news/rapport-de-loim-la-covid-19-entraine-une-forte-augmentation-du-nombre-de-migran

    Rapport de l’OIM : la COVID-19 entraîne une forte augmentation du nombre de migrants vulnérables en transit par les Amériques
    Buenos Aires/San José – Selon un rapport sur les mouvements migratoires régionaux dans les Amériques publié aujourd’hui par l’Organisation internationale pour les migrations, au moins 30 000 enfants, la plupart âgés de moins de cinq ans, font partie des plus de 125 000 personnes qui, cette année, ont risqué leur vie en traversant la région du Darien, l’un des itinéraires irréguliers les plus dangereux au monde pour les migrants faisant route vers l’Amérique du Nord.
    Le rapport souligne que le transit de migrants originaires des Caraïbes, d’Asie, d’Afrique et des Amériques depuis l’Amérique du Sud se développe depuis une dizaine d’années, mais qu’il a augmenté de façon spectaculaire en raison de l’impact socioéconomique, sanitaire et politique de la pandémie de COVID-19. Le nombre total de traversées irrégulières du Darien - une dangereuse traversée de la jungle à la frontière entre la Colombie et le Panama, dépourvue de routes et où opèrent des groupes armés, des passeurs de migrants et des trafiquants d’êtres humains - est plus élevé cette année que pour l’ensemble de la période 2010-2020. Quelque 25 pour cent des personnes qui traversent la frontière sont des enfants, dont environ 24 000 ont cinq ans ou moins. Selon le rapport, un grand nombre des migrants vulnérables en transit sont des Haïtiens, mais il y a aussi des ressortissants d’autres pays des Caraïbes, d’Asie, d’Afrique et des Amériques. Un nombre croissant de ressortissants de ces régions ont migré vers l’Amérique du Sud au cours de la dernière décennie. Selon les estimations du Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (ONU DAES), les migrants africains en Amérique du Sud sont passés de 22 000 en 2010 à 43 000 en 2020, tandis que les migrants des Caraïbes dans la région ont connu une croissance exponentielle, passant de 79 000 en 2010 à 424 000 en 2020. Les migrants asiatiques dans la région ont également augmenté, passant de 208 000 en 2010 à 302 000 en 2020.
    N’ayant pas la possibilité d’emprunter les itinéraires migratoires réguliers, de nombreux migrants ont recours à des passeurs, ce qui accroît leur vulnérabilité et les problèmes de protection, selon le rapport. Parmi ces flux, on trouve des migrants qui se sont installés régulièrement, principalement dans des pays d’Amérique du Sud, notamment au Brésil et au Chili, ces dernières années. Le rapport souligne que certains migrants en transit vers l’Amérique du Nord en provenance des Caraïbes, d’Afrique et d’Asie ont des enfants qui sont des ressortissants de pays d’Amérique du Sud. Il ne s’agit donc pas exclusivement de migrants originaires des Caraïbes et d’autres régions.D’autres ont été contraints, ou ont décidé, de migrer vers d’autres destinations au nord du continent car ils n’ont pas les documents adéquats ou en raison de l’impact de la pandémie, notamment une augmentation alarmante de la xénophobie, qui a limité leur accès aux services de base. Les catastrophes et l’instabilité politique dans les pays d’origine et de résidence ont également été des moteurs. L’OIM a lancé un appel de 74,7 millions de dollars pour répondre aux besoins humanitaires du nombre croissant de migrants vulnérables en transit, ainsi que pour permettre aux pays de destination actuels d’atténuer les effets négatifs de la crise et d’autres facteurs socioéconomiques qui frappent souvent les migrants en premier et le plus durement. L’aide comprend de la nourriture, des vêtements, des services de santé et un soutien psychosocial, des abris sûrs et une protection pour les victimes et les personnes à risque de violence fondée sur le genre et de traite des personnes. La Plateforme mondiale de réponse aux crises de l’OIM donne un aperçu des plans et des besoins de financement de l’OIM pour répondre à l’évolution des besoins et des aspirations des personnes touchées ou menacées par les crises et les déplacements en 2021 et au-delà. La plateforme est régulièrement mise à jour en fonction de l’évolution des crises et de l’apparition de nouvelles situations.

    #Covid-19#migrant#migration#monde#sante#frontiere#circulation#migrationirreguliere#vuulnerabilite#pandemie#psychosocial#protection#crise#transit#droit

  • Propagation du variant Omicron : L’Oms dénonce l’isolement de l’Afrique - Lequotidien - Journal d’information Générale
    https://lequotidien.sn/propagation-du-variant-omicron-loms-denonce-lisolement-de-lafrique

    Propagation du variant Omicron : L’Oms dénonce l’isolement de l’Afrique
    Lequotidien
    L’Afrique du Sud ainsi que les pays de l’Afrique australe sont presque isolés du reste du monde à cause de l’apparition du variant Omicron. Une situation dénoncée par l’Oms et qui ne risque d’être appliquée par les autres pays africains. C’est Macky Sall qui l’a assuré.
    Par Malick GAYE – Une « discrimination » ! C’est de cette façon que l’Afrique du Sud perçoit l’isolement que subit le pays à cause de la déclaration du variant Omicron. Porté à la connaissance du monde le 24 novembre passé, ce variant « préoccupant » du Covid-19 serait plus contagieux que Del­ta. Une donne qui a poussé une bonne partie de l’Europe à suspendre ses liaisons aériennes avec les pays de l’Afrique australe. Une situation dénoncée par l’Orga­nisation mondiale de la santé (Oms), qui appelle à une action coordonnée.L’Oms qui a salué l’attitude de l’Afrique du Sud en partageant le plus tôt possible les informations sur le nouveau variant, craint que cet isolement n’encourage pas la transparence. En effet, elle doute que les pays fassent de la rétention d’informations, de peur d’être isolés.Le Président sud-africain, Cyril Ramaphosa, s’est dit « profondément déçu » par ces fermetures de frontières, qui représentent, à ses yeux, une forme de « discrimination à l’égard de notre pays » et de ses voisins.
    Ces restrictions contredisent aussi frontalement les engagements du G20 à Rome, le mois dernier, en faveur du tourisme et des voyages internationaux, a poursuivi Cyril Ramaphosa, au ton sévère mais posé, dans un discours télévisé.
    Elles ne font qu’« endommager davantage nos économies et saper notre capacité à répondre et à nous remettre de la pandémie », a-t-il dit. L’Oms, qui a pourtant déconseillé les restrictions sur les voyages, estimant qu’il faudra « plusieurs semaines » pour comprendre la virulence d’Omi­cron. L’organisation a appelé dimanche à ce que « les frontières restent ouvertes », se tenant « aux côtés des pays africains ». L’Oms a également appelé les dirigeants du monde entier à « adopter une approche scientifique », basée sur « l’évaluation des risques » avant de décider de nouvelles restrictions.
    Le Président sénégalais, Macky Sall, a assuré hier lundi que les pays africains ne fermeront pas leurs portes à l’Afrique du Sud et aux autres pays d’Afrique australe, malgré l’apparition du variant de Covid-19, dénommé Omicron. Pour autant, Macky Sall invite ses collègues à rester vigilants.

    #Covid-19#migrant#migration#afrique#afriquedusud#sante#oms#variant#omicron#circulation#frontiere#economie

  • INTERDICTION DE VOLS AUX PAYS AFRICAINS : La directrice régionale de l’OMS monte au créneau | EnQuete+
    https://www.enqueteplus.com/content/interdiction-de-vols-aux-pays-africains-la-directrice-r%C3%A9gionale-de

    La directrice régionale de l’OMS monte au créneau
    Après la découverte du nouveau variant Omicron en Afrique du Sud, de nombreux pays ont mis en place une interdiction de voyage visant l’Afrique. Une attitude que déplore la directrice régionale de l’OMS, Docteur Matshidiso Moeti.Alors qu’un nombre croissant de pays impose des interdictions de vols aux pays d’Afrique australe, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé les pays à agir conformément à la science et au Règlement sanitaire international (2005) en laissant les frontières ouvertes. Ces décisions prises par beaucoup de pays sont causées par des inquiétudes suscitées par le nouveau variant Omicron.Mais pour la directrice régionale de l’OMS, Docteur Matshidiso Moeti, ce n’est pas une raison de fermer les frontières aériennes aux pays d’Afrique. ‘’Maintenant que le variant Omicron est présent dans plusieurs régions du monde, la mise en place d’interdictions de voyage visant l’Afrique constitue une attaque de la solidarité mondiale. La Covid-19 profite continuellement de nos divergences. Nous ne prendrons le dessus sur le virus que si nous travaillons ensemble sur les solutions ‘’, a averti hier Dre Matshidiso Moeti dans un communiqué parvenu à ‘’EnQuête’’.Selon elle, les restrictions de voyage pourraient contribuer à réduire légèrement la propagation de la Covid-19. Mais ces dernières font peser un lourd fardeau sur les vies et les moyens de subsistance. A son avis, si des restrictions sont mises en place, elles ne devraient pas être inutilement invasives et intrusives. Elles devraient, souligne-t-elle, être basées sur la science et le Règlement sanitaire international qui est un instrument juridiquement contraignant de droit international reconnu par plus de 190 pays. Pour le Bureau régional de l’agence sanitaire mondiale, l’Afrique du Sud a suivi le Règlement sanitaire international. Dès que son laboratoire national a identifié le variant Omicron, elle en a informé l’OMS le 24 novembre, explique-t-elle. ‘’La rapidité et la transparence avec lesquelles les gouvernements d’Afrique du Sud et du Botswana ont informé le monde de ce nouveau variant sont à saluer. L’OMS se tient aux côtés des pays africains qui ont eu le courage de partager ces informations de santé publique susceptibles de sauver des vies, en aidant ainsi à protéger le monde contre la propagation de la Covid-19‘’, soutient Dre Moeti.Tandis que les investigations sur le variant Omicron continuent, l’OMS recommande aux pays d’adopter une approche scientifique s’appuyant sur l’évaluation des risques. L’organisation onusienne demande également de mettre en place des mesures qui peuvent limiter sa propagation éventuelle. Des interdictions de vol ont été imposées aux pays d’Afrique australe, mais seulement deux pays ont jusqu’à présent détecté le nouveau variant. Dans le même temps, des pays d’autres régions ont signalé des cas d’Omicron.

    #Covid-19#migrant#migration#afrique#sante#variant#omicron#frontiere#circulation#oms

  • Omicron : l’OMS déconseille aux personnes vulnérables de voyager, mise en garde du PDG de Moderna
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/30/omicron-pekin-reconnait-que-le-variant-complique-les-jo-mise-en-garde-du-pdg

    Omicron : l’OMS déconseille aux personnes vulnérables de voyager, L’Organisation mondiale de la santé estime, cependant, que les interdictions générales de voyager n’empêcheront pas la propagation du variant Omicron.Au lendemain de l’alerte des ministres de la santé des pays du G7 déclarant dans un communiqué commun que le variant Omicron exige une « action urgente », la Chine a reconnu, mardi 30 novembre, que le nouveau variant serait synonyme de difficultés supplémentaires pour l’organisation des Jeux olympiques d’hiver de Pékin, qui doivent se tenir du 4 au 20 février 2022.
    Dans une interview au Financial Times mardi, le président-directeur général (PDG) de Moderna, Stéphane Bancel, s’est montré pessimiste quant à la réponse des vaccins existants contre ce nouveau variant du coronavirus. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime qu’Omicron présente « un risque très élevé » au niveau mondial. Elle a, cependant, conseillé aux personnes les plus vulnérables, « notamment les personnes âgées de 60 ans ou plus et celles qui présentent des comorbidités », d’éviter de voyager.De nombreux Etats ont suspendu les voyages vers l’Afrique australe et instauré des dispositifs préventifs. Après plusieurs pays de l’Union européenne, dont la France, l’Allemagne et l’Italie, l’Espagne a annoncé, mardi, la suspension des vols en provenance d’Afrique australe à compter de jeudi et jusqu’au 15 décembre. En Asie, le Japon, trois semaines après avoir assoupli certaines restrictions, interdit depuis mardi « toutes les entrées de ressortissants étrangers ». Le gouvernement a confirmé, mardi, son premier cas d’Omicron, chez un homme revenu de Namibie.
    Au Royaume-Uni, porter un masque dans les transports et les magasins est redevenu obligatoire mardi. Tous les voyageurs y arrivant doivent faire un test PCR et s’isoler jusqu’au résultat. Depuis ce week-end, Londres n’acceptait déjà plus les non-Britanniques venant de dix pays africains (Afrique du Sud, Namibie, Lesotho, Eswatini, Zimbabwe, Botswana, Malawi, Mozambique, Zambie et Angola).
    Tout en reconnaissant des difficultés supplémentaires, la Chine a réaffirmé mardi sa confiance dans la réussite des Jeux olympiques d’hiver à Pékin, en dépit du nouveau variant Omicron, dont aucun cas n’a été à ce jour détecté dans le pays, hormis dans le territoire autonome de Hongkong. La Chine a largement maîtrisé l’épidémie sur son sol grâce à des mesures draconiennes : très forte limitation des vols internationaux, quarantaine obligatoire à l’arrivée, dépistages massifs ou encore isolement des cas contacts, identifiés grâce aux applications de suivi des déplacements. La vie a quasi repris son cours normal dès le printemps de l’année dernière. Mais le pays reste confronté à l’apparition de petits foyers sporadiques. Alors que les frontières chinoises sont pratiquement fermées depuis mars 2020, les Jeux de Pékin se dérouleront dans une bulle sanitaire dont ne pourront sortir les quelque 2 900 sportifs attendus. Ils devront être soit vaccinés soit se soumettre à une quarantaine de vingt et un jours à leur arrivée. Tous seront soumis à des tests de dépistage quotidiens. Seuls des spectateurs résidant en Chine pourront assister aux épreuves. La Chine fait état ces dernières semaines de seulement quelques dizaines de nouveaux cas quotidiens de Covid-19.
    Les autorités sanitaires néerlandaises ont annoncé mardi avoir détecté le variant Omicron dans un test effectué le 19 novembre, une semaine plus tôt que ce qui était estimé jusqu’ici, et des contrôles sont en cours pour voir dans quelle mesure il s’est propagé. « L’Institut néerlandais de la santé et de l’environnement a détecté le variant Omicron dans deux échantillons de test qui avaient déjà été prélevés aux Pays-Bas (…) les 19 et 23 novembre 2021 », a-t-il déclaré dans un communiqué. Les Pays-Bas avaient annoncé lundi que quatorze personnes étaient porteuses du variant Omicron dans le pays, figurant toutes parmi les passagers partis d’Afrique du Sud et diagnostiqués positifs au Covid-19 vendredi à leur arrivée à Amsterdam. Or, les deux échantillons avaient été prélevés avant même que l’Afrique du Sud rapporte à l’OMS avoir détecté ce nouveau variant, le 24 novembre, suscitant un vent de panique et une interdiction de nombreux territoires des voyageurs en provenance d’Afrique australe.Il n’est pas encore possible de savoir « si les personnes concernées [dans les cas précédents] se sont également rendues en Afrique australe », a précisé l’Institut néerlandais de la santé, ajoutant que les personnes testées avaient été informées et que les services de santé municipaux avaient commencé à enquêter sur leurs contacts. Avec 16 cas désormais confirmés, les Pays-Bas comptent l’un des chiffres de contamination par le nouveau variant les plus élevés d’Europe, à ce stade.

    #COvid-19#migrant#migration#monde#sante#chine#afriqueaustrale#paysbas#grandebretagne#sante#variant#omicron#criculation#frontiere#oms#test#quarantaine#vaccination

  • Omicron : l’OMS déconseille aux personnes vulnérables de voyager, mise en garde du PDG de Moderna
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/30/omicron-pekin-reconnait-que-le-variant-complique-les-jo-mise-en-garde-du-pdg

    Omicron : l’OMS déconseille aux personnes vulnérables de voyager, L’Organisation mondiale de la santé estime, cependant, que les interdictions générales de voyager n’empêcheront pas la propagation du variant Omicron.Au lendemain de l’alerte des ministres de la santé des pays du G7 déclarant dans un communiqué commun que le variant Omicron exige une « action urgente », la Chine a reconnu, mardi 30 novembre, que le nouveau variant serait synonyme de difficultés supplémentaires pour l’organisation des Jeux olympiques d’hiver de Pékin, qui doivent se tenir du 4 au 20 février 2022.
    Dans une interview au Financial Times mardi, le président-directeur général (PDG) de Moderna, Stéphane Bancel, s’est montré pessimiste quant à la réponse des vaccins existants contre ce nouveau variant du coronavirus. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime qu’Omicron présente « un risque très élevé » au niveau mondial. Elle a, cependant, conseillé aux personnes les plus vulnérables, « notamment les personnes âgées de 60 ans ou plus et celles qui présentent des comorbidités », d’éviter de voyager.De nombreux Etats ont suspendu les voyages vers l’Afrique australe et instauré des dispositifs préventifs. Après plusieurs pays de l’Union européenne, dont la France, l’Allemagne et l’Italie, l’Espagne a annoncé, mardi, la suspension des vols en provenance d’Afrique australe à compter de jeudi et jusqu’au 15 décembre. En Asie, le Japon, trois semaines après avoir assoupli certaines restrictions, interdit depuis mardi « toutes les entrées de ressortissants étrangers ». Le gouvernement a confirmé, mardi, son premier cas d’Omicron, chez un homme revenu de Namibie.
    Au Royaume-Uni, porter un masque dans les transports et les magasins est redevenu obligatoire mardi. Tous les voyageurs y arrivant doivent faire un test PCR et s’isoler jusqu’au résultat. Depuis ce week-end, Londres n’acceptait déjà plus les non-Britanniques venant de dix pays africains (Afrique du Sud, Namibie, Lesotho, Eswatini, Zimbabwe, Botswana, Malawi, Mozambique, Zambie et Angola).
    Tout en reconnaissant des difficultés supplémentaires, la Chine a réaffirmé mardi sa confiance dans la réussite des Jeux olympiques d’hiver à Pékin, en dépit du nouveau variant Omicron, dont aucun cas n’a été à ce jour détecté dans le pays, hormis dans le territoire autonome de Hongkong. La Chine a largement maîtrisé l’épidémie sur son sol grâce à des mesures draconiennes : très forte limitation des vols internationaux, quarantaine obligatoire à l’arrivée, dépistages massifs ou encore isolement des cas contacts, identifiés grâce aux applications de suivi des déplacements. La vie a quasi repris son cours normal dès le printemps de l’année dernière. Mais le pays reste confronté à l’apparition de petits foyers sporadiques. Alors que les frontières chinoises sont pratiquement fermées depuis mars 2020, les Jeux de Pékin se dérouleront dans une bulle sanitaire dont ne pourront sortir les quelque 2 900 sportifs attendus. Ils devront être soit vaccinés soit se soumettre à une quarantaine de vingt et un jours à leur arrivée. Tous seront soumis à des tests de dépistage quotidiens. Seuls des spectateurs résidant en Chine pourront assister aux épreuves. La Chine fait état ces dernières semaines de seulement quelques dizaines de nouveaux cas quotidiens de Covid-19.
    Les autorités sanitaires néerlandaises ont annoncé mardi avoir détecté le variant Omicron dans un test effectué le 19 novembre, une semaine plus tôt que ce qui était estimé jusqu’ici, et des contrôles sont en cours pour voir dans quelle mesure il s’est propagé. « L’Institut néerlandais de la santé et de l’environnement a détecté le variant Omicron dans deux échantillons de test qui avaient déjà été prélevés aux Pays-Bas (…) les 19 et 23 novembre 2021 », a-t-il déclaré dans un communiqué. Les Pays-Bas avaient annoncé lundi que quatorze personnes étaient porteuses du variant Omicron dans le pays, figurant toutes parmi les passagers partis d’Afrique du Sud et diagnostiqués positifs au Covid-19 vendredi à leur arrivée à Amsterdam. Or, les deux échantillons avaient été prélevés avant même que l’Afrique du Sud rapporte à l’OMS avoir détecté ce nouveau variant, le 24 novembre, suscitant un vent de panique et une interdiction de nombreux territoires des voyageurs en provenance d’Afrique australe.Il n’est pas encore possible de savoir « si les personnes concernées [dans les cas précédents] se sont également rendues en Afrique australe », a précisé l’Institut néerlandais de la santé, ajoutant que les personnes testées avaient été informées et que les services de santé municipaux avaient commencé à enquêter sur leurs contacts. Avec 16 cas désormais confirmés, les Pays-Bas comptent l’un des chiffres de contamination par le nouveau variant les plus élevés d’Europe, à ce stade.

    #COvid-19#migrant#migration#monde#sante#chine#afriqueaustrale#paysbas#grandebretagne#sante#variant#omicron#criculation#frontiere#oms#test#quarantaine#vaccination

  • World scrambles to contain Omicron coronavirus variant | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/china/science/article/3157621/world-scrambles-contain-omicron-coronavirus-variant

    World scrambles to contain Omicron coronavirus variant
    The emergence of a coronavirus variant with a large number of mutations could pose new challenges for China but too little was known about the strain, according to one of the country’s top respiratory disease specialists.
    Chinese media reported Zhong Nanshan’s assessment of the Omicron variant on Saturday as countries around the world scrambled to contain the variety first found in southern Africa and identified on Friday by the World Health Organization (WHO) as a variant “of concern”.The WHO cautioned countries against “hastily” tightened travel restrictions.
    A number of jurisdictions, from the European Union, to the United States, Hong Kong and Russia, tightened limits on travellers from countries in southern Africa.Dozens of confirmed cases have been identified in South Africa, Hong Kong, Botswana, Belgium and Israel, while suspected cases have been reported in the Czech Republic and Germany.Dutch officials said 61 people on two flights from South Africa to Amsterdam tested positive for Covid-19 on Saturday, but it was not clear if they were infected with the new variant. China did not announce any new travel restrictions in response to the variant but the country has one of the strictest restrictions on border entry and flights. It has also introduced a flight suspension mechanism if there are more than five positive cases on board.
    Sanjaya Senanayake, associate professor of medicine at the Australian National University, said Omicron was troubling because of its high number of mutations. Research indicated that it had 32 spike protein mutations, compared with the 13 to 17 seen in the more prevalent Delta variant.
    “Some of these mutations can increase transmissibility of the variant, while others can help it evade the immune system: a worrying combination,” he told the Australian Science Media Centre. In a post on the website of Imperial College in London, Neil Ferguson, director of the college’s MRC Centre for Global Infectious Disease Analysis, said such a number of mutations in the spike protein gene was “unprecedented”. According to the WHO, early signs indicate an increased risk of reinfection from Omicron compared to other highly transmissible variants – meaning people who have had Covid-19 and recovered could be at greater risk of catching it again with Omicron.The WHO said studies were under way in South Africa and other countries to better understand the variant in terms of transmissibility, severity and any impact on the use of diagnostics, therapeutics and vaccines.US infectious disease chief Anthony Fauci said that while the reports on the new variant threw up a “red flag”, it was possible that vaccines might still work to prevent serious illness.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#variant#omicron#circulation#frontiere#monde#OMS

  • Coronavirus: Hong Kong further tightens quarantine rules on arrivals from 8 African nations in fight against new ‘Omicron’ variant | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/hong-kong/health-environment/article/3157589/coronavirus-unvaccinated-hongkongers-could-find

    Coronavirus: Hong Kong further tightens quarantine rules on arrivals from 8 African nations in fight against new ‘Omicron’ variant. City residents returning from South Africa, Botswana and six other nations must spend the first of three weeks of quarantine at a government facility
    Hong Kong has further tightened quarantine rules for its residents arriving from eight African countries following the detection of a new, highly infectious coronavirus variant, requiring them to complete the first week of their mandatory confinement in a government facility. The Centre for Health Protection said on Saturday that Hong Kong residents arriving from South Africa, Botswana, Eswatini, Lesotho, Mozambique, Malawi, Namibia and Zimbabwe would immediately be sent to Penny’s Bay quarantine centre. The measure takes effect on Sunday.

    #Covid-19#migrantt#migration#afriquedusud#hongkong#sante#variant#omicron#quarantaine#afrique#circulation#frontiere

  • South Africa complains flight bans are ‘punishment’ for it detecting Omicron, new Covid-19 variant | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/article/3157617/south-africa-complains-flight-bans-are-punishment-it-detecting-omicron-new

    South Africa complains flight bans are ‘punishment’ for it detecting Omicron, new Covid-19 variant. Many nations have banned flights from countries in southern Africa; South Africa government says ‘science should be applauded, not punished’ . South Africa has complained it is being “punished” for detecting a new Covid-19 variant which the World Health Organization has termed a “variant of concern” and is more transmissible than the dominant Delta strain. The decision by a host of countries to ban flights from southern Africa following the discovery of the Omicron variant “is akin to punishing South Africa for its advanced genomic sequencing and the ability to detect new variants quicker,” the foreign affairs ministry said in a statement.“Excellent science should be applauded and not punished,” it said, adding that new variants had been discovered in other parts of the world.“Each of those cases have had no recent links with Southern Africa, but the reaction to those countries is starkly different to cases in Southern Africa,” it said.The variant was first discovered in South Africa and has since been detected in Belgium, Botswana, Israel and Hong Kong.UK bans travel from South Africa after emergence of new heavily-mutated Covid-19 variant
    A minister in the German state of Hesse said on Saturday that the variant had very probably arrived in Germany, in a traveller returning from South Africa. Czech health authorities said they were examining a suspected case of the variant in a person who spent time in Namibia.
    South Africa said its “capacity to test and its ramped-up vaccination programme, backed up by a world-class scientific community should give our global partners the comfort that we are doing as well as they are in managing the pandemic”.Anxious travellers thronged Johannesburg international airport, desperate to squeeze onto the last flights to countries that had imposed sudden travel bans. Many had shortened their holidays and rushed away from South African safaris and vineyards. “It’s ridiculous, we will always be having new variants,” said British tourist David Good, passport in hand. “South Africa found it but it’s probably all over the world already.”The main countries targeted by travel shutdowns include South Africa, Botswana, eSwatini, Lesotho, Namibia, Zambia, Mozambique, Malawi and Zimbabwe.Scientists are now racing to determine the threat posed by the heavily mutated strain, and whether current vaccines should be adjusted. Markets and oil prices around the world plunged on Friday as news of the latest setback in the fight against the pandemic sank in.
    US President Joe Biden said countries should donate more vaccines and give up intellectual property protections to manufacture more doses worldwide.
    “The news about this new variant should make clearer than ever why this pandemic will not end until we have global vaccinations,” he said.The WHO said it could take weeks to understand the variant and cautioned against imposing travel curbs while scientific evidence was still scant.But many countries around the world, including the US, Australia and Japan, moved to try to clamp down on the new variant by restricting flights.EU officials agreed in an emergency meeting to urge all 27 nations in the bloc to restrict travel from southern Africa, with many members having already done so.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#afriquedusud#variant#omicron#circulation#frontiere#restrictionsanitaire#vaccination

  • Coronavirus: Omicron variant fears prompt Australia, Japan, Philippines, Thailand to impose new travel curbs | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/australasia/article/3157590/coronavirus-omicron-variant-fears-prompt-australia

    Coronavirus: Omicron variant fears prompt Australia, Japan, Philippines, Thailand to impose new travel curbs. The restrictions are similar to those brought in by Singapore, Hong Kong and elsewhere after the discovery of the new variant triggered global alarm on Friday
    Australia imposed new restrictions on Saturday on people who have been to nine southern African countries, a day after the Philippines made a similar move, as the new Omicron variant raises concerns about another wave of the coronavirus pandemic.Effective immediately, the Australian government will ban non-citizens who have been in South Africa, Namibia, Zimbabwe, Botswana, Lesotho, eSwatini, the Seychelles, Malawi and Mozambique from entering and will require supervised 14-day quarantines for Australian citizens and their dependents returning from the countries, said Health Minister Greg Hunt. These restrictions also apply to people such as international students and skilled migrants arriving from countries with which Australia has travel bubbles, who have been in any of the nine countries within the past 14 days.Anyone who has already arrived in Australia and who has been in any of those countries within the past 14 days must immediately isolate and be tested.The Australian government will also suspend all flights from the nine southern African countries for two weeks.
    Meanwhile, Japan said it would tighten border controls for the southern African nations of Mozambique, Malawi and Zambia, requiring a 10-day quarantine for any entrants, the Foreign Ministry said on Saturday.
    The new rules, taking effect from midnight, come a day after Japan tightened border controls for those arriving from South Africa, Botswana, Eswatini, Zimbabwe, Namibia and Lesotho.
    The Philippines has also suspended flights from South Africa and six other countries – Botswana, Namibia, Zimbabwe, Lesotho, eSwatini, and Mozambique – until December 15, Cabinet Secretary Karlo Nograles said in a statement on Friday night. Passengers who have visited any of these countries in the 14 days before their arrival will also be temporarily barred from entry, he said. Earlier in the day, the Philippines had announced the reopening of borders to tourists from what it considers low-risk areas, as part of an easing of restrictions after weeks of declining coronavirus infections.Thailand said on Saturday it would also ban the entry of people travelling from eight countries – Botswana, eSwatini, Lesotho, Malawi, Mozambique, Namibia, South Africa and Zimbabwe – from December.
    “We have notified airlines and these countries,” senior health official Opas Karnkawinpong told a news conference. “Those that have already been approved to enter the country from these eight countries will be ordered to undergo an additional 14-day mandatory quarantine, starting now,” Opas said.People from other African countries who have already secured approval to visit Thailand will be subject to 14 days in hotel quarantine. No African countries are on a list of 63 nations eligible for quarantine-free travel to Thailand which started this month, Opas said.

    #Covid-19#migrant#migration#afrique#australie#japon#philippines#variant#omicron#sante#circulation#frontiere#quarantaine#bulledevoyage