person:michel lafon

  • Claude François :

    J’aime les filles jusqu’à 17-18 ans, après je commence à me méfier. Dieu si j’ai des aventures au delà de 18 ans, bien sûr, heureusement. Mais après 18 ans, je me méfie parce qu’elles commencent à réfléchir, elles sont plus naturelles. Cela commence même quelque fois avant.

    #amour #hétérosexisme #misogynie #citation #âgisme #sexisme #domination_masculine #grand_homme #prédation #domination #pédophilie

    • J’ignorais.

      Sinon, Luc Besson (« mais c’est légal ») :
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Luc_Besson

      C’est lors de cette cérémonie qu’il rencontre la jeune Maïwenn Le Besco, âgée de 15 ans.

      En 1992, il se marie avec Maïwenn, de 17 ans sa cadette. À l’époque, le mariage pour les mineurs de plus de 15 ans était autorisé en France avec l’accord des parents. Elle donnera naissance quelques mois après leur mariage, le 3 janvier 1993, à la deuxième fille du cinéaste : Shanna.

      Relation dont Besson dit avoir tiré le scénario de Léon, qui prévoyait que Mathilda, 12 ans, se donnait à Léon « parce qu’il le mérite » :
      http://followatch.fr/leon-luc-besson-jean-reno-natalie-portman

      4. LA PREMIÈRE VERSION DU SCÉNARIO INCLUAIT DES SCÈNES D’AMOUR ENTRE MATHILDA ET LÉON.

      Elles ont été supprimées à la demande des parents de Natalie Portman. Dans la version sortie en salles aux Etats-Unis, les scènes qui pourraient passer pour de la “tension sexuelle” entre la fillette et le tueur ont également été supprimées après des projections-test désastreuses.

      (Tu te rends comptes, ces ricains… choqués par des scènes de « tension sexuelle » entre une gamine de 12 ans et un homme de 46 ans…)

    • La scène qui circule sur le Web, et qui serait la première version du script :

      The Professional – Version 1 Script | Az eredeti forgatókönyv
      http://the-professional.uw.hu/Version_1_Script.html

      Léon gets to the window and looks out. Something changed in Léon. He’s tired by all this, maybe. He sits on the chair. Mathilda’s walkman is on. He hesitates, then eventually puts on the headphones. It’s a sweet, almost classical music. Very beautiful, like the arriving Mathilda. She wears the dress Léon offered her, she is made up. She looks 20-year-old. Léon’s mouth is open. She smiles and heels down before him. He gets off the headphones.

      […]
       

      Mathilda smiles and stands up. She gets in the kitchen. Léon feels weird, like he was falling in a trap, without being able to do anything. Mathilda comes back with a glass of milk she hands to Léon. She lowers the tents to dim the strong sunlight. Mathilda heels down in front of him. Léon doesn’t dare moving any more.

      […]

      MATHILDA (sweetly)

      I love you, Léon…. Totally. It’s the first time I feel it that strong. It’s also the first time I trust a man. I trust you.

      She caresses his hand.

      …I love your hands….

      (pause)

      Léon…in your hands…I’d like you to be my first lover.

      Léon retracts his hand and finishes the milk. He looks at Mathilda with as much sadness as happiness. By a fingertip, Mathilda takes the milkdrop on Léon’s lips and gets it in her mouth. Léon is going to cry.

      […]

      MATHILDA

      Why? Did you have too many and you fear it may shock me? I won’t get shocked. I’m used to this! My father was a real pig. He fucked the bitch I’d as mother all around the apartment. Whenever a door was closed, you could be sure they were having sex behind it! And my sister, if you didn’t sleep with her, you’re the building’s exception!

      LÉON

      Stop, Mathilda! Don’t talk like that!

      Mathilda’s going to cry.

      MATHILDA

      I talk because you don’t talk, Léon. I declare my love and you say nothing. That’s why I’m nervous and I can’t stop talking. Tell me you love me, or you don’t love me, or you love someone else. … But tell me something.

      […]

      LÉON

      …Yes. The day he got out of jail. I allowed him to make ten steps…not more. And bang. Two hundred meters. By telescope. That night, I left my country and came here, to join my father, who worked for Tony. … I was 17. Since then, I’ve never left the city…and never had another girlfriend….

      Léon sweetly looks at her.

      …You see, I wouldn’t be a good lover, Mathilda.

      MATHILDA

      Léon, I don’t know life very much…I just know I love you…. And love is stronger than anything else.

      Léon is more and more nervous, like a child.

      LÉON

      Maybe…sure…. But…I’m scared, Mathilda.

      Léon cries. Mathilda caresses his face.

      MATHILDA

      Don’t fear, Léon. You mustn’t fear love, when it’s this beautiful.

      She caresses his chest.

      I want you to be the first to touch me…. The first to make love with me. Nobody before you.

      She stands up and modestly gets off her briefs without taking off her dress. Léon cries, unable to oppose her. Mathilda is too young, but she’s also too beautiful and lovely and sweet and tender…. She sweetly, very sweetly, gets on him.

      LÉON (crying)

      Why me, Mathilda, why me?

      Mathilda leans over to speak in his ear.

      MATHILDA

      …Because you deserve it, Léon….

      Léon embraces her. He’s full of happiness, shame, so many emotions, he can’t control very well. But, hell, how beautiful it is seeing them sweetly making love.

    • http://www.lejdd.fr/culture/people/le-megot-et-les-enfants-caches-de-claude-francois-3572222

      Isabelle Catélan a pris la rédaction en chef de Podium un an et demi après la mort de Claude François, héritant de toutes les notes et de l’agenda de la star qu’elle va publier ces prochains jours chez Michel Lafon sous le titre Claude François, ses notes confidentielles. Elle parle d’un artiste déifié, harcelé par ses fans, qu’il mettait aussi en scène dans Absolu, son magazine de charme… « Il n’était pas le seul chanteur à coucher avec ses fans. D’autres, toujours en activité, le faisaient aussi. Mais lui a eu la naïveté d’en parler. »

  • Un livre dénonce les relations entre Qatar et certains politiques
    http://www.tendanceouest.com/region/actualite-198091-un-livre-denonce-les-relations-entre-qatar-et-certai

    Les journalistes Georges Malbrunot et Christian Chesnot dénoncent dans un livre-enquête les « dérives » de la relation entre le Qatar et des personnalités politiques de tous bords, dont Jean-Marie Le Guen et Rachida Dati, qui portent plainte.

    Dans ce livre « Nos très chers émirs » (Michel Lafon), dont l’hebdomadaire Le Point publie jeudi les bonnes feuilles, ils racontent comment l’argent a « pourri » cette relation avec les monarchies du Golfe et en particulier comment l’ambassade du Qatar à Paris est sollicitée par des politiques.

    « A Noël, Mohammed al-Kuwari (ex-ambassadeur du Qatar à Paris, ndlr) offrait aux membres du groupe d’amitié France-Qatar à l’Assemblée nationale des montres Rolex ou des bons d’achat dans des grands magasins », selon ces extraits.

    « Pour certains hommes politiques, pour certains élus, pas tous, l’ambassade du Qatar, c’était tout à la fois un distributeur de billets de 500 euros, une agence de voyages, et la boutique du Père Noël », a affirmé Christian Chesnot sur France Inter. « C’est à dire que, pendant plusieurs années, jusqu’à aujourd’hui, le Qatar reçoit des sollicitations (...) des demandes de subventions pour financer une mosquée, une école, une association. Et puis il y a des hommes politiques qui sont vraiment à l’offensive, qui vraiment demandent de l’argent ».

    Les deux journalistes, selon les extraits du Point, citent nommément le secrétaire d’Etat chargé des Relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen, le député PS Nicolas Bays, l’ex-garde des Sceaux LR Rachida Dati, l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin ou encore la sénatrice centriste Nathalie Goulet.

    Selon Christian Chesnot, Jean-Marie Le Guen « voulait imposer une agence de communication pour gérer des déclarations d’hommes politiques, pour contrôler un peu les déclarations au Parlement qui seraient critiques vis-à-vis du Qatar ».

    Rachida Dati aurait, elle, demandé à l’ambassade du Qatar « pas moins de 400.000 euros pour son association », un « club des ambassadeurs », somme qui lui a été refusée, affirment-ils.

    « J’ai appris avec stupéfaction et consternation les allégations délirantes contenues dans (ce) livre », a réagi M. Le Guen sur Facebook. « Evidemment, je porte plainte pour diffamation », a-t-il ajouté.

    – Ils « font honte à la France » -

    Les avocats de Mme Dati ont dénoncé dans un communiqué à l’AFP « mensonges » et « calomnies » et annoncent que « toutes les actions seront entreprises pour faire cesser les atteintes répétées à la probité » de la maire du VIIe arrondissement de Paris. Rachida Dati a précisé à l’AFP qu’elle portait plainte.

    Nicolas Bays aurait demandé à se « faire inviter dans un hôtel de Doha » et se faire « payer un billet d’avion sur Qatar Airways », essuyant un refus.

    Nathalie Goulet « essuya, elle aussi, chaque fois, un refus clair et net (...) Elle a pourtant multiplié les demandes », écrivent les auteurs cités par Le Point. Elle a indiqué à l’AFP qu’elle portait également plainte.

    Dominique de Villepin est également évoqué, décrit comme un « vieil ami de la famille régnante, qui fait beaucoup d’affaires au Qatar ». Il « exige d’être en première classe, sinon il boude les invitations à Doha », écrivent les journalistes, citant un diplomate de l’ambassade du Qatar.

    « Pendant qu’une grande partie de la classe politique RPS se faisait corrompre par le , ce pays m’attaquait en justice. Tout est dit », a réagi sur Twitter le vice-président du FN, Florian Philippot.

    Ces élus « font honte à la France », a renchéri la députée FN Marion Maréchal-Le Pen.

    « Ces faits, s’ils étaient avérés, seraient gravissimes et relèveraient des tribunaux. Face à la gravité des accusations, nous demandons que la justice soit saisie au plus vite », a demandé Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF.

    Fin novembre 2015, un parlementaire LR s’alarmait du poids pris par le Qatar en France : « Ils sont ici chez eux, on leur passe tout et il y a de la corruption pour acheter des mecs, ils sont prêts à tout pour vous acheter ».

  • « Pour certains élus, l’ambassade du #Qatar à Paris, c’était la boutique du #Père_Noël »
    http://www.liberation.fr/video/2016/10/20/pour-certains-elus-l-ambassade-du-qatar-a-paris-c-etait-la-boutique-du-pe

    Christian Chesnot, journaliste au service étranger de France Inter, publie Nos très chers émirs, coécrit avec Georges Malbrunot. Face à Léa Salamé, il est revenu ce jeudi sur les relations très ambiguës entretenues par certains de nos représentants politiques avec le Qatar : « Pour certains élus – pas tous – l’ambassade du Qatar à Paris, c’était tout à la fois un distributeur de billets de 500€, une agence de voyage et la boutique du Père Noël. »

    Georges Malbrunot : « L’ancien ambassadeur du Qatar a copieusement arrosé nos politiques »
    http://www.liberation.fr/france/2016/10/20/georges-malbrunot-l-ancien-ambassadeur-du-qatar-a-copieusement-arrose-nos

    Dans un livre paru ce jeudi, Nos très chers émirs (éditions Michel Lafon), les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot décryptent les liens vénéneux entre les responsables politiques français et leurs homologues des monarchies du #Golfe. « Vendre à tout prix aux émirs, propulsés au rang de "partenaires stratégiques", semble être devenu l’alpha et l’oméga de notre #diplomatie au #Moyen-Orient » écrivent les auteurs. Georges Malbrunot.

    #grand_papa_noel

  • Historiens de garde et polémique « Lorànt Deutsch » : un bilan médiatique et politiqueLes historiens de garde
    http://www.leshistoriensdegarde.fr/historiens-garde-polemique-lorant-deutsch-bilan-mediatique-poli

    Cette nouvelle rentrée a été très chargée sur le plan médiatique pour nos historiens de garde. Évidemment, la sortie du nouvel opus de Lorànt Deutsch, Hexagone (Michel Lafon), a accaparé une bonne part de l’attention, mais il ne faut pas oublier qu’elle venait après celle du Lavisse augmenté de Dimitri Casali (Armand Colin), et en même temps que le nouveau Jean Sévillia, Une histoire passionnée de la France (Perrin). Cette offensive a d’abord été menée de concert entre historiens de garde, Deutsch partageant une interview avec Jean Sévillia dans le Figaro, Dimitri Casali étant invité par Franck Ferrand et Stéphane Bern, qui offrira également tribune au comédien. Plus intéressant encore, la réception médiatique de ces livres, et surtout la façon avec laquelle les principaux médias ont relayé et commenté les critiques contre les historiens de garde, notamment la polémique sur Lorànt Deutsch et sa façon de présenter la bataille de Poitiers. Où l’on a vu un fort contraste entre internet et les mass médias.

    #Lorànt_Deutsch #médias #histoire #extrême-droite

  • Lorànt Deutsch et le mythe de l’invasion musulmane

    Après un « Métronome » consacré à l’histoire de France à travers les stations du métro parisien, Lorànt Deutsch passe cette fois par les routes et les voies navigables, pour un ouvrage au titre évocateur : « Hexagone » (Michel Lafon).

    Nous avions montré dans l’ouvrage « Les historiens de garde » [1] les nombreux problèmes que posait l’approche de Lorànt Deutsch, que ce soit sur ses erreurs (volontaires ou non), sur sa méthode et sa vision de l’histoire, et plus largement sur l’idéologie qu’il voulait distiller par son « Métronome » (dans toutes ses versions) et les nombreuses sorties médiatiques qui l’ont accompagné. On peut globalement dire que « Hexagone » pose le même genre de problème, mais nous allons insister ici sur un point particulier : la façon avec laquelle le comédien narre la bataille de Poitiers, sujet on le sait polémique et récupéré par les identitaires et l’extrême droite.

    http://www.huffingtonpost.fr/christophe-naudin/lorant-deutsch-hexagone_b_4015871.html

  • Mais qu’est-ce qu’on va faire de... Lorànt Deutsch par William Blanc
    http://cqfd-journal.org/Mais-qu-est-ce-qu-on-va-faire-de,517

    Lunettes sur le nez, sweet à capuche, sourire sympathique, le p’tit gars Lorànt Deutsch affiche le style cool du type sorti du ruisseau, flâneur amoureux de Paris, ville à laquelle il dédicace son Métronome – L’Histoire de France au rythme du métro parisien (Éditions Michel Lafon, 2009). Encensé par les médias, ce bouquin s’est écoulé à un million cinq cent mille exemplaires, et va être adapté en documentaire pour France 5.
    Sauf que ce Métronome donne un drôle de tempo. Pour le comédien, « l’histoire de notre pays s’est arrêtée en 1793, à la mort de Louis XVI. Cet événement a marqué la fin de notre civilisation, on a coupé la tête à nos racines. » Et il va de soi que « sans religion et sans foi, on se prive de quelque chose dont on va avoir besoin dans les années à venir. Il faut réintroduire la religion en France, il faut un concordat. » Aussi ce catho royaliste nous offre-t-il dans son guide historique une vision bien à lui du passé.

    Chez Lorànt Deutsch, l’histoire est marquée par les grands hommes. Pour les grandes femmes, on repassera ! Seule sainte Geneviève trouve grâce à ses yeux pendant que les autres, les Lutéciennes puis les Parisiennes, font du shopping (page 41). Une vision somme toute classique, développée tout au long des XIXe et XXe siècles, quand l’histoire était écrite pour célébrer les chefs de guerres, les rois, les saints…

    Quant au peuple, « violent, sanglant » (4e de couverture), il ne pense qu’à grogner et se soulever. À Lorànt de lui réserver un traitement tout deutschien. Alors qu’il consacre huit pages à saint Denis, treize à sainte Geneviève, quinze à Pépin le Bref, la Commune de Paris et ses vingt mille morts sont résumés en un seul petit paragraphe ! En quelques lignes, il n’est pas question d’expliquer pourquoi le peuple parisien s’est soulevé en 1871. Tout au plus l’acteur évoque-t-il une « fureur populaire » venue d’on ne sait où, et des soldats rompant les rangs parce que « fatigués, démoralisés, déboussolés » (page 353). Mais il est vrai que le peuple a toujours été un peu bourrin : lorsque Geneviève, animée d’une « foi parfaite » (page 86), lance un appel contre les Huns – « l’envahisseur asiatique » (page 89) –, « les plus excités des Parisiens parlent […] de [la] jeter dans un puits, manière radicale de la faire taire » (page 87).