person:fleur pellerin

  • L’étonnant #pantouflage du mari de Fleur Pellerin
    Par Vincent Jauvert - Publié le 13 septembre 2018
    https://www.nouvelobs.com/economie/20180913.OBS2341/l-etonnant-pantouflage-du-mari-de-fleur-pellerin.html

    C’est l’un des « pantouflages » les plus problématiques de l’ère Macron. Condisciple de Bruno Le Maire à l’ENA, époux de l’ex-ministre de la Culture Fleur Pellerin, Laurent Olléon est un haut fonctionnaire très en vue dans le cercle du pouvoir - surtout de gauche. Durant le quinquennat de François Hollande, ce conseiller d’Etat de 49 ans a été directeur de cabinet de plusieurs ministres, il a même été pressenti, en 2016, pour prendre la tête du cabinet du président de la République.

    Il a passé le reste de sa carrière au Conseil d’Etat, essentiellement dans le domaine fiscal - si sensible. Jusqu’en août dernier, il était assesseur à la section à la neuvième chambre du contentieux, chargée entre autres de fiscalité. Mieux : depuis plus de trois ans, il présidait (en tant que suppléant) la commission des infractions fiscales. Cette autorité indépendante est obligatoirement saisie par Bercy pour l’engagement de poursuite contre des fraudeurs. C’est dire son pouvoir. Voilà pourquoi un grand cabinet d’avocats d’affaires vient de recruter Laurent Olléon comme associé dans sa branche « Tax » - pour, admet-il, le plus grand bénéfice des clients de la firme, de grands groupes privés. (...)

    #fraudesfiscales

  • Un temps de Président

    Dans son documentaire A l’Elysée, un temps de président, à voir ce lundi 28 septembre sur France 3, Yves Jeuland a suivi François Hollande dans quelques moments clés de son quinquennat. Durant quatre mois, d’août à septembre 2014 puis de novembre 2014 à janvier 2015, le réalisateur a pénétré seul, avec sa caméra, la vie quotidienne du palais présidentiel. Une immersion riche en révélations et en anecdotes, lors de temps forts du mandat : le remaniement du gouvernement Valls II ou les attentats de janvier.

    Après Patrick Rotman (Le Pouvoir), le documentariste Yves Jeuland (Le président, Les Gens du Monde) a bénéficié d’une chance rare : pouvoir poser ses caméras dans les couloirs du palais présidentiel. Avec Un temps de président, diffusé lundi 28 septembre sur France 3 (et disponible en replay ici), il nous propose une plongée dans les coulisses de la communication élyséenne entre août 2014 et février 2015, de la formation du gouvernement Valls II aux attentats de janvier. Plus qu’un récit global, Jeuland préfère, selon sa méthode éprouvée, placer sa caméra dans les coins du palais et observer discrètement ce qu’il se passe, sans jamais interpeller les protagonistes.

    https://www.youtube.com/watch?v=vKkIPVM_-Mk

    Un temps de Président de Yves Jeuland

    Extrait :

    Août 2014 : après le remaniement ministériel et la nomination de Fleur Pellerin en tant que nouvelle ministre de la Culture, François Hollande et Manuel Valls la conseillent sur la manière d’être une « bonne ministre ». Extrait du documentaire Un temps de Président de Yves Jeuland.

    https://mediakit.laquadrature.net/view.php?id=2358

    #Elysée #documentaire

  • Après les attentats, comment faire revenir le public dans les salles de concert ? - Musiques - Télérama.fr
    http://www.telerama.fr/musique/apres-les-attentats-du-13-novembre-comment-faire-revenir-le-public-dans-les

    Annulations en série, public absent, frais de sécurité à assumer. Les salles de concerts privées et des tourneurs paient un lourd tribut après les attaques de Paris. Les mois à venir s’annoncent compliqués.
    Deux semaines après les attentats, la musique est toujours en berne en France. Si la vie a repris ses droits, doucement, et les concerts avec, la situation reste globalement précaire pour le secteur. « On n’a pas vendu un seul billet dans la semaine qui a suivi les attaques », se désole Didier Veillault, directeur de la Coopérative de mai à Clermont-Ferrand, dont la jauge oscille entre un club de 460 places et une salle de 1500. En temps normal, à cette période de l’année, il fait généralement salle comble à chaque soirée. Le manque à gagner, en matière de billetterie mais aussi de ventes au bar, est évalué à environ 25 000 euros depuis le 13 novembre. La fin de l’année sera difficile, même si la programmation n’a pas subi beaucoup d’annulations.
    C’est à Paris que le futur immédiat s’annonce le plus délicat. « On ne réalise qu’un tiers de la fréquentation habituelle chez nous. Certains soirs, comme le week-end dernier, la salle était même vide », raconte David Delattre, directeur du Nouveau Casino, rue Oberkampf. La salle parisienne, qui opère désormais beaucoup dans le « clubbing » , n’a pas connu tant d’annulations que ça côté artistes, car elle propose des plateaux avec plusieurs DJ. Mais sa proximité avec le Bataclan, juste en bas de la rue, joue en sa défaveur. « La rue Oberkampf est déserte depuis dix jours. »
    Pour certains tourneurs, notamment ceux qui disposent dans leur catalogue d’artistes étrangers, les planning se sont vidés brutalement. « On passe nos journées à gérer des annulations au lieu de travailler sur le booking de nos artistes », raconte Julien Catala, directeur de Super, qui gère aussi la salle du Trabendo, dans le parc de La Villette. Son malheur : avoir dans son giron beaucoup de groupes américains. « Ils ont peur de venir, les agents et les managers nous demandent des mesures de sécurité pour rassurer les artistes, mais à part deux ou trois vigiles en plus, je ne peux pas leur promettre de mettre l’armée devant la salle ! ».
    La situation est d’autant plus critique pour lui que le mois de novembre est souvent le plus fourni de l’année en concerts, dans la capitale comme en province. « Ce qui nous tient à flot, c’est que nos artistes attirent surtout un public de niche, friand de concerts et plus susceptible de revenir rapidement dans les salles », assure Julien Catala. Mais le gouffre est béant : sur les deux dernières semaines, il affiche un manque à gagner de plus de 50 000 euros, entre ses activités de tourneur et la salle du Trabendo. « La conséquence, c’est qu’on va prendre moins de risques sur la programmation artistique, faire plus gaffe ».
    Dans ce marasme, les structures privées ne doivent compter que sur elles-mêmes, obligées d’assumer seules (dans des ententes entre salles et producteurs) le surcroît de dépenses de sécurité, et faire face à la baisse massive de ventes de tickets. En début de semaine, le Prodiss, qui réunit les producteurs de spectacles, lançait un appel à la ministre de la Culture Fleur Pellerin. Dans la foulée des attentats, cette dernière avait annoncé le déblocage d’une somme de 4 millions d’euros pour faire face dans l’urgence aux besoins de la filière. Largement insuffisant selon les intéressés, qui ont interpellé la ministre en livrant leur évaluation des besoins : 50 millions d’euros, pas moins.
    Alors, comment faire revenir les gens dans les salles ? « Il va falloir séduire le grand public, celui qui ne fait que quelques concerts par an. C’est à lui qu’il va falloir redonner envie de sortir », explique Didier Veillault. Comment ? « En faisant attention à l’accueil, au prix des places, des bières, en offrant peut-être des cadeaux, en étant plus chaleureux encore… ». Une chose frappe en tout cas chez tous les intéressés : la volonté de ne pas céder à l’abattement, de faire preuve de combativité. Comme le résume Thierry Langlois, patron du tourneur parisien UNI-T : « Même si l’inquiétude demeure, je veux être confiant : la vie est plus forte. De toute façon, on n’a pas le choix : soit on continue, soit on ferme boutique ».

  • Bibliothèques : les députés votent des aides de l’Etat pour élargir les horaires
    http://culturebox.francetvinfo.fr/livres/bibliotheques-les-deputes-votent-des-aides-de-l-etat-pour-el

    Les horaires des bibliothèques « doivent correspondre aux rythmes de vie des Français » La « dotation générale de décentralisation » (80 millions d’euros) sera réformée en 2016 pour permettre la prise en charge d’une partie des coûts supportés par les collectivités en cas d’horaires étendus, selon un amendement du gouvernement voté dans le cadre du projet de budget 2016.

    « Désormais, il sera possible d’utiliser cet outil pour financer le fonctionnement, et pas seulement pour des investissements, ce qui n’était pas possible jusqu’à présent », avait précisé le 2 novembre la ministre de la Culture Fleur Pellerin à l’occasion de la remise du rapport de la sénatrice Sylvie Robert sur l’extension de l’ouverture des (...)

  • Simple comme un coup de fil…
    http://radiofanch.blogspot.com/2015/07/simple-comme-un-coup-de-fil.html

    © Eric ChaverouLe Pdg de Radio France, Mathieu Gallet, prend vraiment les auditeurs pour des billes. Et aussi par effet redondant l’ensemble du personnel de Radio France. Il s’imagine sans doute que les auditeurs gogos, pour être sûrs de ne rien savoir sur la suite du conflit social de printemps (1), se contentent d’écouter la radio sans lire aucun journal, sans écouter les radios privées, sans lire aucun communiqué sur tel ou tel site d’infos. Suffisant et « fort » de sa superbe - qui craquelle - il continue à plastronner et à se répandre en communication désastreuse. Jugez-en. Jeudi 16 juillet Gallet répond à une interview sur le site du Monde.fr. (2) À la question d’Alexis Delcambre : "Vos relations avec la ministre de la culture, Fleur Pellerin, restent délicates. Pourquoi (...)

  • Loi Création : Fleur Pellerin ne veut pas de définition positive du domaine #public - Next INpact
    http://www.nextinpact.com/news/95230-loi-creation-fleur-pellerin-ne-veut-pas-definition-positive-domain

    "Alexis Kauffmann, de Romaine Lubrique et organisateur du Premier festival du domaine public se souvient lui aussi qu’ « à son arrivée au ministère, Aurélie Filippetti nous avait promis de "clarifier la notion de domaine public dans la future Loi Création" dans la foulée d’un Automne Numérique faisant la part belle au domaine public, avec notamment la mise en place d’un calculateur du domaine public. Cela n’est plus dans l’agenda de Fleur Pellerin qui semble davantage se soucier de protéger les ayants droit que du libre accès à la culture » déplore-t-il. Un mouvement qui agace aussi Lionel Maurel, membre de la Quadrature du Net et animateur du blog S.I. Lex, qui commente le projet de Fleur Pellerin : « On est donc face à un texte de statu quo, qui a visiblement été pensé pour ne rien modifier (...)

  • PUB : le gouvernement annonce des négociations de " lutte contre la précarisation “
    http://www.lefigaro.fr/culture/2015/04/21/03004-20150421ARTFIG00230-intermittents-des-negociations-pour-lutter-contre

    Les partenaires sociaux du spectacle vont « ouvrir des négociations » dans « les prochaines semaines » pour discuter des moyens de « lutter contre la #précarisation de l’#emploi », a indiqué mardi le gouvernement.
    Une « conférence pour l’emploi dans les métiers du spectacle » sera par ailleurs « organisée à l’automne » pour « développer l’emploi et renforcer la pérennisation des contrats de travail », ont ajouté dans un communiqué commun le ministre du Travail François Rebsamen et la ministre de la Culture Fleur Pellerin.
    Le gouvernement a confié la préparation de cette conférence à l’économiste Jean-Paul Guillot, auteur en 2005 d’un rapport sur l’#indemnisation_du_chômage des #intermittents. Cette « feuille de route » gouvernementale fait suite aux recommandations présentées en janvier par trois sages [ sic ] pour tenter de « refondre » le régime des intermittents et sortir de la crise apparue avant l’été dernier sur les règles d’indemnisation chômage.
    Les ministres rappellent, comme annoncé par le premier ministre Manuel Valls en janvier, que « l’existence de règles spécifiques pour les professions » du spectacle va être « inscrite dans la loi », à travers le projet de #loi_réformant_le_dialogue_social en entreprise, présenté mercredi en Conseil des ministres.

    Mémoire : Nous avons lu le rapport Guillot, vendredi 21 octobre 2005
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=2311

    Le 30 juin 2003, Jean-Jacques Aillagon affirmait que le protocole du 26 juin 2003 comportait des « avancées considérables » et que les « protestataires l’[avaient] mal lu ». Les faits l’ont depuis démontré : nous l’avions bien lu. (...)
    En mandatant Jean-Paul Guillot, il s’agissait pour le gouvernement d’inviter les partenaires « sociaux » à noyer le poisson du régime d’assurance-chômage dans l’océan de la #politique_de_l’emploi_culturel.

  • Radio France : « Ils jouent avec votre radio, notre avenir », tribune de Valeria Emanuele, secrétaire nationale du SNJ Radio France
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2015/03/30/radio-france-ils-jouent-avec-votre-radio-notre-avenir_4605763_3232.html

    « Nous suivons jour après jour, dans la presse, les échanges entre Fleur Pellerin, Manuel Valls et Mathieu Gallet, uniques sources d’information pour les salariés de #Radio_France à propos de ce détail futile : leur avenir. Nous en sommes là, simples pions dans la partie d’échecs qui oppose le ministère de tutelle - qui ne « communique » que dans son intitulé - à la présidence de Radio France, mutique et passée experte en maladresses morales et stratégiques.

    Nous ne sommes pas dupes. Ce qui se joue dépasse le seul sort des salariés de Radio France. La rue de Valois et la présidence de Radio France sont engagées dans un bras de fer. Et nous sommes au milieu, coincés entre le marteau et l’enclume, privés d’information mais objets de beaucoup de mépris.

    Nous les observons casser cette maison qui n’est qu’une ligne sur leur CV. Cette maison qui est notre identité, notre ADN, notre présent et notre avenir. Nous sommes tellement fiers de travailler pour elle. Et donc aujourd’hui tellement en colère de voir que nous ne sommes que les pantins d’un pathétique jeu de rôles.

    Alors que faut-il comprendre de ce blocage ? Pourquoi le sort de Radio France se trouve-t-il entre les mains de personnes qui semblent s’en désintéresser ?

    Les salariés de Radio France ne sont pas responsables de son déficit. Notre sort financier dépend à 90 % de l’Etat qui a décidé, depuis trois ans, de ne plus octroyer la dotation promise. 87 millions d’euros n’ont pas été versés. Nous avons tenu grâce aux économies, mais cette fois les caisses sont vides et le trou menace de se creuser encore un peu plus : 21 millions dès 2015, pire les années suivantes, puisque l’Etat entend négocier un Contrat d’objectifs et de moyens revu à la baisse.

    Comment accorder le moindre crédit à un PDG qui se rend compte neuf mois après sa nomination, que la trésorerie est à sec ? Comment croire que Bercy, qui siège au Conseil d’administration de Radio France, n’était pas au courant ? Comment faire confiance au ministère de la communication, qui prend un malin plaisir à lâcher publiquement le PDG d’une entreprise publique ?

    Des commentateurs assurent que l’enjeu ultime se situerait de l’autre côté de la Seine, en face de notre belle et onéreuse nouvelle Maison de la Radio. Que tout cela se jouerait en réalité à France Télévisions. La tutelle affaiblit Mathieu Gallet, et à travers lui le CSA qui l’a nommé. Et ainsi, comme au bon vieux temps de la nomination des présidents de l’audiovisuel public par le pouvoir, le ministère de la communication pourrait imposer son (sa) candidat(e) pour la présidence de la télévision de service public. Alors que le duel continue ! Et tant pis pour l’indépendance. Tant pis pour Radio France. »

    #radio #grève

  • Liberté d’expression : la caricature est aussi une exception au droit d’auteur
    http://scinfolex.com/2015/01/14/liberte-dexpression-la-caricature-est-aussi-une-exception-au-droit-dauteu

    On le voit les rapports entre la caricature et le droit d’auteur sont complexes et souvent conflictuels. Une des choses qui m’ont le plus choquées ces derniers de ce point de vue, c’est le discours prononcé hier par la Ministre de la Culture Fleur Pellerin devant un aréopage de sociétés d’auteurs et d’ayants pour les rassurer quant à la position de la France concernant la réforme européenne annoncée du droit d’auteur. Alors que les dessinateurs de Charlie Hebdo n’ont pas encore été enterré, Fleur Pellerin commence son discours par un vibrant hommage à la « liberté d’expression » et au « prix infiniment précieux de la création, de la culture, de tout ce que nous devons aux auteurs et aux artistes. » Mais elle continue en exposant un point de vue ultra-maximaliste du droit d’auteur, hélas très courant en (...)

  • Livre numérique en bibliothèque : une démission de la politique de lecture publique
    http://scinfolex.com/2014/12/12/livre-numerique-en-bibliotheque-une-demission-de-la-politique-de-lecture-

    Lundi dernier en conclusion des Assises des bibliothèques organisées à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine, la Ministre de la Culture Fleur Pellerin a annoncé la signature d’un protocole d’accord entre l’État, les bibliothèques, les éditeurs, les auteurs, les libraires et les élus culturels concernant la « diffusion du livre numérique par les bibliothèques publiques« . Ce texte qui prend la forme de 12 recommandations a été publié le lendemain sur le site de l’ABF, accompagné d’un communiqué où l’association annonce qu’elle a accepté de le signer, tout en prenant assez nettement ses distances. L’ABF déplore notamment que seule la voie contractuelle soit ouverte aux bibliothèque, les pouvoirs publics ayant renoncé à adapter le cadre législatif en vigueur. Source : : : S.I.Lex (...)

  • Lettre ouverte de La Quadrature du Net à Fleur Pellerin, ministre de la Culture | La Quadrature du Net
    http://www.laquadrature.net/fr/lettre-ouverte-de-la-quadrature-du-net-a-fleur-pellerin-ministre-de-la

    « La Quadrature du Net défend avec ténacité les droits culturels de chacun (auteurs comme #public), promeut la diversité culturelle et l’adaptation du droit à l’âge numérique, tous objectifs que vous déclarez être au cœur de vos préoccupations. Nous sommes cependant extrêmement inquiets de lire dans votre discours un ensemble d’annonces qui tournent le dos à la réalisation de ces objectifs. »

  • #Droit d’#auteur : une loi idiote en faveur des labels au détriment de l’artiste.

    L’Assemblée Nationale a publié vendredi l’intégralité du projet de loi déposé par Fleur Pellerin qui allonge à 70 ans la durée de protection des droits exclusifs des producteurs et des artistes-interprètes, pour les œuvres musicales. [...] Mais le texte qui transpose une directive européenne de 2011 crée également une clause « d’exploitation à peine de perte de droits », dont les modalités prêtent à sourire.

    La disposition vise à donner aux artistes qui avaient signé un contrat d’enregistrement avec une maison de disques la possibilité de récupérer leurs droits si le label ne fait pas son travail d’exploitation commerciale. L’idée étant que si un disque n’est pas diffusé, l’artiste-interprète qui touche des droits à chaque exploitation se retrouvé lésé. [...] Dit autrement, un artiste qui enregistre un disque à 30 ans pourra récupérer ses droits lorsqu’il aura plus de 81 ans. Et encore, seulement si tous les artistes-interprètes impliqués sur le disque sont d’accord

    http://www.numerama.com/magazine/31056-droit-d-auteur-pres-de-sa-mort-l-artiste-pourra-enfin-resilier-avec-

  • Les vœux des ayants droit déjà aux pieds de Fleur Pellerin
    http://www.nextinpact.com/news/89493-les-vœux-ayants-droit-deja-aux-pieds-fleur-pellerin.htm

    Après la Hadopi, la plupart des sociétés de gestion collective ont déjà félicité la nomination de #Fleur_Pellerin au ministère de la #Culture. Ils se sont dans le même temps empressés de faire connaître leurs vœux à la nouvelle locataire de la Rue de Valois.
    http://www.nextinpact.com/news/89468-fleur-pellerin-quand-jeune-pousse-numerique-eclot-a-culture.htm

    Fleur Pellerin, l’anti-Aurélie Filippetti
    http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/08/27/fleur-pellerin-l-anti-filippetti_4477312_3246.html

  • Lire, écrire, compter… et programmer !, Analyses
    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/debat/0203441924014-lire-ecrire-compter-et-programmer-667527.php

    Un message repris presque mot pour mot - mais avec moins d’écho - par l’ex-ministre déléguée à l’Economie numérique Fleur Pellerin qui, l’an dernier, prévoyait pour nos enfants l’alternative suivante : « Soit ils programmeront, soit ils seront programmés. »

    #Éducation_Numérique

  • Une liste, et après ? - JHLP
    http://jehaisleprintemps.net/blog/fr/2014/01/19/une-liste-et-apres

    Dans cet article, il relate sa mission auprès de la ministre Fleur Pellerin, destinée à établir une cartographie des talents du numérique. Ce que je trouve de très positif, c’est qu’il adresse un éloge aux développeurs. Les laissés pour compte de l’industrie, la chair à canon des SSII , la plèbe dont l’ensemble des acteurs du numérique dépend, et qui est souvent exploitée jusqu’à la dernière synapse, jusqu’au dernier neurone.

    Je pèse mes mots, c’est réellement un point sur lequel peu de critiques ont appuyé, et il faut remercier Tariq Krim d’avoir rendu à César ce qui appartient aux développeurs. [...]

    Mais au lieu de se contenter de redorer le blason des développeurs, Tariq Krim pousse le bouchon... Il a décidé de dresser une liste. la liste de Tariq est devenue depuis un horrible sujet de conversation.

    #réaction #débat #tariq_krim

  • Quand #Fleur_Pellerin finance le [plus grand] FabLab [fantôme] de Paris
    http://reflets.info/quand-fleur-pellerin-finance-le-plus-grand-fablab-fantome-de-paris

    Arnaud Montebourg et Fleur Pellerin ont lancé un #appel_à_projet_fablabs, fin juin 2013 intitulé « Aide au développement des ateliers de fabrication numérique « : une très bonne idée qui a visiblement donné des ailes à de nombreux « hackers-makers en herbe », puisque 154 dossier ont été renvoyés. Cet appel à projets a débuté le 25 […]

    #A_la_Une #Economie #France #Technos #benjamin_Carlu #elecrolab #FabLabs #usine_paris #usine.io

    • de gentils hackers un peu fâchés me font savoir que le logo d’Usine IO est tout simplement pillé sur le site d’une grande enseigne américaine de fast-food de luxe, Liberty Burger si si : http://givemelibertyburger.com/ethos. Comme d’ailleurs la majorité des illustrations qui proviennent de matériels de constructeurs, puisqu’Usine IO n’a aucune machine, puisque pas de locaux, pas de FabLab, mais un super site web, quand même. Et puis Agathe Fourquet est une ancienne maker/hacker émérite de chez Cap Digital, très orientée comm’… ça aide. Mais rien de tout ça ne doit nous faire imaginer que cet appel à projet est bidonné ou aiderait des petits copains. Non, non, non. Tout ça c’est bien fini, parce que le « CHANGEMENT C’EST MAINTENANT », comme dirait l’autre.

    • Je viens de jeter un oeil sur leur site, c’est en effet clinquant. Mais une question : puisqu’ils offrent des espaces pour travailler, où les mettent-ils leurs client·e·s s’ils n’ont pas de locaux ?

  • La #French_Tech, énième coup d’épée dans l’eau ou future réussite ?
    http://www.pcinpact.com/news/85665-la-french-tech-enieme-coup-depee-dans-eau-ou-future-reussite.htm

    Lancée en grande pompe cette semaine par la #ministre Fleur Pellerin, la French Tech a suscité une large couverture médiatique et une effervescence assez rare pour être soulignée. Cette initiative, qui vise à mieux mettre en avant les startups et à « créer un effet boule de neige, » va-t-elle pour autant réussir et non pas être un nouveau coup d’épée dans l’eau, comme nous en avons connu dans le pas […]

  • Tout va bien : La droite est au pouvoir (99). Via @mona
    http://vanessa-schlouma.blogspot.fr/2014/01/la-droite-est-au-pouvoir-99.html

    Le 30 janvier 2014 le site pro.01net.com met en ligne les propos de #Fleur_Pellerin, une ministre « #socialiste » chargée d’apprendre à voler aux oiseaux :

    Fleur Pellerin, un solide porte-étendard pour les #startups françaises
    http://pro.01net.com/editorial/613026/fleur-pellerin-un-solide-porte-etendard-pour-les-start-ups-francaises (attention la bande son se déclenche toute seule si l’on clique)

    « Les travaux issus des Assises de l’#Entrepreneuriat ont été une belle avancée, à l’avant garde du pacte de responsabilité »

    « nous sommes une nation pro business, pro entrepreneur… Il faut valoriser la culture du risque, changer notre logiciel de pensée pour admettre que ce que l’on apprend lors d’un échec nous renforce et va nous aider à rebondir… Vive la startup république. »

    « Les start ups vont nous aider à ne pas rester de simples observateurs mais à devenir des acteurs du marché et de l’#économie. Il faut que nous mettions davantage en avant les succès de nos entrepreneurs. Il faut qu’à l’étranger, nos partenaires et nos concurrents comprennent que la France est un pays où il fait bon de créer des entreprises, de faire du business, d’investir, etc »
     
    « Les métiers de demain viendront des start up d’aujourd’hui voire même des entreprises qui n’existent pas encore »

    « Il s’agit de reconnaître les dynamiques collectives et les masses critiques qui existent déjà dans les collectivités territoriales. Que celles-ci fédèrent leurs écosystèmes pour favoriser l’apprentissage à la programmation par exemple ; pour créer des liens locaux entre les entreprises, les universités et les laboratoires de recherche »

    « Il faut s’approprier cette marque [French Tech] et la projeter à l’étranger »

    L’initiative French Tech, c’est aussi une plateforme web (développée par #Inria et #netvibes) offrant aux entrepreneurs la possibilité d’échanger ou de fédérer leurs energies. La mission du site http://www.lafrenchtech.com est aussi de donner de la visibilité aux projets.
    cf. http://seenthis.net/messages/218502

    « Mon projet politique est d’instaurer un esprit French Tech qui bouscule des situations établies, inventent des nouvelles formes et expérimentent des nouvelles choses. Et mon voeu pour 2014 est qu’il naisse en France, grâce aux outils proposés par l’initiative French Tech, une vraie fédération de l’écosystème du numérique ; mobilisant tous les acteurs privés, publics, les collectivités avec comme objectif de soutenir la croissance et le rayonnement des startups »

    Je suis le premier à être attentif aux mouvements de ce #marché, en fait je passe une partie de mon #temps à parler de #marques.

  • Fabriquer des clusters a-t-il du sens ? | InaGlobal
    http://www.inaglobal.fr/numerique/article/fabriquer-des-clusters-t-il-du-sens

    Au mois d’avril 2013, Fleur Pellerin, ministre en charge de l’économie numérique, lance un chantier. Il s’agit de réfléchir à l’implantation de quartiers numériques à Paris, en proche banlieue et sur les territoires. Précisément, il s’agit de « fédérer l’ensemble des acteurs du secteur pour stimuler, mais également mettre en valeur au niveau international, le dynamisme de l’#économie numérique française et les talents d’envergure mondiale qui en font partie. L’enjeu du projet quartiers numériques est […] d’accroître la visibilité internationale du secteur #numérique français à travers le regroupement des acteurs et des structures aujourd’hui dispersés […]. » Une fois de plus, hélas, l’on redécouvre les vertus du cluster. Mais est-ce si simple de fabriquer un #cluster et, au fond, cela a-t-il du sens ?

    #Quartiers-numériques #aménagement-du-territoire

  • Crédit d’impôt innovation : 4 questions pour tout comprendre (et éviter les pièges) | FrenchWeb.fr
    http://frenchweb.fr/credit-dimpot-innovation-4-questions-pour-tout-comprendre-et-eviter-les-pieges/135985

    Le Crédit d’impôt innovation : kezako ?

    L’instruction commentant le crédit d’impôt innovation (CII, ndlr) a été officiellement annoncé en novembre 2013 par Pierre Moscovici, ministre de l’Economie et des Finances, Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, Bernard Cazeneuve, ministre délégué chargé du Budget et Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Innovation et de l’Economie numérique. Par cette mesure, le gouvernement souhaite favoriser la compétitivité des entreprises de tailles micro, petites ou moyennes – selon la définition prévue par le droit communautaire – en diminuant le coût des dépenses liées à l’innovation.

    Plus précisément, l’article 71 de la loi n° 2012-1509 du 29 décembre 2012 de finances pour 2013 institut le crédit d’impôt innovation comme une extension du crédit d’impôt recherche (CIR, ndlr), lequel a provoqué beaucoup de redressements fiscaux (explications en fin d’article, ndlr). Le dispositif sera financé, dans un premier temps, à hauteur de 160 millions d’euros par an dès 2014 avant d’atteindre les 300 millions d’euros annuels en rythme normal....

    #Crédit-d'impôt
    #innovation
    #Crédit-d'impôt-recherche
    #fiscalité
    #Innovation

  • Des partenariats Public-Privé aux partenariats Public-Communs (A propos du Google Cultural Institute)
    http://scinfolex.com/2013/12/13/des-partenariats-public-prive-aux-partenariats-public-communs-a-propos-du

    L’ouverture du Google Cultural Institute aura marqué les esprits cette semaine, notamment à cause de la décision de la Ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, de boycotter la cérémonie et de la réaction du gouvernement qui a envoyé Fleur Pellerin à la place dans une certaine confusion. Mais ces péripéties gouvernementales ont fait oublier ce qui était sans doute le plus important : à savoir que Google a mis en place avec le Google Cultural Institute un site appelé à jouer un rôle non négligeable dans l’environnement numérique, rassemblant plus de 6 millions d’oeuvres en provenance de plus de 400 établissements culturels dans le monde. Source : : : S.I.Lex (...)

  • Entreprise et progrès prône une refonte du Code du travail | Question(s) sociale(s)
    http://social.blog.lemonde.fr/2013/11/05/entreprise-progres-prone-une-refonte-du-code-du-travail/#mf_sid=861176738

    Entreprise et progrès prône une refonte du Code du travail
    Coup de pied dans la fourmilière ? Entreprise et progrès, association patronale qui regroupe 120 dirigeants d’entreprises, propose de transformer le Code du travail en « Code de la personne au travail ». Consulté par le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, et Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique, Denis Terrien, président d’Entreprise et progrès depuis 2011, et directeur général du groupe 3SI, préconise rien de moins qu’"un reengineering total à engager dès aujourd’hui pour mener avec succès les mutations vitales tant sur le plan social qu’économique".

    Pour Denis Terrien, « un fossé se creuse » entre « le rêve d’aventure des jeunes générations » et des entreprises « souvent asphyxiées et peu attractives lorsqu’elles sont davantage occupées à répondre aux obligations règlementaires d’un Code du travail devenu illisible et impraticable plutôt que de libérer les énergies pour se focaliser sur la création de valeur, la conquête des marchés et le progrès social ». Un formalisme qui lui paraît incompatible avec les aspirations d’une nouvelle génération bercée par Internet et les nouveaux médias sociaux. Cette situation, affirme-t-il, « bride le développement et l’attractivité des entreprises et donc l’emploi ».

    Une « mutation profonde »

    Le président d’Entreprise et progrès juge que l’on vit une « mutation profonde » et qu’il n’y aura pas de « retour à la normale ». Pour « donner de l’air à l’entrepreneuriat », il s’agit à ses yeux d’"inventer des solutions nouvelles autour de l’entreprise". Dans cette optique, Denis Terrien préconise d’abord de « repenser les critères de la mesure du travail »....

    #Code-du-travail
    #Entreprise
    #droits

  • 2ème JOURNEE DE L’INNOVATION Israël-France - La France en Israël - Ambassade de France à Tel Aviv
    http://www.ambafrance-il.org/2eme-JOURNEE-DE-L-INNOVATION

    Après le succès de sa 1ère édition, organisée à Paris en 2011, la 2ème JOURNEE DE L’INNOVATION Israël-France se tiendra le 19 novembre 2013 à Tel Aviv. L’événement qui avait réuni 400 participants et permis 600 rendez-vous d’affaire en France, est organisé cette année par Fleur Pellerin, Ministre française déléguée chargée de l’Innovation et de Naftali Bennett, Ministre israélien de l’Economie. Inscrit au cœur de la visite d’État du président de la République française, l’événement se tiendra en présence des Présidents François Hollande et Shimon Pérès.