Les habitantes du quartier #Pajol crient au mensonge
Les habitantes du quartier #Pajol crient au mensonge
Depuis vendredi, plus d’une 100aine de réfugiés campe devant la Halle #Pajol >> ►http://bit.ly/HallePajol pic.twitter.com/SzCLdCeHdS
▻https://twitter.com/streetpress/status/744929180257759232
Depuis vendredi, plus d’une 100aine de réfugiés campe devant la Halle #Pajol >> ►http://bit.ly/HallePajol pic.twitter.com/SzCLdCeHdS
Paris : ils occupent l’école #Pajol pour faire libérer un papa #sans_papier - Le Parisien
▻http://m.leparisien.fr/paris-75/paris-75018/paris-ils-occupent-l-ecole-pajol-pour-faire-liberer-un-papa-sans-papier
Les réfugiés de #Pajol « évacués » sans violence mais toujours sans préavis
Après avoir été réveillés par surprise ce mercredi, 250 exilés ayant trouvé refuge devant la Halle Pajol à Paris ont été relogés dans des centres d’hébergement. Mounir vient du Mali. Il raconte ses trois premières semaines passées en France dans ce #campement sans point d’eau ni toilettes.
►http://www.mediapart.fr/journal/france/290715/les-refugies-de-pajol-evacues-sans-violence-mais-toujours-sans-preavis?ong
#France #Paris #migration #asile #réfugiés
La balade des réfugié-es ou Evacuation 10
▻http://paris-luttes.info/la-balade-des-refugie-es-ou-3643
Rassemblement ce soir mercredi 29 juillet à 18h au métro la Chapelle (ligne 2) — migrantEs de la Chapelle
#Now #Occupation du local de Ni Putes Ni Soumises au 70 rue des Rigoles par les #migrants de la Chapelle.
Besoin de soutien, risque de flics.
Leur revendication : disposer d’un #lieu_collectif à Paris même pour l’accueil, l’hébergement et l’information des migrants. #occupation
Le mouvement a été rejoint par des Afghans qui campaient porte de la Chapelle sur le bord du périph’.
Parmi eux, des migrants de Pajol laissés sur le carreau par les évacuateurs hier matin ou qui ont refusé leur évacuation.
►https://twitter.com/OlivierCyran
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Les réfugiés de Pajol « évacués » sans violence mais toujours sans préavis, Carine Fouteau
►http://www.mediapart.fr/journal/france/290715/les-refugies-de-pajol-evacues-sans-violence-mais-toujours-sans-preavis?ong
Après avoir été réveillés par surprise ce mercredi, 250 exilés ayant trouvé refuge devant la Halle Pajol à Paris ont été relogés dans des centres d’hébergement. Mounir vient du Mali. Il raconte ses trois premières semaines passées en France dans ce campement sans point d’eau ni toilettes.
Les Parisiens sont endormis. Les réfugiés installés sur des matelas devant la Halle Pajol aussi. Une petite centaine d’hommes et de femmes, fonctionnaires pour la plupart, se sont donné rendez-vous à l’aube dans un bistrot, à quelques centaines de mètres de là, plus au nord, place Hébert, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Ils échangent les dernières instructions, qui va faire quoi, à quel moment. Ils sont prêts. Groupés, costumes et chaussures de ville, ils descendent la rue Pajol jusqu’à la Halle.
Dans un silence plombant, ils prennent possession des lieux. Il est 7h30, l’opération d’« évacuation » a commencé, la septième au moins à Paris depuis le 2 juin, quand les tentes de La Chapelle ont été détruites. Celle-ci s’accompagne de propositions de relogement, comme d’autres précédemment. La présence de ces agents – de la ville de Paris, de la région, de la préfecture de police, de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (#Ofpra) et des deux associations partenaires, #Emmaüs Solidarité et #France_terre_d’asile – sort brutalement les migrants de leur sommeil.
Les couvertures se soulèvent, des visages stupéfaits apparaissent. Sans cri, sans bruit, les migrants se redressent, s’assoient sur les matelas, se vêtent, avec lenteur, sous les yeux de ces gens qui les réveillent par surprise. Un photographe de la préfecture s’approche. Sans en demander l’autorisation, il déclenche son appareil. Un réfugié, en train de lacer ses chaussures, réagit, indigné. Quelques journalistes ont été prévenus la veille au soir que « quelque chose se préparait le lendemain matin très tôt », avec interdiction d’ébruiter l’information. Aucune indication sur le lieu. Dans la nuit, un SMS tombe : rendez-vous est donné à 7 heures, dans le XVIIIe, mais le secret est gardé jusqu’à la dernière minute. Austerlitz, porte de Saint-Ouen, Pajol ? Ce matin, ce sera Pajol : la mairie de Paris prend prétexte d’un courrier adressé par « des commerçants et des riverains » – et de la dégradation des conditions de vie sur le campement – pour intervenir.
Pourquoi cette absence de préavis ? Pourquoi réveiller les personnes en plein sommeil ? « Notre présence matinale s’explique par le fait que nous souhaitons toucher le maximum d’occupants. Si nous étions venus plus tard, certains auraient raté les bus et seraient revenus le jour même ou les jours qui suivent, indique un responsable du cabinet d’Anne Hidalgo présent dans le cortège. Quant à l’effet de surprise, nous l’assumons : si on prévenait à l’avance, des groupuscules radicaux viendraient perturber l’opération. » Dans les discours de la maire socialiste de la capitale, les Parisiens venus apporter leur aide aux réfugiés sont félicités parce qu’ils font preuve de « solidarité ». Mais, sur place, ils sont considérés par les représentants de la ville et de l’État comme des gêneurs. La faute aux activistes, donc, « qui instrumentalisent les migrants ».
La suite se déroule dans le calme. Le directeur général de l’Ofpra, Pascal Brice, prend l’initiative. Les 250 exilés, des Soudanais pour la plupart, sont invités « amicalement » à se placer en cercle autour de lui. Tout le monde est là. Il se lève, théâtral, salue ses interlocuteurs et les remercie d’être présents. Son discours est rodé. Il répète à peu de choses près ce qu’il a eu l’occasion de dire lors des deux évacuations précédentes : « Nous croyons que votre dignité est telle que vous ne pouvez pas vivre dans ces conditions. Nous savons tous que vous avez vécu des moments très difficiles avant d’arriver en France. […]. Nous sommes là pour vous faire une proposition, ici, aujourd’hui, maintenant. » Cette proposition, à prendre ou à laisser, consiste en une place dans l’un des centres d’hébergement d’urgence de Paris ou de la région parisienne, avec la promesse d’un accompagnement individualisé.
Les demandeurs d’asile pourront rester jusqu’au terme de leurs démarches, affirme-t-il. Pour les autres, c’est moins clair. À quelques-uns, il parle d’« un mois minimum ». Nouveauté par rapport aux opérations passées, un document d’information (en français, anglais ou arabe) est distribué en guise de garantie. Les réfugiés apprécient le geste. La température a baissé ces derniers jours : beaucoup grelottent. À 9 heures, la plupart d’entre eux montent dans la dizaine de bus mis à disposition. Les quelques mineurs isolés et les familles sont envoyés dans des structures adaptées, certaines femmes devant faire l’objet d’un suivi particulier en raison des violences dont elles auraient été victimes depuis leur arrivée en France, selon les travailleurs sociaux venus les rencontrer.
« C’était trop sale, il y avait des moustiques, ou alors c’était la gale »
Mounir n’est pas Soudanais, mais Malien. Il ne sait ni lire ni écrire, mais il a pris le papier distribué par l’Ofpra « au cas où ». Né il y a quarante-trois ans dans une zone désertique, au nord de Kidal, il parle bien le français. Touareg, sans religion, il a fui son pays. Tout à la fin de l’entretien, ses yeux se ferment : il a laissé derrière lui sa famille. Sa femme et l’un de ses fils ont été tués « par une tribu rivale ». « Chez nous, tu es mort ou tu cherches une solution. Le danger est partout », lance-t-il.
Il confirme que personne n’avait été prévenu de la visite de « tous ces officiels ». Il ne s’en offusque pas, rien ne l’étonne plus. Il ne se plaint même pas des fortes pluies qui ont lessivé Paris ces derniers jours. Il montre juste la bâche qui lui a fait office d’abri. « Je n’ai pas été trop mouillé, ça va, merci », dit-il. Prêt à s’en aller, il a enfilé un maigre sac à dos sur ses épaules et cherche un sac plastique pour y glisser un drap. Il a quitté son village natal, où il possédait des vaches et des chameaux, il y a plus d’un an. Après avoir travaillé en Libye, il en est parti parce qu’il s’y sentait menacé. « Nous, les Touareg, ils nous pourchassent pour nous obliger à faire la guerre », affirme-t-il. La Méditerranée, il la traverse avec 300 personnes sur un bateau prévu pour en transporter 80.
À Paris, Mounir a d’abord trouvé refuge dans un parc à proximité de la station de métro La Chapelle. Il en est vite parti. « C’était trop sale, il y avait des moustiques, ou alors c’était la gale. Les gens se grattaient tout le temps », raconte-t-il. À Pajol, il y a passé trois semaines. Sans toilettes ni point d’eau. La mairie de Paris a attendu la veille de l’évacuation pour faire installer des sanitaires. Elle a aussi fermé à plusieurs reprises le jardin proche de la Halle, seul endroit équipé d’un point d’eau, de peur que le campement ne s’y étende. Ce matin, les réfugiés se brossaient encore les dents, accroupis, avec l’eau du caniveau, sans qu’aucun tuyau ou système de dérivation n’ait été prévu, alors même que les collectivités territoriales sont tenues par le code qui les régente de mettre en place les équipements sanitaires de base, y compris lors d’occupations sans autorisation.
« Notre priorité a été de trouver des places dans des centres d’hébergement, avec des lits et des douches, plutôt que d’ajouter du confort, si on peut dire, dans ce type de campement. Nous devons trouver l’équilibre entre un minimum de salubrité et ne pas encourager une installation durable », indique-t-on dans l’entourage de la maire. L’un des membres du comité de soutien des migrants de La Chapelle, Nicolas Jaoul, regrette ce type de raisonnement. « Laisser les réfugiés uriner dans des bouteilles d’eau constitue une violation de la dignité humaine, dit-il. Les responsables de cette situation ont peur de l’appel d’air. Ils pensent qu’en mettant le campement aux normes, ils créent les conditions de nouvelles arrivées. Mais les nouvelles arrivées n’ont rien à voir avec un lavabo ou des toilettes sèches. Les gens partent de chez eux parce qu’ils fuient la guerre ou la misère. »
Au fur et à mesure des expulsions-évacuations, l’administration a changé sa gestion. Finis les cars de CRS pour emmener les migrants. Seuls quelques motards ont patienté à l’écart, debout à côté de leurs véhicules. La rue n’a été bloquée que brièvement. Aucune violence n’a été constatée, à la différence de ce qui s’était passé le 8 juin, lorsque des élus avaient été malmenés et des réfugiés interpellés. En s’adressant aux exilés, Pascal Brice s’est engagé à ce qu’ils ne soient pas éparpillés dans des hôtels à l’autre bout de la région pour quelques nuits sans repas, contrairement à ce qui s’était produit lors des premières évacuations. Du côté des autorités, les uns et les autres sont prêts à admettre des « erreurs », tout du moins des « incompréhensions ». La prochaine étape pourrait être de prévenir à l’avance les personnes qu’elles vont recevoir de la visite, suggère une habitante du quartier.
Sur 1 000 personnes arrivées à Paris ces dernières semaines, 800 sont hébergées, les autres étant sorties du dispositif. En fin de matinée, le service propreté de la ville déblayait les lieux vidés. Quelques réfugiés, partis tôt pour apporter à l’Ofpra leur dossier de demandeurs d’asile, revenaient, dépités de voir que leurs compagnons d’infortune avaient disparu. Une poignée d’autres, plus jeunes, erraient dans les rues. Quelques heures plus tôt, ils avaient refusé de monter dans les bus avec une explication, limpide : « We’re going to Calais. »
ce lieu, local de Ni Putes Ni Soumises, ferme ses portes ce soir pour le mois d’août. Négociation en cours avec sa directrice.
Un pays de camps : des migrants posent la tente à Tours
▻http://larotative.info/un-pays-de-camps-des-migrants-1077.html
A Tours, le 19 juin 2015, des demandeurs d’asile ont décidé de sortir de l’invisibilité dans laquelle l’État cherche à les maintenir. 33 d’entre eux ont dressé un campement au Sanitas.
Las d’être traités comme des chiens, comme dans de nombreuses villes en France, à Tours, nous, demandeurs d’asile nous regroupons et appelons à l’aide.
Nous protestons contre le traitement inique que l’État nous impose : en tant que demandeurs d’asile, l’État se doit de nous offrir l’hébergement alors que nous sommes ballotés depuis notre arrivée sans l’aide légale nécessaire.
Dès ce soir, nous montons un camp de fortune, où seront logées 33 personnes, hommes, femmes et enfants, derrière le local de l’association Chrétiens migrants.
Nous ne nous cacherons plus ! Nous sommes des êtres humains !
Pour que la France ne se transforme pas en une terre de camps et tienne ses promesses de terre d’asile : aidez-nous !
Tout comme à Calais, Paris, Rennes, Angers, #Vintimille, Menton….
Solidarité.
Bribes d’un échange en portugais entre Maria (28 ans), Priscilla (10 ans) et Denzel (8 ans), lundi 22 juin vers 9h :
Maria : comment s’est passée la nuit ?
Denzel : ben on a dormi !
Priscilla : mais Denzel il s’est réveillé très tôt il pensait voir la police.
Maria : tu avais peur ?
Denzel : non j’avais pas peur j’étais un peu inquiet.
Priscilla : tu sais aujourd’hui on va moins jouer.
Maria : ah oui pourquoi ?
Denzel : parce que c’est lundi et y a des enfants qui sont à l’école.
Priscilla : mais pas nous...
Ce qu’il faut dire sur l’occupation (temporaire) de la caserne Château-Landon
Hier, jeudi 11 juin 2015, les migrants expulsés de La Chapelle et de Pajol occupaient la caserne Chateau-Landon. Récit.
Appel à manifester du collectif d’habitants du 18ème arrondissement de Paris en soutien aux réfugiés.
Appel du collectif d’habitants du quartier Marx Dormoy en solidarité avec les migrants victimes de la répression policière et de la précarité dans laquelle l’état les laisse.
#Duflot à Hollande : « Notre politique d’#immigration est un Waterloo moral »
►http://www.lemonde.fr/idees/article/2015/06/10/doublon-matinale-cecile-duflot-au-nom-d-une-certaine-idee-de-la-france-prote
#pajol
#lachapelle
Deux jours plus tôt :
De son côté, Jean-Vincent Placé, conseiller régional (EELV) s’est dit soucieux que « les écologistes restent respectueux de l’action du gouvernement », pendant la campagne.
#pourquoi Seenthis fait automatiquement un hashtag Placé, Hollande, et pas un hashtag Duflot ???
dur
#La_Chapelle, #Saint-Bernard, #Pajol : des migrants subissent leur troisième #expulsion
L’expulsion à répétition de migrants “de La Chapelle”, à #Paris, prend une tournure politique : des élus du Parti de gauche, du PCF et d’EELV s’indignent de la #violence dont les forces de l’ordre ont usé, lundi après-midi, pour embarquer des personnes réfugiées devant la halle Pajol, dans le XVIIIe arrondissement. Une trentaine d’Érythréens et de Soudanais ont été placés en centre de rétention à Vincennes et au Mesnil-Amelot, en vue d’une reconduite à la frontière.
▻http://www.mediapart.fr/journal/france/090615/la-chapelle-saint-bernard-pajol-des-migrants-subissent-leur-troisieme-expu
#police #violence_policière
par @carine
Le centre d’#hébergement temporaire d’#Hidalgo dans le #CRA de Vincennes ? via @paris (luttes info)
▻https://paris-luttes.info/nouvelle-expulsion-a-la-chapelle-3375
Paris : De nouvelles expulsions de migrants, à la Halle Pajol cette fois-ci
▻http://www.20minutes.fr/paris/1626319-20150608-paris-nouvelles-expulsions-migrants-halle-pajol-fois-ci
160 (?) réfugié-e-s emmenés au commico rue de l’évangile, à Marx Dormoy, + de 80 sont encore enfermés, 20 vont être transférés au #CRA de Vincennes. La #solidarité avec les réfugiés s’exprime devant le #commissariat rue de l’évangile aux cris de « Libérez nos camarades ! »
le récit de la journée, avec suivi en cours par @paris (luttes info)
►https://paris-luttes.info/expulsion-pajol-au-moins-20
#migrants #gendarmes
CRS à Pajol en pleine « application du droit avec humanité », comme diraient les socialistes.
▻https://twitter.com/OlivierCyran/status/607956217626042368
Une fois les forces de l’ordre parties, le nettoyage de la place a débuté. Les matelas et les couvertures ont été enlevés. « Si vous voulez vous pouvez mettre quelques affaires chez moi », a suggéré une passante aux militants. Les riverains ne se font pas d’illusion : ils savent que les migrants reviendront.
Le Monde.
VIDEO. Migrants à Paris : un nouveau camp évacué près de la halle Pajol dans le XVIIIe arrondissement
IMMIGRATION - Situation tendue lundi 8 juin aux abords de la Halle Pajol, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Des CRS ont procédé à l’évacuation de dizaines de migrants qui avaient établi un nouveau camp de fortune dans le quartier, après avoir été délogés d’un premier site, boulevard de La Chapelle, il y a quelques jours.
▻http://www.huffingtonpost.fr/2015/06/08/migrants-camp-paris-evacuation-halle-pajol_n_7535258.html
Réfugiés érythréens dans bus police assistent aux arrestations en cours #pajol
Dernières interpellations #migrants #pajol en cours.
CRS à Pajol en pleine « application du droit avec humanité », comme diraient les socialistes.
La honte la honte la honte #pajol
Intervention d’une violence inouï à #Pajol. Des hommes assoiffés en fuites, poursuivie par des CRS. Nombreux malaises
Expulsés de #pajol une 40aine de réfugiés érythréens et soudanais installés place de La Chapelle pour la nuit.
Les images de l’opération policière contre des migrants à Paris, #vidéo, Politis
▻http://www.politis.fr/Les-images-de-l-operation,31453.html
▻https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=uHlJkGPw024
Un petit complément d’info sur l’autre vidéo, celle affichant l’efficacité de l’intervention policière, réalisée par BFM et relayée par Le Hufftington
►https://paris-luttes.info/expulsion-pajol-au-moins-20
une #journaliste de BFM a envoyé une gifle à un #manifestant qui l’accusait de dire des conneries... Non seulement ils racontent n’importe quoi mais en plus ils jouent les gros bras...
Cazeneuve soupçonne des militants de manipuler les migrants évacués - Libération
▻http://www.liberation.fr/societe/2015/06/08/des-elus-denoncent-la-violente-evacuation-des-migrants-de-la-halle-pajol_
Au ministère de l’Intérieur, on se borne à rappeler que l’évacuation des 380 personnes du campement de La Chapelle le 2 juin a permis « de mettre à l’abri de très nombreux migrants ». Et on martèle qu’il n’est pas question de tolérer une « #occupation illicite de l’église Saint-Bernard ou de l’#espace_public ». Le cabinet de Bernard Cazeneuve affirme que la mairie de Paris a elle-même sollicité l’intervention des forces de l’ordre à la Halle Pajol. Le ministère suspecte même une « #manipulation » des personnes évacuées par des #militants. « Certains s’amusent avec les migrants pour faire valoir des revendications politiques en convoquant les caméras ». Selon une source policière, 84 personnes auraient été évacuées.
Arrestations de migrants : 45 réfugiés menacés d’#expulsion
Après la violente #arrestation collective de lundi, 38 personnes sont en rétention. La ville de Paris dit faire face à « un flux migratoire sans précédent ».
RFI, à 7h15 tous les matins de semaine, écoutable sur internet :
►http://www.rfi.fr/emission/20150610-10-juin-2015-fermete-humanitela-gauche-migrants
Bernard Cazeneuve a annoncé en conseil des ministres la création de 9 500 places d’#hébergement supplémentaires. Le ministre de l’intérieur, qui évoque une nouvelle « stratégie globale » dans un entretien au « Monde », souhaite également multiplier par deux le nombre de #retours volontaires des #migrants économiques, et optimiser le remplissage des centres de rétention administrative.
#CRA