company:gm

  • Everyone’s Doing It, But That Doesn’t Make It Easy: What To Consider When Building A Good Voice Or…
    https://hackernoon.com/everyones-doing-it-but-that-doesn-t-make-it-easy-what-to-consider-when-b

    Everyone’s Doing It, But That Doesn’t Make It Easy: What To Consider When Building A Good Voice Or Gesture ProductThis article is written by Marcin Kloda, the Vice President Of High-Technology and GM Americas at intive. intive is a software company focused on digital product development with more than 18 years of experience and 150+ apps.We’ve always been fascinated by communicating with machines — yes, even before Siri and Alexa. In fact, conversational systems go back way further than most people might think. Consider Audrey, for example. Born in 1952, Audrey was a 6-foot tall computing system developed by Bell Labs, which could recognize the sound of digits from zero to nine — at least, with voices it was familiar with.Almost 70 years later, we’ve come a long way. No longer a novelty, more and (...)

    #artificial-intelligence #ai #product-development #product-design

  • Here are the answers to your most-frequently-asked GMO questions
    https://massivesci.com/articles/gmo-q-and-a

    ​​Devang Mehta received a deluge of reader questions to his essay in March about why he is pivoting away from GMO research after years devoted to the topic. Here is a sampling of questions multiple readers asked. Questions have been edited for brevity. Tampering with very complex systems can have unintended consequences. Why are you convinced of the safety of the genetic modifications you make? I am convinced about the safety of the GMOs that are on the market and that are created in my lab for two reasons. First, we understand the biology of the genes we introduce into plants very well. These genes have been studied for decades, and it is difficult to think of ways in which they might conceivably harm us. Secondly, GMOs reach the market only after extensive safety testing by multiple (...)

  • Tous dans la rue le 19 juin à l’appel du « Front social »
    https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-b/blog/120517/tous-dans-la-rue-le-19-juin-lappel-du-front-social
    https://fb-s-a-a.akamaihd.net/h-ak-fbx/v/t1.0-0/s480x480/18342529_128945437655765_4655672278745118448_n.jpg?oh=23165f523ee

    La situation sociale bouge plus vite que Macron ! Avant juillet, ça va chauffer !

    La CGT a lancé un appel national à un rassemblement, mardi 16 mai à 15 heures, devant l’usine GM&S Industry de La Souterraine, deuxième employeur privé de la Creuse. Le syndicat veut ainsi soutenir les salariés de l’équipementier automobile placé en redressement judiciaire depuis décembre dernier. Certains des 279 salariés ont par ailleurs affirmé avoir « piégé » à l’aide de bonbonnes de gaz et de bidons d’essence.

    SI UN APPEL NATIONAL EST POSSIBLE DANS CE CAS, ALORS IL L’EST AUSSI CONTRE L’ORDONNANCE MACRON PRÉVUE POUR JUILLET.

    Caroline de Haas (celle de la pétition à plus d’un million contre la loi Travail) et François Ruffin (Merci Patron) lancent une pétition « Ordonnances non merci ». « Plus rapide qu’un débat à l’Assemblée, plus facile qu’une négociation avec les syndicats et plus pratique que le 49-3 : les ordonnances », dénoncent les initiateurs de l’appel, qui savent comme nous, l’importance de la première ordonnance.

    Le contenu de cette ordonnance de juillet ? L’extension de la priorité aux accords d’entreprise. La loi El Khomri (dite Travail) les réservait au temps de travail. Emploi, salaire et conditions de travail seront concernés. La fusion des institutions représentatives du personnel (CE, DP, CHSCT). Le plafonnement des dommages et intérêts en cas de licenciement abusif. Un coup mortel porté aux Prud’hommes, une garantie offerte aux employeurs de licencier vite.

    VOILÀ POURQUOI IL NOUS FAUT PASSER PAR LA RUE POUR NOUS OPPOSER À CE COUP DE FORCE, DANS L’ABSOLUE CONTINUITÉ DU 49.3 DE LA LOI TRAVAIL.

    Les médias soumis à Lagardère, Bolloré, Bergé-Pigasse-Niel, Drahi, s’opposent à cette réalité sociale pour fabriquer leur réalité, comme Trump, à coups de faits « alternatifs ». La toute-puissance médiatique tresse chaque seconde des couronnes à ce Kennedy français, tout neuf, tout beau, tout nouveau. La propagande médiatique fait campagne pour Macron à un point tel qu’elle ignore que l’élection au 2e tour l’a porté à l’Elysée par le refus de Le Pen. Sur son propre programme, au 1er tour, il ne représente qu’un quart des suffrages exprimés.

    Nous savons quelle colère sociale couve dans le pays. A nous de lui offrir une expression sociale, unitaire, déterminée. Telle est bien la vocation du Front social.

  • À bout, les GM&S de La Souterraine (Creuse) piègent leur usine et détruisent des machines
    La Souterraine (23300) - La Montagne-Publié le 11/05/2017
    http://www.lamontagne.fr/souterraine/social/creuse/2017/05/11/a-bout-les-gm-s-de-la-souterraine-creuse-piegent-leur-usine-et-detruisent

    Les salariés de GM&S haussent le ton. Depuis ce jeudi matin, ils mènent une action coup de poing sur le site de leur usine, basée à La Souterraine. Bien décidés à dénoncer l’échec des négociations de reprise de leur entreprise et de la hausse des commandes auprès de PSA et Renault, ils ont promis de découper une ou plusieurs machines par jour et ont piégé l’usine avec des bouteilles de gaz.

    Ce jeudi matin, les salariés de GM&S ont passé la vitesse supérieure en terme d’action coup de poing. Opérations escargot sur l’A20 et la RN145, blocages des sites et plate-formes logistiques des constructeurs PSA et Renault à Poissy, au Mans, à Villeroy, à Dompierre-sur-Besbre, manif sur les Champs Élysées, ils avaient multiplié les actions pour se faire entendre.

    Aujourd’hui, ils sont à bout et comme ils l’ont répété maintes fois, ils n’ont « plus rien à perdre ». A commencer par leur usine, leur travail et les machines et outils qui vont avec. Alors ce jeudi, comme un symbole, ils ont décidé de détruire deux machines qui servent à fabriquer les pièces commandées par PSA et Renault.(...)

    • « Il suffit de craquer une allumette, une fois qu’il y aura le feu, même les pompiers ne pourront pas l’arrêter. » Yann, secrétaire (CGT) du Comité d’Entreprise, fait partie des 279 salariés menacés de tout perdre. Cette nuit, à l’unanimité, ils ont décidé d’installer des bonbonnes de gaz et des bidons d’essence, ils se sont mis à détruire leurs outils, une presse et une machine-outil, ils sont prêts à faire exploser leur usine.

      C’est à La Souterraine dans la Creuse, l’usine GM&S Industry, deuxième employeur du département, sous-traitant de la filière automobile française, en redressement judiciaire depuis six mois. Leurs principaux clients, PSA et Renault, réduisent les commandes, pas de quoi continuer ni de permettre à un quelconque repreneur de redresser l’affaire. Désolés, les élus ne peuvent pas grand chose, les pouvoirs publics ne peuvent pas grand chose non plus. Six mois qu’ils se battent, six mois de promesses, de faux espoirs, de mobilisations, de manifs. Le 19 avril, ils ont bloqué l’usine PSA de Poissy [1]. Cette fois, ils craignent la liquidation pure et simple. ON VA TOUT FAIRE PÉTER. Pour ne pas manquer ça, les médias arrivent de partout. Comme au temps des CONTI, le Pujadas de service demandera sans doute au délégué syndical de dénoncer la violence. Depuis des années, cette suite ininterrompue de licenciements ont enfoncé une bonne partie du pays dans la galère sociale, là où le FN vient s’abreuver et prospérer.

      Mais cette fois, les salariés en appellent « au plus haut sommet de l’État ». Emmanuel Macron est passé dans le coin lors de sa campagne, mais n’a pas trouvé le temps de venir les voir. Prêts à faire sauter leur usine, les salariés réclament une rencontre avec PSA, Renault et le nouveau jeune et dynamique président de la République.

  • Greenland Inuit oppose open-pit uranium mine on Arctic mountain-top - The Ecologist
    http://www.theecologist.org/News/news_analysis/2988016/greenland_inuit_oppose_openpit_uranium_mine_on_arctic_mountaintop.html

    A collapse in the price of uranium has not yet stopped Australian mining company GME from trying to press ahead with a massive open-pit uranium mine on an Arctic mountain in southern Greenland, writes Bill Williams - just returned from the small coastal town of Narsaq where local people and Inuit campaigners are driving the growing resistance to the ruinous project.

    #uranium #nucléaire #arctique #inuits #groënland

  • Mediterranean death toll soars as 204,000 cross in first 5 months of 2016

    Thus far 2016 is proving to be particularly deadly. Some 2,510 lives have been lost so far compared to 1,855 in the same period in 2015 and 57 in the first five months of 2014. On a Mediterranean-wide basis, the odds of being among the dead are currently one in 81. This highlights the importance of rescue operations as part of the response to the movement of refugees and migrants in the Mediterranean, and the need for real, safer alternatives for people needing international protection.

    http://www.unhcr.org/574d564c4.html

    cc @reka

    #mourir_en_mer #asile #migrations #réfugiés #statistiques #chiffres #morts_en_mer #Méditerranée #2016

  • ’Naming and Shaming’ Undermines Progress Made on Ship Beaching, Largest Cash Buyer Says - gCaptain
    https://gcaptain.com/naming-and-shaming-undermines-progress-made-on-ship-beaching-largest-cash-

    The world’s largest cash buyer of ships for recycling is calling on the shipping industry to support the recycling businesses that are striving to improve their ship breaking facilities and practices in developing regions, and to not lambast those yards that are making progress.

    Dr Anil Sharma, President and CEO of GMS, the world’s largest cash buyer of ships, on Tuesday called on owners and brokers to support sustainable recycling practices and voiced support over the increased investment in certain Southeast Asian yards. Dr Sharma also criticized proponents of total bans on beaching and ‘naming and shaming’ that undermines the progress made on beaching.

    It is just as possible to have environmentally sound and safe beaching practices at some yards in India as it is to have dangerous and hazardous recycling elsewhere,” Dr. Sharma said.

    Sharma outlined the advances being made by certain yards in India, where the majority of the world’s ship scrapping is conducted, in making their facilities safer for workers and more sustainable. He also called on the industry to use those yards to support both the progress being made and for the workers who depend ship breaking for work. 
     
    In 2015, the first yards in #Alang, India were certified as compliant with the pending Hong Kong International Convention (HKC), which aims to ensure that ships that have reached the end of their operational lives do not pose any unnecessary risk to human health and safety or to the environment.

  • Executive Summary: Global Status of Commercialized Biotech/GM Crops: 2014 - ISAAA Brief 49-2014 | ISAAA.org
    http://www.isaaa.org/resources/publications/briefs/49/executivesummary/default.asp

    Remarkably, in 2014 global biotech crop hectarage continued to grow for the 19th consecutive year of commercialization; 18 million farmers in 28 countries planted more than 181 million hectares in 2014, up from 175 million in 27 countries in 2013. Notably, Bangladesh, a small poor country approved Bt brinjal/eggplant for the first time on 30 October 2013, and in record time ‒ less than 100 days after approval ‒ small farmers commercialized Bt brinjal on 22 January 2014. Innate™ potato, another food crop, was approved in the US in November 2014. It has lower levels of acrylamide, a potential carcinogen in humans, and suffers less wastage from bruising; potato is the fourth most important food staple in the world. A safer product and decreased wastage in a vegetatively propagated and perishable crop, can contribute to higher productivity and food security. Also in November 2014, a new biotech alfalfa (event KK179) with up to 22% less lignin, which leads to higher digestibility and productivity, was approved for planting in the US. The first biotech drought tolerant maize, planted in the US in 2013 on 50,000 hectares increased over 5 fold to 275,000 hectares in 2014 reflecting high acceptance by US farmers. Importantly, a new 2014 comprehensive global meta-analysis, on 147 published biotech crop studies over the last 20 years worldwide confirmed the significant and multiple benefits that biotech crops have generated over the past 20 years, 1995 to 2014; on average GM technology adoption has reduced chemical pesticide use by 37%, increased crop yields by 22%, and increased farmer profits by 68%. These findings corroborate earlier and consistent results from other annual global studies which estimated increases in crop productivity valued at US$133.3 billion for the period 1996-2013.


    #ogm #cartographie #soja #maïs #coton

  • Gambia will never accept GM food, says President Jammeh
    http://gmwatch.org/index.php/news/archive/2015-articles/15971

    Addressing the Assembly on his plans for the 2015 legislative year, the President said, “I must emphasize here that despite our obsession with becoming a major food exporter after 2016, we will never accept Genetically Modified Organisms in our agriculture. The Gambia is strictly maintaining organic agriculture for both our consumption and export,” he said.

  • EU under pressure to allow GM food imports from US and Canada
    http://www.theguardian.com/environment/2014/sep/05/eu-gm-food-imports-us-canada

    ... documents from various US and Canadian government agencies and business trade bodies suggest strong pressure is being brought to bear from US industries to allow GM products and other foods into EU markets that would violate the EU’s current standards, in the name of free trade.

    The US Department of Agriculture and Foreign Agricultural Service has explicitly identified “the EU’s non-tariff barriers to US agricultural products”, specifying in particular “long delays in reviews of biotech products [that] create barriers to US exports of grain and oil seed products”. The term biotech is generally used to refer to GM products.

    (...)

    Mute Schimpf, food campaigner at Friends of the Earth in Brussels, told the Guardian that the EU had shown itself too willing to give in to such #lobbying, despite protestations to the contrary, because in a new deal with Canada – outside of the TTIP but related to it – the two have agreed to have a “shared objective” of minimising the disruption to trade from their different GM rules. “Politicians have been trying to reassure citizens that public safeguards will not be traded away behind closed doors in free-trade deals with the US and Canada. It is therefore deeply alarming that evidence now emerging from a pact with Canada shows that Europe has willingly made an agreement that undermines its own safety regime for genetically modified foods. Citizens must demand that protecting public safety and the environment come before the profits of big business. Europe’s safety-first policies are a fundamental cornerstone and must not be traded away to please industry.”

    #ogm

  • U.S. Farmers Report Widespread GM Crop Contamination - Inter Press Service
    http://www.ipsnews.net/2014/03/farmers-address-u-s-data-gap-gm-crop-contamination

    While GM crop use has expanded exponentially across the globe over the past two decades, nowhere has this growth been more significant than in the United States. While just one percent of corn and seven percent of soybeans grown in the U.S. came from GM seeds during the mid-1990s, by last year both of those numbers had risen to above 90 percent.

    In the new study, nearly half of the farmers polled said they did not believe that GM and non-GM crops could ever “coexist”, while more than two-thirds said that “good stewardship” is insufficient to address contamination.

    “The USDA’s focus on coexistence and crop insurance is misplaced,” Wenonah Hauter, executive director of Food & Water Watch, said Monday, referring to an AC21 recommendation that GM contamination problems be dealt with through a federal insurance scheme set up to lessen the impact of natural disasters.

    “The department must recognise the harm that is already being done to organic and non-GMO farmers and put the responsibility squarely where it belongs – with the biotech companies … Now USDA can no longer claim ignorance about this problem.”

    Even as contamination reports continue to grow, the U.S. government’s most recent response, drawn from the AC21 recommendations, has been to encourage “good stewardship” practices and communication between neighbouring farmers. Yet non-GM farmers say that, in practice, this has meant substantial outlays of both time and money in order to safeguard their crops – and virtually no corresponding responsibility on the part of farmers using genetically modified crops.

    Beyond regular testing and certification requirements, U.S. farmers are required to set aside a substantial buffer zone around their fields to guard against GM contamination. Averaging around five acres, this buffer zone alone costs farmers anywhere from 2,500 to 20,000 dollars a year in lost income, according to the new survey.

    Other farmers resort to waiting to plant their crops until after their neighbours’ GM crops have pollinated. Yet this delay, too, imposes a financial burden of several thousand dollars per year.

    “I’m getting tired of maintaining these miles of buffers,” one farmer wrote in response to the new survey, complaining about the heavy use of herbicides typically associated with GM crops. “How about the guy that sprays up to the fence be liable for the damage that is done?”

    #ogm #etats-unis #agriculture #pesticides

  • Food giants pour millions into defeating Washington GMO label measure
    http://www.reuters.com/article/2013/10/29/us-usa-politics-gmo-idUSBRE99S1D020131029

    Ils disent que c’est parce qu’ils veulent faire économiser de l’argent aux familles...

    ... the [Food giants] (...) say (...) they are trying to turn back a measure that would confuse consumers and have numerous consequences.

    “It would require tens of thousands of common food and beverage products to be relabeled exclusively for Washington state unless they are remade with higher-priced, specially developed ingredients,” said Brian Kennedy, GMA spokesman. “The measure will increase grocery costs for a typical Washington family by hundreds of dollars per year.”

    The outcome of the Washington vote will be closely watched around the country as more than two dozen U.S. states and the federal government wrestle with whether to require labeling.

    A similar labeling measure narrowly failed in the 2012 election in California by a vote of 51.4 percent against to 48.6 percent in favor.

    En Californie $45 million auraient été dépensés http://www.buzzfeed.com/rachelysanders/big-food-spending-millions-to-prevent-gmo-labeling

    #OGM #lobbying

  • GM crops: African opposition is a farce, says group led by Kofi Annan
    http://www.theguardian.com/global-development/2013/sep/05/africa-gm-genetically-modified-crops

    Concern in Africa over genetically modified crops has been dismissed as fear of the unknown by an environmental group chaired by Kofi Annan, the former UN secretary general.

    “This report clearly indicates their full support for GM crops, and their intention to use their influence to open African doors for Monsanto’s and Syngenta’s patented GM crops,” said Teresa Anderson, international advocacy co-ordinator for the Gaia foundation, an advocate of food sovereignty that asserts the right of people to define their own food systems.

    “Characterising the refusal of most African countries to commercialise GM crops … as ’fear of the unknown’ is patronising and shallow. Agra has wilfully chosen to insult farmers’ concerns in their aim to expand corporate agribusiness into Africa.”

    #ogm #lobbying #corruption

  • The GM genocide: Thousands of Indian farmers are committing suicide after using genetically modified crops | Mail Online
    http://www.dailymail.co.uk/news/article-1082559/The-GM-genocide-Thousands-Indian-farmers-committing-suicide-using-genet

    Far from being ’magic seeds’, GM pest-proof ’breeds’ of cotton have been devastated by bollworms, a voracious parasite.

    Nor were the farmers told that these seeds require double the amount of water. This has proved a matter of life and death.

    With rains failing for the past two years, many GM crops have simply withered and died, leaving the farmers with crippling debts and no means of paying them off.

    Having taken loans from traditional money lenders at extortionate rates, hundreds of thousands of small farmers have faced losing their land as the expensive seeds fail, while those who could struggle on faced a fresh crisis.

    When crops failed in the past, farmers could still save seeds and replant them the following year.

    But with GM seeds they cannot do this. That’s because GM seeds contain so- called ’terminator technology’, meaning that they have been genetically modified so that the resulting crops do not produce viable seeds of their own.

    As a result, farmers have to buy new seeds each year at the same punitive prices. For some, that means the difference between life and death.

  • Aujourd’hui, des millions d’utilisateurs innocents sous-traitent leur présence en ligne à des gros industriels du #cloud comme Google ou Facebook. Cela, au détriment de leur vie privée et au prix d’une complète perte de contrôle de leurs propres données. L’alternative libre est évidemment l’auto-hébergement, avoir un jeu d’applications qui mettent en œuvre cette présence en ligne, sur une machine qu’on contrôle. Mais tout le monde n’a pas forcément la compétence, ou tout simplement le temps ou l’envie, pour gérer cette machine et ces applications. N’est-il pas temps de développer un système tout fait pour cela ?

    http://www.bortzmeyer.org/presence-en-ligne.html

    #vie_privée

    • Il n’y a pas que l’alternative « tout chez big brother » ou « tout chez soi » ; une réponse coopérative serait sans doute plus adaptée. Ce n’est pas facile, il faut accepter de s’associer avec d’autres, faire circuler des ressources, prendre le risque de ne pas être d’accord…

      #cccp #portabilité_des_données #alternc #debian

      EDIT : j’ajoute que certains services qui semblent difficiles à gérer sont en fait faciles, et inversement. Le mail par exemple tourne rapidement au cauchemar quand il s’agit de lutte anti-spam (réception), de réputation de son IP (pour l’envoi), de gros volumes (stockage).

    • C’est un sujet sur lequel je me suis un peu penché. J’ai d’ailleurs personnellement commencé à m’extraire du giron de Google/Facebook... Je ne maîtrise pas encore tous les aspects, mais progressivement les plus essentiels migrent : messagerie électronique avec webmail (postfix + roundcube), blog (wordpress), stockage (owncloud).

      Côté sécurité, toutes les données hébergées ne sont pas à vocation purement privée : par exemple, les messages du blog/site, les photos que l’on aurait hébergées sur Flickr, les vidéos de son chat sur Youtube...

      Le chiffrement peut permettre de stocker des données chez un hébergeur tiers qui fournit du Cloud, mais pose problème pour l’échange de données. On aborde d’ailleurs une forme de DRM avec diffusion de clé.

      Le cercle familial/amical est un bon espace de partage au sein duquel on peut imaginer facilement la mise en commun de ressources pour de l’auto-hébergement. J’emploie volontairement le terme de cercle car c’est une approche que je trouve judicieuse dans la définition d’un scope de partage.

      Et si on parle de mutualisation de moyens, il faut être sensible à des technologies de type dé-duplication qui peuvent réduire la volumétrie.

      Bref, je suis du métier et faire la glu entre tous les composants peut s’avérer complexe. Alors, je rejoins pleinement @Stéphane sur l’aspect simplicité pour que Mme. Michu puis s’auto-héberger ;)

    • c’est pourquoi je parle plus volontiers de #coopérative que d’association : si chacun traite indépendamment une partie du problème et que ça bénéficie à l’ensemble des autres, on gagne du #temps — si on passe son temps à se contredire et à se marcher sur les pieds, non…

    • Il manque à mon sens, une ligne « comment sauvegarder son nuage » avec une suggestion de solution > il n’y en a pas de simples hélas...
      J’étudie à l’instant même Kolab. Même s’il ne suffit que d’un « apt-get » pour tout installer (une fois le bon dépôt configuré), euh... ensuite... pour tout configurer par l’interface web... il faut quelques connaissances... peu répandues.
      Et je n’évoque même pas les soucis de sécurité, et de failles de sécurité. Joomla 1.5 a été déployé sur des milliers de sites, par des non-professionnels qui ne pensaient pas que ça pouvait faire l’objet de tant de soucis... et qu’il était impératif de mettre à jour vers une version récente du CMS...
      D’où le côté incontournable des solutions « toutes en un », maintenance y-compris.
      On en arrive alors à des réflexions sur le coopératif.

    • Bonjour, j’ai eu l’occasion de discuter récemment avec le créateur d’une start up française (très récente) qui veut selon ce que je comprend répondre à cette question. Je n’ai pas les compétences techniques pour juger si leurs solutions répondent en partie ou complétement à l’enjeu que vous soulevez, mais... peut-être à suivre ! :
      https://www.cozycloud.cc
      j’aime assez leurs textes de blog : http://blog.cozycloud.cc

    • @geodelc : je trouve aussi le projet intéressant. Par contre, je ne sais pas quels sont les retours sur la sécurité de Node.js sur lequel semble s’appuyer le produit. Ce n’est pas un début de troll, mais les nouvelles technologies n’ont pas toujours eu le temps de subir les assauts des vilains pirates (surface d’attaque trop faible). En même temps, Node.js est quand même pas mal utilisé, donc à tester dans une VM...
      Merci pour le lien.

    • Les sauvegardes « cloud » ne me plaisent pas des masses : perte de contrôle, confidentialité à géométrie variable, incertitude sur pérennité des données.
      En ce moment, je cherche une solution locale type NAS RAID1 pour bétonner au moins mes données contre des défaillances de HDD. Mais je pense qu’il me faudrait ajouter un HDD externe d’ultra-sauvegarde qui aurait pour vocation d’être mis à jour une ou deux fois par mois et serait stocké chez un tiers de confiance, le reste du temps.
      Là, je pense que mes données commenceraient à moins craindre.

    • ya des vm en pre-build version qui font +ou- ça seulement niveau maintenance faut compter seulement sur toi...un truc totalement automatisé est utopiste (1 seul exemple : passer de lenny à squeeze ne se fait pas comme ça). Ou alors faut externaliser les données pour ne mettre à jour que le systeme mais là on en revient à faire du cloud :)

    • @monolecte : Quelle est la volumétrie des données que tu considères comme critique ? Certains pensent que leurs photos de vacances ne doivent pas être sauvegardées (pour bon nombre, ils changent d’avis quand leur disque lâche). Pour les petites volumétries, on peut imaginer une sorte de RAID sur différents fournisseurs de Cloud qui ne stockent que des données préalablement chiffrées. Plus il y a de fournisseurs, plus tu as de volumétrie ou de redondance. C’est un peu ce que fait symform (http://www.symform.com/our-solutions/key-features) sur les NAS de ses utilisateurs. Ensuite, il faut identifier le niveau de sécurité de chaque type de données pour appliquer la politique de sauvegarde idoine : les données qui ne bougent pas (photos déjà post-traitées, par exemple) peuvent être simplement archivées (éventuellement en plusieurs copies) à intervalle régulier et déposée chez un tiers de confiance à l’occasion d’un apéro, comme tu le suggères.

      @tester1 : en fait, je pense qu’il faut garder comme axiome une séparation des données et de l’application/OS. En gros, tes données données doivent résider sur un espace qui n’est pas dépendant de l’application (filesystem dédié local ou distant, voire dans le nuage). Comme ça, lors de ta mise à jour, le risque sur tes données est plus faible : genre tu démontes le FS avant la mise à jour.

    • Le filesystem est secondaire : si tu « merdes » pour x raison et que le l’OS ne reboot pas, tes données sur patoche seront elles-aussi compromises. Pour assurer le coup il faudrait stocker les données/fichiers-de-config sur un second disque (un tiers de confiance revient à faire du cloud chez un autre prestataire...autant rester sur facebook & co) pour ne mettre à jour « que » l’image (mieux vaut dès le départ taper dans des mini distro hein :) ).

      Bref faut investir quoi et s’y connaitre un minimum malgré tout...sans parler du coup inhérent à l’électricité, bande passante, machine dédiée (sinon ta ram et ton cpu en prennent un sacré coup dans la gueule -les gamers risquent de ne pas trop appécier-, etc etc).

    • Ouais enfin sauf que l’objet de la discussion c’était justement d’avoir des outils tout-fait pour le grand public, sans mettre les mains dans le cambouis MAIS pas sous windows uniquement et en libre. Si on part du principe que d’office ce n’est que sous windows et en propriétaire qu’on peut avoir des outils simples à utiliser pour tous, on va pas aller loin...

    • @tester1 : Disons que tu as normalement possibilité de booter en mode rescue (depuis un CD ou une clé USB) pour accéder à ta partition. Je suppose que tu ne réinstalles pas dès que ça « merde » ;) Mais oui, il faut investir du temps et c’est bien là le sujet lancé par @stephane : qui a (dans l’ordre) le #temps, l’ #envie et la #compétence pour créer un produit simple, plein des fonctionnalités qu’attend Mme. Michu et qui fonctionne en auto-hébergement.

      @monolecte : bon, bah ça va alors. Chez un fournisseur du type de hubic (sans publicité de ma part), tu as un stockage pseudo-illimité (maxi 100To) pour 120€/an. Tout dépend de la valeur que tu attribues à tes données... D’ailleurs, hubic est basé sur de l’OpenStack et il est prévu que l’API soit ouverte, donc les fans de cambouis pourront se tâcher.

      @tester1 : quels « trucs tout-fait sous window » ?

    • dans le cahier des charges il est aussi stipulé que l’usine à gaz ne devrait souffrir d’aucun bug...donc demander à madame michu de faire de la récup de données en cas de pépin est d’une part contraire à ce qui est demandé et d’autre part légèrement « risqué » compte tenu du niveau des personnes ciblées.

      Non franchement, gérer des serveurs n’a rien à voir avec du desktop...rien que pour cibler la machine il faut un domaine qui renvoie vers l’ip fixe/dynamique du gus et rien que pour envoyer des mail sur des serveurs comme gmail & co il faut des enregistrements dns spécifiques qui nécessitent des compétences avancées, etc etc.

      non désolé mais c’est foireux ce projet...

    • @tester Comme moi, justement, je fais de l’auto-hébergement à la main, je sais que cettte histoire d’enregistrements DNS spécifiques (lesquels ?) pour envoyer du courrier à Gmail est bidon. Cela n’empêche pas que gérer un serveur soit compliqué (cf. @Fil). Mais, justement, cela peut s’automatiser. L’absence d’argument (à part que Mme Michu est conne et le projet foireux) ne va pas aider à discuter.

    • « Bidon » ça dépend ce dont tu parles : moi je pars du principe que l’emission se fait à partir de son propre serveur mail (CAD sans passer par le smtp du fai) et dans ce cas gmail comme beaucoup d’autre demande d’abord à ce que l’émetteur posséde une ip fixe + des enregistrements dns de nature à identifier le serveur (dkim, spf etc) faute de quoi tes mails attérissent tous, dans le meilleur des cas, dans le dossier spam quand ils sont pas purement et simplement rejeté...

      Pour le reste je me fais + l’avocat du diable qu’autre chose ;)

    • @stephane : merci pour le lien vers l’article d’@Fil. En effet, et c’était le sens d’un morceau d’un de mes commentaires, aujourd’hui l’auto-hébergement va s’orienter vers des solutions pour des cercles familiaux/amicaux/associatifs, bref des gens qui connaissent un ou plusieurs barbus qui fournissent un présence en ligne et gestion de données personnelles.

      Pour ma part, je me suis lancé dans l’idée de fournir à mon cercle familial un système de sauvegarde en ligne sur les serveurs d’une société tierce qui me garantit un taux élevé de disponibilité des données contre quelques euros par mois. C’est d’ailleurs un aspect qu’il ne faut pas négliger : la qualité de service a un prix, mais il est distribué sur l’ensemble de la communauté qui utilise les ressources.

      @tester1 : chez Gmail, ils aiment bien qu’on ait implémenté DMARC (SPF + DKIM). Cela permet de mieux passer le filtrage, mais ce n’est pas obligatoire. D’ailleurs, tant SPF que DKIM sont simples à implémenter. Là où ça se complique c’est si on veut signer ses enregistrements avec DNSSEC...

    • Dans l’article de jbfavre (effectivement très clair), il manque à mon sens une notion : celle d’une portabilité (minimale) des données. Dès lors si un admin troll s’empare du serveur de mon asso pour y installer la version 3.14 de apache-ssl alors que je jure que par la version 3.13, je pourrai sans difficulté (et, dans l’idéal, d’un clic) transférer mes données vers le serveur de l’asso voisine, qui elle a bien compris que la 3.13 était mieux.

    • rsync over ssh suffirait largement à tous les besoins, surtout en considérant SMTP comme mort.

      Et cela permettrait incidemment de se débarrasser des trucs de noubz genre p2p, et d’ambitionnner, enfin, un InternetFS citoyen.

      Maintenant, je l’avoue, pour mon vieux papa qui comprend rien j’ai mis du Synology d’entrée de gamme @home : ça fait tout, bien, et c’est même pas trop propriétaire.

    • @stephane : et le serveur est chez toi (sous-entendu ton fai perso) ou sur un dédié ? Parce qu’ils ont des bases pour identifier/sélectionner les ip...bon après ya une histoire de whitelist mais au départ t’es blacklisté pour répondre à des critères d’exigences...sinon c’est spam à gogo ;)

    • Mince, exactement l’article que je voulais écrire (ce qui est assez rassurant !).

      Plus sérieusement, c’est effectivement exactement ce qui me semble être la bonne solution. C’est important de rendre tout ça simple, donc oui pourquoi pas une image « disque », et comme déjà dit une WebUI qui permette l’administration, la navigation, etc dans l’ensemble.
      Idéalement, je pense que l’on gagnerait même en une interface qui soit la plus KISS possible et qui propose une sorte d’API rudimentaire. Ainsi, nombre de solutions existantes pourraient venir se plugger dessus d’elles-même. Ça permettrait de pouvoir choisir le service que l’on souhaite parmi plusieurs alternatives (ce qui me semble être un gros point faible d’OwnCloud qui finalement réenferme l’utilisateur dans des choix qui n’ont pas été les siens (pas du tout dans les même proportions que Google bien entendu, et surtout pas avec les mêmes intentions)). YunoHost est à ce titre très intéressant comme projet !

      Sinon, à titre personnel j’expérimente l’auto-hébergement sur mon Raspberry Pi (et justement j’ai codé en quelques lignes un genre de portail web rudimentaire (et adapté à mes besoins) pour unifier le tout). Voilà ce qui tourne H24 depuis quelques mois maintenant :
      – Un webmail : Roundcube (mais c’est pas terrible, c’est lourd et ça manque de fonctions essentielles. C’est là qu’on voit que Gmail est très puissant... Je vais essayer SquirrelMailhttp://squirrelmail.org ). Mon serveur mail reste pour le moment chez OVH (novice en linux, j’ai pas encore osé me lancer... j’attends un article de @stephane ;).
      – Un lecteur RSS : Tiny Tiny RSS (excellent et très puissant : filtres automatiques, labels, application mobile, plugins, etc. je conseille vivement !) → http://tt-rss.org
      – Un agenda : AgenDAV pour l’accès web (RAS, très bon → http://agendav.org ) couplé au moteur de calendrier DAViCal (la référence, super, je l’ai oublié ! Il gère aussi les carnets d’adresse, mais pas encore testé → http://www.davical.org ).
      – Un gestionnaire de photos : PhotoShow (très bien, fonctionne sans base de données, uniquement via l’arborescence des répertoires/fichiers ce qui est pratique pour envoyer automatiquement des photos depuis android par exemple) → http://www.photoshow-gallery.com
      – Un blog : PluXML (pas de bdd, uniquement un jeu de fichiers XML) → http://www.pluxml.org
      – Un serveur XMPP : Prosody (RAS jusqu’à maintenant...) → http://prosody.im
      – Un serveur SMB pour les fichiers (pratique...)
      – Bien sûr un serveur web : lighttpd (super ! → http://www.lighttpd.net ) avec PHP évidemment.
      – et avec un analyseur de statistiques via les logs de lighttpd : awstats (dont je me sert pas vraiment mais qui est complet et qui évite d’ennuyer les visiteurs avec du javascript...) → http://awstats.sourceforge.net
      – Un SGBD : PostgreSQL
      – Bittorent avec transmission (avec des applications desktop, mobile ou WebUI pour le gérer à distance : génial → http://www.transmissionbt.com/resources ).
      – Un serveur pour lire ma musique : MPD (extra...) → http://fr.wikipedia.org/wiki/Music_Player_Daemon
      – Un serveur VPN : OpenVPN (je fais pas toujours confiance aux hotspots wifi auxquels je me connecte occasionnellement (ni à la 3G...), ça me rassure un peu) → http://shadowblog.fr/7-vpn-sur-raspberry-pi
      – Un serveur son sur lequel je stream le son de mon PC : PulseAudio/Alsa.
      – Et cron qui me sert de réveil matin en lançant France Culture ;-)
      – J’ai même branché une imprimante thermique (sans encre) pour imprimer des notifications (emails, twitter, etc.) sur des tickets de caisse... → https://www.adafruit.com/products/597

      Le tout est sauvegardé via rsync sur une partition différente (du même disque...) toutes les nuits. Il faut soit que j’ajoute un disque soit que j’envoie sur Hubic (par exemple) après chiffrement.

      Je n’y aurais jamais cru mais tout ça tourne sans difficultés et en simultané, sur un simple Raspberry. Je sais pas si je peux le pousser encore mais pour le moment la seule limite que j’observe est bien entendu ma maigre bande passante sur simple aDSL (et donc surtout en up)...

      Plus généralement, ce que j’observe c’est que c’est effectivement incroyablement chronophage ! Ensuite, c’est une responsabilité parfois un angoissante... Quand ça marche pas, il suffit pas d’attendre. Il faut trouver et corriger. Et si je fais une erreur, j’ai plus de service. Et si j’ai pas le temps de corriger, ben j’ai plus de service pendant une semaine. Enfin, c’est pas encore arrivé...
      Mais c’est aussi incommensurablement formateur (ce qui n’est pas un argument pour tout le monde) ! Et puis c’est agréable de constater qu’il y a des alternatives libres pour tout les usages que j’avais des services « cloud », au moins aussi puissantes (sauf pour le webmail où je cherche encore) et dans tout les cas personnalisables à souhaits. Je ne retournerai pour rien au monde sur Google Music et encore moins sur Google Reader (plus possible de toute manière me direz vous, mais pas plus chez feedly ou autre) !
      Il reste par contre à travailler le design, c’est souvent pas sexy du tout...

      Bref, au vu entre autre des commentaires, il semble y avoir du monde qui bidouille dans son coin et @stephane a raison, il serait effectivement temps de coordonner tout ça...

      Bonjour chez vous.

    • Concernant la partie serveur et gestion autonome des zones, je peux toujours proposer la solution que j’ai rapidement monté -mais pas encore finalisée- : http://greatns.com qui permet au « quidam » de pouvoir utiliser gratuitement un de mes serveurs secondaires gratuitement.

      Effectivement, on peut arguer qu’il y à un objectif commercial derrière un tel système, mais je l’énonce clairement.

    • Qcq précisions sur https://www.CozyCloud.cc, puisque notre site n’explique pas encore tout ça :-)

      1/ Pourquoi ?
      Le web se “cloudifie”, pour le meilleur - ubiquité des services, simplicité, sécurité, interactions avec les terminaux mobiles - et le pire : nos données sont dispersées dans des silos étanches contrôlés par des quasi monopoles qui vivent de leur analyse et revente.

      2/ Solution ?
      Le pouvoir est du côté sur serveur (http://blog.cozycloud.cc/mantra/2013/01/19/server-side-is-where-the-power-lies), il faut auto héberger ses données et web app qui accèdent à nos données

      3/ C’est une utopie
      L’auto hébergement est une utopie de la même façon qu’avoir un Personal Computer l’était il y a 30 ans. Notre objectif est d’être l’iOs des serveur, l’ouverture en plus.

      4/ La confidentialité ne sensibilise pas Mme Michu :
      a) l’intérêt de l’auto hébergement ne réside pas que dans la confidentialité, loin de là : Réunir ses données permet des mashup aujourd’hui impossibles (alors meme que l’intégration est à la source du succès des écosystèmes fermés...).
      b) madame michu évolue, demandez lui plutôt que de présupposer.

      5/ vous n’êtes qu’une distro linux de plus ?
      Pour nous un "serveur" est un chef d’orchestre de services, pas un kernel. Cozy est un PaaS personnel qui à la demande de l’utilisateur, via une chouette ui, peut installer ou supprimer une web app, laquelle peut être en Node.js, mais bientot aussi Python ou Ruby.

      6/ En quoi facilitez vous les mashup de données ?
      La persistance est mutualisée dans une web app, le datasystem, que les web app requêtent en REST (si elles y sont autorisées). Toutes les apps peuvent donc partager des données (mails, contacts, photo, agenda...) tout en laissant l’utilisateur contrôler qui accède à quoi.

      7/ vous en êtes où ?
      On bosse comme des ânes, on vient de démarrer une béta privée avec nos premières applications, suivez nous sur notre blog ou twitter pour avoir des news sur les nouvelles releases.

      8/ Vous avez besoin de quoi ?
      De feed back !
      Donnez nous votre avis, tant sur les plans techniques que fonctionnels qu’ergonomiques etc...
      Contactez nous, par mail ou irc, on sera content de réfléchir avec vous !

    • @evenit : en effet node est jeune, mais sa surface d’exposition est en croissance exponentielle. Et puis ce jeunot s’appuie sur du code de géants (librairies réseaux et moteur js V8 de Chrome...).
      Au niveau de la sécurité on a (comme les autres :-) beaucoup de travail, toute remarque et conseil est bienvenu !

    • ok dak, que celui qui n’a pas déjà regretté un clic trop rapide jette le premier point godwin !

      Ceci dit j’ai faillit répondre avec un « tu sais où tu peux te les carrer, tes excuses ? », que je trouvais très drôle mais j’ai douté sur ma capacité à expliquer que c’était VRAIMENT une blague, alors du coup je me suis abstenu. Couille molle sur ce coup là Ben...

    • @monolecte Les volumétries (surprenantes) que tu donnes sont proches de celles données pour mon cher papa évoqué plus haut. Je persiste à penser que le DSM4.1 de chez Synology, donc, en hébergement matériel à domicile, est ce qu’il y a de mieux dans ce genre de cas même si ça n’est pas réellement libre (ça reste basé sur du libre et maintenu par une PME chinoise qui n’a pas besoin de se faire racheter).

    • @tester : sous « sign in », il y a un lien « démo ».
      Je te laisse deviner vers quoi il mène.
      Malgré les noms d’oiseaux qui ont volés cette nuit, merci pour ce retour, nous rajouterons ce lien à notre mail d’enregistrement à la béta. Les noms d’oiseaux étaient ils nécessaires ?

    • @benjamin1 : je trouve que Node.js apporte une touche de fraicheur dans le monde du web. Je jouais juste au vieux ;) J’ai regardé un peu ce qui se faisait et l’écosystème grossit rapidement...

      Et sinon, en 10/, je verrais bien un lien vers un tutoriel pour l’installer sur sa propre machine. Ou alors j’ai juste mal cherché ;)

    • Bonjour,

      Juste une petite idée comme ça, à propos du DNS secondaire. C’est effectivement bien d’en avoir un sur un deuxième AS (comme mentionné par ZoneCheck), mais si on part sur l’idée d’un paquetage utilisé par plusieurs personnes pour faire de l’auto-hébergement, pourquoi ne pas compter sur les autres ?
      Une petite interface du style : « DNS secondaire hébergé par » avec un identifiant d’auto-hébergement à rentrer, et cette personne tierce (de confiance) devra accepter l’invitation.

      Plus il y a de tiers, plus la résilience sera grande.

    • @glandos> la question de la résilience du serveur dns secondaire est à prendre avec précaution tout de même ... le principe du serveur auto-hébergé sur lequel tu es le seul à te soucier qu’il est up ou pas à ce moment ne s’applique plus si tu acceptes sur ton serveur de prendre la responsabilité d’héberger la zone d’un tiers qui lui s’en fiche éventuellement moins

    • @glandos @b3nj : mais dans le cadre d’un système coopératif/associatif, il est probable que le serveur ait un bon uptime. Et rien n’empêche de multiplier les serveurs secondaires au sein de son réseau : si chacun des participants au sein d’un groupe est secondaire pour l’ensemble des autres membres du groupe, le maillage devient suffisant pour assurer la disponibilité du DNS.

    • @glandos @evenit > il n’empêche la notion de suffisance est toute relative et il convient alors lorsque tu souscris à une telle approche coopérative/associative de bien être conscient de la probabilité de l’indisponibilité et de fait de l’abscence de possibilité d’établir un SLA viable.

    • @b3nj @evenit > En même temps, si tous les enregistrements DNS pointent sur la machine qui fait l’auto-hébergement, alors quand le DNS tombe, c’est que le reste aussi (normalement). Ce ne sera pas forcément le cas (on peut avoir des MX secondaires par exemple), mais ça limite la casse.
      Sinon, la question de la confiance est quand même assez facile à résoudre. Par exemple, mes voisins me donnent leur clés de chez eux en cas de problèmes, ou bien s’ils sont en vacances. Ils me font confiance parce que je les connais. Je pense que les DNS ne devraient pas poser de problème, s’il y a déjà cette confiance…

    • L’auto-hébergement est fondamentalement inadapté aux protocoles comme le DNS, HTTP, XMPP, IRC, car ils sont conçus pour fonctionner avec des serveurs qui tournent en permanence. L’auto-hébergement a besoin de protocoles moins « centralisés », plus résilients, qui répartissent les données et la charge de travail. Bref il a besoin d’Internet, hors aujourd’hui on a beaucoup de Minitel.

    • @evenit : en fait on a 2 tuto, mais il faudrait qu’on rende plus compréhensibles nos liens. Les voici :
      – pour installer un environnement de dev : http://blog.cozycloud.cc/tutorial/2013/02/28/how-to-quickly-start-a-personal-web-app-with-nodejs-and-cozy-cloud
      – un pour installer un cozy complet sur une machine (uniquement partie Getting ready in 5 mn) : https://github.com/mycozycloud/cozy-setup/wiki/Setup-cozy-cloud-development-environment-via-a-virtual-machine

      L’environnement de dev est plus simple à mettre en place car on packagé pas mal de choses dans une vm.

      Pour ce qui est de s’installer un cozy complet pour l’auto héberger, le second tuto sera beaucoup plus facile quand on aura également packagé l’ensemble dans une vm : c’est au programmes des 2 prochains mois.

    • @Changaco : pas du tout d’accord. D’abord, comme indiqué plusieurs fois, on ne parle pas de 100 % de succès. Il ne s’agit pas d’héberger Amazon.com ! Ensuite, l’auto-hébergement, aussi bien à la maison que chez un fournisseur IaaS, atteint des scores d’uptime tout à fait honorables (le record de mon Raspberry Pi à la maison est de 21 jours et encore il a repris le service tout de suite après son débranchement).

    • @benjamin1 : merci pour les liens. Je jetterai un œil quand je trouverai un peu de temps de cerveau libre ;)

      @glandos @stephane : on peut aussi imaginer matérialiser la confiance via des clés PGP puisqu’il est aussi possible d’attribuer un degré de confiance. Et comme la base de PGP est l’échange de clés entre individus qui se rencontrent pour de vrai, cela peut recouper le cercle familial/amical/associatif. Reste à trouver un moyen simple et rigolo de faire l’échange avec des gens non techniciens autour d’un apéro.

    • Cette mode du « tout par moi même », n’en finit pas de m’étonner. Je comprends que le Raspberry, l’Arduino fasse rêver, mais il y a des limites. Je comprends l’enjeu de sécurité et de contrôle de sa vie privé, mais bon on parle d’héberger chez soi des dizaines de service informatique, du FTP, du HTTP, du mail, de la sauvegarde, etc...

      Dans les sociétés, c’est un métier en tant que tel, parce qu’il ne faut pas qu’installer, paramétrer, mais aussi réagir en cas de pépin. Au final, vous comptez mettre madame Michu à faire du Linux ? Perso, je suis développeur, et il y a bien longtemps que je n’installe plus de distro linux pour le fun, donc je pense qu’une personne non informaticienne, sera encore plus réticente.

      Prenez l’administration d’un Synology, et autant c’est clair, autant le nombre de choix peut faire fuir le quidam. Et je ne vous raconte pas en cas de problème. La solution IaaS est pour moi la plus crédible des solutions. Qu’au moins, le physique soit géré par des personnes qualifiées et motivées.

    • @pom421 : à mon avis un développeur mainfraim sur cartes perforées devait dire la même chose il y a 30 ans.

      Attention, je ne suis pas ironique, je veux juste dire que nous sommes loin d’avoir terminé la course aux couches d’abstractions en informatique. Et ce sont ces abstractions qui permettent de mettre toujours plus de complexité à la disposition de tout à chacun (y compris de nous autres techniciens).

      Je pense qu’aujourd’hui tout est réuni pour rendre assez facilement possible cette couche d’abstraction au dessus de linux pour que madame michu l’utilise (ce qui est d’’ailleurs déjà le cas via sa box ADSL, son smart phone ou son cadre photo numérique).

    • @stephane En fait, c’est déjà ce que je fais aujourd’hui, j’ai mon DNS primaire chez moi (nsd3), et j’ai le secondaire hébergé par un ami qui a son DNS sur une machine en location chez OVH.

      Par contre, je dois reconnaître qu’on est très loin de la simplicité. Très très loin. J’essaie parfois d’expliquer ce qu’est le DNS (très grossièrement), mais ce n’est pas évident.

    • Mes fiches de paie papier (comme tout le reste de la paperasse qui me donne une existence de citoyen), je les conserve chez moi. C’est chez moi, c’est privé, c’est moi qui décide ce que j’en fais, c’est garanti par un certain nombre de lois, et cette garantie est au final liée à la souveraineté de l’État sur l’espace physique qu’occupe mon chez-moi (quant à mes scans de fichie de paie, tant qu’ils restent sur mon disque dur chez moi, c’est la même chose).

      Maintenant je voudrais bien virtualiser ces scans et les placer
      dans un chez moi virtualisé (un cloud à moi) et obtenir pour ce chez moi les mêmes garanties que celles que l’État donne à mon chez moi physique.

      Bon il faut tirer les fils pour voir où ça mène, je suis pas juriste
      pour 2 sous, mais au bout il doit y avoir l’affirmation par l’État
      de sa souveraineté sur un espace numérique garantissant aux habitants citoyens les mêmes droits que ceux liés à leur espace physique.

    • @françois1 : Le fait d’être « chez soi » n’est pas suffisant pour établir la valeur de preuve d’un document, numérique ou comme physique.
      Et dans le cas du numérique, c’est meme l’inverse : si le fichier n’existe que chez toi, il n’aura qu’une faible valeur probante.

      Je ne suis pas non plus juriste, mais voici qcq info pour expliquer ça :

      1/ un document n’est jamais une preuve absolue : les juristes parlent de preuves établies sur la base d’un « faisceaux de présomptions ». Un document, celons sa constitution, sera donc un élément plus ou moins probant.

      2/ La falsification est toujours possible, meme pour un papier, c’est pourquoi un document physique, même présenté comme un « original », ne sera pas forcément retenue comme étant une « preuve » absolue. C’est pour ça qu’il faut des éléments rendant la falsification moins probables : signatures, paraphes en bas de pages, tampons, papiers à filigrannes produits celon des techniques maitrisées que par 1 producteur (billets de banque par ex) etc...

      3/ la falsification numérique d’un document numérique étant extrêmement facile, la « valeur de preuve » d’un fichier est moindre, mais pas nulle. Si dans la recherche de preuve il n’y a rien à opposer au fichier, alors il sera pris en compte par la justice.

      4/ c’est pour ça qu’il y a des tiers de confiance qui proposent un « stockage à valeur probant » (le plus connu en fr étant Arkhineo, filiale de la caisse des dépots et consignation). Il s’agit d’un tiers qui conserve un hash d’un document lui permettant de certifier qu’un fichier qu’on lui présente pour authentification qcq années après son émission est bien celui qui lui a été remis à l’origine e par tel ou tel tiers.

      Donc pour posséder une version numérique d’un document ayant une valeur probante significative, il faut que celui ci ait été dès le départ au format numérique et que l’organisme qui l’a produit le transmette à un tiers de confiance proposant un stockage probant, le tout en respectant bien sur une série de normes.

      Une autre solution serait la numérisation à valeur probante pour envoi certifié à un tiers de confiance (un peu comme la photocopie certifiée conforme à la mairie), mais je ne sais pas si un tel service existe.

      Pour info la mise en place d’un stockage à valeur probante est un objectif pour Cozy Cloud et on regarde à faire ça avec la poste (mais honnêtement on est à une phase très prospective sur ce point)

      En tout cas moi aussi je rêve de dématérialiser toute ma paperasse, le mouvement est en cours, mais ça va prendre encore un peu de temps....

    • @benjamin1 : je ne parlais pas tant de l’authenticité des éventuels documents virtualisés que de la protection de l’accès à ces documents, de la garantie que je suis le seul à décider de ce qu’il advient d’eux, ce qui est le cas pour mes documents papier, fussent-ils des faux grossiers. Le problème de l’authentification est un des éléments de l’équation mais ce n’est qu’un des éléments techniques (technique au sens large) à gérer en cas de besoin pour la section administrative de mes documents virtuels.

      Il me semble que l’essentiel des questions préliminaires qu’on veut régler quand on envisage de se « cloudifier », c’est celui du statut et de la propriété de ce qu’on envoie dans le nuage. En tous cas en ce qui me concerne, c’est le principal facteur qui limite pour le moment ma virtualisation à mes supports physiques personnels : c’est carrément nul en terme de disponibilité et d’accessibilité, mais en terme de protection et de confidentialité aucune solution à ma connaissance n’est à l’heure actuelle en mesure de m’assurer une garantie équivalente. Et c’est bien la motivation principale du post initial de Stéphane Bortzmeyer.

      Si je fais héberger dans le cloud une instance numérique de ma feuille de paie*, en louant un espace à un prestataire, je ne veux le faire que si j’ai la garantie absolue de pouvoir tout récupérer quoiqu’il arrive (sauf catastrophe majeure). En gros, j’exige que le propriétaire de l’appartement que je loue ne fouille pas dans mon appartement dans mon dos et me laisse tout récupérer à l’échéance du bail, quelqu’en soit la raison.

      Analogie qui est le point de départ de l’idée de la souveraineté de l’État sur un territoire numérique, parce que c’est elle qui assure l’inviolabilité de mon domicile dans les nuages.

      * (je fais pas une fixette sur la feuille de paie, c’est évidemment valable pour tout le reste, photos, emails, etc..., mais la fiche de paie a besoin de pérennité, de disponibilité, de confidentialité, voire d’authentification, donc c’est un bon résumé des spécifications cloudesques)

  • After 30 years, is a GM food breakthrough finally here? | Environment | The Observer
    http://www.guardian.co.uk/environment/2013/feb/02/genetic-modification-breakthrough-golden-rice

    Thirty years after scientists first revealed they had created the world’s first GM crop, hopes that their potential to ease global malnutrition problems may be realised at last. Bangladesh and Indonesia have indicated they are ready to accept golden rice in the wake of the Philippines’ decision, and other nations, including India, have also said that they are considering planting it.

    #ogm #alimentation #développement #nutrition

  • How an anti-GM activist learned the science of high-yield crops and became a campaigner for GM - Economic Times
    http://articles.economictimes.indiatimes.com/2013-01-16/news/36374101_1_gm-foods-monsanto-s-gm-genes

    Les arguments de Mark Lynas, ancien militant anti-#OGM ayant changé d’avis (ou retourné sa veste, c’est selon)

    "I’d assumed that GM would increase the use of chemicals. It turned out that pest-resistant cotton and maize needed less insecticide.

    "I’d assumed that GM benefited only the large companies. It turned out that billions of dollars of benefits were accruing to farmers needing fewer inputs.

    "I’d assumed that Terminator technology (which Monsanto was accused of) was robbing farmers of the right to save seed. It turned out that hybrids did this long ago, and that Terminator never happened.

    "I’d assumed that no-one wanted GM. Actually what happened was that Bt cotton was pirated into India and Roundup-Ready soybean in Brazil because farmers were so eager to use them.

    "I’d assumed GM was dangerous. It turned out that it was safer and more precise than conventional breeding using mutagenesis for instance. GM just moved a couple of genes whereas conventional breeding mucks about with the entire genome in a trial and error way.

    “But what about mixing genes between unrelated species? The fish and tomato? Turned out that viruses do that all the time, as do plants and insects and even us — it’s called gene flow.”

    • I’d assumed that GM would increase the use of chemicals. It turned out that pest-resistant cotton and maize needed less insecticide.

      #lol quoi, le but c’est de faire synthétiser peu ou prou les mêmes molécules par les plantes elles-mêmes, donc forcément qu’il y a moins besoin d’intrants extérieurs ! Au final ya toujours les mêmes pesticides dedans...

    • Dans plusieurs reportages sur l’agriculture associée (planter arbres / fleurs / légumes complémentaires ensemble) utilisée dans des productions notamment en inde, on explique qu’à l’inverse, les OGM auraient du limiter l’usage de pesticide, mais ça ne fonctionne pas. Avec les maladies et plantes résistantes comme l’amarante qui ont fait leur apparition, ce serait encore pire. En inde, il y aurait des suicides de producteurs qui ne peuvent plus payer les semences et les pesticides nécessaires... Je crois plus volontiers ces gens là, qui n’ont pas d’intérêt financier à défendre un produit, puisqu’ils défendent l’absence de produit.

  • GM Crops Offer Natural Pest Control | The Scientist
    http://the-scientist.com/2012/06/13/gm-crops-offer-natural-pest-control

    Furthermore, if the spill-over effects seen in their test plots also applies to crops commonly planted alongside Bt cotton in northern Chinese farms, it could confer wide-reaching benefits. But the strategy will only work if Bt crops are not ubiquitous, Desneux noted, because it’s the diversity of crops that alleviates the selection pressure on pests to become resistant to Bt’s insecticide. “To prevent the selection of resistant populations in the pest, we just have to ensure that we still have non-Bt crops in the landscape,” Desneux said

    #foutagedegueule

  • L’Iran a-t-il fait sombrer PSA ?
    http://www.lepoint.fr/economie/l-iran-peut-il-sauver-psa-16-07-2012-1486125_28.php

    "Un lobby financier américain, United Against Nuclear Iran ("Unis contre un Iran nucléarisé"), nous a demandé de cesser nos activités en Iran", assure de son côté le porte-parole de PSA. « Mais nous lui avons répondu que cela avait déjà été fait avant l’alliance », précise-t-il. « Concernant la suspension de nos activités avec l’Iran, poursuit-il, c’est uniquement l’impossibilité de financer qui a pesé dans la balance. » Pourtant, une source bien informée affirme au Point.fr que Peugeot a bel et bien dû montrer patte blanche à GM au sujet de l’Iran avant la signature de l’accord. « C’est l’administration Obama (l’État fédéral possède 60 % de GM, NDLR) qui a imposé la rupture des relations avec l’Iran », souligne la source. Au cours de la crise de 2008, GM a notamment bénéficié d’une aide de près de 50 milliards de dollars de la part de Washington.

  • Seeds of freedom - the movie
    http://www.grain.org/bulletin_board/entries/4527-seeds-of-freedom-the-movie

    Seeds of Freedom charts the story of seed from its roots at the heart of traditional, diversity rich farming systems across the world, to being transformed into a powerful commodity, used to monopolise the global food system.

    The film highlights the extent to which the industrial agricultural system, and genetically modified (GM) seeds in particular, has impacted on the enormous agro-biodiversity evolved by farmers and communities around the world, since the beginning of agriculture. Seeds of Freedom seeks to challenge the mantra, promoted by the pro-GM lobby, that large-scale, industrial agriculture is the only means by which we can feed the world. In tracking the story of seed it becomes clear how corporate agenda has driven the take over of seed in order to make vast profit and control of the food global system.

    #film #semences #agriculture

  • GM Corn Being Developed For Fuel Instead of Food
    http://www.globalpolicy.org/social-and-economic-policy/world-hunger/hunger-and-the-globalized-system-of-trade-and-food-production-/50597-gm-corn-being-developed-for-fuel-instead-of-food.html

    US farmers have begun growing Enogen-branded genetically modified (GM) corn plants to produce ethanol for commercial purposes. Critics of Enogen believe farmers will be drawn to the new “efficient ethanol form of corn” and consequently produce less food for human consumption. Studies show a well-established relationship between expanding biofuels production and rising global food prices. There is also much worldwide resistance to the introduction of this new GM corn. The EU, South Korea, and South Africa have not approved the import of the new GM corn and food industry groups in the US also oppose the new Enogen corn, citing cross-pollination fears.

    #agrocarburants