city:montparnasse

  • 1er Mai : la préfecture refuse le tracé du cortège climatique)
    https://reporterre.net/1er-Mai-la-prefecture-refuse-le-trace-du-cortege-climatique

    Dans le cadre de la manifestation du 1er Mai à Paris, un cortège « climatique social et démocratique » se prépare. Ses organisateurs — Youth for Climate France, Unis pour le climat, Boycott citoyen, les Gilets jaunes, United4Earth et les Gilets verts — avaient prévu un départ de Panthéon à 11 h pour une arrivée à Montparnasse à 12 h 30. Un pique-nique apéro climat devait alors précéder le départ du cortège unitaire à 14 h 30.

    Or, ce mardi 30 avril, la préfecture a interdit cette manifestation. « Le parcours déposé par les déclarants présente des risques de troubles à l’ordre public et d’atteinte à la sécurité des personnes et des biens, justifie la Préfecture de police, en raison notamment de la présence attendue d’éléments à haute potentialité violente, ainsi que de la forte fréquentation touristique dans le quartier de départ et de la configuration des voies qui le traverse, qui rendraient particulièrement compliquée, périlleuse et dangereuse l’intervention des forces de maintien de l’ordre en cas de troubles et de désordres. »

    Les organisateurs essaient de proposer de nouveaux trajets, pour l’instant refusés par la préfecture.
    « Nous sommes toujours en discussion avec la préfecture concernant le parcours, suite à l’arrêté d’interdiction sur le parcours que nos avons demandé, expliquent-ils à l’agenda alternatif d’Île-de-France Démosphère. Actuellement, nos deux propositions alternatives ont été refusées. Nous sommes dans une régression absolue du droit de manifestation et dans une énième démarche visant à invisibiliser la mobilisation climatique, sociale et démocratique, avec un écart énorme entre un gouvernement qui se prétend en pointe sur le climat et défenseur de la démocratie à l’étranger, et concrètement interdiction et répression en France. Que ce soit les collectifs qui organisent des mobilisations pour le climat depuis septembre 2018 ou le collectif des Gilets jaunes signataires, nous avons pourtant un historique de manifestations qui se sont toujours bien déroulées, si l’on ne peut rien garantir, nous faisons systématiquement le maximum pour que tout se passe bien. »

    Le nouveau parcours du cortège « climatique social et démocratique » devrait être dévoilé dans l’après-midi. Il « nous sera (…) très probablement imposé », déplorent les organisateurs.

  • On a retrouvé le chômeur conseillé par Macron : « venez avec moi chercher du travail », lui répond l’intéressé Jean-Gabriel Bourgeois, édité par Romain David - 18 Septembre 2018 - Europe 1
    http://www.europe1.fr/societe/on-a-retrouve-le-chomeur-conseille-par-macron-venez-avec-moi-chercher-du-tra

    Au micro de la matinale de Nikos Aliagas sur Europe 1, le jeune chômeur qui a interpellé Emmanuel Macron pendant les Journées du patrimoine avoue avoir peu goûté les conseils du président de la République.

    TÉMOIGNAGE EUROPE 1
    Leur échange a fait le buzz tout le week-end. Samedi, Jonathan Jahan, jeune chômeur qui cherche du travail dans l’horticulture, a interpellé Emmanuel Macron sur sa situation, dans les jardins de l’Elysée, à l’occasion des Journées du patrimoine. Le chef de l’Etat lui a conseillé, un peu sèchement, de se tourner vers un secteur qui recrute davantage. « Il y a des tas de métiers, il faut y aller ! Hôtels, cafés, restaurants, je traverse la rue et je vous en trouve », lui-a-il lancé. Un conseil abondement commenté et qui passe plutôt mal auprès de l’intéressé. 

    « Je l’ai eu un peu en travers de la gorge » . « Je ne m’attendais pas à le croiser au départ. J’ai pris une photo avec lui, je lui ai serré la main et puis je me suis dit : c’est le moment où jamais de lui poser la question », raconte Jonathan Jahan, joint par Europe 1. « Mais ce qu’il a dit n’est pas normal. Je l’ai eu un peu en travers de la gorge, j’avais envie de lui dire : dans ce cas-là, venez avec moi en chercher ! », raconte ce jeune homme de 25 ans.

    Les bars et les restaurants de Montparnasse. Emmanuel Macron l’a notamment invité à aller frapper à la porte des bars et restaurants qui sont autour de la gare Montparnasse, un quartier de Paris notamment réputé pour ses crêperies et ses nombreux cinémas. « Vous faites une rue là, vous allez à Montparnasse […] vous faites la rue avec tous les cafés et les restaurants... Franchement, je suis sûr qu’il y en a un sur deux qui recrute en ce moment. Allez-y », lui a conseillé le chef de l’Etat. « Il n’y a pas de problème, s’il y a du boulot, qu’il m’accompagne jusqu’à Montparnasse ! Je vais faire l’essai dans la semaine, on verra par la suite », explique encore Jonathan Jahan.

    « Je me lève à 6 heures pour chercher du travail » . « J’ai déjà travaillé dans la restauration, j’ai déjà fait de la plonge », indique-t-il. « Aujourd’hui, j’envoie des CV et je reçois des lettres et des lettres de refus. Je me lève le matin et je me dis : ’pourquoi je me lève à 6 heures pour aller chercher du travail alors que je sais la réponse’. Malgré tout je le fais quand même », poursuit le jeune homme. « Je ne fais pas ça pour faire le buzz, je fais ça pour savoir ce qu’il en est par rapport à l’emploi », assure-t-il, avant de glisser, amer : « Et je vois que ça n’avance pas… »

    Les horticulteurs se mobilisent. Toutefois, la discussion qu’a eu Jonathan Jahan avec le président de la République, mais surtout les remous suscités sur les réseaux, pourraient bien l’aider à débloquer sa situation. Le président de la Fédération nationale des producteurs de l’horticulture et des pépinières (FNPHP) a en effet indiqué lundi à Franceinfo avoir reçu de nombreuses offres d’emplois à son attention. « On s’est transformé en Pôle emploi ! Donc, on appelle ce jeune chômeur à se mettre en contact avec nous  », a-t-il déclaré, tout en rappelant que l’horticulture restait un secteur assez fragile avec 5.000 emplois perdus en sept ans.

    #manu #emmanuel_macron #chomage #pôle_emploi #rue

  • L’Institut Giacometti ouvrira ses portes en juin à Paris
    http://www.lemonde.fr/arts/article/2018/03/20/l-institut-giacometti-ouvrira-ses-portes-en-juin-a-paris_5273732_1655012.htm


    La façade du 5, rue Schoelcher, dans le quartier de Montparnasse à Paris.
    INSTITUT GIACOMETTI

    On connaît désormais le détail de l’Institut Giacometti, qui ouvrira ses portes le 21 juin prochain rue Schoelcher, dans le quartier de Montparnasse (14e arrondissement), où Alberto Giacometti (1901-1966) a vécu et travaillé durant quarante ans. Un aboutissement pour la conservatrice Catherine Grenier qui, il y a quatre ans, quittait ses fonctions au Centre Pompidou en tant que directrice adjointe du Musée national d’art moderne pour prendre les rênes de la Fondation Giacometti avec, déjà, le projet d’ouvrir un lieu d’exposition. L’écrin choisi est un hôtel particulier de 350 mètres carrés classé, de style Art nouveau et Art déco, qui fut l’atelier du décorateur Paul Follot, et que l’architecte Pascal Grasso a réaménagé tout en conservant les décors historiques.

  • TRAFIC INTERROMPU AU DÉPART ET À L’ARRIVÉE DE PARIS-MONTPARNASSE

    http://www.sncf.com/fr/horaires-info-trafic#animation-1

    Le trafic est interrompu au départ et à l’arrivée de Paris-Montparnasse et Paris Vaugirard en raison d’un dérangement d’installations à Vanves-Malakoff (près de Paris).

    Vos TGV partent ou ont pour terminus exceptionnel Paris Austerlitz. Certains de vos TGV sont supprimés.

    Les Intercités partent ou ont pour terminus exceptionnel Dreux. Certains de vos Intercités sont supprimés.

    Vous êtes invités à reporter votre voyage toute cette journée de dimanche 30 juillet 2017.

    • Reprise progressive du trafic SNCF à la gare Montparnasse à Paris
      http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/07/30/trafic-sncf-interrompu-gare-montparnasse-a-paris-en-plein-week-end-de-chasse

      Le chaos régnait dimanche 30 juillet en gare Montparnasse, où le trafic SNCF reprenait « très progressivement » dans l’après-midi mais restait « très perturbé » après avoir été interrompu depuis le matin, en plein week-end de chassé-croisé entre juillettistes et aoûtiens.

      Le porte-parole de la SNCF, Matthieu Chabanel, a précisé que cinq trains TGV, soit un tiers des trains, ont été supprimés dimanche matin, touchant 3 000 voyageurs. « Mais 7 000 personnes ont pu voyager » grâce aux trains détournés sur la gare d’Austerlitz ou celle de Lyon, a-t-il ajouté, assurant que « les investigations reprendront d’arrache-pied cette nuit » pour déterminer les causes de l’incident.
      […]
      Si le trafic a repris à 14 h 23 avec le départ d’un TGV à destination de Toulouse initialement programmé à 11 h 52, « on ne sait pas exactement le nombre de trains qui rouleront » sur l’ensemble de la journée, a prévenu le directeur de crise.

      Peu après midi, la SNCF avait annoncé une reprise « très progressive » de la circulation autour de 13 heures, au rythme de trois TGV au départ et à l’arrivée par heure, contre « jusqu’à neuf » en temps normal. Mais celle-ci s’est longuement fait attendre au grand dam des voyageurs excédés par des sons de cloche très différents en gare de Montparnasse.

      Il est évident que les chiffres avancés relèvent de l’affabulation la plus pure. Ils sont même incohérents entre eux…

      Sachant qu’aucun train n’a pu circuler entre 6h et 14h, que les 9 maxi par heure étaient très probablement largement dépassés en ce jour sans doute le plus chargé de l’année, les 5 (CINQ !) trains annulés sur un total de 15 (même pas une heure et demie de trafic maxi), ça fait doucement rigoler (enfin, sans doute pas les intéressés). Alors, les 3000 touchés par le problème…

    • Dans le sens des retours, c’est presque autant le chaos : comme les trains n’ont pas pu partir, ils ne peuvent pas revenir. Au départ d’Auray en fin de journée, le TGV était tellement bondé qu’il a fallu faire descendre des « volontaires » pour qu’au bout du compte (et de plusieurs tentatives) il puisse démarrer…

    • Troisième version du titre de l’article (et chiffres « mis à jour ») : on gagne en cohérence, le pourcentage de voyageurs qui n’ont pu circuler correspond à celui des trains supprimés (qui double presque). Note aussi que le niveau du communicant augmente puisqu’on passe du porte-parole à la directrice de SNCF Voyages.

      Pagaille à la gare Montparnasse à Paris en plein chassé-croisé
      http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/07/30/trafic-sncf-interrompu-gare-montparnasse-a-paris-en-plein-week-end-de-chasse

      En fin d’après-midi, la directrice de SNCF Voyages Rachel Picard a assuré que « près de 32 000 voyageurs étaient arrivés à destination » dans les deux sens, soit près de « 85 % de ceux qui avaient prévu de voyager aujourd’hui ». En tout, 60 trains sont arrivés à destination et 9 ont été supprimés, a précisé la compagnie ferroviaire.

      En revanche, la SNCF ne connaît toujours pas les origines de la panne de signalisation : « La source du problème n’est pas complètement identifiée, mais circonscrite », a expliqué M. Chabanel, évoquant « un réseau vieillissant ».

      « Les investigations reprendront d’arrache-pied » dans la nuit de dimanche à lundi pour déterminer les causes de l’incident, a-t-il précisé.

      Le trafic risque ainsi d’être à nouveau perturbé lundi matin, comme l’a anticipé Mme Picard qui a d’ores et déjà prévenu qu’il y aurait « moins de trains » que prévu et conseillé « de voyager lundi plutôt dans l’après-midi ».

    • Montparnasse : trafic TGV toujours perturbé lundi, pagaille en gare - La Croix
      http://www.la-croix.com/France/Montparnasse-trafic-TGV-toujours-perturbe-lundi-pagaille-gare-2017-07-31-1

      Le trafic restait perturbé lundi à la gare Paris-Montparnasse, qui dessert l’ouest et le sud-ouest de la France, en raison d’une panne dont l’origine était toujours inconnue de la SNCF, provoquant la pagaille sur place.

      « On va annuler quelques trains, on va en regrouper d’autres. On va réussir à faire partir 3 trains sur 4 aujourd’hui (lundi) pour les TGV », a déclaré à franceinfo Rachel Picard, la directrice générale de SNCF Voyages.

      En ce qui concerne les autres trains (TER, Transilien, Intercités), « le trafic sera normal », a-t-elle assuré.

      Le site internet dédié aux Transilien indiquait toutefois que le trafic était perturbé sur certaines lignes, faisant état de ralentissements et de suppressions de trains.

      Mme Picard a ajouté qu’elle conseillait « plutôt de reporter » son voyage si possible, puisque les conditions en gare « ne vont pas être idéales ».

    • Gare Montparnasse : « on ne sait pas combien de temps ça peut durer » | L’interconnexion n’est plus assurée
      http://transports.blog.lemonde.fr/2017/07/31/gare-montparnasse-juillet-17

      17 armoires électriques. La panne, indique Rachel Picard, directrice générale de Voyages SNCF, est localisée au Poste relais à commande informatique (PCRI) de Vanves-Malakoff (Hauts-de-Seine), un « grand centre d’aiguillage » situé à moins de trois kilomètres de la gare. « Il y a 17 armoires avec des centaines de fils à l’intérieur qu’il faut vérifier un à un », explique-t-elle à France Info. Cette vérification ne peut en outre être « effectuée que la nuit, quand les trains ne roulent plus », précise le service de communication de la SNCF.
      […]
      Un précédent Gare de Lyon. Le week-end du 17 au 19 mars dernier, un poste d’aiguillage de la gare de Lyon, à Paris, avait été remplacé par une tour de contrôle entièrement informatisée. L’opération était programmée et annoncée longtemps à l’avance, les trains n’avaient pas été supprimés mais détournés vers les gares parisiennes de Montparnasse, Austerlitz et de l’Est. Au fond, c’est à une situation similaire que fait face la SNCF, mais dans la précipitation.

      A un détail près : Matthieu Chabanel, porte-parole de la SNCF, qualifie le système d’aiguillage de Montparnasse de « réseau vieillissant ». Les incidents se sont d’ailleurs multiplié ces derniers mois, comme le rappelle Le Monde. Mais le poste d’aiguillage de la gare de Lyon datait de 1933, alors que le réseau de la gare Montparnasse a été mis en place « dans les années 1990, avec le TGV Atlantique », indique M. Bussereau.

    • SNCF : la panne liée à « un défaut dans les travaux » de la LGV, selon Guillaume Pepy
      http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/08/01/gare-montparnasse-la-panne-localisee-trafic-encore-perturbe_5167279_3234.htm

      Le président-directeur général de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), Guillaume Pepy, a précisé mardi 1er août dans une interview à Ouest-France les causes de la panne de signalisation qui a provoqué un blocage d’une ampleur exceptionnelle depuis dimanche matin à la gare Montparnasse, à Paris. Selon lui, c’est « un défaut dans les travaux » des nouvelles lignes à grande vitesse vers Rennes et Bordeaux qui est « à l’origine de la panne ».

      Le problème provenait en effet d’un « défaut d’isolement » dans une alimentation d’un poste de commande de signalisation à Vanves, près de Paris. M. Pepy a précisé que cet équipement avait été « étendu dans le cadre de la mise en service des nouvelles lignes à grande vitesse vers Rennes et Bordeaux ».

      Ouf ! rien à voir donc avec l’insuffisance de maintenance…

      Et toujours le bazar sur le réseau…

      Trois TGV sur quatre circulaient en moyenne mardi, et un retour à la normale du trafic est prévu pour mercredi. Bien que la panne ait été réparée, la circulation restait difficile mardi, certains trains étant supprimés, regroupés ou encore déroutés vers la gare d’Austerlitz.

      en moyenne

  • Je prends un café dans le hall de gare
    Avec Zoé, ma grande Zoé
    Et ce sera souvent comme ça maintenant

    Il m’arrive de tomber
    Dans mes propres chausse-trappes
    Interdit, incrédule et amusé !

    Je reçois des messages de Zoé
    Qui ponctuent son voyage en train
    Comme des petits cailloux sur le ballast

    L’homme est une drôle de bestiole
    Qui catapulte sans trop y réfléchir
    Sa progéniture à 500 kms de là

    Dans le restaurant d’entreprise
    J’attends la fin de l’averse pour rejoindre
    Le café où j’écris mes poèmes

    Colis réceptionné
    Message de mon père
    La catapulte a fonctionné

    Je vais sûrement la croiser ce soir
    Je n’y pense pas tout le temps
    Je vais mieux. Jour pluvieux

    Séduire
    Et rester soi
    Psychologies magazine

    Création
    Ou
    relooking
    De votre site Internet

    Your woman
    Wants it bigger...
    (Does she, really ?)

    À Créteil, un automobiliste
    Tente de renverser des fidèles
    À la sortie d’une mosquée

    German professor
    Discovers
    Penis growth hormone

    États-Unis :
    Le réchauffement va creuser
    Les inégalités territoriales


    Se pourrait-il que certains jours
    Les spammeurs soient plus
    Inspirés que moi

    Adèle Van Reeth
    Lit Les Lettres à Théo
    De Vincent Van Gogh

    C’est comme si elle m’en faisait
    Cadeau, des années
    Que je ne peux plus les lire

    Je ne peux plus les lire
    Comme je ne peux plus écouter
    Les Doors et Hendrix

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/sons/jimi_hendrix.mp3

    Mon frère Alain
    Est parti
    Avec ces trois-là

    Je m’achète deux nouveaux shorts
    Pour cet été dans les Cévennes
    Je vais plaire aux sangliers

    http://www.desordre.net/musique/rollins.mp3

    Le disque avec lequel
    Tu vas passer le week-end
    The Bridge de Rollins. Intimidant

    Pour le moment tu ne l’écoutes pas
    Pour aller au concert ce soir
    Avec des oreilles propres

    Eric La Casa
    Jean-Luc Guionnet
    Home

    Et pour la première fois
    Depuis trois mois
    Je me suis senti bien à côté d’elle

    Café avec Zoé à Montparnasse
    Les spammeurs sont en forme
    Discussion entre amis après le concert

    #mon_oiseau_bleu

  • Le dîner du CRIF, rendez-vous incontournable des politiques
    Par lefigaro.fr Mis à jour le 22/02/2017 à 15:55
    http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/02/22/35003-20170222ARTFIG00021-le-diner-du-crif-rendez-vous-incontournable-des-p

    FOCUS - La principale instance de représentation des Juifs de France tiendra mercredi son dîner annuel. Le président de la République François Hollande sera là ainsi que le candidat de la droite François Fillon et celui de la gauche Benoît Hamon.

    Pour la 32e année consécutive, le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) tient son dîner de charité mercredi soir à l’hôtel Pullman à Montparnasse, où sont attendus les principaux candidats à la présidentielle. Cette année le dîner du CRIF est dédié aux Chrétiens d’orient, « en témoignage de solidarité ». C’est le premier dîner de Francis Kalifat en tant que président du Crif. Le président de la République François Hollande y sera présent. Selon nos informations , parmi les candidats à la présidentielle, sont attendus François Fillon et Benoît Hamon. Emmanuel Macron devrait être là également. D’autres politiques de tous bords sont attendus : le président de la région Nord Xavier Bertrand, le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, la maire de Paris Anne Hidalgo, mais aussi la ministre du Travail Myriam El Khomri, le député écologiste François de Rugy et la députée européenne Nadine Morano. Comme chaque année, le FN n’a pas été invité, car jugé incompatible avec les valeurs du CRIF. Jean-Luc Mélenchon non plus n’a pas été invité. Selon le président du CRif ces deux candidats n’ont pas été invités car « ils véhiculent la haine dans notre société ».

  • Le #web : une croyance partagée
    http://tcrouzet.com/2016/09/15/le-web-une-croyance-partagee
    http://i2.wp.com/tcrouzet.com/images_tc//2016/09/Göbekli_Tepe_site.jpg?fit=400%2C300

    Je ne peux alors m’empêcher de penser à ce que nous avons vécu durant les vingt premières années du Web. Nous avons été nombreux à croire qu’il changerait le monde d’une manière aussi radicale que l’agriculture. Pour certains, il s’agissait de la totalité du monde, avec un basculement des structures hiérarchiques au profit d’organisations horizontales, pour d’autres, il s’agissait du monde de la littérature, avec une mise en #réseau des auteurs et des lecteurs.

    Nous avons été innombrables à partager ces #croyances, à nous stimuler les uns les autres, à déborder d’activité et d’énergie. Nous avons rêvé, sans doute comme les artistes ont rêvé chaque fois que des mouvements esthétiques les ont emportés, à Montparnasse ou ailleurs. Ces brusques flambées, rendues possibles par une croyance commune, s’étiolent dès qu’elles se heurtent à la réalité. Il nous aura fallu une vingtaine d’années tout au plus pour que nous passions à travers le mur des illusions.

    Aujourd’hui, quand je consulte dans mon Feedly mes abonnements RSS, je n’y trouve presque plus aucun blogueur, non pas que les ai supprimés de ma liste mais parce qu’ils ont cessé de publier ou parce qu’ils écrivent de moins en moins. Je ne vois plus que les articles sans reliefs des journalistes, je ne vois plus que ce que je voyais avant dans les journaux papier, comme si j’avais rêvé de ma révolution.

    Certains bloguent encore, mais la croyance qui était nôtre ne les anime plus. Ils courent pour eux, pour exister au regard d’entités de #légitimation, celle des médias justement, celles des entreprises, des professeurs… Ils ne s’adressent plus à leurs pairs, dans un réseau de pair à pair, mais à ceux qui pourraient leur donner du pouvoir.

    #blogs

    • Ah ça cela ne doit pas être facile d’avoir cru pendant tellement de temps, finalement, qu’on était à soi seul le web et que ben voilà en fait peut-être pas et que le jouet il est tout cassé, sans, naturellement, se poser la question que c’est sans doute la généralisation de cette erreur égocentrique de perception qui aboutit à cette prise de conscience tardive.

      @fil a mille fois raison : #vieillir #c'est_pas_beau_de_vieillir

      Et celle-là... :

      Je suis redevenu un auteur à l’ancienne et je me demande maintenant où aller, peut-être devrais-je me résigner à écrire des livres et puis c’est tout.

      ... elle est hyper drôle, parce que Crouzet il écrivait des livres avant ? Et avant internet qui avait déjà entendu parler de Crouzet

    • Et dans l’article précédent, je trouve ceci :

      Je suppose également que les jeunes blogueurs (pas en âge mais en existence sur le Net) utilisent de nouvelles stratégies de diffusion et que leur lectorat est plus éclaté. Depuis que je publie mes billets en intégralité hors de mon blog (Feedly/RSS, Medium, ma page Facebook, Tumbr, newsletter…), je constate que chaque fois des lecteurs arrivent, différents de ceux du blog.

      Monsieur Crouzet, vous passez combien de temps par jour à scruter l’arrivée de vos « lecteurs » ? Combien de temps à chercher en vain des stratégies pour en augmenter le nombre au travers des réseaux sociaux etc...

      #pathétique

  • Ruée des jeunes français vers les armées
    http://www.lemonde.fr/attaques-a-paris/article/2015/11/19/ruee-des-jeunes-francais-vers-les-armees_4813438_4809495.html

    C’est du jamais vu. Les jeunes français se ruent à la porte de l’armée, pour s’engager. Depuis les attentats du 13 novembre, les demandes reçues par le site internet sengager.fr de la défense ont triplé. « Je suis sur le c… ! », n’hésite pas à s’exclamer jeudi 19 novembre le colonel Eric de Lapresle, chef du bureau marketing et communication du recrutement pour l’armée de terre, « c’est un phénomène totalement inédit ».

    La défense n’a pas voulu communiquer sur ce phénomène durant la période de deuil national, gênée de pouvoir laisser penser qu’elle « surfait sur les morts du 13 novembre ». Aujourd’hui, elle donne ses chiffres : elle reçoit 1 500 demandes par jour contre 500 avant les derniers attentats.

    L’armée de terre, qui exprime traditionnellement les plus gros besoins en effectifs, vivait déjà en 2015 une année exceptionnelle. En effet, après les attentats de janvier contre Charlie et l’Hyper Casher, le président de la République avait décidé de sauver une grande partie des postes qui devaient être supprimés dans la défense, et les bureaux de recrutement avaient dû repartir en campagne. Les régiments auront embauché 15 000 jeunes d’ici à la fin 2015, contre 10 000 en 2014.

    Et pour être curé ? #misère #armée

    • Je venais de lire ça :

      Attentats de Paris : l’armée reçoit de nombreuses candidatures - France Inter
      http://www.franceinter.fr/depeche-attentats-de-paris-l-armee-recoit-de-nombreuses-candidatures

      Le centre d’information et de recrutement de l’Armée de terre à Limoges estime à 25 ou 30% supplémentaires le nombre de demandes de renseignement par téléphone ou sur internet. « Pour certains, les attaques ont été un élément déclencheur, donc certains candidats se renseignent pour une carrière en tant que militaire d’active, d’autres qui ont déjà une vie construite se renseignent pour aider dans la réserve » précise le major Patrick Davos, chef du CIRFA.

    • La défense n’a pas voulu communiquer sur ce phénomène durant la période de deuil national, gênée de pouvoir laisser penser qu’elle « surfait sur les morts du 13 novembre ».

      A Paris sur la ligne 5 du métro il y a de nombreuses affiches pour le recrutement militaire.
      ....
      #surf

    • Suffit de passer dans une gare, pub X25 (si il y’a assez de place, comme à Montparnasse dans les grand halls sous verrières) en 4X4, et dans les métros etc, un max de pub, depuis un bout de temps, pour les seules formes de garantie de #revenu un peu sûres : matons, armée, police.

      En revanche l’église fait campagne pour le « denier du culte » en expliquant qu’ils ont du mal à payer les curés.

      Vu le peu de #salaire disponible, ils n’ont pas de problème de recrutement de soldats, flics et matin mais de qualité de ce recrutement. Elle augmente, il s’agit de l’améliorer encore.

    • Campagnes de recrutement : 27% des engagés quittent l’armée dans les 6 mois, Lieutenant-colonel Frédéric Le Saint, chargé de com’, 2003.

      http://leplus.nouvelobs.com/contribution/787681-armee-francaise-nous-peinons-a-recruter-malgre-des-millions

      « Les jeunes qui viennent à nous veulent de l’action, de l’aventure. Ils veulent que ça bouge. Surtout ceux, en majorité des garçons, qui s’intéressent à l’armée de Terre ». (...) Bien que les effectifs du ministère de la Défense soient orientés à la baisse, les armées ont besoin d’attirer 30.000 jeunes hommes et femmes chaque année, dont 15.000 militaires du rang afin de maintenir une moyenne d’âge relativement basse (33 ans pour le personnel militaire). (...) Ainsi pour un poste de militaire du rang à pourvoir, ils sont à peine deux à se présenter dans les CIRFA, et seulement 1,5 pour l’armée de Terre, selon le 6e rapport annuel du Haut comité d’évaluation de la condition militaire de juillet 2012. Difficile, dans ces conditions, de sélectionner du personnel de qualité. (...) Les principaux freins à l’engagement rejoignent les préoccupations de la société française. Concilier activité professionnelle et vie privée semble plus difficile pour les militaires. Et l’incontournable exigence de mobilité rebute une part croissante des jeunes Français. Enfin, dans une société qui refuse la violence, et toujours selon l’étude de l’IRSEM, 26% des jeunes estiment que les métiers militaires sont trop dangereux. (...) Les exigences de disponibilité, de mobilité ne sont plus dans l’air du temps. Les jeunes rêvent d’aventure, d’action et d’autres horizons. Soit. Mais de là à risquer sa vie loin du pays…

      La mort est, en effet, devenue insupportable pour nos contemporains, surtout la mort violente.

      http://leplus.nouvelobs.com/contribution/787681-armee-francaise-nous-peinons-a-recruter-malgre-des-millions

      #démission

  • Pour aller à Toulouse en train mardi, je devais faire un changement en gare de Bordeaux. Eh ben il y avait en plus de la police, des militaires avec mitraillette au bras sur le quai et dans le passage souterrain. J’ai déjà vu ça à Montparnasse, c’est #flippant et ça devient courant cette militarisation des espaces de transport public. C’est inquiétant je trouve. Je n’ai pas pris l’avion depuis un moment, ça doit pareil dans les aéroports, si ce n’est pire ?

  • L’ultime et coûteuse distinction
    http://www.marianne.net/L-ultime-et-couteuse-distinction_a238321.html

    Se distinguer dans la mort n’est pas à la portée du premier venu. Surtout à Paris, où le prix du mètre cube des cimetières huppés dépasse largement celui déjà fort élevé du mètre carré pour vivants.

    http://www.marianne.net/photo/art/default/982046-1163624.jpg?v=1398355168

    Se distinguer dans la mort n’est pas à la portée du premier venu. Surtout à Paris, où le prix du mètre cube des cimetières huppés dépasse largement celui déjà fort élevé du mètre carré pour vivants. Mais quand on a le sentiment d’avoir compté sur terre, on ne compte pas à l’heure de l’enterrement. Un trou bien placé se négocie difficilement en dessous de quinze mille euros, sans compter les frais de coffrage d’obsèques et, bien sûr le monument. Paris reproduit par ses cimetières la hiérarchie de l’existence. Les places intra muros étant chères et rares, les revenus moyens iront voir à Pantin (93), Bagneux (92) ou à Thiais (94). Du bon côté des boulevards des maréchaux, les cimetières de Montmartre, du Montparnasse et du Père Lachaise sont officiellement complets.

    Cependant, ceux qui ne possèdent pas de place réservée dans un caveau de famille peuvent obtenir leurs concessions en jouant de relations à la Mairie de Paris. Le renom et, mieux encore, la célébrité facilitent les démarches. Le choix du cimetière est un marqueur social. Montmartre est tout à la fois un sanctuaire bourgeois et un salon, où l’on reposera auprès de Madame Récamier et frères Jules et Edmond de Goncourt. Stendhal apprécie peut-être.

    C’est aussi une scène, depuis Offenbach et ses librettistes Meihlac et Halévy, jusqu’à Michel Berger et Dalida. Au détour d’une allée, on apprendra à relativiser la dernière demeure, en découvrant l’épitaphe du poète Henri Heine : « passant, ici se trouvent les os du malheureux poète, comme il regrette que ce ne soient pas les tiens ! ». De l’autre côté de la Seine, l’esprit de la rive gauche se concentre à Montparnasse, où Topor rit toujours, en songeant à ses voisins, Sartre et Simone de Beauvoir, Marguerite Duras ou Eugène Ionesco. C’est aussi à Montparnasse que Gainsbourg est allé voir si Dieu est vraiment un fumeur de Havane. Le cimetière a évolué avec le quartier, passant de la bohème au grand chic intellectuel. Mais il n’y a pas de cimetière modeste à Paris.

    Celui du Père Lachaise accueillait déjà des gloires, Molière, Auguste Comte ou Balzac, quand il était environné de quartiers misérables. Cette situation géographique lui a valu d’être, en mai 1871, le dernier refuge des combattants de la Commune de Paris, fusillés au mur des Fédérés. Ce souvenir et celui des défilés commémoratifs des partis ouvriers ont donné au Père Lachaise une connotation de gauche. L’aristocratie communiste possédait son carré. Le funérarium, le seul à Paris, favorise les ultimes manifestations d’athéisme. Avec ou sans incinération, on ne saurait faire mieux qu’un cérémonie dans la grande salle, qui permet de finir sous la coupole.

    Désormais Jim Morrison attire plus de pèlerins que les Communards, le gisant de Victor Noir conserve sa réputation sulfureuse et le Père Lachaise est à l’image des quartiers environnants. Il est la dernière demeure des bobos qui peuvent rejoindre le premier couple emblématique de la gauche dorée, Simone Signoret et Yves Montand. A Paris, la mort ressemble à la vie : elle est réservée à quelques castes très parisiennes. Des bourgeois, supposés décalés, les plus traditionnels préfèrent Neuilly, ou mieux encore, le caveau de famille de leur terre d’origine.

    #enterrement
    #mort
    #business-de-la-mort

    • Un bel enterrement n’est pas une improvisation. Il faut y consacrer sa vie.

      Propos de O.L. Barenton, confiseur, Auguste Detoeuf, 1948

      Ouvrage parfaitement incontournable.
      La citation ci-dessus doit être la première phrase du sous-chapitre : Dispositions à prendre pour s’assurer un bel Enterrement

  • La région Ile-de-France renonce au dézonage permanent du pass Navigo
    http://transports.blog.lemonde.fr/2013/11/29/la-region-ile-de-france-renonce-au-dezonage-permanent-du-pass-navigo/#xtor=RSS-32280322

    Payer le même tarif pour se rendre des cités de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) aux tours de La Défense qu’entre Montparnasse et Belleville ? Ça ne va pas être possible. En tous cas, pas tout de suite. La suppression des « zones », qui régissent les tarifs des transports en Ile-de-France, coûterait trop cher. Le « dézonage » du pass Navigo, déjà effectif le week-end et pendant un mois en été, aurait assuré un tarif unique à tous les abonnés des transports en Ile-de-France, où qu’ils vivent, à Mantes-la-Jolie (Yvelines), Morsang-sur-Orge (Essonne) ou en plein Quartier latin. La mesure devait instaurer une « égalité » entre les Franciliens, au-delà des lieux de résidence. Ce sont les écologistes qui, lors de la campagne des élections régionales de 2010, sous l’impulsion du maire (transfuge du PC) de Sevran, (...)

    • Quand tu vois le prix des transports et le temps que tu dois y passer si tu habites en lointaine banlieue, c’est vraiment #desgueulasse. Au #STIF c’est des sacrés #connards depuis longtemps, le progrès chez eux c’est toujours plus de contrôle et de répression sur des transports hors de prix dans des conditions hallucinantes, pour les travailleurs et les voyageurs. Les transports publics en Ile-de-france forment un centre d’essai pour tester la soumission sécuritaire et publicitaire.

    • Les petits couples avec enfants ont des bagnoles. Là dessus, je trouve le compromis du week-end très insuffisant. Le week-end n’est pas le temps de repos de tout le monde, et la mobilité de nombreux banlieusards est si réduite que l’envisager sur le plan écologique me parait hors de propos.

    • Je pars du principe que les transports doivent être rendus gratuits : le prix du billet paye le système de contrôle alors que le coût du transport est déjà prélevé sur les impôts. Cela à la fois pour tendre vers une égalité sociale et pour diminuer l’usage individuel d’engins polluants. J’ai du mal à envisager les raisons qui rendraient gratuits les transports seulement le week-end.

      Serait-ce basé sur une philosophie dichotomique judéo-chrétienne entre les deux principes travail/souffrance/culpabilité (tu dois payer) et vacances/plaisir/gratuité, le deuxième étant bien entendu exceptionnel et sert à confirmer la règle du premier.
      Je ne crois pas que d’échapper à la contribution de la caisse publique soit suffisamment attractif, le trajet domicile/travail est souvent rédhibitoire, plus que le coût du voyage (il me semble). Le problème des zones pavillonnaires est du domaine industriel et politique (s’il en reste) pas vraiment le fait du petit couple. Qu’on réduise l’espace entre les deux principes évoqués plus haut, voire même que la législation les abolisse, mais qu’on arrête de faire bosser les gens à 2h00 de transports de chez eux ! Et puis, le week-end, les transports ne servent pas vraiment, (alors que tout le monde a bien sa carte navigo) car peu ont envie de se taper encore le train de banlieue alors qu’on peut enfin profiter du domicile.

  • Paul Belmondo
    Alger 1898 — Paris 1982

    Montparnasse
    2è division


    (tombe discrète, au ras du sol, en granit tout simple)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Belmondo_(sculpteur)

    On lit parfois à son sujet « le dernier sculpteur classique ». Son style néo-classique le rapproche de son ami Arno Breker.
    (cf. cette note, à la conclusion plutôt marquée…

    Jean Monnet, … a écrit, peu avant sa mort :
    s’il fallait refaire l’Europe, je commencerais par la culture .
    C’est tout simplement ce qu’avaient déjà fait Belmondo et Breker.

    http://causerie.20minutes-blogs.fr/archive/2009/08/17/belmondo-et-breker-les-deux-amis-fideles.html )

    Cette amitié et sans doute quelques sympathies le conduisirent, pendant la guerre, à être membre du Groupe Collaboration dans l’orbite d’Otto Abetz. http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Collaboration. Avec Othon Friesz, il en fut vice-président de la section arts plastiques et participa au fameux « voyage à Berlin » en 1941.


    Sur le quai de la gare de l’Est, les peintres Derain, Vlaminck, Van Dongen, Friesz, Dunoyez de Ségonzac, Oudot, Legueult, Janin, et les sculpteurs Despiau, Bouchard, Belmondo, Lejeune et Landowski.
    (de : http://philipperbs.blog.lemonde.fr/2011/07/07/van-dongen )

    De WP :

    En 1945, Paul Belmondo fut jugé par le tribunal d’épuration des artistes plasticiens et fut interdit de ventes et d’exposition pendant un an.
    (…)
    Il devient professeur à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris en 1956 et membre de l’Institut de France en 1960.

    Son atelier était situé au 77, avenue Denfert-Rochereau dans d’anciennes écuries (actuellement derrière un immeuble neuf). Le contenu a été donné par les héritiers à Boulogne-Billancourt, à charge pour la mairie de créer un musée. http://www.leparisien.fr/paris/au-coeur-de-l-atelier-du-sculpteur-paul-belmondo-05-05-2007-2008004191.ph

    Musée Paul-Belmondo
    http://www.boulognebillancourt.com/cms/index.php?option=com_content&task=view&id=2181

    Œuvres à Montparnasse
    (au moins) 2 médaillons
    toutes les 2 dans la 27è division (côté petit cimetière)

    André Dignimont


    http://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Dignimont

    Othon Friesz, peintre français


    http://fr.wikipedia.org/wiki/Othon_Friesz

    Dans Paris
    Apollon au jardin des Tuileries


    (accompagné à quelques mètres de Jeannette,
    de : http://www.cbx41.com/article-22695685.html )

    Index : http://seenthis.net/messages/161324