• Service et rémunération des enseignants en classe préparatoire aux
    grandes écoles (CPGE)

    Source : Gérer les enseignants autrement / Publications / Publications / Accueil - Cour des comptes
    http://www.ccomptes.fr/Publications/Publications/Gerer-les-enseignants-autrement

    Dans ce rapport, on trouve les informations sur les rémunérations des professeurs de classes préparatoires (p.81) :
    Service et rémunération des enseignants en classe préparatoire aux
    grandes écoles (CPGE)

    Service et rémunération des enseignants en classe préparatoire sont les plus favorables de l’ensemble des cas étudiés. Les obligations réglementaires de service sont de 8 à 11 heures d’enseignement hebdomadaire, selon la taille de la classe. La rémunération nette annuelle est en moyenne, entre 10 et 20 ans d’ancienneté, de 49 296 € pour les agrégés et de 63 470 € pour les chaires supérieures, mais avec des maxima beaucoup plus élevés : 79 677 € pour les agrégés et 97 979 € pour les chaires supérieures de la même tranche d’ancienneté.
    L’importance de ces rémunérations par rapport à celle des autres agrégés résulte du niveau élevé des rémunérations accessoires versées au titre des heures supplémentaires et des heures d’interrogation. En moyenne, les heures supplémentaires annuelles perçues par les agrégés représentent entre 8 228 € et 8 537 € selon l’ancienneté. Le niveau moyen élevé ainsi atteint tient à ce que les obligations réglementaires de service (ORS) des enseignants en classe préparatoire peuvent générer mécaniquement des heures
    supplémentaires (73). Les heures d’interrogation individuelles participent également à cet écart : ces heures, plus communément appelées « heures de colle », sont en général assurées par les enseignants de ces classes. Pour les professeurs de chaire supérieure, le taux des heures d’interrogation varie de 53,88 € à 74,08 € de l’heure. Il a été relevé que certains enseignants
    perçoivent plus de 30 000 € par an au titre des heures d’interrogation (74).

    Notes de bas de page

    (73) L’enseignant de CPGE ayant la rémunération la plus élevée dans l’échantillon étudié (107 339 €) est un agrégé de langues vivantes classé au 6ème échelon de la hors classe. Son ORS est de 9 heures, mais il fait 8 HSA qui lui procurent un complément de revenu annuel de 45 819 €. Il a aussi perçu 14 505 € au titre des heures d’interrogation de ses élèves.
    Il existe, selon les filières et les disciplines, des discordances entre obligations réglementaires de service (ORS) et grille hebdomadaire des programmes. Par exemple, en première année de mathématiques supérieures (MPSI), 12 heures hebdomadaires de mathématiques sont prévues dans les grilles horaires : l’enseignant
    de cette discipline bénéficie mécaniquement de plusieurs HSA compte tenu de son ORS.
    (74) Un enseignant de l’académie de Bordeaux a fait 537 heures d’interrogation au cours d’une seule année scolaire.

    #éducation
    #inégalités
    #enseignement_supérieur

  • Du souci scolaire au sérieux managérial, ou comment devenir un « HEC » - Cairn.info
    http://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-2007-1-page-37.htm

    De là, la nécessité pour cette fraction de la bourgeoisie d’avoir accès, pour ses enfants, à des écoles qui « introduisent aux choses intellectuelles sans faire des intellectuels », qui scolarisent leurs élèves à un haut niveau tout en les préparant à un monde où les valeurs scolaires n’ont pas cours, qui décernent des brevets de « culture savante », sans détourner de cet essentiel qu’est la « culture des affaires ».

    #élites #tensions #enseignement_supérieur #grandes_écoles #commerce #domination

  • Le #rire comme #manifestation #publique
    http://www.franceculture.fr/blog-ceci-n-est-pas-un-blog-2013-09-30-le-rire-comme-manifestation-pub

    Il y a deux ans, - le 19 janvier 2011 très exactement-, il est arrivé à Madame Pécresse une petite mésaventure. Alors #Ministre de l’#Enseignement_supérieur et de la #recherche, elle était invitée sur un plateau de télévision où elle prononça cette phrase : ” L’#économie_numérique connaît des révolutions tous les jours, quand on voit qu’aujourd’hui #Facebook détrône #Google, Facebook qui …

  • Le parlement français adopte pour la première fois une disposition législative donnant la priorité au logiciel libre | April
    http://www.april.org/le-parlement-francais-adopte-pour-la-premiere-fois-france-une-disposition-leg

    Le parlement français vient d’inscrire pour la première fois dans la loi la priorité au logiciel libre pour un service public, avec l’adoption du projet de loi enseignement supérieur et recherche. L’April, qui a beaucoup contribué aux débats, se réjouit tout particulièrement de ce vote et félicite les députés et sénateurs d’avoir reconnu l’importance des logiciels libres pour le service public de l’enseignement supérieur1, car eux seuls permettent de garantir l’égal accès de tous à ce futur service public. L’April espère que cette première étape sera suivie par d’autres dispositions législatives en faveur du logiciel libre. Elle remercie également tous ceux qui se sont mobilisés pour contacter les parlementaires.

    #logiciels_libres #enseignement_superieur

  • La CMP sur le projet de loi ESR confirme la disposition donnant la priorité au logiciel libre | April
    http://www.april.org/la-cmp-sur-le-projet-de-loi-esr-confirme-la-disposition-donnant-la-priorite-a

    Les députés et sénateurs membres de la commission mixte paritaire (CMP) sur le projet de loi relatif à l’enseignement supérieur et à la recherche ont confirmé ce mercredi 26 juin 2013 la disposition législative donnant la priorité aux logiciels libres pour le service public de l’enseignement supérieur. L’April se réjouit tout particulièrement de ce vote et félicite les députés et sénateurs. L’April remercie également tous ceux qui se sont mobilisés pour contacter les parlementaires.

    #logiciels_libres #enseignement_superieur

  • Excerpt from: Uncounted and Unacknowledged: Syria’s Refugee University Students and Academics in Jordan | Watenpaugh | Syrian Studies Association Bulletin
    https://ojcs.siue.edu/ojs/index.php/ssa/article/view/2874/841

    During our interviews, it became apparent that asking if a university remains open is the wrong question; rather the more important question is: can students come and go safely from the university? Throughout the areas under its control, the Syrian military has established a vast network of checkpoints. At these checkpoints civilians and their vehicles are searched and their papers examined, and students and faculty can be detained or arrested at the discretion of soldiers, secret policemen and militiamen. Similar checkpoints exist in rebel held areas. Students reported having to pass through multiple checkpoints on their way to the university, adding hours to their journey. Women students in particular expressed concern about personal safety when encountering the soldiers manning the checkpoints. In what appears to be a very recent development, the Syrian government is no longer consistently honoring military deferments and is simply seizing young men when stopped and sending them to conscript induction centers.

    Although Syrias universities themselves have largely escaped the violence of the civil conflict in Syria, there are notable examples to the contrary, as discussed above. Nevertheless, the infrastructure of the universities remains largely intact. Classrooms, libraries, research facilities have not been the target of violence or looting – and certainly not on the scale of what happened to universities in Iraq in 2003. The collapse is more a problem of human capacity, safety and trust, at least for the moment.

    In many important ways, Syrias universities served as the place where a modern Syrian citizenship could be conceived and enacted. On campus, Syrians of diverse religious and ethnic backgrounds — admittedly almost all middle class — could mix, establish friendships and imagine belonging to a Syrian polity in ways that even many of their parents and certainly grandparents could not. A striking feature of the collapse of the social role played by Syrian universities was illustrated in our conversations with Sunni Muslim students from al-Baath University just outside the Syrian city of Homs. Located at the intersection of Sunni Muslim and Alawite communities, al-Baath University is one of the few social spaces outside of the military where members of these two religious communities meet. For the Sunni Muslim refugee students we spoke with, they could recall a moment in the conflict, corresponding to the fierce Spring 2012 Battle of Baba Amru, when they became more conscious and aware of the importance of the difference between themselves and their Alawite classmates. This awareness was accompanied by fear and distrust. It is unclear if Syrian universities can recover their former role of providing a space where different groups can interact, though the hope certainly remains that they can serve as a platform for reimagining post-conflict Syrian society.

    #Syrie
    #enseignement_supérieur
    #université
    #réfugiés

  • Geneviève #Fioraso, ministre de l’#enseignement_supérieur et de la #recherche (ESR) en bonne voie pour devenir la prochaine titulaire de la déshonorante carpette anglaise avec sa loi autorisant - systématisant- les cours en #anglais sous prétexte d’#internationalisation. On va vers une baisse des taux de réussite et une baisse encore plus importante du #français dans la recherche mais également de manière indirecte dans tous les autres secteurs (commerce par exemple). Cela montre le peu d’attachement à la #francophonie qui est pourtant dynamique démographiquement.

    Professeur au #collège_de_France, Antoine Compagnon, a aussitôt bondi : « Je l’invite à franchir les quelque deux ou trois cents mètres qui séparent son bunker ministériel des amphis du Quartier latin pour découvrir le monde réel, lui répond-il dans nos colonnes. En anglais, on parle de friendly fire pour désigner le genre d’action que vient de mener la ministre. Car Mme Fioraso nous tire dans le dos alors que nous montons au front. »

    [...]

    Les associations de défense de la langue française tempêtent avec leurs petits moyens. Régis Ravat, président de l’association Francophonie avenir, se désole de constater « l’anglicisation progressive de notre pays, encouragée par la droite comme la gauche. La ministre Fioraso dit "langue étrangère" dans sa loi mais c’est d’une totale hypocrisie. Tout le monde sait qu’elle veut dire "anglais". Maintenant, même pour un CAP de carrossier, on impose de parler anglais. Au nom, paraît-il, d’une ouverture vers le monde... Je dirais au contraire qu’on s’enferme. On se tourne vers le seul monde anglosaxon. »

    Même l’#Académie_française s’est offusquée de ce texte rédigé, dit-elle, en des termes trop vagues. « Il ne paraît ni opportun, ni même possible d’adopter pareille disposition de loi dont la valeur symbolique serait d’autant plus grande qu’elle serait plus vague et qui inaugurerait de véritables franchises linguistiques dans les universités françaises », jugent les membres de l’Académie dans une déclaration commune datée du 21 mars. L’article 2 de la loi Fioraso autorise l’enseignement en langue étrangère dans le cadre d’« un accord avec une institution étrangère » ou « d’un programme européen ». L’Académie alerte « sur les dangers d’une mesure qui se présente comme d’application technique, alors qu’en réalité elle favorise une marginalisation de notre langue ».

    Source : http://www.liberation.fr/societe/2013/04/12/l-universite-francaise-va-t-elle-parler-anglais_895729

    • Et dans le même genre avec l’absurdité du tout anglais à la #commission européenne :

      Une maîtrise imparfaite d’une langue peut donc déboucher sur une catastrophe, notamment dans le domaine financier où les marchés sont à l’affut, comme a pu le tester Dijsselbloem. Plus personne n’osant, à Bruxelles, reconnaître qu’il ne maitrise qu’imparfaitement cette langue, c’est un véritable règne de terreur linguistique qui s’est imposé. « Alors que des services entiers de la Commission ne comptent pas un seul anglophone de naissance, on parle et on écrit uniquement anglais, un anglais appauvri qui appauvrit la pensée », reconnaît un fonctionnaire européen. « Il faut voir ce qui sort de nos services », poursuit notre interlocuteur. Et ce, même si une majorité de fonctionnaires desdits services parlent mieux le français que l’anglais, par exemple : « il suffit qu’il y ait une seule personne qui ne parle pas français pour que l’on travaille tous en anglais ». Recourir à un interprète ou à un traducteur est presque devenu une marque de manque de savoir-vivre… Pourtant, les institutions communautaires devraient s’interroger : mal maitriser une langue, qui plus est comprise par une minorité de la population européenne, n’est-ce pas là un des facteurs de l’incapacité de l’Union à communiquer clairement ? N’y a-t-il pas un lien entre l’appauvrissement de la pensée européenne et la réduction à la portion congrue de son dictionnaire linguistique ?

      Au moins, à l’issue de cette chronique, vous aurez tous, moi y compris, appris un nouveau mot : « template ». Thank you, Luke !

      Source : http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2013/04/template-jai-dit-template-comme-cest-template.html

  • Bientôt des cours filmés de l’École Polytechnique gratuitement sur Internet : l’enseignement supérieur de demain se fera-t-il à distance ?

    http://orientation.blog.lemonde.fr/2013/02/27/bientot-des-cours-de-lecole-polytechnique-gratuitement-sur-

    Aux États-Unis ils s’appellent Coursera, Udacity ou edX, au Royaume-Uni FutureLearn s’apprête à se lancer, tous mettent en ligne des centaines de cours gratuits. En France les MOOC n’existent aujourd’hui quasiment pas mais tout le monde en parle. En annonçant, qu’elle allait mettre gratuitement en ligne quelques cours à la rentrée 2013 sur une partie qui lui sera dédiée du site Coursera (lire plus bas), l’École Polytechnique rejoint un mouvement qui a débuté aux États-Unis en 2011 quand l’université de Stanford a ouvert son premier cours en ligne sur l’intelligence artificielle.

    Auparavant, la Khan Academy mettait bien des cours en ligne mais ne se prenait pas pour une grande université pour autant. A la suite de Stanford, ce sont toutes les grandes universités américaines qui ont rejoint un mouvement qui a littéralement frappé le monde de l’enseignement de stupeur. Mais comment les universités américaines peuvent-elles mettre – gratuitement - en ligne des contenus qu’elles font normalement payer cher, très cher, à des étudiants triés sur le volet ? « La création de MOOC est réservée à de grands établissements qui inventent ainsi de nouveaux business models : l’enseignement est gratuit à l’entrée mais payant à la sortie, lorsqu’il faut délivrer un diplôme ou un certificat à ceux qui ont suivi gratuitement les cours en ligne », répond Jean-François Fiorina, le directeur adjoint du groupe Grenoble École de management.

    #MOOC
    #enseignement_supérieur

  • Il est temps d’en finir avec Sciences Po !
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/11/28/il-est-temps-d-en-finir-avec-sciences-po_1797068_3232.html

    Du rapport de la Cour des comptes sur l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris et la fondation privée qui le parraine, alias « Sciences Po », on risque de ne retenir que les acrobaties de quelques notables destinées à « obésifier » leur portefeuille.

    Mais ce n’est qu’un à-côté, une espèce de dommage collatéral de la haute idée que les gestionnaires d’une telle institution se doivent d’avoir d’eux-mêmes. L’"arrogance" relevée par un député après avoir entendu Jean-Claude Casanova et Michel Pébereau n’est pas un vice accessoire.

    Elle est la contrepartie nécessaire d’un projet d’établissement qui, depuis cent quarante ans, sape l’égalité des chances pour reconduire une classe dirigeante.

    #sciences_po #enseignement_supérieur

    • Car c’est le second scandale : non seulement l’Etat républicain consacre les prétentions exorbitantes de l’IEP par un statut dérogatoire, mais il les remplume. Un étudiant y coûte 50% plus cher qu’un étudiant d’université, bien que les matières enseignées ne soient pas les plus coûteuses en équipement, et que 93 % des enseignements soient assurés par des vacataires.

      Malgré une vertigineuse augmentation des droits d’inscription au cours des dernières années, l’Etat débourse 20 % de plus pour un étudiant à l’IEP que pour un étudiant d’université (à disciplines comparables, l’écart est encore plus grand).

      Autrement dit, à travers une fiscalité qui, reposant sur la TVA, affecte d’abord les classes populaires et moyennes, on finance les études chères des classes déjà privilégiées.

      On pourrait s’amuser de cette obstination, encore, si l’entre-soi se tramait autour de la dégustation d’un cigare ou d’une chasse à la bécasse, comme y invitent certains clubs de l’association des anciens.

      Mais il s’agit de quelque chose d’autrement plus sérieux : le maintien d’une domination. En 1872, juste après la Commune de Paris et le rétablissement du suffrage universel masculin, Emile Boutmy (1835-1906) créait Sciences Po en lui donnant une claire mission : « Contraintes de subir le droit du plus nombreux, les classes qui se nomment elles-mêmes les classes élevées ne peuvent conserver leur hégémonie politique qu’en invoquant le droit du plus capable.

      Il faut que, derrière l’enceinte croulante de leurs prérogatives et de la tradition, le flot de la démocratie se heurte à un second rempart fait de mérites éclatants et utiles, de supériorité dont le prestige s’impose, de capacités dont on ne puisse pas se priver sans folie. »

      du coup j’ai aussi lu la tribune de #Latour en défense de l’institution : http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/11/28/richard-descoings-est-mort-pour-la-seconde-fois_1797069_3232.html

  • Combien coûte un étudiant ? at JFM’s blog
    http://jfmela.free.fr/jfmblog/?p=261#more-261

    Quand à nos universités en général, les ordres de grandeur des budgets par étudiant sont tels que les politiques mises en œuvre peuvent paraître dérisoires (en particulier les politiques éducatives). Les universités « de haut niveau de recherche » ne sont guère mieux traitées que les autres. D’où la tentation de concentrer les moyens sur quelques pôles, qu’on a vu s’esquisser dans la période récente. Mais, à volume constant, cette concentration des moyens existants sur quelques pôles, appauvrit de façon excessive et inconsidérée le reste du système. Les solutions à l’anglo-saxonne consistent à mobiliser massivement des financements privés (familles, entreprises, mécénat…) : frais de scolarité qui représentent de l’ordre de 20% du budget dans les universités publiques et près du double dans les universités privées ; subventions de recherche de fondations privées ; dons de particuliers qui viennent constituer un capital (endowment) plus ou moins important[15]… Ces solutions sont culturellement éloignées de nous, et présentées par beaucoup comme antidémocratiques. On peut, sans aucun doute, refuser l’idée de créer un marché de l’enseignement supérieur régulé par les frais d’inscription et la concurrence, mais ne voit pas comment accroître notablement les moyens de l’enseignement supérieur sans faire contribuer les bénéficiaires[16]. La « gratuité » de l’éducation a une grande importance symbolique chez nous, mais le système français est à la fois « gratuit », socialement sélectif et antiredistributif. Au-delà des problèmes structurels, la question du changement de dimension du financement de l’enseignement supérieur est la plus importante aujourd’hui. On peut craindre, malheureusement, qu’elle ne soit pas posée de si tôt.

    #université
    #enseignement_supérieur

  • Le gouvernement envisage la fin de la gratuité des classes prépas
    http://www.lemonde.fr/enseignement-superieur/article/2012/09/17/le-gouvernement-envisage-la-fin-de-la-gratuite-des-prepas_1761175_1473692.ht

    La formation la mieux encadrée, la plus onéreuse par étudiant pour l’Etat, celle qui ouvre les portes des très grandes écoles et, du même coup, les postes les plus en vue du pays est gratuite. Aucun droit d’inscription n’est demandé aux étudiants en classe préparatoire aux grandes écoles, quand l’inscrit à l’université s’acquitte de 181 euros.

    #enseignement_supérieur #prépas

  • Ministre de la #recherche de profits | Claire Berthelemy et Pierre Leibovici
    http://owni.fr/2012/05/24/lautre-cv-de-genevieve-fioraso

    Inconnue du grand public, la nouvelle ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche est une star dans la région grenobloise, où elle multiplie les casquettes. Avec un savant mélange des genres entre public et privé. Et une foi inébranlable dans les nanotechnologies, la biologie de synthèse et les business-plans qui vont avec.

    #Factchecking #Politique #Pouvoirs #enseignement_supérieur #françois_hollande #Geneviève_Fioraso #recherche_et_développement

  • Mobilité des étudiants.

    La vidéo sur la page d’accueil de l’émission : http://ddc.arte.tv

    Aujourd’hui, avec la démocratisation et la mondialisation de l’enseignement supérieur, les étudiants sont de plus en plus nombreux et de plus en plus mobiles. Le Dessous des Cartes analyse les nouveaux rapports de force dans le domaine du savoir, et notamment les stratégies des grands acteurs de ce secteur : les étudiants, les établissements d’enseignement supérieur, les États et les entreprises.

    De nombreuses références : http://ddc.arte.tv/autour-du-sujet/le-savoir-une-question-geopolitique

    #étudiants #mobilités #enseignement_supérieur #université

  • Interview du ministre de l’ #enseignement_supérieur dans le Monde (version complète dans l’édition abonnée).

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/08/30/laurent-wauquiez-nous-allons-tester-un-passeport-logement-etudiant_1565175_3

    Il leur suffira de se rendre dans leur antenne du Crous qui vérifiera que le logement en question garantit un bon niveau de confort et que le loyer n’est pas exorbitant, dans le but de protéger les étudiants

    C’est une bonne idée mais quels moyens seront accordés aux CROUS pour faire ce boulot ? Parce que s’il faut attendre 3 mois, cela ne sert pas à grand chose.

    Et sinon, il serait peut-être bien utile de lutter contre les vendeurs de liste comme le demande la #Confédération_étudiante et également contre des loyers parfois (soiuvent ?) abusifs comme à Paris.

    #logement #étudiants #Université