• Google’s Multilingual Neural Machine Translation System : Enabling Zero-Shot Translation
    https://arxiv.org/abs/1611.04558

    Un aperçu du fonctionnement de #google_translate (cet article traite du système en production).

    La nouveauté #recherche est qu’en mélangeant toutes les langues dans un unique modèle, les résultats sont d’une qualité équivalente tout en utilisant moins de phrases que dans les systèmes où les langues sont uniquement traitées par paires.

    Mieux, un système entraîné sur des traductions EN<->PT et ES<->PT saura traduire EN<->ES avec une bonne performance, à la façon du « style transfer » vu sur les peintures.

    D’où la question : le modèle ainsi entraîné reconnaît-il des « concepts fondamentaux » du langage ?

    We propose a simple, elegant solution to use a single Neural Machine Translation (NMT) model to translate between multiple languages.

    #traduction_automatique #machine_learning #neural_network

  • Botched English Translation in Kyoto Implies Elderly People Are “Terrible Drivers” · Global Voices
    https://globalvoices.org/2016/10/02/botched-english-translation-in-kyoto-implies-elderly-people-are-terrib

    A notice board displayed at the newly opened Kyoto Driver’s License Renewal Center last month featured a rather unfortunate mistranslation. The Japanese word 高齢運転者 (koreiuntensha), meaning “senior driver”, was incorrectly — and perhaps mischievously — translated as “terrible driver”.

    The mistranslation was displayed on electronic noticeboards both at the entrance to and inside the center from September 1-20.

    #marrant #traduction #lost_in_translation

  • Traduire comme on joue au Go ?
    https://lejournal.cnrs.fr/billets/traduire-comme-joue-au-go

    Les récents progrès réalisés dans le domaine de l’intelligence artificielle impressionnent, comme l’a montré la victoire du logiciel AlphaGo sur le champion du monde de Go. Il y a pourtant des domaines qui résistent encore et toujours à la mise en algorithme, notamment la traduction. François Yvon, spécialiste du sujet, nous explique pourquoi.

  • Google unleashes deep learning tech on language with Neural Machine Translation | TechCrunch
    https://techcrunch.com/2016/09/27/google-unleashes-deep-learning-tech-on-language-with-neural-machine-tran
    https://tctechcrunch2011.files.wordpress.com/2016/02/shutterstock_181640888.png?w=764&h=400&crop=1

    Translating from one language to another is hard, and creating a system that does it automatically is a major challenge, partly because there’s just so many words, phrases, and rules to deal with. Fortunately, neural networks eat big, complicated data sets for breakfast. #Google has been working on a machine learning translation technique for years, and today is its official debut.

    The Google Neural Machine Translation system, deployed today for Chinese-English queries, is a step up in complexity from existing methods

    #traduction #AI #IA #machine_learning #neural_network

    http://zinc.mondediplo.net/messages/37993 via BoOz

    • La traduction d’une langue à l’autre est difficile, et la création d’un système qui le fait automatiquement est un défi majeur, en partie parce qu’il y a seulement tant de mots, des phrases et des règles à traiter. Heureusement, les réseaux de neurones mangent grands ensembles, de données complexes pour le petit déjeuner. Google travaille sur une technique de traduction d’apprentissage de la machine pendant des années, et est aujourd’hui ses débuts officiels.

      Le système Google Neural Machine Translation, déployé aujourd’hui pour les requêtes chinois-anglais, est une étape dans la complexité des méthodes existantes

      ça c’est la traduction actuelle, qui est déjà pas mal mais encore visiblement bugguée ; à voir quand on aura la version neurale

  • How I translate my website - romy.tetue.net
    http://romy.tetue.net/how-i-translate-my-website
    http://romy.tetue.net/comment-je-traduis-mon-site

    Traduire un site ne se limite pas à en traduire les différents textes qu’il contient. Il faut aussi repenser la navigation parmi ceux-ci. Comment organiser tout cela dans un site multilingue, c’est-à-dire contenant des articles dans différentes langues et où l’internaute, ce chenapan, peut modifier la langue de l’interface à tout moment ?

    #multilinguisme #traduction #translation #LostInTranslation

  • A propos de la fiabilité des statistiques...

    je racontais avec l’histoire de la carte artistique de la guerre froide prise pour « argent comptant » qu’on ne vérifiait jamais assez. Preuve ce matin avec les statistiques du PNUD (http://hdr.undp.org). ET encore une fois, je ne jette pas la pierre car on peut tout à fait tous se tromper. L’idée ici est juste d’une part de le signaler pour que ce soit corrigé et d’autre part d’alerter profs et élèves d’avoir systématiquement un regard critique sur les cartes, les stats, les données qui nous passent entre les mains, de systématiquement vérifier, croiser (quand c’est possible), et toujours indiquer les sources pour que les erreurs soient traçables.

    Je travaille sur un projet "progrès dans l’alphabétisation dans le monde, et je consulte le fichier pdf du Rapport sur le développement humain 2015, et dans le tableau 10 alphabétisation ds jeunes, j’apprends que le taux d’alphabétisation des jeunes en Afrique subsaharienne est de 87% pour les femmes et 93% pour les hommes... Ce qui est absolument impossible.

    Le fichier pdf est une traduction française d’un rapport initialement écrit en anglais, et je commence les vérifications en téléchargeant le rapport en anglais, et je comprends qu’il y a une énorme bourde : en faisant la traduction, ils sont reclassés les pays... sans prendre les colonnes de chiffres ! de sorte que les pays ont bien été reclassés par ordre alphabétique dans la version française, mais les colonnes de chiffres sont resté à leur place... Du coup, à l’Afrique subsaharienne sont attribuées les données des pays arabes, etc... Et si on utilise ces chiffres sans se poser de questions, on obtiendra une carte ou un graphique complètement faux qui risque de se multiplier pendant des années sur Internet et dans les manuels scolaires.

    Bref... Soyons attentifs ensemble et partageons ! :)

    #statistiques #erreurs

    • Les quelques (rares) fois où j’ai eu à sortir des données qui devaient être publiées, j’étais dévoré d’angoisse à l’idée de laisser passer des bourdes. Quand on est producteur de données, j’imagine qu’on finit par s’y faire et à acquérir une certaine confiance dans la chaîne de production, mais quand on intervient dans la chaîne (bidouille…) ça devient stressant.

      PS : encore la faute de Word (ou Excel)…

    • Yes, je reconnais là un de mes cauchemars ! C’est trop facile de se tromper et je me rends compte - alors que je suis en train de classer 30 ans d’archives - parfois après 10 ou 15 ans que certaines cartes ou visualisations publiées l’étaient sur la base de chiffres erronés ... C’est Horrible !

    • C’est pour carte des productions agricoles de la Chine que j’ai fait une fois une erreur... en déplaçant une colonne de calculs dans excel, les chiffres avaient changés. Je m’en suis aperçu juste après le bat, en la regardant d’un regard circonspect. Je trouvais bizarre une certaine similitude sur des données alors qu’en lisant les données brutes j’avais constaté, et c’était là l’intérêt, des disparités. Seulement il faut aller vite, toujours plus vite. J’ai pu corriger in-extremis.

    • Ca m’arrive souvent de me tromper sur des sources, confondre des liens sérieux avec des parodies ou succombé à des raccourcis médiatiques (cf histoires des rainettes ou plus récemment la sardine du port) et pour ca @seenthis c’est vraiment excellent car il y a une attention aux source, une méfiance saine et un partage pour palliés à ces problèmes. Alors je ne suis pas statisticienne, ni cartographe, ni journaliste (et heureusement pour les données) on tolère dans le milieu artistique d’ou je suis, un certain « flou artistique », mais vraiment merci @seenthis de me guerrir un peu des « copier-coller malencontreux » !

  • SYSTRAN announces the launch of its “Purely Neural MT” engine, a revolution for the machine translation market
    https://globenewswire.com/news-release/2016/08/30/868116/10164884/en/SYSTRAN-announces-the-launch-of-its-Purely-Neural-MT-engine-a-revolut

    Unlike statistical (SMT) or ruled-based (RMT) engines, NMT engines process the entire sentence, paragraph or document. The entire chain is processed end-to-end with no intermediate stages between the source sentence and the target. The NMT engine models the whole process of machine translation through a unique artificial neural network.

    #machine_learning #traduction @lewer

  • L’OR de Baldomero Lillo - Créations originales et Traductions de Paul Bétous

    Un matin où le soleil surgissait des abîmes et se lançait dans l’espace, une embardée de son flamboyant chariot, le fit effleurer le sommet de la montagne.

    Dans l’après-midi un aigle, retournant à son aire, vit sur la cime noire, un point si brillant qu’il resplendissait comme une étoile.

    Il piqua son vol et aperçut dans une faille rocheuse un rutilant rayon de soleil emprisonné.

    -- Mon pauvre petit – lui dit l’oiseau compatissant – ne t’inquiète pas, je vais escalader les nuages et je rattraperais le rapide attelage avant qu’il ne disparaisse dans la mer.

    Et le prenant dans son bec, il remonta dans les airs pour voler après l’astre qui se précipitait dans le couchant.

    Mais, alors qu’il était près d’atteindre le fugitif, l’aigle sentit que le rayon, dans une superbe ingratitude, enflammait le bec crochu qui le ramenait au ciel.

    L’aigle irrité ouvrit alors les mandibules et le précipita dans le vide.

    Le rayon tomba comme un étoile filante, percuta la terre et se releva avant de s’effondrer à nouveau. Il erra à travers les champs comme une merveilleuse luciole, et son éclat, infiniment plus intense que celui d’un million de diamants, se voyait au milieu du jour, et scintillait de nuit comme un soleil minuscule.

    Les hommes, ébahis, cherchèrent durant très longtemps l’explication de ce fait extraordinaire. Jusqu’au jour où les mages et les nécromants déchiffrèrent l’énigme. L’étoile vagabonde n’était autre qu’un filament qui s’était détaché de la chevelure du soleil. Et ils ajoutèrent que celui qui parviendrait à l’emprisonner verrait son existence éphémère se changer en une vie immortelle ; mais, pour attraper le rayon sans être consumé, il fallait tout d’abord extirper de son âme tout vestige d’amour et de piété.

    C’est ainsi que tous les liens se brisèrent et qu’il n’y eut plus ni parents, ni enfants, ni frères. Les amants abandonnèrent leurs aimées et l’Humanité toute entière poursuivit, comme une meute déchaînée, le céleste pèlerin tout autour de la Terre. Nuit et jour, des milliers de mains avides se tendaient sans cesse vers la fulgurante braise, dont le contact réduisait à rien les audacieux et ne laissait de leurs corps, de leurs cœurs égoïstes et prétentieux, qu’une poignée de poussière de la couleur du blé mûr, semblable aux rayons du soleil.

    Et pourtant ce prodige, sans cesse renouvelé, n’arrêtait pas la nuée de ceux qui partaient à la conquête de l’immortalité. Nul doute que ceux qui succombaient conservaient encore dans leur cœur un vestige de sentiments contraires, et chacun, confiant dans le pouvoir victorieux de son ambition, poursuivait la chasse interminable, sans relâche ni méfiance, sûrs qu’ils étaient du succès final.

    Le rayon erra donc aux quatre coins de la planète, marquant son pas de cette traînée de poussière brillante et dorée qui, entraînée par les eaux, pénétra dans la terre et se déposa dans les fissures des roches et le lit des torrents.

    Enfin, l’aigle, sa rancœur maintenant évanouie, le prit à nouveau dans son bec et le posa sur la route de l’astre qui montait au zénith.

    Et le temps passa. L’oiseau, plusieurs fois centenaire, vit se noyer dans le rien d’innombrables générations. Un jour, l’Amour déplia ses ailes et remonta vers l’infini. Et, croisant sur son passage l’aigle qui voguait dans l’azur, il lui dit :

    – Mon règne a pris fin. Regarde là, en bas.

    Et la vue pénétrante de l’aigle distingua les hommes occupés à extraire de la terre et du fond des eaux une poussière jaune, blonde comme les épis, dont le contact infiltrait dans leurs veines un feu inconnu.

    Et voyant les mortels, dont l’essence de l’âme avait été bouleversée, se battre entre eux comme des lions, l’aigle s’exclama :

    – Oui, l’or est un métal précieux. Mélange de lumière et de boue, il a la couleur blonde du rayon de soleil ; mais ses carats sont l’orgueil, l’égoïsme et l’ambition.

    texte en pdf : http://p0.storage.canalblog.com/00/02/1087345/111431412.pdf
    plus d’écrits : http://paulbetous.canalblog.com/archives/2016/07/09/34066568.html
    #littérature_latinoamericaine #Chili #Lillo_Baldomero #traduction_originale #inédit

  • L’âme de la machine de Baldomero Lillo - Créations originales et Traductions de Paul Bétous

    De l’aube au crépuscule, la silhouette du machiniste dans son bleu de travail se détache au sommet de la plate-forme de la machine. Il travaille douze heures sans interruption.

    Les ouvriers qui retirent les chariots de charbon des ascenseurs, le regardent avec une envie non dénuée d’animosité. Envie, parce que, brûlés par le soleil d’été ou détrempés par les pluies de l’hiver, ils se démènent sans relâche, poussant les lourds wagonnets depuis la margelle du puits de mine jusqu’à l’aire de stockage, tandis que lui, sous son toit de zinc, ne bouge pas et ne dépense pas plus d’énergie qu’il n’en faut pour diriger la machine.

    Puis, quand les hercheurs courent et halètent dans le vague espoir d’obtenir une seconde de répit après avoir vidé le minerai, à l’envie s’ajoute l’animosité, en voyant l’ascenseur qui les attend, déjà, chargé une nouvelle fois de brouettes pleines à ras bord, alors que le regard sévère du machiniste, du haut de son poste, semble leur dire :

    – Plus vite, fainéants, plus vite !

    La déception, renouvelée à chaque trajet, leur fait croire que, si la tâche les détruit, la faute en revient à celui-là qui n’a qu’à étirer et contracter le bras pour les éreinter.

    Ils ne pourront jamais comprendre que ce labeur, aussi insignifiant qu’il puisse leur paraître, est plus exténuant que celui du galérien attaché à son banc. Lorsque le machiniste prend de la main droite le manche d’acier gouvernant la machine, il fait instantanément partie de l’énorme et complexe organisme de fer. Son être, pensant, se transforme en automate. Son cerveau se paralyse. À la vue du cadran peint en blanc, où s’agite l’aiguille indicatrice, le présent, le passé et l’avenir sont remplacés par l’idée fixe. Ses nerfs en tension, sa pensée, tout en lui se concentre sur les chiffres qui, sur le cadran, représentent les tours de la bobine gigantesque qui enroule seize mètres de câble à chaque révolution.

    Les quatorze tours nécessaires à l’ascenseur pour parcourir son trajet vertical s’effectuent en moins de vingt secondes, ainsi une seconde de distraction veut dire une révolution supplémentaire, et une révolution supplémentaire, le machiniste ne le sait que trop bien, c’est : l’ascenseur qui se fracasse là-haut, contre les poulies ; la bobine, arrachée de son axe, qui se précipite comme une avalanche que rien ne peut arrêter, tandis que les pistons, fous, cassent les bielles et font sauter les bouchons des cylindres. Tout cela peut être la conséquence de la plus petite distraction de sa part, d’une seconde d’oubli.

    C’est pourquoi ses pupilles, son visage, sa pensée s’immobilisent. Il ne voit rien, n’entend rien de ce qui se passe autour de lui, si ce n’est l’aiguille qui tourne et le marteau indicateur qui cogne au-dessus de sa tête. Et cette attention ne connaît pas la trêve. À peine un ascenseur se montre par la margelle du puits de mine que deux coups de cloches lui font savoir que, en bas, l’autre attend déjà, chargé complètement. Il étire le bras, la vapeur pousse les pistons et siffle en s’échappant par les joints, la bobine enroule rapidement le fil de métal et l’aiguille du cadran tourne en s’approchant rapidement de la flèche de fin. Avant qu’elle ne la croise, il le machiniste attire vers lui la manivelle et la machine stoppe sans bruit, sans saccades, comme un cheval qui mâche bien son mort

    Mais alors que le tintement du dernier signal vibre encore dans la plaque métallique, le marteau la blesse à nouveau d’un coup sec et strident à la fois. Le bras du machiniste s’allonge à nouveau sous le mandat impérieux, les engrenages rechignent, les câbles oscillent et la bobine tourne à une vitesse vertigineuse. Et les heures succèdent aux heures, le soleil monte au zénith, redescend ; l’après-midi vient puis décline et le crépuscule, surgissant au ras de l’horizon, élève et étend son immense pénombre de plus en plus vite.

    Tout à coup, un sifflement assourdissant rempli l’espace. Les hercheurs lâchent les brouettes et se dressent étincelants. Le labeur du jour a pris fin. Des diverses sections annexes de la mine sortent les ouvriers en une cohue confuse. Dans leur précipitation à abandonner les ateliers, ils se pressent et se bousculent, mais pas une voix ne s’élèvent pour se plaindre ou protester : les visages sont radieux.

    Petit à petit, la rumeur de leurs pas sonores s’éloigne et disparaît sur le trottoir envahi par les ombres. La mine est maintenant déserte.

    Il n’y a plus que dans la cabine de la machine que l’on distingue une silhouette humaine confuse. C’est le machiniste : assis sur son trône élevé, la main droite appuyée sur la manivelle, il reste immobile dans la demi-obscurité qui l’encercle. Le labeur prenant fin, la tension de ses nerfs a cessé brusquement et il s’est écroulé sur le banc comme une masse inerte.

    Un lent processus de retour à l’état normal s’opère dans son cerveau abruti. Il recouvre difficilement ses facultés annulées, atrophiées par douze heures d’obsession, d’idée fixe. L’automate redevient une nouvelle fois une créature de chair et d’os qui voit, qui entend, qui pense, qui souffre.

    L’énorme mécanisme gît paralysé. Ses membres puissants, surchauffés par le mouvement, se refroidissent en produisant de légers craquements. C’est l’âme de la machine qui s’échappe par les pores du métal, pour allumer dans les ténèbres qui couvrent le haut trône de fer, les fulgurances tragiques d’une aurore toute rouge de l’horizon jusqu’au zénith.

    texte en pdf : http://p0.storage.canalblog.com/09/19/1087345/111577622.pdf
    plus d’écrits : http://paulbetous.canalblog.com/archives/2016/07/09/34066568.html
    #littérature_latinoamericaine #Chili #Lillo_Baldomero #traduction_originale #inédit

  • Libération.fr – #Pokémon, traduisez-les tous
    http://www.liberation.fr/apps/2016/06/pokemon

    Pikachu, Salamèche, Insécateur, Ronflex… En 1996 sortaient les jeux pour #GameBoy Pokémon Bleu et Rouge, avec 151 bestioles imaginaires qu’il fallait « toutes attraper ». Vingt ans plus tard, Julien Bardakoff détaille son travail de #traduction chez Nintendo pour franciser leurs noms, truffés de références et de jeux de mots.

    #jeux_vidéo

  • Google Traduction, un risque pour la sécurité nationale ?
    http://ici.radio-canada.ca/regions/ottawa/2016/05/31/007-outil-traduction-securite-nationale-google.shtml

    [Au Canada, le] gouvernement fédéral a élaboré un outil de traduction automatique pour ses fonctionnaires, en partie pour des raisons de sécurité nationale.

    De la souveraineté numérique...

    #Canada #Espionnage #Google #Google_Traduction #Service_public #Souveraineté_nationale #Souveraineté_numérique #Sécurité_nationale #Traduction_automatique #États-Unis

  • Épictète ou la performance
    http://www.laviedesidees.fr/Epictete-ou-la-performance.html

    Une nouvelle #traduction des Entretiens d’Épictète donne à la pensée du célèbre Stoïcien de la période romaine une précision et une actualité nouvelles, tout en laissant en retrait certaines facettes de sa doctrine comme la métaphore de l’acteur ou la dimension politique.

    Livres & études

    / #stoïcisme, #Rome, Antiquité, traduction

    #Livres_&_études #Antiquité

  • Traduction française des pages de man non LDP
    http://www.delafond.org/traducmanfr/index.php

    C’est comme ça : les francophones sont plus à l’aise avec des documentations de leurs programmes en français.
    Or, il se trouve que dans Linux, le projet GNU et les projets en relation, les seules pages de man proposées à la traduction auparavant étaient celles qui font partie du Linux Documentation Project, c’est-à-dire un millier environ.
    Les autres pages de man disponibles dans une distribution (plusieurs milliers) étant difficiles à regrouper n’étaient pas traduites. C’est l’objet de cette page que de coordonner les efforts de traduction des volontaires.

    #linux #man #documentation #français #traduction #Linux_Documentation_Project

  • Refugee #Phrasebook in Use in Idomeni

    Refugee Phrasebook has recently received a new printing request: A phrasebook with Arabic, English, Farsi, Urdu, Greek and Kurdish for the Idomeni camp in Greece. Our team made a PDF with these languages through Wikibooks and thanks to Raul Walch and other volunteers, 1000 copies of Refugee Phrasebook were printed in Idomeni this week to improve communication in the camp.

    Le phrasebook en pdf pour la Grèce :
    http://www.refugeephrasebook.de/pdf/rpbGreece1603a.pdf

    Mais il y a plein d’autres phrasebooks pour d’autres pays #Wikibooks :
    https://en.wikibooks.org/wiki/Refugee_Phrasebook
    http://www.refugeephrasebook.de
    #dictionnaire #asile #migrations #réfugiés #solidarité #langue #communication

    Il y a aussi un #dictionnaire_médical :
    http://refugeephrasebook.de/pdf/italy-medical1511.pdf
    #traduction #langue

    @reka

    • Refugee Communication Boards

      We’ve all seen some of the horrific pictures of people leaving their home countries, seeking refuge somewhere safer. Most of us can’t even begin to imagine what it must be like to flee one’s country, belongings, sometimes also family and friends. The stress, anxiety and sorrow – it is ungraspable.

      And imagine then crossing the borders into another country where they speak a language that you don’t understand, what do you do then? How do you say that you are hungry? In pain?

      In order to facilitate communication we’ve created a simple communication board with our software at Boardmaker Online that allows you to express some basic needs and feelings.

      If you happen to be one of those kind souls helping the refugees on the ground, please download the communication board in the appropriate language below, print it out, and use it when you talk to those people in need.


      http://www.tobiidynavox.com/refugee-communication-boards

  • Themed Section: Translation as Critical Practice | Various Articles

    While a common language is necessary to communicate on an international level, it is also true that linguistic hegemonies inevitably result in asymmetric power dynamics. Against this backdrop, the special issue “Between academic wor(l)ds: Translation as Critical Practice in English, Français, and Deutsch speaking Geographies” seeks to revive the debates on the so called Anglophonic hegemony in geography and asks to which extent translation can respond to it and counter its standardizing and exclusionary effects. The editorial elaborates the idea of translation as critical practice with which the contributions of this issue are framed.

    http://ojs.unbc.ca/index.php/acme/issue/view/97
    #traduction #géographie #langue #anglais #pouvoir #revue
    via @ville_en

  • L’avenir du Forum social mondial : le travail de traduction
    par #Boaventura_de_Sousa_Santos

    https://www.cairn.info/revue-mouvements-2010-3-page-20.htm

    Ce texte, qui me parle plus que je ne le saurais dire, et me semble éclairant, date un peu, mais pour ma part, je n’y viens qu’aujourd’hui, et son auteur semble jusqu’alors inconnu sur seenthis. Dois-je ajouter que c’est la lecture des écrits du PIR et de ses amitiés #décoloniales revendiquées - en particulier de #Ramon_Grosfoguel - qui m’y ont amené ?

    La théorie politique de la #modernité_occidentale, dans sa version libérale ou marxiste, a construit l’unité de l’action à partir de l’unité de l’agent. Selon cette conception, la cohérence et le sens du changement social ont toujours reposé sur la capacité de l’acteur central du changement, que ce soit la bourgeoisie ou les classes laborieuses, à représenter la totalité dont découlent le sens et la cohérence. De cette capacité de représentation proviennent le besoin d’une #théorie_générale_du_changement_social ainsi que les opérations qui y concourent.

    L’époque dans laquelle nous vivons, dont le passé récent fut dominé par l’idée d’une théorie générale, est peut-être une époque de transition qui devrait être définie de la façon suivante : nous n’avons pas besoin d’une théorie générale, mais nous avons encore besoin d’une théorie générale de l’impossibilité d’une théorie générale . Nous avons besoin, à tout prix, d’un universalisme négatif .

    Quelle est l’alternative à une théorie générale ? Selon moi, cette alternative, c’est le travail de traduction . La traduction est une procédure qui facilite l’intelligibilité mutuelle entre des expériences du monde, les rend valides et possibles, comme le montrent la sociologie des absences et la sociologie des émergences, sans compromettre leur identité et leur autonomie, ou pour le dire autrement, sans les réduire à des entités homogènes.

    Le travail de traduction des savoirs part de l’idée que toutes les cultures sont incomplètes et que par conséquent, elles peuvent être enrichies par le dialogue et la confrontation avec d’autres cultures. Selon moi, le FSM a accordé à cette idée une nouvelle centralité et une plus grande urgence. Reconnaître la relativité des cultures n’entraîne pas l’adoption du relativisme comme position culturelle (l’idée que toutes les cultures sont également valides et qu’aucun jugement ne peut leur être transmis depuis la perspective d’une autre culture). Cela implique par contre de concevoir l’universalisme comme une particularité de l’Occident, dont l’idée de suprématie ne réside pas en son sein, mais repose plutôt sur les intérêts qui le soutiennent. Comme je l’ai précédemment mentionné, la #critique_de_l’universalisme découle de la critique de l’impossibilité d’une théorie générale. Le travail de traduction présuppose plutôt ce que j’appelle l’#universalisme_négatif, l’idée la plus communément partagée de l’impossibilité de la complétude culturelle.

    Le travail de traduction part du principe qu’en raison des spécificités culturelles, sociales et politiques de notre époque, il est possible d’arriver à un large consensus autour de l’idée qu’il n’existe pas de théorie générale et globale sur la transformation sociale. Sans ce consensus – le seul genre d’universalisme (négatif) légitime – la traduction est un travail de type colonial , même lorsqu’elle se revendique postcoloniale.

    Nous pouvons nous demander : si nous ne savons pas si un autre monde est possible, qu’est-ce qui légitime ou motive notre façon d’agir comme nous l’avons fait ? Le travail de traduction est un travail d’imagination épistémologique et démocratique qui vise à bâtir de nouvelles conceptions plurielles de l’émancipation sociale sur les ruines de l’émancipation sociale automatique du projet moderne. Il n’existe aucune garantie qu’un meilleur monde soit possible, ni que tous ceux qui n’ont pas renoncé à se battre pour qu’il le soit l’imaginent de la même façon. L’objectif du travail de traduction est de nourrir au sein des mouvements sociaux et des organisations la volonté de créer ensemble des savoirs et des pratiques suffisamment fortes pour fournir des alternatives crédibles à la globalisation néolibérale, qui ne représente ni plus ni moins qu’un pas de plus du capitalisme mondialisé vers la soumission de l’inépuisable richesse du monde à la logique mercantile.

    Le travail de traduction permet de créer des significations et des directions qui sont précaires mais concrètes, à court terme mais radicales dans leurs objectifs, incertaines mais partagées. Le but de la traduction entre savoirs est de créer une justice cognitive du point de vue de l’imagination épistémologique . Le but de la traduction entre pratiques et acteurs est de créer les conditions d’émergence d’une justice sociale mondiale du point de vue de l’imagination démocratique.
    Le travail de #traduction crée les conditions qui permettent des émancipations sociales concrètes de groupes sociaux concrets dans un présent dont l’injustice est légitimée par le gaspillage massif d’expériences. Le genre de transformation sociale qu’il est possible d’accomplir grâce au travail de traduction nécessite un apprentissage réciproque et que la volonté d’articulation et de coalition soient transformées en pratiques transformatrices.

  • De l’impérialisme linguistique
    http://www.laviedesidees.fr/De-l-imperialisme-linguistique.html

    L’anglais, nouvelle #langue mondiale, domine après le français au XVIIIe siècle. En sociologue, Pascale Casanova montre que l’usage de la langue mondiale assure une autorité à ceux qui le maîtrisent. Mais que faire, puisqu’une langue mondiale doit exister pour permettre une communication universelle ?

    Livres & études

    / #domination, langue, #traduction

    #Livres_&_études

    • Oui, le livre ne parle que des langues et de leur position dans la hiérarchie mondiale. Il s’y intéresse à partir du bilinguisme, de la traduction, du rapport entre les langues, d’abord avec le passage (de relais) du latin au français puis regarde la manière dont le français domine les autres langues à partir de ses traductions (infidèles). Ainsi quelqu’un parlant sa langue maternelle et la langue mondiale, qu’on verrait a priori comme un privilégié, est ici présenté comme un dominé linguistique. Son bilinguisme est le signe que sa langue est en périphérie ; il doit régulièrement switcher entre deux langues selon la situation dans laquelle il se trouve.

      C’est assez frappant de voir comment le français se développe de manière extrêmement consciente et réfléchie, et comment les poètes de l’époque (~XVIe) invitent à s’accaparer le latin : on parle de vol, de pillage - il y a tout un vocabulaire guerrier et économique - dans le but non seulement d’enrichir une langue jeune peu adaptée à l’argumentation, mais aussi de la faire bénéficier du prestige du latin. Le développement du français se fait donc de manière paradoxale contre le latin (il s’agit de se faire sa place, de lutter contre l’idée que le latin est par nature parfait), mais en jouant aussi sur l’aura de celui-ci (les poètes français du passé sont au passage dénigrés, coupables de ne pas avoir suffisamment enrichi leur langue).

      Les traductions des anciens servent ainsi à s’accaparer le trésor d’une culture passée. On importe à la fois le savoir-faire et le prestige. Et pour se faire les traductions ne doivent pas être fidèles. C’est surprenant de voir qu’à l’époque on n’a aucun scrupule vis-à-vis de la source. La traduction ne visant qu’à enrichir ses propres langue et culture, si les pensées ou les mots ne semblent pas leur convenir, on les modifie. Il s’agit d’"annexer", de « naturaliser » ce que l’on trouve dans les originaux (latins, grecs, ou anglais, etc.). Quant au nom de l’auteur de l’original, il peut carrément disparaître. En Europe il semblait acquis que les traductions françaises n’étaient pas fiables, mais on n’y pouvait rien car le français dominait et l’élégance française jouait le rôle d’arbitre. (Pour concurrencer le français, l’allemand met alors en avant la notion de fidélité, et prétend être la langue idéale pour la traduction.)

      Casanova insiste pour dire que cette pratique n’est pas due à la paresse ou à la désinvolture des traducteurs, mais qu’elle est structurelle, propre à la position de domination de la langue. Dans la dernière partie du livre elle précise que c’est la même chose pour l’anglais aujourd’hui : les aspérités des originaux sont gommées pour qu’ils soient lus de manière fluide et facile, sans qu’on puisse penser qu’ils ont été écrits dans une langue étrangère ; les traducteurs sont « cachés » (on ne les mentionne parfois pas) ; un texte est souvent présenté de telle sorte qu’on peut croire qu’il a été écrit directement en anglais.

      Une question laissée sans réponse dans le livre (ou à laquelle il est dit qu’il n’y a que de mauvaises réponses) c’est : où commence la supériorité d’une langue ? Car, comme il est dit dans l’article « la langue mondiale n’est pas nécessairement celle du pouvoir économique ou militaire. »

  • #André_Markowicz : les langues, la #traduction, la transmission
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/130216/andre-markowicz-les-langues-la-traduction-la-transmission

    André Markowicz n’a pas seulement traduit Shakespeare, tout Dostoïevski, Tchekhov, Gogol et Pouchkine. Passeur de la #Littérature russe en France, il est aussi celui qui, par ses traductions, fait œuvre, non sans créer parfois des polémiques. Le voici qui publie une volumineuse anthologie de la #poésie_chinoise Tang du VIIIe siècle. Sans connaître la langue. Explications.

    #Culture-Idées #littérature_russe

  • Message de service :

    Chez visionscarto.net on commence (doucement) à faire du multilinguisme. On a maintenant trois versions de la carte « armements, qui vend et qui achète » :

    Italien : http://visionscarto.net/chi-fabbrica-le-armi
    Anglais : http://visionscarto.net/who-is-selling-arms-and-who-buys
    Français : http://visionscarto.net/qui-fabrique-les-armes-et-qui-les-achete

    Pour mémoire, on a aussi - et c’est une fierté - réussi un petit sextuplé avec les séries de cartes sur les accès à Internet :

    Anglais : http://visionscarto.net/broadband-prices-in-the-world
    Norvégien : http://visionscarto.net/prisen-for-internettilgang
    Espagnol : http://visionscarto.net/precios-internet
    Italien : http://visionscarto.net/prezzi-degli-accessi-ad-internet
    Letton : http://visionscarto.net/maksa-par-interneta
    Français : http://visionscarto.net/prix-internet

    Pour l’instant, ça ne ne peut-être que clairement embryonnaire, et ça ne peut que reposer sur l’aide généreuse (et la disponibilité) des amis de notre réseau.

    On rêve de pouvoir publier aussi en Allemand, on a un plan pour le finlandais et peut-être le portugais. Le rêve le plus fou, ce serait le Chinois.

    A suivre.

    • @touti : les traductions se font un peu ici et un peu ici... selon les suggestions de @fil. On se débrouille, mais en fin de compte c’est pas si compliqué !

      Allez, on continue... j’essaie de faire un peu de pub pour trouver des personnes de bonne volonté...

    • Aaah, mais alors l’ #idée d’un site de traduction coopératif comme pour SPIP http://trad.spip.net
      qui permettrait à ceux qui le souhaitent de déposer leur fichier à traduire avec un petit topo pour inviter les #bonnes_volontés à participer n’est pas si mauvaise ?
      On verrait les niveaux de traduction augmenter de 0 à 100% sur la page d’accueil un peu comme pour les sites de crowfunding …
      @kent1 tu crois que ça s’adapte facilement ?

    • Pour l’instant on reste un peu dans le bricolage, ce n’est pas encore prêt à industrialiser. Mais on espère aller progressivement dans cette direction.

      Parmi les difficultés je note :

      -- le format des fichiers “source” est (trop !) souvent propriétaire (la carte des prix d’internet est une exception de ce point de vue) ; du coup pas forcément d’automatisme facile, on doit faire plein de copier/coller
      -- l’encombrement spatial des mots est crucial (on a infiniment moins de souplesse sur une carte que sur une page web), ce qui veut dire qu’il faut souvent travailler les mots/phrases en contexte, pour élaguer. De ce point de vue l’idéal serait de traduire in situ, mais c’est un peu contradictoire avec la recherche d’automatismes
      -- le fait qu’un article (souvent long) accompagne souvent les cartes : deux modes d’écriture, deux modes de traduction assez différents.

      Rien d’insurmontable, et en général quand se présentent les #bonnes_volontés on se bouge pour que ça marche !

  • Soutenez Kafkaweb, première édition critique en ligne du Journal de Kafka (2013-2020)

    Lancée en 2013, l’édition en ligne du Journal de Kafka a pris l’an passé une nouvelle dimension : en plus d’être une nouvelle traduction, elle est composée d’un appareil critique exigeant. Germaniste de formation (doctorat sur Novalis et le romantisme allemand, agrégation d’allemand), je propose d’ores et déjà la lecture en accès ouvert de deux cahiers du Journal de Kafka.

    La suite ici http://oeuvresouvertes.net/spip.php?article3287

    #Kafka #éditioncritique #traduction

  • Darwich et la traduction : “Le poème traduit n’est plus la seule propriété de son auteur” | langues de feu
    http://languesdefeu.hypotheses.org/908

    Affirmer qu’il est possible de traduire la poésie, et que l’on peut étudier de la poésie en traduction, ne revient pas à dire que toutes les traductions sont également bonnes ; le corollaire de cela étant que l’existence d’une mauvaise traduction ne saurait être une preuve quant à l’impossibilité de traduire.

    #traduction #poésie

    • Réflexions intéressantes mais qui manquent le fait que la confiance de darwish en sa traduction tenait énormément à la relation privilégiée qu’il entretenait avec son éditeur (Farouk Mardam-Bey) et son traducteur, Elias Sanbar. Avec, de mon point de vue, les risques certains d’une assimilation des styles de l’un et de l’autre.

  • Salut les géographes,

    J’ai un ami traducteur qui me demande s’il existe des sites ressources en français pour des cartes. En fait, il essaye de traduire de l’anglais vers le français des régions/districts précises d’Afrique. Vous connaîtriez un atlas fiable ?

    Merci de votre aide,
    Mathieu, journaliste non-géographe

  • Le Terrier ou la construction, nouvelle traduction en cours du récit de Kafka

    j’ai organisé le terrier et il semble que ce soit une réussite. De l’extérieur on ne voit à vrai dire qu’un grand trou, mais en réalité celui-ci ne conduit nulle part, après seulement quelques pas on se cogne contre une paroi de roche naturelle, je ne veux pas me vanter d’avoir conçu intentionnellement cette ruse, c’était plutôt le vestige d’une de ces nombreuses et vaines tentatives de construction, mais finalement il me parut avantageux de ne pas boucher ce trou.

    www.oeuvresouvertes.net/spip.php ?article2843

    #Kafka #Terrier #traduction #LaurentMargantin