organization:université de stanford

  • Silicon Valley : une artiste photographie ses communautés oubliées
    https://www.ladn.eu/mondes-creatifs/oublies-silicon-valley

    Malaise, pauvreté, inégalités, pollution… Derrière le mythe de la Silicon Valley se cache une réalité toxique que la photographe Mary Beth Meehan expose au grand jour. Dans un livre dédié, elle part à la rencontre des communautés vivant en marge de la révolution high-tech.

    Apple, Google, Facebook, Tesla… ces noms font rêver et ont bâti la renommée de la Silicon Valley. Ils évoquent, depuis des décennies, « des perspectives de richesses incommensurables, d’opportunités pour tous, et d’accès universel aux produits des industries les plus innovantes des États-Unis », écrit Fred Turner, professeur à l’Université de Stanford dans Visages de la Silicon Valley.

    Édité en novembre 2018, l’ouvrage raconte, en mots et en images, comment les populations vivent au cœur d’une région envahie par les géants de la tech. On y découvre une réalité « dystopique » où l’humain est négligé, fatigué par une course technologique effrénée à laquelle il ne peut participer.

    Pas de surprise, l’histoire racontée est la même que partout ailleurs : celle d’inégalités creusées par le capitalisme et d’un monde où l’on veut bien faire « dans l’humain » à condition que ça rapporte gros.

    Habituée à travailler en collaboration avec les communautés qu’elle rencontre, Mary Beth Meehan a réalisé sa première installation publique en 2011 à Brockton dans le Massachusetts. Elle dévoilait, à même les murs et en pleine rue, les portraits réalisés durant ses pérégrinations aux allures d’enquête sociologique. Elle a depuis exploré certaines communautés de la Nouvelle-Angleterre et du sud des États-Unis, puis en Californie.

    #Visages_Silicon_Valley #C&F_éditions

  • Rencontre de cultures. Aux origines de la contre-culture aux Etats-Unis dans les sixties | Entre les lignes entre les mots
    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2018/02/02/rencontre-de-cultures-aux-origines-de-la-contr

    2017 a fêté un cinquantenaire un peu passé inaperçu sauf sur les lieux du crime. San Francisco, sur la Côte Ouest des Etats-Unis, a vu déferler tout ce que la Californie et au-delà comptaient de Hippies et autres survivants des années dites psychédéliques. 1967 est la date retenue pour la naissance de cette contre culture qui semble née de rien, sinon d’une réaction à la guerre du Viêt-Nam. Fred Turner, directeur du département des sciences de la communication à l’Université de Stanford et ancien journaliste a voulu comprendre les racines un peu cachées de cette émergence d’une culture de la jeunesse de ces sixties.

    Il propose, dans « Le cercle démocratique », une véritable enquête dans les soubassements culturels de la société américaine. Son point de départ : la réaction au fascisme et au nazisme qui se servent des nouveaux instruments de communication comme la radio pour embrigader les masses, les faire marcher au pas de l’Oie et tuer dans la répétition martiale tout esprit critique. Les intellectuels de toute sorte, surtout des ethnologues, Margaret Mead en particulier, vont se mobiliser pour lutter contre le fascisme extérieur et intérieur pour construire « l’être humain démocratique ». Construction qui passe par une réflexion sur tous les médias. La stratégie proposée sera celle de l’encerclement – « surround » – démocratique.

    Commencée dans les années 1930, cette stratégie rencontrera celle des créateurs du Bauhaus, à commencer par Grotius. C’est Noholy-Nagy qui jouera le rôle le plus importent en tant qu’ éducateur de cet esprit américain. Le Bauhaus, constitué après la Première Guerre Mondiale avait comme projet de s’inscrire dans l’industrialisation de la société pour, via le design, la contester de l’intérieur. L’objectif était de créer l’« homme nouveau » pour mettre en œuvre le socialisme. A l’épreuve de l’exil, cet « homme nouveau » deviendra « l’homme américain » porteur des valeurs démocratiques.

    L’auteur non seulement insiste sur cette rencontre permise par l’exil mais fait aussi la part de toutes les tentatives pour rompre avec la marchandisation, facteur de diffusion du fascisme. Ainsi la composition de John Cage, « Silence » mais un silence programmé de minutes et de secondes pour inciter les « auditeurs » à s’interroger sur l’organisation des sons.

    Il est donc question, comme le sous titre l’indique, du « design multimédia de la Seconde Guerre mondiale aux années psychédéliques », une sorte d’histoire culturelle du 20e siècle fomentant toutes les révolutions numériques qui marquent ce 21e siècle.

    Fred Turner : Le cercle démocratique, traduit par Anne Lemoine, préface de Larisa Dryansky, C&F éditions.

    Nicolas Béniès

    #C&F_éditions #Fred_Turner #Cercle_démocratique

  • A la recherche de perspectives narratives des réseaux de neurones #7
    http://constantvzw.org/site/A-la-recherche-de-perspectives-narratives-des-reseaux-de-neurones-7.htm

    Algolit explore les réseaux de neurones afin de voir comment leurs processus peuvent être rendus lisibles, visibles, compréhensibles. Nous continuerons le cours the Deep Learning and Natural Language Processing, donné par Richard Socher à l’Université de Stanford (https://cs224d.stanford.edu/syllabus.html). Merci de vous assurer d’avoir regardé les cinq premières vidéos du cours. Les impressions et des expérimentations algolittéraires seront partagées tout au long de la journée. Trouvez les notes des (...)

    #Algolit / #Atelier, #Netnative_literature, #Algorithme

  • A la recherche de perspectives narratives des réseaux de neurones #8
    http://constantvzw.org/site/A-la-recherche-de-perspectives-narratives-des-reseaux-de-neurones-8.htm

    Algolit explore les réseaux de neurones afin de voir comment leurs processus peuvent être rendus lisibles, visibles, compréhensibles. Nous continuerons le cours the Deep Learning and Natural Language Processing, donné par Richard Socher à l’Université de Stanford (https://cs224d.stanford.edu/syllabus.html). Merci de vous assurer d’avoir regardé les cinq premières vidéos du cours. Les impressions et des expérimentations algolittéraires seront partagées tout au long de la journée. Trouvez les notes des (...)

    #Algolit / #Atelier, #Netnative_literature, #Algorithme

  • https://www.franceculture.fr/emissions/la-vie-numerique/pourquoi-faudrait-il-que-les-machines-aient-des-voix-dhomme-ou-de-femm

    Pourquoi faudrait-il que les machines aient des voix d’homme ou de femme ?

    Alexa d’Amazon, Cortana de Microsoft, Google Home… tous ces robots assistants qui se trouvent soit dans nos ordinateurs, soit carrément dans nos foyers sous la forme de cylindres trônant dans le salon, ont des voix de femmes. Pourquoi ?

    On pourrait invoquer le machisme primaire des ingénieurs qui créent ces machines, et qui, leur donnant pour fonction soit la gestion du foyer soit une sorte de néo-secrétariat, prolongent le stéréotype selon lequel ce serait là des fonctions sociales habituellement occupées par des femmes. Mais ce serait ignorer que ces entreprises ne font rien au hasard et calibrent leur produit en fonction d’une demande. C’est donc que les tests produits font remonter pour ces robots un désir de voix féminines. Et pas seulement chez des hommes car vraisemblablement les femmes aussi préfèrent les voix de femmes. Pourquoi donc ? CNN s’était posé la question dès 2011 et avait avancé plusieurs hypothèses. Hypothèse essentialiste : nous aurions développé dès notre séjour dans l’utérus de notre mère une affinité particulière pour les voix féminines, il y aurait quelque chose de rassurant dans les voix féminines. Hypothèse historique : les premiers assistants de pilotage des avions durant la Deuxième Guerre mondiale avaient des voix féminines pour les distinguer des co-pilotes, les opérateurs téléphoniques étaient le plus souvent des opératrices, il y aurait quelque chose de l’ordre de l’habitude pratique dans ces voix féminines. Hypothèse du point de vue des représentations : Hal, l’ordinateur pas sympa de “2001 l’Odyssée de l’espace” avait une voix d’homme, il a dissuadé les ingénieurs de donner une voix masculine aux premières voitures parlantes, il y aurait quelque à chose à craindre dans les voix d’homme. Tout convergerait donc pour donner aux robots assistants de voix féminines ? Mais il y a vraisemblablement des particularités culturelles qui compliquent les choses. Quand l’iPhone 4 était sorti doté de son assistant vocal Siri, la voix était féminine aux Etats-Unis, mais masculine en France et en Grande-Bretagne. La raison avancée à l’époque étaient que les Anglais faisaient plus confiance à une voix autoritaire. Mais comme je ne vois pas pourquoi une voix masculine serait par essence plus autoritaire qu’une voix féminine, je ne comprends pas bien cette raison. Bref, on se perd un peu dans ces hypothèses et je ne suis pas sûr qu’il soit très intéressant de trancher. Et d’ailleurs, on remarque que pour beaucoup d’interfaces vocales, on peut choisir entre voix d’homme et voix de femmes.

    Mais il me semble que la vraie question est ailleurs : pourquoi faut-il absolument attribuer un genre identifiable à la voix d’un robot ? Parce qu’après tout, les robots n’ayant pas de sexe, on pourrait en profiter pour ne pas leur assigner de genre, réalisant ainsi le rêve du courant cyberféministe qui voyait dans l’internet naissant la possibilité de s’affranchir des identités sexuelles traditionnelles. Comme on constate que cet affranchissement est un peu compliqué pour les humains, on pourrait profiter des robots pour créer des identités a-genrées... ou post-genrées... ou méta-genrées. Ou, même, pourquoi ne pas inventer un genre à part entière ? Le genre robot. Ca pourrait être intéressant ça d’inventer un genre robotique. Avec une voix qui aille avec. C’est-à-dire pas une voix d’homme, ni de femme, ni une voix entre les deux, mais une voix autre, tout simplement.

    Bon évidemment, l’étape suivante, ce serait d’inventer un sexe pour les robots, je veux dire un organe sexuel à proprement parler, un sexe qui n’ait pas de genre. J’avoue avoir beaucoup réfléchi à cette question, j’ai des idées, et j’ai fait quelques schémas que je mets à disposition de qui ça intéresse.

    Mais l’humanité est-elle prête à cela ? Une étude menée par l’Université de Stanford et intitulée “Are computers gender-neutral ?” (“les ordinateurs sont-ils neutres du point de vue du genre ?”, ce qui est une très belle question), concluait que les humains étaient très puissamment enclins à investir les stéréotypes de genre jusque dans ces êtres inanimés que sont les machines. Nous aurions donc besoin de genrer les machines. Bref, je me demande finalement si, en cette matière comme dans d’autres, le principal obstacle à un développement vraiment marrant des technologies, ce n’est pas, le manque d’imagination et de le désespérant conformisme des êtres humains.

    #cyberféminisme #robot #féminisme #france_culture #audio #radio #genre #voix

  • A la recherche de perspectives narratives des réseaux de neurones #4
    http://www.constantvzw.org/site/A-la-recherche-de-perspectives-narratives-des-reseaux-de-neurones-4.htm

    Algolit continue à explorer les réseaux de neurones afin de voir comment leur processus peuvent être rendu lisible, visible, compréhensible. Nous continuerons le cours the Deep Learning and Natural Language Processing, donné par Richard Socher à l’Université de Stanford (https://cs224d.stanford.edu/syllabus.html ). Merci de vous assurer d’avoir regardé les deux premiers vidéos du cours. Les impressions et des expérimentations algolittéraires seront partagées tout au long de la journée. #Algolit est un (...)

    Algolit / #Netnative_literature

  • Sur la nature sauvage des enfants & « Scolariser le monde » (par Carol Black) – Le Partage
    http://partage-le.com/2016/12/sur-la-nature-sauvage-des-enfants-scolariser-le-monde-lecole-arme-de-des

    Au début du 20ème siècle, les théoriciens de l’#éducation étaient assez transparents sur le fait qu’ils concevaient des #écoles en vue d’adapter les #enfants au nouvel ordre industriel. Ces #pédagogues soutenaient que les enfants devaient perdre leur nature sauvage « primitive » et développer des manières « civilisées » telles que la ponctualité, l’obéissance, l’ordre et l’efficacité. En 1898, Elwood P. Cubberley, doyen de L’école d’#enseignement et éducation à l’Université de Stanford, déclare que :

    « Nos écoles sont, dans un sens, des #usines, dans lesquelles les matériaux bruts – les enfants – doivent être façonnés en produits… Les caractéristiques de fabrication répondent aux exigences de la #civilisation du 20ème siècle, et il appartient à l’école de produire des élèves selon ses besoins spécifiques. »

    Dans les esprits de ces architectes de l’éducation moderne, « L’Enfant », « Le Sauvage » et « La Nature » étaient des concepts équivalents ; ils représentaient tous quelque chose d’intrinsèquement déviant, bestial, informe. « La Nature », affirme William Torrey Harris, Commissaire à l’Education de 1889 à 1906 aux Etats-Unis, est « l’exact antithèse » de la « nature de l’homme d’esprit ». Il précise :

    « Hors de l’état sauvage, l’homme s’élève en se créant de nouvelles natures, les unes sur les autres ; il matérialise ses idées en institutions, et trouve dans ces mondes idéaux sa demeure réelle et sa vraie nature. »

    L’objet de l’école, en d’autres termes, était d’élever les enfants hors de leur état naturel (qui était, du point de vue de M. Harris, « totalement vicieux ») et de les entraîner à prendre leur place dans le grand projet humain de « #subordination du monde matériel à son usage ». Comme l’explique Harris, « On classait les nations et les peuples du monde… selon le degré auquel ils avaient achevé cet idéal de l’humanité ». Les cultures qui ne voyaient pas les choses ainsi étaient confrontées à un choix : « adopter notre culture et devenir intellectuellement productives ou disparaître. Voilà le jugement prononcé par les Anglo-Saxons sur les races inférieures ».

    Nous avons oublié qu’il s’agissait de la vocation initiale (de la raison d’être) des institutions-usines dans lesquelles la plupart d’entre nous avons grandi ; nous parlons de notre expérience personnelle de l’école comme s’il s’agissait d’une composante naturelle, d’un élément naturel et essentiel de l’enfance humaine, et non pas de ce qu’elle est réellement : une expérience extrêmement récente d’ingénierie sociale menée à grande échelle. Mais le passé, comme l’a brillamment exprimé Faulkner, n’est jamais mort ; il n’est pas même passé. Ces objectifs originels, comme John Taylor Gatto le souligne, ont été imbriqués avec tant d’efficacité dans la structure de l’enseignement moderne – avec ses systèmes sous-jacents de confinement, de contrôle, de standardisation, d’évaluation et de poliçage – qu’ils s’accomplissent aujourd’hui sans même que nous en ayons conscience et sans notre consentement.

  • NVIDIA annonce une GTX Titan X Pascal à base de GP102
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/cartes-graphiques/32047-nvidia-annonce-une-gtx-titan-x-pascal-a-base-de-gp102.html

    A une période où on ne l’attendait absolument pas, NVIDIA dévoile officiellement une GeForce GTX Titan X Pascal. On avait vu des rumeurs au sujet de deux de ces engins qui auraient pu se montrer durant la Gamescom à la mi-août, mais il n’aura au final pas fallu attendre aussi longtemps que ça pour découvrir la bête, Jen-Hsun Huang ayant enfilé sa fidèle veste en cuir pour dévoiler la bête durant un événement dédié à l’intelligence artificielle qui s’est déroulé cette nuit à l’Université de Stanford et que vous pourrez retrouver au complet en streaming à cette adresse... [Tout lire]

    #Cartes_Graphiques

  • La culture du viol, c’est le père de Brock Turner décrivant l’agression sexuelle commise par son fils comme « 20 minutes d’action »
    https://tradfem.wordpress.com/2016/06/07/meghan-murphy-la-culture-du-viol-cest-le-pere-de-brock-turner-dec

    En janvier 2015, Brock Turner, un nageur étoile inscrit à l’Université de Stanford aux États-Unis a été aperçu alors qu’il agressait sexuellement une femme allongée à terre, inconsciente. Il a essayé de s’enfuir après avoir été vu par deux témoins, mais ils l’ont maîtrisé et retenu jusqu’à l’arrivée de policiers. Jeudi dernier, l’homme de 20 ans, qui risquait 14 ans de détention, a été condamné à six mois de prison, dont une période de probation de trois ans, et devra être inscrit à vie au registre étasunien des délinquants sexuels. Dans une déclaration faite au tribunal avant la détermination de la peine, le père de Brock, Dan Turner, a déclaré que la vie de son fils avait été « profondément changée à jamais » et que la peine était « un prix élevé à payer pour 20 minutes d’action ». Source : (...)

  • #Meghan_Murphy : La culture du viol, c’est le père de Brock Turner décrivant l’agression sexuelle commise par son fils comme « 20 minutes d’action »

    http://tradfem.wordpress.com/2016/06/07/meghan-murphy-la-culture-du-viol-cest-le-pere-de-brock-turner-dec

    En janvier 2015, Brock Turner, un nageur étoile inscrit à l’Université de Stanford aux États-Unis a été aperçu alors qu’il agressait sexuellement une femme allongée à terre, inconsciente. Il a essayé de s’enfuir après avoir été vu par deux témoins, mais ils l’ont maîtrisé et retenu jusqu’à l’arrivée de policiers.

    Jeudi dernier, l’homme de 20 ans, qui risquait 14 ans de détention, a été condamné à six mois de prison, assorti d’une période de probation de trois ans, et devra être inscrit à vie au registre étasunien des délinquants sexuels.

    Dans une déclaration faite au tribunal avant la détermination de la peine, le père de Brock, Dan Turner, a déclaré que la vie de son fils avait été « profondément changée à jamais » et que la peine était « un prix élevé à payer pour 20 minutes d’action ».

    Extrait de la déclaration du père de Brock Turner, Dan Turner :

    Au point où en sont les choses, la vie de Brock a été profondément altérée pour toujours par les événements du 17 et du 18 janvier. Il ne sera plus jamais ce joyeux garçon à personnalité avenante et à sourire accueillant. Aujourd’hui, il est constamment soucieux, anxieux, craintif et déprimé. Cela se voit dans son visage, la façon dont il marche, sa voix affaiblie, son manque d’appétit. Brock a toujours aimé certains types d’aliments et il est lui-même un très bon cuisinier. J’avais toujours grand plaisir à lui acheter une grosse entrecôte à faire cuire au gril ou à lui rapporter sa friandise préférée. Je devais m’assurer de cacher mes bretzels ou mes croustilles parce que je savais qu’ils ne dureraient pas longtemps lorsque Brock revenait d’une longue session d’entraînement.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : http://www.feministcurrent.com/2016/06/06/rape-culture-is-brock-turner-father-20-minutes-action

    #Meghan_Murphy est écrivaine et journaliste indépendante, secrétaire de rédaction du soir pour le site rabble.ca, et fondatrice et directrice du site Feminist Current. Elle travaille actuellement à un livre qui invite à un retour vers un féminisme plus radical, rappelant la deuxième vague et ancré dans la sororité. Vous pouvez la suivre sur Twitter : ►http://twitter.com/MeghanEMurphy

    #Culture_du_viol #Meghan_Murphy #Feminist_Current

  • RobinHood lève les commissions pour s’attaquer aux apprentis spéculateurs
    http://www.atelier.net/trends/articles/robinhood-leve-commissions-attaquer-aux-apprentis-speculateurs_431579

    La disruption des intermédiaires financiers est annoncée depuis longtemps mais une meilleure gestion des coûts et l’utilisation massive d’algorithmes remet en cause la raison d’être des commissions financières.

    Actuellement, les entreprises de trading électronique et le high-frequency trading contemporain ne paient pas de frais pour leurs transactions boursières (plusieurs par secondes) tandis que les investisseurs non-professionnels doivent payer plusieurs dollars par transaction. D’où l’idée de la startup RobinHood, créée par Vlad Tenev et Baiju Bhatt, deux anciens programmeurs de Wall Street passés par l’Université de Stanford. Celle-ci facilite en effet l’onboarding des primo-utilisateurs, leur réelle cible, en imposant aucun dépôt minimum pour commencer l’activité de trading.

    [...]

    RobinHood précise dans sa communication publique qu’il s’agit moins de « prendre aux riches pour donner au pauvres » que de rendre les « fruits du capitalisme » accessibles à tous.

    [...]

    [L]’application fonctionne par un système de liste d’attente et régule très fortement l’arrivée de nouveaux clients – près d’un demi-million de personnes sont sur liste d’attente en septembre 2014.

    Ah ah, « RobinHood ». Ils doutent de rien ! Bon, n’importe comment et quoiqu’on pense du « monde de la finance », la volonté de l’ouvrir à tous est.. intéressant.

    #Application_mobile #Bourse_(économie) #Capital #Libéralisme_économique #Opérateur_de_marché #Particulier #Place_de_marché #Spéculation_financière

  • Nanni Moretti a un frère, et il cherche la vérité de la littérature
    http://www.franceculture.fr/emission-ce-qui-nous-arrive-sur-la-toile-nanni-moretti-a-un-frere-et-i

    Dates/Horaires de Diffusion : 6 Juin, 2014 - 08:45 - 08:50

    Figurez-vous que Nanni Moretti a un frère. Il s’appelle Franco, Franco Moretti, et il est professeur de littérature anglaise à l’Université de Stanford aux Etats-Unis, mais surtout, il mène un travail qui s’inscrit dans un vaste courant qu’on appelle les «  Digital Humanities  », «  les Humanités numériques  », et qui consiste, pour le dire vite, à faire profiter les sciences humaines et ...

    date de remontée fiction : Vendredi 6 Juin (...)

    #Information #Informatique #Innovation #Internet #Littérature_Contemporaine #Roman #Technique #Direct

  • La Révolution française
    http://www.planete-education.com/recit/La-Revolution-francaise.html

    Les #Archives numériques de la #Révolution française (ANRF) sont issues d’une collaboration de plusieurs années entre les #bibliothèques de l’Université de Stanford et la Bibliothèque nationale de France (BnF), visant à créer une version numérisée des principales sources d’étude de la Révolution française et à les mettre à disposition de la communauté académique internationale. Les Archives s’appuient sur deux sources principales, les Archives parlementaires et un vaste corpus d’images réuni pour la première fois en 1989 et intitulé Images de la Révolution française.

    #Histoire

  • L’ordinateur biologique est complet
    http://www.gizmodo.fr/2013/03/30/ordinateur-biologique-complet-transistorobtenir-sa-derniere-piece.html

    La frontière qui sépare les hommes des machines est de moins en moins nette. Surtout depuis l’annonce récente d’une équipe de l’université de Stanford : des scientifiques viennent de créer le premier transistor biologique entièrement fabriqué à partir de matériel génétique. … Continuer la lecture → …

    Source : gizmodo.fr - Norédine Benazdia

    #Drew_Endy #Science #transistor #Université_de_Stanford