• L’école primaire en France et en Allemagne : quelles valeurs ? (Regards croisés)
    http://www.tele-tandem.org/doclies/annedussapregards/annedussapregards2.html

    L’enseignant français (dépeint par les enseignants allemands) : c’est un fonctionnaire de l’Etat. Sa position de « maître » lui confère une certaine autorité. Il est sévère et sait faire régner la discipline ; il demande généralement beaucoup aux enfants. Comme le notait un enseignant allemand, il n’est pas du tout « maternel » avec les enfants, même petits ; au contraire, il a une relation distante … et pourtant amicale. Il semble qu’il n’ait aucune considération pour les élèves en tant qu’individus mais il est finalement très attentif aux enfants. Il doit enseigner toutes les matières, même s’il n’est pas compétent pour certaines d’entre elles. Il n’y a pas de réunions où l’on puisse discuter de pédagogie et peu d’échange de pratiques professionnelles. En revanche, il a beaucoup de travail administratif dès qu’une activité sort du cadre scolaire habituel (formulaires administratifs, permissions à demander, etc.).

    Par contre, je ne reconnais pas mes élèves dans le portrait de l’élève français… en tout cas les miens ne sont pas si disciplinés et respectueux… :)

    Et les locaux de l’école allemande font rêver :

    L’école est spacieuse, claire, moquettée. Des tableaux neufs à la hauteur des élèves (parce qu’ils coulissent le long du mur) sont là pour rappeler que le tableau, « un haut lieu de l’instruction », n’est pas l’apanage de l’enseignant et que le savoir se construit par et avec les élèves. Côté matériel, il n’y a pas à se plaindre : tout le matériel éducatif dont on pourrait rêver … et même plus !
    La cour est vaste, les enfants sont libres d’aller où ils veulent ; pendant les pauses, ils peuvent même entrer et sortir des bâtiments et de l’enceinte de l’école […].

    #éducation #école #élèves #enseignant.e.s #locaux #pédagogie #autorité #Allemagne_vs_France

    • Ce texte contient un grossier mensonge qui dissimule une vérité rarement évoquée.

      la relation pédagogique en Allemagne se définit comme suit : « A la base de l’éducation est le « rapport personnel entre un adulte et un être en devenir et qui parvient lui-même à sa vie et à sa forme. […] L’éducateur doit défendre le droit individuel du jeune au développement et à l’auto-réalisation contre d’autre prétentions qui ne seraient pas justifiées. Avant tout, il doit l’aider à se dégager des injonctions non justifiées de la société.[…] La relation pédagogique est un rapport d’interaction. L’éduqué, n’est pas seulement l’objet d’une intervention éducative mais il est considéré comme un sujet à qui l’on reconnaît le droit d’agir sur le rapport pédagogique. » 14). Dans la relation pédagogique à l’allemande, l’élève et l’enseignant sont partenaires pour la réalisation des potentialités de « l’éduqué » (l’élève) et le développement de son esprit critique. La loi doit être établie dans la discussion et la négociation entre les différents intéressés, c’est-à-dire entre enseignant(s) et élèves. Toute loi édictée par une autorité supérieure peut être contestée et refusée ; elle n’a pas de légitimité en soi. Dans sa mission, l’enseignant est d’ailleurs garant de la « non-obéissance aveugle » à une loi extérieure et doit amener les élèves à l’élaboration commune d’une règle valable pour la collectivité. On retrouve dans ce principe aussi la culture du « Mitentscheiden » ou participation aux décisions 15), où l’élève est non seulement consulté mais « co-décideur » des règles qui le concernent.

      Ce texte résume le mensonge á la base de l’échec de l’école allemande en tant qu’ascenseur social. Des parents d’origine modeste qui font confiance á ce discours contribuent au rejet de leurs enfants par les institutions pédagogiques acceuillant les adolescents et jeunes adultes. Il les font tomber dans le piége de la sélection brutale dissimulée derriére le discours évoqué par Anne Dussap-Köhler.

      Pour les enfants issus des familles petites bourgeoises c’est une affaire qui marche. Il connaissent tous ce type de discours mensonger parce qu’il fait partie du récit familial. Leur situation de classe les oblige à se soumettre aux autorités sans afficher une attitude serviable, á exploiter et à mépriser les plus pauvres qu’eux et à respecter leurs semblables. Ils apprennent dès la plus jeune enfance à maîtriser un discours mensonger adapté à cette situation.

      La bourgeoisie par contre place ses enfants dans des institutions où sont au programme la discipline et le travail tout comme la solidarité de classe et parfois la liberté d’esprit. Pour les trés riches il s’agit souvent d’institutions privées internationales, mais il existe une catégorie d’écoles pour les enfants de l’élite des fonctions. Ces écoles représentent un niveau intermédiare entre les lycèes ordinaires et les écoles hyper-élitaires. A Berlin par exemple ce sont le lycée protestant Gymnasium zum grauen Kloster , l’école des jésuites Canisius Kolleg , le lycée juif Jüdische Oberschule et le Lycée Français . Il y a aussi la John F. Kenndy School et l’ International School payante.

      Au fond les rapports de force et le rôle de l’école dans la société sont pareils en France et en Allemagne. Ce qui compte pour la réuissite des éléves ce sont les notes et ce n’est pas en discutant qu’on n’obtient de bon résultats. Le discours officiel allemand représente l’héritage empoisonné de ’68 auquel aiment croire les jeunes enseignants pas encore désabusés. Malheureusement le projet de libération de la société a échoué et a laissé derrière une carcasse de pédagogie vide.

  • Les évaluations des enseignements par les étudiants et les stéréotypes de genre (TheConversation)
    https://theconversation.com/les-evaluations-des-enseignements-par-les-etudiants-et-les-stereoty

    Les évaluations des enseignements par les étudiants peuvent avoir deux objectifs : améliorer la pédagogie des enseignants et servir de base pour les décisions de recrutement ou de promotion du personnel enseignant dans les établissements d’enseignement supérieur.

    Ces évaluations sont souvent composées d’une partie quantitative incluant plusieurs questions fermées, permettant d’aboutir à un score de satisfaction globale. Il peut être alors tentant de confondre ce score avec une mesure de la qualité d’un enseignement.

    En réalité, ce score mesure bien d’autres choses. Alors qu’il n’est pas significativement corrélé avec l’apprentissage (mesuré par le niveau atteint par un étudiant en fin de semestre), il est corrélé avec des biais de genre de la part des étudiants. Il est aussi fortement corrélé avec les notes de contrôle continu.

    #éducation #université #genre #sexisme #évaluation #enseignant.e.s

  • Enquête : les élèves plus que jamais au cœur des préoccupations des instits (L’instit’humeurs)
    http://blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/2016/01/24/enquete-les-eleves-plus-que-jamais-au-coeur-des-preoccupations-des

    Je ne sais pas si les premiers concernés sont les meilleurs juges, mais enfin voilà…

    1. On constate d’un coté que les enseignants de primaire sont fiers et motivés par un métier qui les rend heureux, mais qui engendre un certain nombre de frustrations. 2. Après des chiffres assez catastrophiques en 2014, en pleine application des nouveaux rythmes scolaires, on constate une certaine détente chez les instits, comme si l’orage était passé – mais les nuages sont toujours là, gris foncé, au point que 49% se disent découragés, 41% résignés, 33% tristes. 88% des instits estiment que leurs conditions de travail se sont dégradées aux cours des dernières années (63% des français les suivent sur ce point).

    #éducation #métier #enseignant.e.s #enquête #SNUipp

  • De brusques et puissantes envies de démissionner (Alchimie du collège)
    http://maragoyet.blog.lemonde.fr/2015/12/15/de-brusques-et-puissantes-envies-de-demissioner

    L’idée que l’enseignement est, aussi, un art semble devenue totalement marginale. Il n’est pas forcement formalisable, il n’est pas forcément réductible à un slogan, à une obédience, à une fiche de progression, à une feuille de route, à un référentiel de compétences. Il est là. En classe, il se déploie. Il résiste à un peu tout (les programmes qui changent, les modalités, les modes successives) mais a besoin d’être considéré. Il a besoin, aussi, de se confronter à d’autres réalités, d’être bousculé, d’être réveillé, d’être choyé, considéré.

    Oui, c’est ça qui nous manque le plus, de discuter, de raconter, de partager, de discuter à bâtons rompus, d’être orientés, épaulés, encouragés. Et même, contestés (on peut faire fausse route, oublier des choses essentielles, se tromper). Mais sur la base même du métier. Alors, de ce type d’échanges, pas totalement déconnectés, je ne ressortirais pas avec des envies de démissionner mais avec une volonté farouche de progresser.

    #éducation #formation #enseignant.e.s #souffrance #démission #tout_pareil_que_la_dame

  • Janvier, fiche de paie en berne (L’instit’humeurs)
    http://blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/2016/01/09/janvier-fiche-de-paie-en-berne.html

    Une perte de pouvoir d’achat de 5,5% minimum due au gel du point d’indice et à la hausse des prix. Dans le même temps, une hausse des cotisations qui finit par s’élever à près de 2000 € sur la même période. A cela il faut ajouter, on l’a déjà calculée, la perte financière générée par les nouveaux rythmes scolaires.

    Rappelons que les instits français, de l’avis de l’OCDE, sont sous-payés comparativement à leurs homologues étrangers (12% de moins que la moyenne).

    Rappelons aussi qu’entre 2000 et 2010, le salaire d’un instit français a diminué de 11%, pendant qu’il augmentait en moyenne de 14% dans l’OCDE.

    Cela n’empêchait pas une majorité de français de penser, en 2014, d’après la fondation Varkey Gems, que les profs devraient être moins payés.

    #éducation #enseignant.e.s #salariat #métier #salaire

  • La condescendance pyramidale (ou comment les profs passent leur temps à se juger de haut en bas) | L’instit’humeurs | Francetv info
    http://blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/2015/12/22/la-condescendance-pyramidale-ou-comment-les-profs-passent-leur-tem

    Il y a cependant une chose que la très grande majorité des profs de France, qu’ils le veuillent ou non, qu’ils en soient conscients ou pas, partage : ce qu’on pourrait appeler la condescendance pyramidale, et dont l’expression la plus simple est ce petit regard supérieur invariablement porté vers le collègue de niveau inférieur.

    Les profs qui enseignent en post-bac sont bien contents d’enseigner à ce niveau, ils ont affaire à des esprits plus évolués et n’ont pas à subir des classes qui n’ont pas choisi d’être devant eux, au contraire de leurs étudiants. Ils ne changeraient pour rien leur place avec les profs de secondaire, ils ont souvent tout fait pour ne pas les rejoindre et se distinguent d’eux par le fait qu’ils sont agrégés et docteurs, d’ailleurs ils consacrent une partie non négligeable de leur temps à la recherche et publient, de loin en loin. Au sein de l’université, il faut cependant faire la différence, par exemple, entre le maitre de conf et le chargé de TD, prestige oblige.

    Dans le secondaire, les agrégés forment une caste supérieure à celle des certifiés, d’ailleurs ils touchent plus et enseignent moins, c’est sans doute qu’il y a une raison, ils ont bien mérité ce statut distinctif, l’AGREG est autrement plus difficile que le CAPES, c’est bien connu. Toutefois parmi eux, les profs de prépa sont les plus forts, incontestablement au-dessus du lot. En-dessous, il faut sortir du rang les profs qui ont les Terminale S, ce sont les meilleurs classes, on les réserve aux meilleurs profs, forcément. Je ne parle pas des lycées professionnels, il est évident que les profs qui y officient ne valent pas les autres.

    Les profs de collège sont de niveau inférieur, ce sont seulement des certifiés, rares sont les agrégés qui s’abaissent ici. Cependant plus on a de classes de 3ème ou de 4ème, mieux on se porte et mieux on est vu.

    Ici s’opère une cassure : certifiés et agrégés ont beau former deux castes distinctes, ils se situent néanmoins nettement au-dessus de ce qui suit, à savoir les instits – on a beau les avoir appelé professeurs des écoles, personne n’est dupe, d’ailleurs ils ont plus d’heures de cours et gagnent nettement moins, ce n’est pas pour rien. Peu importe leur bac + 5, leur polyvalence est, finalement, un aveu d’incapacité dans tous les domaines.

    On peut éventuellement faire la distinction entre instit de cycle 3 et instit de cycle 2, mine de rien en CM2 ce sont de presque collégiens, et en CP encore des petits qui débarquent de maternelle. Les instits de maternelle, justement, sont bel et bien tout en bas de l’échelle : bien des profs ont ri en entendant Darcos les accuser de changer les couches – au fond, c’est un peu ça, quand même, non ?

    • De l’extérieur, les personnes étrangères à l’éducation nationale ne voient, le plus souvent, dans les 860.000 profs de ce pays, qu’une corporation soudée, unie envers et contre tout. « Les profs » seraient une masse indivisible, facilement catégorisable, aisément étiquetable, reconnaissable à ces réflexes grégaires, à cette logique corporatiste raillée et honnie par le reste de la population.

      Bien entendu, dans les faits, il n’en est rien.

      […]

      Ce complexe de supériorité finalement très bien partagé repose sur les dogmes suivants :

      – dans la logique de concours propre à l’éducation nationale, le CRPE est plus facile que le CAPES, lui-même plus facile que l’AGREG, le Doctorat et la Recherche universitaire se situant encore un degré au-dessus (et légèrement de côté) ; il semble évident que l’agrégation est hors de portée d’un instit – c’est certainement vrai –, de même il coule de source qu’un agrégé se baladerait au concours de PE – c’est sans doute faux.
      – dans l’imaginaire collectif, il est plus facile de s’occuper de petits que de grands, les petits sont moins pénibles et moins difficiles à gérer que les plus grands, surtout plus on avance et plus c’est à l’intellect pur que s’adresse l’enseignant, un prof de fac ne va pas moucher un étudiant ou régler un conflit à la récré.
      – on trouve la preuve des deux précédents arguments dans le fait que la proportion de femmes enseignantes tend à diminuer à mesure qu’on grimpe dans la scolarité : c’est bien connu, les femmes sont moins aptes que les hommes au haut niveau, et plus portées sur l’aspect maternant que requiert de toute évidence le travail dans les « petites classes ».
      […]
      Chaque enseignant nourrirait sa pratique de celle du collègue et mettrait son enseignement en perspective, chaque niveau de classe s’en trouverait renforcé, enrichi de ce qui a marché précédemment. C’est toute la scolarité qui gagnerait en cohérence, une corporation entière qui gagnerait en cohésion.

      #éducation #enseignant.e.s #mépris_de_classes #coopération #corporatisme #hiérarchisation #genre #métier #concurrence #condescendance #concours #diplôme

  • More than 50% of teachers in England ’plan to quit in next two years’ (BBC News)
    http://www.bbc.com/news/education-34426598?SThisFB

    The survey, undertaken with a representative sample of teachers, also suggested many were unhappy with some of the government’s plans.

    76% said forcing schools that require improvement to become academies would damage education
    62% said the plans for 500 new free schools would also damage education
    54% were not confident the new baseline test for four-year-olds would provide valid information about a child’s ability

    #éducation #Angleterre #enseignant.e.s

  • Le salaire net moyen des enseignants a diminué en 2013 (LesÉchos.fr)
    http://www.lesechos.fr/economie-france/conjoncture/021374449041-le-salaire-net-moyen-des-enseignants-a-diminue-en-2013-1161653

    En 2013, salaire net mensuel moyen des enseignants a diminué de 0,2 % à 2.450 euros du fait notamment du gel du point d’indice des fonctionnaires et de la hausse des cotisations sociales, indique une étude du ministère.

    #éducation #salariat #enseignant.e.s

  • Crise de recrutement dans l’Éducation nationale (LeFigaro.fr)
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/09/10/01016-20140910ARTFIG00404-education-nationale-crise-de-recrutement.php

    Près de 60 % des collèges et lycées ont entamé l’année avec au moins un poste de professeur non pourvu […].
    Fait plus inquiétant, l’étude révèle qu’un poste vacant sur cinq est dû à un enseignant stagiaire qui ne s’est pas présenté. Démissionnaire avant même d’entrer dans le métier ? Offres plus alléchantes et affectations défiant tout bon sens auraient-elles donc raison des vocations ?
    […]
    Ainsi, au Capes 2014, plus de 12 % des postes n’ont pas été pourvus. Une proportion qui atteint 33 % en maths et 17 % en lettres classiques. Des postes sur lesquels les académies recrutent des contractuels.

    #éducation #recrutement #métier #enseignant.e.s #contractualisation

  • Concours des professeurs des écoles : le grand écart de la sélection (LeMonde.fr)
    http://www.lemonde.fr/etudes-superieures/article/2015/09/21/concours-des-professeurs-des-ecoles-le-grand-ecart-de-la-selection_4765929_4

    Notre carte de France du taux de réussite par académie, ci-dessous, est coupée par une diagonale qui va de Rennes à Menton. Au Sud, celles où au moins quatre candidats se présentent pour chaque poste ; au Nord, celles qui suscitent un moindre engouement. Les banlieues parisiennes constituent un cas particulier : elles recrutent énormément, en raison de leur forte démographie, sans susciter un intérêt proportionnel des candidats.

    #éducation #école #recrutement #sélection #territoires #enseignant.e.s

  • A teacher speaks out: ’I’m effectively being forced out of a career that I wanted to love’ (The Independent)
    http://www.independent.co.uk/news/education/schools/a-teacher-speaks-out-im-effectively-being-forced-out-of-a-career-that

    I am a young, energetic person with a first-class degree from a top university. I have been graded an ’outstanding’ teacher by colleagues; I like working hard. Really. My grievance has little to do with pay and pensions – for most young teachers, remaining in the profession until pensionable age is a ludicrous prospect, due to unsustainable workload. The only way to do a good job is to work breathless 12-plus-hour days every day, which I cannot keep up. I am not content, however, to work less and do a bad job for the children. I am angry that I am effectively being forced out of a career that I wanted to love.

    #éducation #enseignant.e.s #souffrance_au_travail #conditions_de_travail #métier

  • Un métier ou des métiers ? (Enseigner au XXI siècle)
    http://blog.educpros.fr/Jean-Michel-Zakhartchouk/2014/12/15/un-metier-ou-des-metiers

    Fait-on le même métier de l’école maternelle à la terminale et plus encore quand on est au collège Belle de mai de Marseille ou au lycée Henri IV ?
    […]
    Un métier, des facettes différentes, cela devient intéressant dès lors qu’on ne regarde pas de haut en bas, de l’aval vers l’amont, mais où cela circule, comme d’ailleurs dans l’interdisciplinarité quand on confronte des regards différents tout autant qu’on cherche les points communs.
    […]
    A l’heure du socle commun, il faut affirmer qu’on est à tous les niveaux des accompagnateurs des élèves sur le chemin d’apprentissage, même si on n’est pas forcément présents de la même façon partout, même s’il faut tenir compte du contexte, mais cela est de toutes façons dans le cahier des charges de tout enseignant qui se respecte, qui pense d’abord que ce qui est important, c’est que l’élève apprenne…

    #éducation #enseignant.e.s #métier