#el_khomri

  • Qui veut noyer Filoche l’accuse de la rage Le Grand Soir - Théophraste R. - 22 novembre 2017
    https://www.legrandsoir.info/qui-veut-noyer-filoche-l-accuse-de-la-rage.html

    Ah, Gérard Filoche ! Le fort en gueule, un des #éléphants du #PS engraissés au Bureau national, poste envié d’où sourdent les lois anti-pauvres contre lesquelles l’Inspecteur du travail Filoche Gérard a bataillé toute sa vie, avec fougue, en expert reconnu, défenseur des sans-dents que son président multipliait en se moquant.


    Schizophrène, le coeur chez les prolos, l’estomac chez ceux qui les oppriment, #Filoche donnait l’image du « pharisien hideux » dont Victor Hugo disait qu’il « trinque avec les riches et dit au pauvre : ami, viens jeûner avec moi » , tel un « simple jésuite et triple gueux » qui « ripaille à huis clos » et en public « sermonne ».

    Il a été complice jusqu’au bout des #Hollande, #Valls, #El_Khomri, #Cambadelis, etc. qu’il vilipendait en servant de caution morale au PS et à un ministre de l’économie nommé #Macron.

    Mais un Filoche poil à gratter n’avait pas droit à l’erreur, pas le droit de tweeter une image trouvée sur le site de Soral, qu’il a retirée dès qu’il a été alerté sur ce qu’elle était. Trop tard, il a failli : la meute est lâchée. Filoche est, comme disait Mitterrand en parlant de Beregovoy, « jeté aux chiens » qui piaffaient dans de nombreux chenils politico-médiatiques.

    Filoche aurait été grand s’il avait mis en accord ses actes et ses paroles, en cessant de pédaler sur un vélo sans chaîne ou d’imiter les pétarades d’un moteur en glissant dans les rayons une carte du PS tenue par une pince à linges, bref : en quittant ce repaire de félons avant qu’un ignominieux coup de pied au cul l’en sorte sans gloire par la porte des poubelles, lesquelles auraient dû être pleines si le PS y mettait tous les siens qui ont trahi Jaurès.

    Filoche n’est pas antisémite. Il serait judicieux de ne pas le pousser à le devenir par un long et injuste procès.

    Théophraste R. (Slogan qui n’a rien à voir : « Vive la Palestine ! »).

  • [Mise en application et en échec de la loi Travail.]
    Réseau de Transport de l’Electricité
    Un véritable camouflet pour la Loi Travail et la direction de RTE !
    jeudi 30 mars 2017
    Communiqué commun de la CGT et de la Fédération CGT Mines-Energie

    Les agents du RTE (Réseau de Transport de l’Electricité) ont clairement refusé l’accord soumis à référendum.

    Pour contourner l’opposition de la CGT majoritaire à 58,4% au sein de l’établissement Maintenance de RTE, la #CFDT et la #CFE-CGC ont demandé un référendum, en application de la Loi Travail.

    Avec 76.3 % de participation et 70.8 % de votants contre le projet d’accord, les agents ont signifié leur refus de voir leurs horaires flexibilisés.

    L’accord portait sur le recours au travail posté (2x8, 3x8) et les interventions en dehors des horaires habituels, pour réparer les avaries qui surviennent sur le réseau électrique.

    Les agents ont le service public à cœur et se rendent disponibles 7j/7 pour assurer l’alimentation électrique.

    La CGT était d’ailleurs prête à conclure un accord sur le #travail_posté pour réaliser des réparations urgentes.

    Mais cela ne suffisait pas à la direction de RTE qui voulait en plus avoir la possibilité de désigner les intervenants les week-end et jours fériés, sans leur consentement, ce qui pour la CGT est inacceptable en dehors de la mise en place d’une #astreinte.

    Le vote des salariés non concernés par l’accord a fait courir un risque d’instrumentalisation et de division au sein du personnel. Ils ne sont pas rentrés dans ce jeu-là alors même que la direction a essayé ouvertement d’influencer le vote, considérant qu’elle n’était pas tenue de rester neutre.

    La mise en œuvre de ce #référendum à #RTE a permis de confirmer toute la nocivité de la #Loi_Travail et validé la pertinence des mobilisations du printemps 2016, alors que certains répétaient que les salariés de ce secteur n’étaient pas concernés.

    Le référendum de la loi #El_Khomri n’est en fait qu’un moyen supplémentaire donné aux employeurs pour imposer des accords au rabais.

    La #CGT invite les salariés à s’unir dans les entreprises pour refuser les reculs sociaux et continuera à contester la Loi Travail devant toutes les juridictions.

    Montreuil, le 30 mars 2017.

    http://cgt.fr/Un-veritable-camouflet-pour-la-Loi.html

    #flexibilité #travail #syndicat #syndicalisme #droits

  • Paris est une fête – Un film en 18 vagues : Entretien avec Sylvain George

    Le nouveau film de Sylvain George est à placer sous le signe impérieux de l’#urgence. Une urgence à porter sa caméra dans les lieux des #luttes qui traversent notre époque autant que celle d’en visionner les images. Le cinéaste porte un regard singulier sur les manifestations qui ont marqué #Paris (#Nuit_debout, manifestations contre la loi #El_Khomri) et la crise des #réfugiés, dans la lignée des problématiques qui traversent ses films précédents. En 2011 et 2012, il évoquait déjà la situation des #migrants à #Calais dans Qu’ils reposent en révolte (Des figures de guerres I) et Les Éclats (Ma gueule, ma révolte, mon nom), et documentait le mouvement des #Indignés à Madrid dans Vers Madrid – The Burning Bright. Paris est une fête complète cette filmographie politiquement engagée à classer par ailleurs dans la catégorie du #documentaire de création, et se trouve cette année en compétition internationale au Festival des films documentaires, Cinéma du Réel qui se tient à Paris au Centre Pompidou du 24 mars au 2 avril 2017. Entretien avec Sylvain George.

    Rassemblements de Nuit debout, crise des réfugiés, manifestations contre la loi Travail dans un contexte d’état d’urgence, de violences policières et de traumatisme post-attentats. Quelle convergence voulez-vous créer entre ces luttes ?

    Il est de bon ton de vouloir diviser, opposer, séparer des éléments ou évènements qui sont plus que jamais et logiquement interconnectés. (...) A travers ce film, j’ai souhaité poursuivre un travail au long cours sur les politiques migratoires européennes, en m’intéressant particulièrement, et de façon non exhaustive, à la question des « jeunes mineurs étrangers isolés ». Les parcours de ceux-ci, en errance dans les rues de la capitale, Paris, ou la proche banlieue, à Aubervilliers, permettent de dresser dans le même temps une sorte d’état des lieux d’un certain état de la France et du monde aujourd’hui. Une sorte de cartographie spatiale se dessine, avec des figures du centre, des hyper-lieux traversés par toutes sortes de populations, de mouvements sociaux, comme des hors lieux, des interstices où ces jeunes gens essaient de survivre. Ainsi, se donnent à voir et à lire de multiples formes de violences sociales et politiques, des territoires discriminés, voire ségrégés, où se concentrent des inégalités multiples en matière d’emploi, de logements, etc. – et ceci depuis des années, des décennies.

    Les déambulations multiples des mineurs, et plus spécialement de Mohamed, sur les différentes lignes de fracture, créent (...) des points de convergence, permettent de lier des problématiques que certaines volontés politiques voudraient forclore sur elles-mêmes.

    ... la notion de peuple est une notion non figée, dont la définition engage des valeurs et conceptions du monde variées, la possibilité de pratiques politiques nouvelles ou non : hier fondé sur la notion de sang, aujourd’hui de sol, il pourrait se fonder sur la notion de #passage et ouvrir à la possibilité d’un peuple toujours à venir, un #peuple qui vient, pour paraphraser le beau texte de Walter #Benjamin « Programme sur la philosophie qui vient », une communauté sans appartenance. Ce qui signifierait, dans sa traduction politique, la mise en œuvre de politiques fondées sur l’ouverture et non la fermeture à l’autre...

    https://diacritik.com/2017/03/27/paris-est-une-fete-un-film-en-18-vagues-entretien-avec-sylvain-george

  • Le #travail : parlons-en…
    https://reflets.info/le-travail-parlons-en

    Une partie de la population se fâche contre la régression réforme du droit du travail — instiguée et passée en force par le gouvernement socialiste — mais peu de médias traitent le fond du sujet, pourtant central, celui du… travail. Justement. Le travail, c’est la justice ? Dans un pays riche, industriel et développé, le […]

    #France #Tribunes #capital #Chômage #el_khomri #Emploi #gauche_française #loi_travail #Modèle_de_société #socialisme_de_droite #Société

    • Ce qui est survenu en quelques décennies est un mouvement de fond déjà ancien et propre au système économique en place, mais il est fondamental. Ce mouvement est le basculement de la part du travail vers celle du capital, et au delà, de l’inversion des valeurs. Pour faire simple : plus vous êtes en charge de produire le bien ou le service d’une entreprise publique ou privée, donc au cœur de ce qui crée de la #valeur dans la structure, moins votre revenu est élevé. À l’inverse, moins vous êtes productif, donc plus vous êtes éloigné de la fabrication, du travail concret que votre #entreprise fournit, plus votre #revenu est élevé.

  • Faible mobilisation à Paris, émaillée de #violences_policières
    https://www.mediapart.fr/journal/france/240316/faible-mobilisation-paris-emaillee-de-violences-policieres

    La troisième journée de mobilisation contre la #loi_sur_le_travail a drainé moins de monde que la semaine précédente. Les motivations, elles, restent intactes et les regards convergent vers le 31 mars, date d’une grande mobilisation annoncée. Une scène de violences policières a par ailleurs été filmée devant un lycée du XIXème arrondissement.

    #France #el_khomri #étudiants #lycéens #manifestation

  • La loi du Travail…#OnVautMieuxQueCa ? Vraiment ?

    https://labyrinthes.wordpress.com/2016/03/15/la-loi-du-travail-onvautmieuxqueca-vraiment

    1. Toute élection constitue une fraude électorale. Qu’un gouvernement ait le « courage politique » de contrevenir radicalement aux promesses prononcées lors de sa campagne ne devrait plus surprendre. Non pas seulement parce que l’histoire du parlementarisme et de la représentation politique en général est l’histoire de ces promesses non tenues, des revirements de situation et des trahisons politiques – non pas tant parce que cela est habituel, quoique prenant parfois des proportions inattendues, mais parce que cela est institutionnel : la politique spectacle et l’arbitraire gouvernemental est ce qui est institué, légitimé et promu par l’électoralisme et la « représentation politique ».

    2. La Loi Travail dite El Khomri n’est pas à proprement parler une trahison, mais la suite logique de la loi du travail en régime capitaliste : elle signe et manifeste la conviction des classes dominantes selon laquelle le rapport de force leur est actuellement favorable. Renforcer l’exploitation des salariés en vue de renforcer les entreprises, d’augmenter la croissance et la compétitivité, soit, en d’autres termes, de raffermir et d’accroître la puissance du fric, du business – du capital… –, s’inscrit dans la dynamique naturelle de l’économie marchande et du travail subordonné. Qu’un gouvernement de gauche s’affranchisse du masque derrière lequel il tentait auparavant de déguiser ces régressions, qu’il prétendait pouvoir compenser par de nouveaux droits pour les travailleurs, marque un changement de rythme, non de direction. Défendre le Code du Travail, comme ensemble de droits visant à réguler l’avidité et le cynisme des employeurs dans le cadre du « lien de subordination permanent » constitué par le contrat de travail, devrait nous rappeler que pareils droits représentent des compromis qui, quelque-soit les améliorations que nous pouvons en tirer au quotidien, ne sont que des pis-aller toujours précaires modérant une situation d’exploitation, de subordination – de domination – que nous devons viser à abolir, si nous ne voulons pas qu’elle croisse.

    3. De fait, le retrait d’une réforme qui dégrade les conditions d’exploitation du travail ne peut être considéré comme une victoire uniquement pour les syndicats et leurs représentant·e·s qui, à l’occasion des mobilisations réclamant le maintien de la situation actuelle, disposent d’une certaine publicité, et d’un tremplin à leurs carrières. Si le fait de devoir repousser ou de ralentir l’évolution du degré de subordination de chacun vis-à-vis de l’économie est en quelque-sorte un échec pour un gouvernement et les organisations patronales qu’il représente (encore que cela prépare malgré tout la suite), il n’y a là pas plus de victoire pour les salarié·e·s qu’il n’y en a pour les « citoyen·e·s » lorsqu’ils parviennent à « faire barrage au front national ». A minima, une bataille victorieuse des travailleurs·euses (et étudiant·e·s, et chomeurs·euses…) lors d’un mouvement social implique une augmentation de leurs droits. Mais chaque bataille devrait être l’occasion de se souvenir que nous ne gagnerons la guerre qu’ils nous font que lorsque nous organiserons nous même, collectivement, le travail et l’économie en général. Lorsque nous organiserons collectivement nos moyens de vivre. Lorsque nos vies ne seront plus subordonnées à l’accroissement de richesse et de pouvoir de quelques-uns.

    4. Une « mobilisation de la jeunesse », un « mouvement étudiants et lycéen », voilà l’enclosure idéale pour un mouvement social qui logiquement devrait avant tout être le mouvement de celles et ceux qui sont le plus directement humilié·e·s par la loi du travail. Non pas les futur·e·s diplomé·e·s des universités, mais celles et ceux qui triment d’ores et déjà, sous le régime actuel du code du travail, et celles et ceux que le marché du travail exclu en attendant de pouvoir en faire de simili-esclaves (par le travail en prison, le conditionnement du RSA à un travail obligatoire, des contrats « uberisés », etc.). Le narcissisme collectif avec lequel jouent les représentant·e·s syndicaux du milieu étudiant lorsqu’ils font clamer que « le gouvernement est foutu, la jeunesse est dans la rue » n’est pas seulement empreint d’une puérilité d’autant plus pathétique que le slogan est usé. Il vise aussi à s’accaparer le mouvement, à en faire « sa » mobilisation, et par là, prend le risque de démobiliser, de marginaliser ou d’invisibiliser celles et ceux qui ne font pas partie de cette jeunesse plus ou moins privilégiée. Les médias et politiques ne s’y trompent pas, et sauront en jouer, eux aussi. Déjà, on laisse entendre que si les futurs diplomé·e·s s’opposent à cette réforme, c’est en négligeant l’intérêt des salarié·e·s les plus précaires ou exploité·e·s, c’est au nom d’un certain égoïsme, qui ne se soucie pas véritablement du chômage auquel sont condamné·e·s les plus pauvres, les non-diplomé·e·s… Le fait est si habituel que le mot de « jeunesse » évoque et invoque, dans ce contexte, non pas n’importe quel jeune, mais celui-ci qui, issue de classes plus ou moins moyennes, craint d’être déclassée. Devra-t-on s’étonner si, de nouveau, les ouvriers et ouvrières, les salarié·es en tout genre, les plus directement concerné·e·s par la réforme, se contentent finalement d’être spectatrices et spectateurs d’une lutte qui devrait être aussi la leur, et si, à un moment donné, les jeunes refoulé·e·s de « la jeunesse » n’intègrent les cortèges étudiants qu’en vue de quelques rackets ?

    5. Lorsqu’un mouvement social réclame avec détermination le retrait d’un projet de loi, il obtient éventuellement sa re-négociation, probablement son report. Lorsqu’il commence à réclamer de nouveaux droits, à contre-courant de la réforme, il a quelque chance d’obtenir son retrait. Lorsqu’un mouvement social s’accompagne une critique radicale du travail, de l’économie, des dominations et inégalités instituées, lorsque finalement il prend l’allure d’un mouvement qui dépasse la posture revendicative, qu’il sort du jeu du « dialogue social » entre « partenaires sociaux », pour devenir l’expression d’un ras-le-bol exprimant une conscience suffisamment claire de l’arnaque continue que représentent les rapports sociaux existant, il a quelque chance d’obtenir de nouveaux droits, et se donne la possibilité de grossir les rangs d’une dissidence qui fasse véritablement sens, qui soit à la hauteur de la situation, et renverse, un moment au moins, le rapport de force. Début mars, prônant le « dialogue et le respect », François Hollande formule ses craintes : « Rien ne serait pire que l’immobilisme ou de tout mettre en cause ». L’immobilisme : voilà la victoire recherchée par les syndicats étudiants ; tout mettre en cause : voilà ce que peut un mouvement qui ne se laisse pas kidnapper par les tactiques et tacticien·e·s syndicaux. Au même moment, Myriam El Khomri lançait à son propre camp une formule que nous devrions pouvoir reprendre à notre compte : « il faut frapper vite et fort, y compris en bousculant ».

    #loi_travail #luttes #réforme #travail #exploitation #mouvement_étudiant #El_Khomri #capitalisme #syndicat #démocratie_représentative #autogestion

  • #droit_du_travail : la #France peine à suivre l’exemple de ses voisins
    http://fr.myeurop.info/2016/03/15/droit-du-travail-la-france-peine-suivre-l-exemple-de-ses-voisins-14501

    http://cdn3.myeurop.info/sites/default/files/imagecache/third_thumbnail/media/images/SORTIE+D'USINE.jpg

    Daniel Vigneron

    Malgré les concessions du gouvernement, l’opposition à la #réforme du droit du travail reste forte en France. La « flexisécurité » instaurée dans les pays voisins a pourtant un impact positif sur l’emploi. Mais la précarisation progresse également.

    Entre 220 et 500.000 Français sont descendus dans la rue le 9 mars, à l’appel des syndicats de salariés et d’étudiants, pour réclamer le retrait de l& lire la (...)

    #EUROFOCUS #Allemagne #Danemark #Espagne #Italie #Pays-Bas #Royaume-Uni #CDD #CDI #code_du_travail #El_Khomri #flexibilité #flexisécurité #licenciements #prud'hommes #RFI

  • A Lille, « tout cela va aboutir à un grand clash »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/090316/lille-tout-cela-va-aboutir-un-grand-clash

    Plus de 6 000 manifestants ont défilé dans les rues de Lille pour protester contre la #loi_sur_le_travail. Certains ont signé la pétition en ligne mais ont voulu montrer leur désapprobation en manifestant à l’occasion de cette première journée d’action. Témoignages.

    #France #Economie #el_khomri

  • Individualisme, solidarité, société de consommation et loi #el_khomri
    https://reflets.info/individualisme-solidarite-societe-de-consommation-et-loi-el-khomri

     L’unanimité, à gauche — et peut être au delà — contre le projet de réforme du code du travail est symptomatique d’un mal français : le clivage. Ce trouble psychiatrique permet à un individu de vivre avec deux personnalités bien distinctes qui ne se rencontrent pas, et qui souvent sont parfaitement antinomiques. Que se […]

    #France #Politique ##OnVautMieuxQueCa #dumping_social #libéralisme #néo-libéralisme #réforme_travail