• Film – Musik – Poesie : Die „Fünfte Generation“ wird siebzig
    https://www.zo.uni-heidelberg.de/sinologie/shan/nl-archiv/2021_NL108_5.html

    Die Filmregisseure der sogenannten „Fifth Generation“ Zhang Yimou, Chen Kaige, Tian Zhuangzhuang und Wu Ziniu wurden größtenteils in den Jahren 1949-1955 geboren.

    Die Künstler(innen) Wang Keping, Qu Leilei, Huang Rui, Ma Desheng, Yan Li und Shao Fei stammen ebenfalls aus dieser Zeit; genauso die Autor(inn)en Bei Dao, Jiang He, Mang Ke, Duo Duo, Shu Ting, Mo Yan und Yang Lian.

    Die Komponist(inn)en Chen Qiyang, Qu Xiaosong, Liu Sola und Ye Xiaogang wurden auch in den frühen fünfziger Jahren geboren.

    Die Komponistin Liu Suola, die auch als Autorin Liu Sola bekannt wurde, sagte über ihre Komponistenklasse: „Man kann sagen, dass diese Klasse seit der Gründung des Zentralen Musikkonservatoriums der freidenkerischste Jahrgang war. “ (S. 129.)

    Ähnliches kann man wohl auch über die anderen genannten Gruppen sagen.

    Die in den fünfziger Jahren Geborenen haben die Zeit vor 1949 nicht miterlebt und konnten meist in den ersten 3 Jahrzehnten ihres Lebens nicht ins Ausland reisen. Sie erlebten alle als Kinder oder Jugendliche den „Großen Sprung nach vorn“ und die „Kulturrevolution“.

    [Viele wurden in den sechziger Jahren mit ihrer Familiengeschichte konfrontiert, z.B. „feudaler“/„kapitalistischer“ Hintergrund/Lebensstil, KMT-Mitgliedschaft der Eltern, Kollaboration mit Japan.]

    Als 1977 die Post-Mao-Ära begann, waren sie durchschnittlich 25 Jahre alt – jung genug um noch zu studieren oder eine andere Ausbildung zu machen; aber oft zu alt für „Parteidisziplin“. Für viele waren die Jahre von 1979 bis 1989 die beste Zeit, manche wurden erst in den neunziger Jahren berühmt, viele gingen ins Ausland

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    Jetzt haben die Überlebenden oft schon das Rentenalter erreicht, sind aber meist noch künstlerisch tätig.

    Geburtsjahre:

    1949

    A Cheng, Bei Dao, Jiang He, Wang Keping

    1950

    Mang Ke, Mao Lizi

    1951

    Duo Duo, Qu Leilei

    1952

    Chen Kaige, Huang Rui, Ma Desheng, Qu Xiaosong, Shu Ting, Tian Zhuangzhuang, Wu Ziniu

    1954

    Yan Li

    1955

    Liu Suola, Mo Yan, Yang lian

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    PS:

    Nur wenig später wurden Ai Weiwei, Guo Wenjing und Tan Dun geboren.

    (Die heutigen Politiker Li Keqiang und Xi Jinping gehören auch zur 5. Generation, aber diese werden nicht so numeriert.

    Dr. Thomas Kampen

    #Chine #cinéma #cinquième_génération

  • « Babi Yar. Contexte » de S Loznitsa, contribution fondamentale à la mémoire des Juifs d’Ukraine.

    Le dimanche 3 mars à 16h, l’UPJB projette le film de Sergei Loznitsa « Babi Yar. Contexte ». C’est un documentaire qui s’appuie de 10 ans de recherche dans les archives cinématographiques et qui permet de reconstituer la dynamique des événements qui ont produit le massacre le plus important de Juifs en Ukraine dans leur propre ville, Kiev. 33 771 personnes ont été assassinées à Babi Yar en deux jours : les 29 et 30 septembre 1941. A partir de 1948, la campagne antisémite du pouvoir stalinien a interdit toute commémoration de ce massacre.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/02/29/babi-yar-contexte-de-s-loznitsa-contribution-f

    #cinema #histoire #ukraine #juif

  • The Axis of Big Data
    大数据中心 | 大數據中心 | Scroll of Data Centers de Zhou Tao

    A data center in the mountainous southwestern province of Guizhou is at the heart of his newest work, presented through a panoramic sweep around the facility’s surrounding rural farmland. In a play of contrasts, the camera drifts across blades of grass, meeting local farmers, tourists, and animals.

    https://mubi.com/en/fr/films/the-axis-of-big-data
    #chine #cinéma #malheur_du_jour

  • L’amour fou (1969), de Jacques Rivette Ou le complot d’une actrice pour en finir avec son propre rôle, et le metteur en scène, Mathilde Girard
    https://lundi.am/L-amour-four-1969-de-Jacques-Rivette

    Vendredi dernier, lors de la cérémonie des Césars au cours de laquelle elle a dénoncé la responsabilité du cinéma dans l’abus sexuel sur les petites filles, Judith Godrèche a cité un dialogue extrait de Céline et Julie vont en bateau, un film de Jacques Rivette :
    « — Céline : il était une fois.
    -- Julie : il était deux fois. Il était trois fois.
    -- Céline : il était que, cette fois, ça ne se passera pas comme ça. Pas comme les autres fois. »
    Dans le texte qui suit, Mathilde Girard revient sur un autre film de Rivette, L’amour fou, tentative cinématographique de mettre en pièce une image de l’amour, de la femme qui souffre, produite par les hommes et des siècles de romantisme hétéro, et dont le cinéma met encore un peu de temps à s’arracher.

    C’est un film pas facile à trouver, mais dont j’aimerais dire quelques mots, parce que j’y repense dans ce moment où le cinéma, ses rôles et ses personnages, contribue aux révoltes que la vie peut opposer à la domination silencieuse de l’ordre des choses.

    #cinéma #amour #féminisme

  • « #Bye_Bye_Tibériade » : #Lina_Soualem convoquée #Au_Poste

    https://www.auposte.fr/bye-bye-tiberiade-lina-soualem-convoquee-au-poste

    #dav_duf #palestine #cinéma

    Brel avait un mot. Aller voir. Il faut aller voir. Cette maxime, Hiam Abbass aurait pu la faire sienne. Il y a 30 ans, l’immense actrice a quitté son village #palestinien pour l’Europe, et son cinéma, puis les Etats-Unis, et leur folie. Avec sa fille Lina Soualem, #réalisatrice (son « #Leur_Algérie », il y a trois ans, fut un bijou d’humanité et de drôlerie), #Hiam_Abbass retourne sur les traces des lieux disparus et des #mémoires dispersées de quatre #générations de femmes #palestiniennes.

  • #Lina_Soualem et #Hiam_Abbass : « Faire exister l’humanité du peuple palestinien »

    Après Leur Algérie, explorant la branche familiale paternelle, la réalisatrice Lina Soualem poursuit l’introspection du double exil qu’elle porte : l’Algérie mais aussi la Palestine. Bye bye Tibériade, son second documentaire, sort en salles mercredi 21 février. Bouleversant de tristesse mais aussi de joie, il raconte comment la lignée de femmes de sa famille maternelle, dont sa mère l’actrice Hiam Abbass, a été percutée par les violences de l’histoire.

    À travers elles, c’est l’histoire du peuple palestinien qui se déploie sur plusieurs décennies, un peuple qui subit une injustice historique et qui est revenu au cœur de l’actualité de la plus sanglante des manières. La sortie de Bye Bye Tibériade survient en pleine guerre à Gaza, où Israël mène, depuis le 7 octobre 2023 et les massacres du Hamas qui ont fait 1 160 morts, une riposte militaire. Celle-ci a tué plus de 29 000 personnes, dont 70 % sont des femmes et des enfants, dans l’enclave palestinienne.

    En explorant les douleurs de la mémoire familiale et collective à travers le prisme des femmes, Lina Soualem questionne aussi admirablement l’universel qui nous percute et nous rassemble : l’amour, l’exil, la famille, la terre, les racines.

    https://www.youtube.com/watch?v=9vsnwCDc1Ww

    #film #Palestine #cinéma #documentaire #film_documentaire #dépossession #héroïsme #arrachement #exil #identité #droit_à_la_complexité #culture #nakba #intimité #négation #histoire_familiale #parcours_de_vie #silence #art #récits_de_vie #mémoire_collective #peur_de_la_perte #maison #douleurs_du_passé #transmission #force_féminine #vie #humour #liberté #rupture #exil_forcé #patriarcat #poésie

  • Judith Godrèche aux Césars : « Je parle mais je ne vous entends pas. Où êtes-vous ? Que dites-vous ? »
    https://www.lemonde.fr/culture/article/2024/02/23/judith-godreche-aux-cesars-je-parle-mais-je-ne-vous-entends-pas-ou-etes-vous

    L’actrice a pris la parole pendant la cérémonie, vendredi soir, pour appeler la « curieuse #famille » du #cinéma français à « dire tout haut » la réalité des violences sexistes et sexuelles dans le secteur.

    #VSS #féminisme

    • Il faut se méfier des petites filles.

      Elles touchent le fond de la piscine, se cognent, se blessent, mais rebondissent.

      Les petites filles sont des punks qui reviennent déguisées en hamster.

    • Céline. « Il était une fois.

      Julie. — Il était deux fois. Il était trois fois.

      Céline. — Il était que, cette fois, ça ne se passera pas comme ça, pas comme les autres fois. »

      Judith

  • At the Berlin Film Festival, Tension Onscreen and Behind the Scenes - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2024/02/15/movies/berlin-film-festival.html


    Mariette Rissenbeek and Carlo Chatrian, who have led the Berlinale Film Festival for four years, in Berlin in 2020. Credit...Lena Mucha for The New York Times

    Feb. 15, 2024 by Thomas Rogers, reporting from Berlin -

    At the Berlin Film Festival, Tension Onscreen and Behind the Scenes
    Thomas Rogers - The final edition overseen by a pair of once celebrated festival directors starts Thursday. Their successor will face financial headwinds and political hurdles.

    When Mariëtte Rissenbeek and Carlo Chatrian took over the Berlin International Film Festival in 2019, many hoped it would mark a new beginning for the festival, one of the most important in world cinema and the largest by audience numbers.

    Under its previous leadership, some argued, the event had grown bloated and unglamorous compared with competitors like Cannes and Venice. They hoped the pair would reinvigorate the Berlinale, as the festival is known, by streamlining its offerings and attracting more high-profile movies.

    Five years later, the directors are departing under a cloud of controversy, and many will be debating their legacy at this year’s edition, which begins on Thursday.

    Rissenbeek, who oversees the Berlinale’s finances, announced last March that she would be retiring after this year’s festival. And in the summer, Germany’s culture minister, Claudia Roth, said that the festival would return to the leadership of a single figure, eliminating Chatrian’s position as artistic director.

    That decision spurred pushback: Over 400 filmmakers and artists, including the directors Martin Scorsese and Claire Denis, signed an open letter in September praising Chatrian and calling his dismissal “harmful, unprofessional and immoral.” Others have argued that Chatrian’s removal was justified, and that the pair never fulfilled their early promise.

    In December, Roth announced that Tricia Tuttle, an American who has previously helmed the London Film Festival, would take over the Berlinale after this year’s edition. She will inherit a sprawling program as well as financial challenges and a perilous political backdrop.

    The behind-the-scenes turmoil will likely be a hot topic at this year’s event, which opens with a gala screening of “Small Things Like These,” a drama about the institutional abuse of women in Ireland, starring Cillian Murphy. Further films in this year’s competition include new works by the French filmmakers Olivier Assayas and Mati Diop, whose “Atlantics” won the Grand Prix at Cannes in 2019, and the Korean director Hong Sang-soo, a Berlinale mainstay.

    Other movies will feature the actors Rooney Mara, Isabelle Huppert and Adam Sandler, whose Netflix film “Spaceman” will premiere in an out-of-competition slot. Lupita Nyong’o, the Kenyan Mexican actress best known for “12 Years a Slave” and “Black Panther,” will lead the jury, and this year’s Honorary Golden Bear, the festival’s equivalent to a lifetime achievement award, will go to Scorsese.

    Yet the starry program came together under unsettled conditions, and in a recent joint interview with the outgoing directors, Chatrian chafed at questions about his departure. He said that the announcement had come as a surprise, because Roth had indicated that his contract would be extended. Maybe there had been a “misunderstanding,” he said — in any case, his focus was now on bringing attention to the films in this year’s selection.

    Under the leadership of Chatrian and Rissenbeek, the festival cut several sidebar programs and introduced a new competition called Encounters for more experimental features. But they said it had been difficult to put their stamp on the festival because of disruptions caused by the pandemic. Germany’s first lockdowns were imposed weeks after their first edition, in 2020, and ensuing events were held online, outdoors or under strict Covid protocols, requiring constant reinvention.

    “It made it much more difficult to think about a continuous line for where we want to go with the festival,” Rissenbeek said.

    She noted that the festival had also faced tough financial headwinds, including inflation and the loss of some long-term sponsors. Although Germany’s federal government recently announced a cut in financing, she said that Berlin’s local government had stepped in to fill in the gap.

    Some have also interpreted the duo’s decision to cut a program dedicated to up-and-coming German filmmakers as a lack of interest in fostering local cinema. In an email, Linda Söffker, who ran the program from 2010 until 2022, described it as a crucial “building block” for German cinema and for smaller production companies with less access to stars and money. Chatrian said the program had been cut for financial reasons and had attracted insufficient interest from industry festivalgoers.

    In an emailed statement, Roth declined to comment on her reasons for ousting Chatrian, but said that her long-term goal was to strengthen the Berlinale among the “top-level film festivals.” She added that the “the grand task of the Berlinale is to combine its artistic goals with a commercially successful cinema that also relies on stars and familiar names.”

    The Berlinale is the most political of the major film festivals, and this year’s program is once again shaped by global developments. Several films on the program deal with the war in Ukraine, including a documentary by the American director Abel Ferrara.

    The war in Gaza is creating rumblings, too.

    Some artists have complained that Germany’s overzealous implementation of a 2019 parliamentary resolution means that they face being shut out by state-funded institutions if they speak publicly against Israel’s attacks on Gaza or show solidarity with the Palestinians. This gave rise to a movement called Strike Germany that, in the name of fighting censorship, urges artists to boycott cultural events.

    Many of the movement’s followers hoped that sympathetic filmmakers would join in. But so far, only three films in a sidebar program have been withdrawn by their creators from among the Berlinale’s 239 movies.

    The Berlinale has also been at the center of an uproar over its decision to invite two lawmakers from the far-right Alternative for Germany party to Thursday’s opening gala.

    After 200 film professionals signed an open letter protesting the invitations, Rissenbeek defended the decision by emphasizing that the tickets had been distributed among lawmakers from all elected parties in Berlin’s legislature. But the festival later backpedaled and disinvited the party’s representatives, maintaining in a statement that they “hold views that are deeply contrary to the fundamental values of democracy.”

    Kristin Brinker, the Alternative for Germany leader in the Berlin legislature, said in a statement that the Berlinale had acted undemocratically by “refusing to engage in dialogue and shutting out representatives of other political views.”

    Political debates like these are among the challenges that Tuttle will face when she takes over the reins in April.

    She is a longtime film festival programmer who oversaw B.F.I. Flare, a London festival of L.G.B.T. movies, and the London Film Festival, where audience numbers nearly doubled during her tenure. Roth said that she had been selected for her “clear idea of the Berlinale’s artistic perspective, team-oriented festival management” and “contemporary sponsorship concepts.”

    Tuttle declined to be interviewed for this article, but, in a video interview, Clare Stewart, the managing director of the Rotterdam Film Festival and Tuttle’s former boss in London, described her as particularly adept at bridging the gaps between the art-house and mainstream film worlds, and noted that she had a particular understanding of L.G.B.T. cinema, which always has a strong showing at the Berlinale.

    “Tricia has an extremely broad-ranging taste,” Stewart said.

    Stewart also said that Tuttle’s experience managing a large event’s finances would prove especially useful in a festival landscape shaped by inflation and state funding cuts.

    “We’re not through the challenges of the pandemic yet,” she said, “and these really have to do with certainty around resources.” That wasn’t just true of the Berlinale, she said — “it’s worldwide.”

    #Berlin #cinéma #Berlinale

  • Office national du film du Canada
    https://www.onf.ca

    National Film Board of Canada
    https://www.nfb.ca

    À propos
    https://www.onf.ca/a-propos

    L’Office national du film du Canada (ONF) est l’un des plus grands laboratoires de création au monde. En plus d’être producteur et distributeur public de contenu canadien, incubateur de talents et vitrine du savoir-faire des cinéastes et des artistes du pays, il est gardien du patrimoine audiovisuel vivant et accessible des Canadiens et Canadiennes. L’ONF est également un joueur clé dans l’industrie audiovisuelle et l’économie créative du Canada. L’organisme produit ou coproduit plus d’une cinquantaine d’œuvres par année : des documentaires engagés, des films d’animation d’exception ainsi que des œuvres interactives et immersives originales. Jusqu’à maintenant, plus de 14 000 œuvres ont été produites, dont 6000 sont accessibles gratuitement en ligne sur onf.ca. Les productions de l’ONF ont remporté au-delà de 7000 prix, dont 12 Oscars.

    #Canada #cinéma #archives

  • Kino: Warum gibt’s bei den überlangen Filmen keine Pause mehr wie früher?
    https://www.berliner-zeitung.de/kultur-vergnuegen/kino-streaming/kino-warum-gibts-bei-den-ueberlangen-filmen-keine-pause-mehr-wie-fr

    30.10.2023 von Stefan Hochgesand - Unser Autor erinnert sich an die Pausen bei den Kinovorführungen seiner Teenagerzeit – und fragt sich: Wieso gibt’s die heute nicht mehr? Dann macht ein Anruf ihn schlauer.

    Letzte Woche schlug mein lieber Freund B. vor, ins Bali-Kino zu gehen. Ein niedliches Kino in Zehlendorf, in dem wir dieses Jahr auch schon Steven Spielbergs „Die Fabelmans“ gemeinsam gesehen hatten. Diesmal auf dem Kinoprogramm: „Jeder schreibt für sich allein“. Dominik Grafs Dokumentarfilm über Schriftsteller im Dritten Reich. Deutlich härterer Stoff als „Die Fabelmans“, aber ich hatte Cornelia Geißlers lobende Besprechung hier in der Berliner Zeitung gelesen. Sowieso wollte ich B. sehr gerne treffen an dem Abend, und ich hatte Lust aufs Bali-Kino. So ein Ausflug nach Zehlendorf fühlt sich für mich als Neuköllner eh immer nach einer entspannten Landpartie an. Dann der Schock: Der Film dauert zwei Stunden und 47 Minuten. Mit Werbung gerechnet also locker drei Stunden. Uff.

    Auf die Gefahr hin, mich hier als Kulturbanause zu outen: Solche Längen beunruhigen mich. Was, wenn der Film doch nicht so gut ist? Dann sitzt man drei Stunden fest. Und selbst wenn er großartig sein sollte: Irgendwann nach zwei Stunden will man vielleicht doch mal was von der Kinobar holen oder aufs Klo gehen oder mit der Kinobegleitung Konversation machen oder vielleicht auch einfach nur ein paar Minuten Pause vom Dritten Reich auf der Leinwand haben?

    Wenn ich an meine extralangen Kino-Erlebnisse als Teenager denke („Herr der Ringe“, „Harry Potter“), dann gab es da immer Pausen zwischendrin, um Popcorn oder Eiskonfekt zu holen. Einige Male habe ich in den letzten Jahren an der Kinokasse gefragt, ob es solche Pausen gibt. Ich wurde dann stets ungläubig angestarrt, so als wäre das eine völlig absurde Idee – fast so, als hätte es so was niemals gegeben. Die Blockbuster werden immer länger und die Aufmerksamkeitsspanne einiger (nicht nur junger TikTok-erprobter) Menschen sinkt. Wie kann das sein, dass man keine Pausen mehr will?

    Ich rufe bei einem großen Berliner Kino an, um es zu erfahren: Man würde durchaus gerne auch mal Pausen einlegen, antwortet man mir dort – aber viele Regisseure würden das bei ihren Filmen inzwischen untersagen. Krass. Sie wollen ungeteilte Aufmerksamkeit. Schon verständlich, aber vielleicht wäre man nach einer Pause sogar noch wacher bei der Sache? Die drei Stunden mit B. im Bali-Kino gingen dann übrigens überraschend schnell rum. Vermutlich spricht das für den Film und fürs Bali und für B. Und dafür, dass meine Aufmerksamkeitsspanne noch nicht ganz vom hektischen Internet ruiniert ist.

    #cinéma #entracte

  • Révélations de Judith Godrèche : La « fille de 14 ans » enfin écoutée et entendue ?

    La prise de parole de Judith Godrèche est un événement majeur. Car à travers le vécu traumatique de l’actrice et réalisatrice, à travers l’évidence de la stratégie de l’agresseur entendue dans les propos de Benoît Jacquot qui a fait d’elle sa « compagne » ou plutôt proie sexuelle dès l’âge d’à peine 15 ans, la conspiration des oreilles bouchées du monde du cinéma français est enfin mise à mal.

    Ce que l’actrice, la femme, aujourd’hui âgée de 51 ans, révèle avec force, intelligence et une grande dignité, c’est que des hommes, au cinéma, exploitent sexuellement des filles mineures, pour leur bon plaisir et pour asseoir leur notoriété.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/02/17/revelations-de-judith-godreche-la-fille-de-14-

    #féminisme #cinema #viol

  • #Green_Border

    Ayant fui la guerre, une famille syrienne entreprend un éprouvant périple pour rejoindre la Suède. A la frontière entre le Belarus et la Pologne, synonyme d’entrée dans l’Europe, ils se retrouvent embourbés avec des dizaines d’autres familles, dans une zone marécageuse, à la merci de militaires aux méthodes violentes. Ils réalisent peu à peu qu’ils sont les otages malgré eux d’une situation qui les dépasse, où chacun - garde-frontières, activistes humanitaires, population locale - tente de jouer sa partition

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Green_Border
    https://www.youtube.com/watch?v=5ufcsLA7xow


    #frontières #Biélorussie #asile #migrations #réfugiés #Pologne #forêt #mourir_aux_frontières #violence #push-backs #refoulements #instrumentalisation_de_la_migration #zone_frontalière #film #cinéma #Agnieszka_Holland #solidarité #marécage #zone_interdite #état_d'urgence #zone_d'exclusion

    –---
    ajouté à la métaliste autour de la création de zones frontalières (au lieu de lignes de frontière) en vue de refoulements ou autres pratiques de contrôles migratoires :
    https://seenthis.net/messages/795053

  • La dimension existentielle du cinéma d’Agnieszka Holland
    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/signes-des-temps/la-dimension-existentielle-du-cinema-d-agnieszka-holland-8875568

    La première expérience politique d’Agnieszka Holland a été le Printemps de Prague ; en 2014 elle signe la série Sacrifice qui a pour cadre la Tchécoslovaquie en 1969.

    Green border est un cri d’alarme sur la situation tragique aux frontières. Les #migrants syriens et afghans se retrouvent bloqués dans une zone frontière entre la Biélorussie et la Pologne, et se font renvoyer d’un pays à l’autre, par les polices respectives avec la plus grande des brutalités. La cinéaste #Agnieszka_Holland utilise le noir et blanc et suggère des rapprochements historiques. Elle évoque le travail d’investigation avant le tournage auprès des gardes-frontières et des activistes ; c’est un film choral ancré dans l’action. Le film a été l’objet d’une campagne de haine par le gouvernement polonais au moment de sa sortie à Varsovie.
    Agnieszka Holland énonce : « aujourd’hui, la référence et l’imaginaire selon laquelle on peut mener une lutte idéologique ou politique, est celle de la Seconde Guerre mondiale. »
    La réalisatrice rappelle : « je prends les risques, mais j’en suis consciente, et je traite cette expérience surtout comme cinématographique pour garder l’équilibre et de me concentrer surtout sur les êtres humains dans une perspective existentielle ; les problèmes géopolitiques sont dans le fond. »

    Une enfant de la (les) persécution(s) et du Printemps de Prague qui a contribué au renouvellement de l’imaginaire américain (The wire, _Treme)

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Agnieszka_Holland

    Je ne savais pas si j’allais aller le voir. Entendre d’une oreille le bobino avec ce sionard de Weitzmann m’a décidé. Drôle de l’entendre éluder le fait que A.H. fut qualifiée d’antisémite par des ministres MSM après la sortie de Europa, Europa en 1990.

    édit et j’aime aussi la manière dont elle gifle verbalement ce type de france cul qui voudrait insister sur l’extraction bourgeoise des polonais qui agissent en solidarité avec les migrants. #mdr

    https://seenthis.net/messages/1041323

    #Green_border #cosmopolitisme #frontières #cinéma

    • Je l’ai vu la semaine dernière en avant-première avec en plus elle qui était là à la fin pour discuter, et c’était dur et bouleversant, en sachant comme on le suit nous ici sur Seenthis que ce qui est montré est multi-documenté, aussi bien les actes horribles que les paroles et la déshumanisation ("ce ne sont pas des êtres humains mais des balles de l’Est"). D’ailleurs il me semblait que des paroles quasi identiques étaient sortis sur les palestiniens mais je ne retrouve plus de source.

  • Stage « Tournez dans un film de cinéma muet » 2024

    Pour les enfants, adolescents et adultes confondus, « Le Bateau Ivre » (organisme de formation depuis 1998) propose deux sessions du Stage de Mime « Tournez dans un film de cinéma muet » à Paris (75009) pendant 4 jours de 14 à 17h en avril 2024. https://www.silencecommunity.com/events/event/view/48629/stage-%C2%AB%C2%A0tournez-dans-un-film-de-cinema-muet%C2%A0%C2%BB-

    #Paris #ÎleDeFrance #stage #formation #tournage #enfants #adolescents #adultes #cinéma #mime #pantomime #mimique #ArtisteMime #muet #CinémaMuet #film #CourtMétrage #laussat #pillavoine #avril #lbi2324

  • Une projection de « La Zone d’intérêt » présentée par un collectif de militants juifs antisionistes suscite la controverse

    https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/05/une-projection-de-la-zone-d-interet-presentee-par-un-collectif-de-militants-

    #antisionnisme

    Johann Chapoutot, spécialiste du #nazisme, a annulé sa participation à une soirée prévue mardi 6 février autour de la #projection de La Zone d’intérêt, le film de #Jonathan_Glazer sur la vie quotidienne de Rudolf Höss, le commandant d’#Auschwitz. Organisée au Grand Action, dans le 5e arrondissement de Paris, une rencontre entre l’historien et la chercheuse en langues, littératures et cultures arabes et #hébraïques Sadia Agsous-Bienstein devait être animée par le #collectif_juif_antisioniste Tsedek !.

    « Je ne peux pas, en conscience, participer à vos activités », a écrit, le 1er février, Johann Chapoutot à Samuel Leter, membre de Tsedek ! chargé de ce ciné-club. En cause : le communiqué du collectif publié le 7 octobre 2023. Dans ce message, toujours en ligne sur Instagram, le groupe écrit : « Il ne nous appartient pas de juger de la stratégie de la résistance palestinienne. Mais il est de notre responsabilité de rappeler sa légitimité fondamentale. »

    M. Chapoutot n’en avait pas connaissance avant la parution, le 1er février, d’un article de Télérama consacré à une première annulation de cet événement, lequel aurait dû se tenir le 30 janvier au Majestic Bastille, à Paris, avec Sadia Agsous-Bienstein (#Johann_Chapoutot ayant eu une contrainte d’agenda). « Ce n’était pas possible pour moi, explique le chercheur. Je suis spécialiste du nazisme et de la Shoah, le #Hamas est un mouvement #négationniste. Tuer des enfants et violer des femmes ne sont pas des actes de #résistance. Il s’agit d’un massacre de nature #terroriste, dont la dimension #antisémite ne peut pas être contestée. »

    Simon Assoun, un des porte-parole de Tsedek !, dénonce « une lecture malhonnête de ce communiqué », citant également celui que le collectif a publié le 12 octobre : « L’ampleur et la brutalité des massacres commis (…) doivent être dénoncées pour ce qu’ils sont : des crimes de guerre. Les centaines de vies israéliennes et palestiniennes arrachées nous meurtrissent. »

    « La Shoah fait partie de notre histoire »
    Samuel Leter affirme ne pas comprendre la réaction tardive de l’historien : « Dans le mail où il a accepté de participer à la rencontre, il dit qu’il admire notre courage ! » Dans ce message du 10 janvier 2024, Johann Chapoutot fait notamment référence à l’avocat Arié Alimi : « Je connais bien votre collectif, dont j’admire le courage, tout comme celui d’Arié, qui est, je crois, des vôtres. »

    En réalité, l’historien a cru dialoguer avec #Golem, le mouvement cofondé par Arié Alimi dans la foulée de la marche contre l’antisémitisme du 12 octobre. « J’ai fait l’erreur de répondre spontanément, sans vérifier, afin d’aider ce qui me semblait devoir l’être : un collectif de juifs de gauche qui s’était opposé à la participation du RN [Rassemblement national] à la manifestation contre l’antisémitisme, le RN-FN [Front national] ayant été fondé, rappelons-le, par des vétérans de la Waffen-SS et de la Milice », explique-t-il.

    #Tsedek ! comme Golem sont marqués à gauche. Tsedek !, #décolonial, affirme « lutter contre le racisme d’Etat en France et pour la fin de l’apartheid et l’occupation en Israël-Palestine ». Golem milite contre tous les racismes et dénonce l’instrumentalisation de la lutte contre l’#antisémitisme. « Tsedek ! est une organisation qui ne dénonce pas l’antisémitisme de la gauche ou de la #France_insoumise, décrypte l’historien #Tal_Bruttmann, proche de Golem. Ils servent de paravent à des gens qui sont ouvertement antisémites et ils dénoncent l’instrumentalisation de la #Shoah dans une seule direction. »

    La rencontre du 6 février animée par Tsedek ! au Grand Action est annulée. Le #cinéma explique que « des pressions extérieures ont conduit à l’annulation de la participation des intervenant.e.s prévue.e.s ». Samuel Leter juge que ces annulations équivalent à de la censure : « Nous sommes #juifs, la Shoah fait partie de notre histoire. Il ne peut y avoir de #monopole_de_la_mémoire de la Shoah. »

    La pertinence d’un échange avec une spécialiste des littératures #palestinienne et #israélienne au sujet d’un film sur la Shoah a été débattue avant la première annulation du ciné-club, ce que déplore Sadia Agsous-Bienstein : « Tsedek !, que je connais, m’invite à parler d’un film sur la Shoah, un film sur la banalité de la vie d’une famille allemande à côté d’un #camp d’extermination. J’ai travaillé sur la Shoah et c’est un film sur la Shoah. En quoi ne suis-je pas #légitime sur la question ? Parce que je suis #algérienne ? » L’une de ses recherches, « La Shoah dans le #contexte_culturel #arabe », a été cofinancée par le #Mémorial de la Shoah.

    Ce n’est pas la première fois qu’un événement animé par Tsedek ! suscite la #controverse. En décembre, une conférence coorganisée par le collectif a été annulée par la #Mairie_de_Paris. Raison invoquée : la présence parmi les organisateurs de l’#association #Paroles_d’honneur, dont est membre la #militante_décoloniale #Houria_Bouteldja.

    #Zineb_Dryef

    Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Jonathan Glazer, cinéaste de « La Zone d’Intérêt » : « Nous avons besoin que le génocide ne soit pas un moment calcifié de l’histoire »

    Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « La Zone d’intérêt » : à côté d’Auschwitz, une obscène tranquillité

  • L’heure de l’Ukraine. Un parcours du cinéma ukrainien. A l’Université libre de Bruxelles

    Du mercredi 14 février au mercredi 8 mai, le Réseau européen de solidarité avec l’Ukraine organise un cycle de films ukrainiens à l’Université libre de Bruxelles.

    Nous avons sélectionné six films qui illustrent la grande diversité du cinéma ukrainien. Deux classiques des années soixante produits dans les studios de l’Ukraine soviétiques, deux films récents de fiction et deux documentaires récents.

    Ces films permettent de se mettre à l’heure de l’Ukraine, de mieux découvrir la force et les tensions de la société ukrainienne, de comprendre pourquoi la guerre actuelle n’est pas simplement une guerre de conquête territoriale de la part de la Russie. C’est aussi une guerre pour détruire une société dont la diversité est perçue comme un danger existentiel par les autorités du Kremlin.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/12/05/filma-festival-du-film-feministe-ukrainien/#comment-60128

    #cinema #ukraine

  • Benoît Jacquot, un système de prédation sous couvert de cinéma
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/08/benoit-jacquot-un-systeme-de-predation-sous-couvert-de-cinema_6215357_3224.h


    L’actrice Isild Le Besco et le réalisateur Benoît Jacquot au 57ᵉ Festival de Cannes, le 14 mai 2004. BRUNO VINCENT / GETTY IMAGES VIA AFP

    A la suite de Judith Godrèche, plusieurs comédiennes prennent la parole dans « Le Monde » pour dénoncer des violences et du harcèlement sexuel de la part du réalisateur. Le cinéaste reconnaît certains faits.
    Par Lorraine de Foucher et Jérôme Lefilliâtre

    Dans l’amphithéâtre de Sciences Po à Paris, Julia Roy s’assoit au fond de la salle. L’étudiante de 23 ans vient écouter, ce 29 janvier 2013, la conférence d’un réalisateur qu’elle ne connaît pas, Benoît Jacquot, invité à parler de « politique de l’intime ». « Il me fixe pendant toute la séance, ça m’étonne un peu », raconte-t-elle au Monde onze ans plus tard. A la fin, elle s’approche pour saluer l’animateur de la rencontre. « Benoît Jacquot me saute dessus pour me remettre un papier avec son numéro, et me demande plusieurs fois de l’appeler. »
    Depuis son enfance autrichienne à Vienne, Julia Roy, qui n’a alors joué qu’un petit rôle dans une série télévisée, nourrit une cinéphilie précoce. Elle décide de rappeler ce cinéaste : peut-être peut-il la conseiller, elle qui rêve de faire des films ? Au restaurant Le Hangar, dans le Marais, où ils se retrouvent, « il me regarde comme un miracle ». D’après son récit, il lui fait immédiatement de grandes déclarations : « Il m’annonce qu’il va faire tous ses films avec moi, qu’il m’aidera à écrire les miens, qu’il veut m’avoir tout le temps avec lui et devant lui. » Tout juste est-il déçu en apprenant son âge : il la pensait plus jeune.
    Six ans après, en 2019, c’est une jeune femme traumatisée par la relation nouée avec le réalisateur qui s’enfuit en Autriche. « J’ai été diagnostiquée comme atteinte d’un syndrome de stress post-traumatique. » En janvier 2024, elle découvre les accusations de Judith Godrèche sur sa relation passée avec Benoît Jacquot qui ont motivé l’ouverture d’une enquête préliminaire, mercredi 7 février. Elle décide à son tour d’évoquer publiquement son vécu avec le réalisateur, composé de manipulation, de domination, de violences physiques et de harcèlement sexuel. Certains des faits qu’elle dénonce pourraient ne pas être couverts par la prescription.

    TW #domination_masculine #VSS #viol #pédocriminalité

    l’article se trouve là
    https://justpaste.it/et5dx
    avec : « C’est une histoire d’enfant kidnappée » : l’actrice Judith Godrèche porte plainte contre le réalisateur Benoît Jacquot ; La lettre de Judith Godrèche à sa fille : « Je viens de comprendre. Ce truc, le consentement, je ne l’ai jamais donné. Non. Jamais au grand jamais. »

    #cinéma

    • Jacques Doillon accusé de viol, d’agression sexuelle et de harcèlement par Judith Godrèche, Anna Mouglalis et Isild le Besco
      https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/08/jacques-doillon-accuse-de-viol-d-agression-sexuelle-et-de-harcelement-par-ju

      « Le Monde » a recueilli trois témoignages visant le réalisateur de « La Fille de 15 ans ». L’avocate de M. Doillon dit vouloir réserver ses explications à la justice.

      Ce jeudi sur France Inter, Judith Godrèche a accusé le réalisateur Jacques Doillon d’agressions sexuelles sur le tournage du film La Fille de 15 ans, qui a eu lieu au printemps 1987. Il voulait, a-t-elle affirmé, « la même chose » que Benoît Jacquot, contre lequel la comédienne de 51 ans a déposé plainte mardi pour « viols avec violences sur mineur de moins de 15 ans » commis par personne ayant autorité. « Sur le tournage, c’était hallucinant. Il a engagé un acteur (…), il l’a viré et il s’est mis à la place. Tout d’un coup, il décide qu’il y a une scène d’amour, une scène de sexe entre lui et moi. On fait 45 prises. J’enlève mon pull, je suis torse nu, il me pelote et il me roule des pelles. »

      Tout cela se déroule sous les yeux de Jane Birkin, alors compagne du réalisateur, qui l’a engagée comme assistante sur le film. « Il embrassait vingt fois de suite Judith Godrèche en me demandant quelle était la meilleure prise. Une vraie agonie ! », a raconté Birkin dans son journal intime paru en 2018, Munkey Diaries. Le film La Fille de 15 ans est sorti en salles au printemps 1989.
      Lors de son interview sur France Inter, Judith Godrèche a aussi évoqué de façon sibylline, et sans entrer dans les détails, d’autres faits qui se seraient déroulés avant ce tournage, au domicile de Jacques Doillon. Dans sa plainte contre Benoît Jacquot, enregistrée le 6 février par la brigade de protection des mineurs de la police judiciaire de Paris et consultée par Le Monde, elle décrit précisément les agissements de Jacques Doillon. En l’occurrence, il s’agirait d’un viol qu’aurait commis le cinéaste sur elle, alors qu’elle avait 14 ans. Les faits auraient eu lieu rue de la Tour, à Paris, dans la maison de Jane Birkin.

      https://justpaste.it/22zms

      #parents #parentalité #témoins #non_assistance_à_personne_en_danger

  • Die Berlinale hat finanzielle Sorgen
    https://www.schwaebische.de/kultur/die-berlinale-hat-finanzielle-sorgen-2243823
    Le journaliste du canard soube n’aime pas la Berlinale et y comprend encore moins que le duo directeur partant. On verra bien si la nouvelle patronne états-unienne (est-ce qu’elle parle au moins l’allemand ?) Tricia Tuttle saura mieux naviguer au dessus du nid de crabes de la politique berlinoise.

    Tricia wer? Mit Tricia Tuttle, die von 2019 bis 2022 das Londoner Filmfestival geleitet hatte, wird eine Unbekannte die neue Intendantin der Berlinale. Dass ihr Name im Vorfeld nie genannt wurde, hatte vielleicht seine Gründe. Denn ganz offenbar waren nicht künstlerische Expertise sondern vor allem Managementqualitäten gefragt, um den angeschlagenen Berlinale-Tanker wieder auf Kurs zu bringen. Die oft kritisierte mangelnde Programmqualität ist das geringste Problem des wichtigsten deutschen Filmfestivals. Die Krise ist fundamentaler: Die Berlinale hat finanzielle Probleme und muss ihre Struktur auch deshalb grundsätzlich verändern. Da Tuttle in London eine deutliche Vergrößerung des Publikums gelungen war und ihr außerdem der Ruf einer Sparkommissarin vorausgeht, schien sie die Richtige zu sein.

    Das Erbe von Langzeitdirektor Dieter Kosslick, der das Festival zwischen 2002 und 2019 auf fast die doppelte Größe aufgebläht hatte, wird in Zeiten von Inflation und knappen Kassen zum existenziellen Problem. In den letzten Jahren sprangen mehrere Sponsoren ab. Das bedeutete Ausfälle von über einer Million Euro - hier zeigt sich wie Kunst und Ökonomie ineinandergreifen und einen Teufelskreis bilden: Weil die Berlinale an künstlerischem Stellenwert verlor, ist sie auch für die Stars unattraktiver. Weil die Stars wegbleiben, verlieren die Sponsoren das Interesse. Und fehlendes Geld reduziert wiederum den Wert des Festivals.
    Personalkosten sind hoch

    Die grassierenden Sparzwänge führten bereits im Sommer dazu, dass das Programm erheblich einstampft wurde. Zwei Sektionen wurden komplett gestrichen, die Zahl der Filme um ein Drittel reduziert. Weitere Streichungen scheinen nur eine Frage der Zeit zu sein.

    Der Gesamtetat, inklusive aller Einnahmen aus Ticketverkäufen, Sponsoring und Merchandising kann nach Angaben der Berlinale „immer erst im Frühjahr des folgenden Kalenderjahrs beziffert werden“. Für 2024 rechnet man am Potsdamer Platz mit zirka 33 Millionen. Der Bund in Gestalt des Staatsministeriums für Kultur und Medien (BKM) und das Land Berlin übernehmen größere Teile der Finanzierung des Festivals. Da der Anteil des Bundes mit zuletzt 10,9 Millionen aber weitaus höher liegt, als der Berlins, der erst kürzlich - und bisher nur mündlich zugesagt - auf zwei Millionen vervielfacht wurde, steht hier vor allem das BKM in der Verantwortung. Für das laufende Jahr versprach Kulturstaatsministerin Claudia Roth „unter Vorbehalt“ der fälligen Haushaltskonsolidierung, den Zuschuss des Bundes um 1,7 Millionen auf 12,6 Millionen Euro zu erhöhen. Doch dies reicht gerade einmal aus, um den laufenden Kostenanstieg auszugleichen. Etwa ein Drittel des Budgets gehen allein in Personalkosten.
    Bei weniger Filmen und höheren Kosten die Einnahmen steigern

    Es lässt sich leicht errechnen, dass die Berlinale in jedem Fall weit mehr als die Hälfte ihres Budgets aus nichtöffentlichen Quellen erwirtschaften muss. 2023 wurden laut Berlinale „zirka 330.000 Tickets verkauft“. Das bedeutet gut fünf Millionen Euro Einnahmen. Die restlichen 13 Millionen müssen anderweitig erwirtschaftet werden. Das sind Mieten für Stände und Marktvorführungen beim „Europäischen Filmmarkt“, Akkreditierungs- und Filmanmeldegebühren, Merchandisingverkauf sowie Sponsoring und Partnerschaften. Detaillierte Angaben hierzu gibt die Berlinale „grundsätzlich nicht nach außen, da mit den Sponsoren gegenseitige Vertraulichkeit vereinbart wurde“, so Pressesprecherin Frauke Greiner.

    Ebenso hält man sich zum Anteil des Sponsoring bedeckt. Dieser lasse sich nicht in Geldbeträgen darstellen. Die zukünftige Chefin wird jedenfalls neue Sponsoren gewinnen müssen. Sie wird das Programm abspecken müssen, um Kosten zu senken, aber so, dass die Attraktivität nicht leidet. Sie wird zugleich den doppelten Spagat meistern müssen, bei weniger Filmen und höheren Kosten die Einnahmen zu steigern.
    Berlinale braucht neue Spielstätten

    Und das ist erst der Anfang: Denn ein weiterer „Elefant im Raum“ ist die ungelöste Standortfrage: Der Potsdamer Platz, an den die Berlinale im Jahr 2000 aus den etablierten Standorten rund um den Bahnhof Zoo gezogen war, ist mit seinen Baustellen, Containerstapeln, leerstehenden Cafés und Büros und mit einer trashigen, halbleeren Shoppingmall längst der Prototyp einer urbanen Wüste. Die Miete des „Berlinale-Palast“ genannten Musical-Palasts läuft aus, ein Multiplex hat bereits 2020 dicht gemacht, beim zweiten ist die Zukunft ungewiss. Die Zahl der Kinos nimmt ab, aber die Berlinale braucht neue Spielstätten und ein neues Zentrum. Eine bessere Zukunft ist nicht in Sicht.

    #Berlin #Berlinale #cinéma #commerce #politique

  • Automobile : Ferrari explose à nouveau les compteurs, avec un bénéfice net record
    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/automobile-ferrari-explose-a-nouveau-les-compteurs-avec-un-benefice-net-re

    Année de tous les records pour Ferrari. En 2023, le bénéfice net de la marque au cheval cabré a bondi de 34% à 1,25 milliard d’euros. Le profit record de 939 millions d’euros affiché sur l’ensemble de 2022 a ainsi été battu. Le chiffre d’affaires a augmenté de 17,2% à 5,9 milliards d’euros, conformément aux prévisions. Ces résultats ont été bien accueillis à la Bourse de Milan, où le titre grimpait de 10% à 381 dollars, vers 16h20.

    Au quatrième trimestre, le bénéfice net du constructeur a progressé de 33% à 294 millions d’euros, un résultat supérieur au consensus des analystes de Factset. Dans le détail, le constructeur italien a livré 13.663 bolides dans le monde l’an dernier, en hausse de 3,3%.

    Tu le sens bien, le ruissellement ?

  • 20 jours à Marioupol
    Un film réalisé par Mstyslav Chernov

    Des reporters ukrainiens, piégés dans la ville assiégée de Marioupol, filment les atrocités de l’invasion russe. Au plus près des civils, le réalisateur Mstyslav Chernov livre un témoignage capital sur la réalité de la guerre qui déchire son pays.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/08/27/appel-a-la-greve-a-marioupol-le-jour-des-elections-fantoches-organisees-par-la-russie-dans-sept-entreprises-pour-le-paiement-des-salaires/#comment-60041

    #cinema #ukraine

  • Rat Race
    https://www.youtube.com/watch?v=127rJwowaAc

    https://en.wikipedia.org/wiki/Rat_Race_(film)

    Rat Race is a 2001 American comedy film directed by Jerry Zucker. Inspired by Stanley Kramer’s 1963 film It’s a Mad, Mad, Mad, Mad World,[3] the film features an ensemble cast consisting of Rowan Atkinson, Whoopi Goldberg, Cuba Gooding Jr., Wayne Knight, Jon Lovitz, Kathy Najimy, Lanei Chapman, Breckin Meyer, Amy Smart, Seth Green, Vince Vieluf, John Cleese and Dave Thomas.

    #hilarant

    Randy and his family, at the insistence of their daughter, visit a museum about the Nazi German officer Klaus Barbie, believing it to be about the Barbie doll. They steal Adolf Hitler’s staff car after Duane and Blaine sabotage their vehicle. They are attacked by a gang of bikers after making a bad impression on one of the bikers.

    #cinéma #comédie #nazis