@stephane
Admettons un·e particulier·e qui héberge un serveur, peu de moyens, des connaissances techniques juste ce qu’il faut. Une personne donc pas à l’abris d’un 0-day (mises à jours quelques jours après une attaque… peut passer à côté d’une màj qui s’est mal déroulée…), ce que vous appelez les pauvres gens, c’est ces personnes encore plus « pauvres » que celle qui héberge, dans cet exemple ?
C’est elleux qui vont pâtir de l’arrêt du service.
(parce qu’une grosse boite qui morfle, j’ai envie de lui dire d’employer des tech sécurité réseau)
Car dans un classement de pauvreté (rololo, comme c’est paternaliste), les utilisateur·ices sont bien tout en bas pour moi, mais les micro-hébergeurs ne sont pas tellement plus hauts. Pourtant, ielles sont plus enclin à être touchés par un dDos, même si leur capital (social, culturel, technique, relationnel, économique…) est meilleur que celui de leurs utilisateur·ices.
Moi, j’ai bien compris ça dans l’article, mais l’absence de positionnement clair m’a heurté tout comme @lou , d’où mon signalement de l’article.