Etat de développement des technologies du projet : OnToMap #data #HUB (UNITO). - CO3
▻https://www.projectco3.eu/fr/2020/05/06/state-of-development-of-the-projects-technologies-ontomap-data-hub-unito
#cartographie
Etat de développement des technologies du projet : OnToMap #data #HUB (UNITO). - CO3
▻https://www.projectco3.eu/fr/2020/05/06/state-of-development-of-the-projects-technologies-ontomap-data-hub-unito
Dans la nébuleuse de la fondation Bill & Melinda Gates
par Agnès Stienne @odilon
►https://visionscarto.net/nebuleuse-fondation-gates
Exploration sidérante des mécanismes de la fondation,
pour qui et pour quoi les dons ont été versés en 2017.
Magnifique @odilon !
Note : c’est pas si évident de naviguer dans la page, en tout cas au trackpad (le scroll se met à zoomer les images).
C’est superbe et ça a du réclamer une sacrée énergie !
Même remarque que @marcimat : avec firefox et à la souris, quand on scrolle avec la molette de la souris et qu’on arrive sur les plus grandes représentations, ça se met à zoomer.
Ça donne envie d’un écran énoooorme parce que c’est beau. Mais bon, je ne suis pas graphiste donc la dépense serait... hum... quelque peu dispendieuse.
Merci à vous, ça me fait vraiment plaisir et oui, c’était un peu de travail, et pas mal d’obstination :)
Pour la navigation voilà, on essaye un nouveau format où le zoom est incontournable et on attend les retours.
Ah, obstination aussi donc ! ;o)
@fil Ben... Disons que ce que tu suggères correspond plus à mes usages et habitudes, mais de là à imposer ça à tout le monde je ne sais pas, surtout quand tu considères la multiplicité des supports de consultation aujourd’hui...
Pour lire en zoomé ce qu’il y a à droite de Caterpillar sur la carte des placements, faut s’accrocher ! (écran fullhd)
Bonjour, lorsque je scroll avec la souris j’ai un zoom à la monté (firefox et chromium)
c’est compliqué pour revenir en arrière pour relire sinon c’est super beau bravo
Merci @pix_wave , pour remonter j’utilise l’ascenseur à droite sur Firefox, c’est un coup à prendre après ça fonctionne bien.
oui j’ai finis par le faire, j’ai commencé à m’interroger sur ce choix ergonomique mais je n’ai pas finis cette réflexion qui risque d’être profonde et de n’aboutir qu’a une souris
il faudrait peut-être pouvoir le désactiver avec une touche ctrl ou alt + scroll
Sur cet aspect technique je ne peux pas répondre moi-même mais à visionscarto nous allons prendre en compte les retours.
sur iphone se ios 14.4 navigateur firefox le scroll ce fige parfois et les images bougent de gauche a droite et vis versa
Sur les pas du roi Léopold, Les investisseurs dans les plantations de palmiers à huile de PHC en République démocratique du Congo | The Oakland Institute
▻https://seenthis.net/messages/906687
Le ministère de l’Agriculture au premier rang du lobbying des « nouveaux OGM »
▻https://seenthis.net/messages/909157
Bill Gates is the biggest private owner of farmland in the United States. Why?
►https://www.theguardian.com/commentisfree/2021/apr/05/bill-gates-climate-crisis-farmland
In total, Gates owns approximately 242,000 acres of farmland with assets totaling more than $690m. To put that into perspective, that’s nearly the size of Hong Kong and twice the acreage of the Lower Brule Sioux Tribe, where I’m an enrolled member. A white man owns more farmland than my entire Native nation!
The world’s richest 1% emit double the carbon of the poorest 50%, an 2020 Oxfam study found. According to Forbes, the world’s billionaires saw their wealth swell by $1.9tn in 2020, while more than 22 million US workers (mostly women) lost their jobs.
Like wealth, land ownership is becoming concentrated into fewer and fewer hands, resulting in a greater push for monocultures and more intensive industrial farming techniques to generate greater returns. One per cent of the world’s farms control 70% of the world’s farmlands, one report found. The biggest shift in recent years from small to big farms was in the US.
The land we all live on should not be the sole property of a few
The principal danger of private farmland owners like Bill Gates is not their professed support of sustainable agriculture often found in philanthropic work – it’s the monopolistic role they play in determining our food systems and land use patterns.
Le rôle de la fondation et des vaccins dans l’épidémie de choléra en Haïti racontée par Renaud Piarroux
▻https://seenthis.net/messages/910564
Bill Gates, Vaccine Monster | The New Republic
▻►https://newrepublic.com/article/162000/bill-gates-impeded-global-access-covid-vaccines
▻https://seenthis.net/messages/910698
Wow ! Je découvre seulement ton travail. Non seulement le rendu graphique est exceptionnel mais cela a dû te demander une quantité de travail énorme en amont : documentation, récupération des données, etc. En un mot : bravo ! Et #merci pour le partage.
Merci @sombre. Oui, beaucoup beaucoup beaucoup de travail :)
Bill Gates says no to sharing vaccine formulas with global poor to end pandemic
▻https://www.salon.com/2021/04/26/bill-gates-says-no-to-sharing-vaccine-formulas-with-global-poor-to-end-pandem
merci filou
Philanthropie : Le capital se fout de la charité - #DATAGUEULE 93
On ne change pas une équipe qui gagne, Bill et Melinda ont annoncé leur divorce le 3 mai après 27 ans de mariage. Ensemble au sein de leur fondation, ils continueront à couver « la poule aux oeufs d’or ».
▻http://www.urtikan.net/dessin-du-jour/bill-et-melinda-gates-annoncent-leur-divorce-apres-27-ans-de-mariage
▻https://www.franceinter.fr/monde/selon-le-wall-street-journal-les-gates-divorcent-a-cause-des-relations-d
Melinda et Bill Gates vont continuer, disent-ils, à travailler ensemble pour la fondation.
Nous voilà pas rassurés.
David Dufresne : “Le jour où nous ne pourrons plus diffuser des images de la police, nous ne serons plus dans un État républicain”
►https://www.telerama.fr/cinema/david-dufresne-le-jour-ou-nous-ne-pourrons-plus-diffuser-des-images-de-la-p
Depuis sa diffusion en salles en septembre 2020, “Un pays qui se tient sage”, documentaire choc sur les violences policières, est au cœur du débat. Avec la loi Sécurité Globale, il prend même une autre ampleur. À l’occasion de sa sortie en DVD et VOD, et de sa nomination aux César, son réalisateur David Dufresne fait le point. Fin septembre sortait Un pays qui se tient sage, documentaire glaçant questionnant les violences policières au travers d’images tournées en marge des manifestations de Gilets (...)
Comment le commun est-il commun ? À propos du livre de Benjamin Coriat, La pandémie, l’Anthropocène et le bien commun | L’économie par terre ou sur terre ? | Jean-Marie Harribey | Les blogs d’Alternatives Économiques
▻https://blogs.alternatives-economiques.fr/harribey/2021/01/23/comment-le-commun-est-il-commun-a-propos-du-livre-de-
Un article très intéressant sur un livre très intéressant. C’est quand même entre amis (les deux auteurs de l’article et du livre sont membres des Economistes atterrés) que les discussions sont les plus fructueuses, et ouvrent des perspectives.
Jean-Marie Harribey
23/01/2021
L’économiste Benjamin Coriat a publié à l’automne dernier La pandémie, l’Anthropocène et le bien commun (Les Liens qui libèrent, 2020). Ouvrage qui vient à point nommé pour replacer la crise sanitaire due au coronavirus Covid-19, événement majeur de l’année 2020, dans le cadre de la détérioration écologique planétaire. Loin d’être accidentelle, cette crise doit être comprise comme une manifestation de l’Anthropocène, face à laquelle il convient urgemment d’apporter une réponse centrée sur le bien commun. Telle est la trame de ce livre qui est structuré en quatre chapitres.
#Communs #Anthropocène #Jean-Marie_Harribey #Benjamin_Coriat
#Worldmapgenerator. Generate your own vector world map
In the Atlantic Ocean, Subtle Shifts Hint at Dramatic Dangers - The New York Times
▻https://www.nytimes.com/interactive/2021/03/02/climate/atlantic-ocean-climate-change.html?smid=tw-nytimes&smtyp=cur
In the Atlantic Ocean, Subtle Shifts Hint at Dramatic Dangers
The warming atmosphere is causing an arm of the powerful Gulf Stream to weaken, some scientists fear.
Si on éduquait les garçons comme des filles, cela coûterait moins cher à l’État | Titiou Lecoq
▻http://www.slate.fr/story/204665/cout-virilite-violences-delinquance-hommes-injonctions-education-genre
La dimension genrée de la délinquance et de la violence est un impensé dans notre société. Source : Slate
Ca à l’air marqué du sceau du bon sens, mais ca implique de les humilié et de les dévalorisé régulièrement afin de leur donner de nombreux complexes et manque d’assurance pour qu’ils se comportent en dominé et mettent les intérêts des autres avant les leurs.
Un livre de #Lucile_Peytavin (historienne)
Aussi :
Lucile Peytavin : « La virilité coûte 100 milliards par an à la France »
▻https://www.letelegramme.fr/france/lucile-peytavin-la-virilite-coute-100-milliards-par-an-a-la-france-06-0
Crimes, agressions, dégradations… À une écrasante majorité, ce sont des hommes qui se rendent responsables de ces délits. Dans son essai (1), l’historienne Lucile Peytavin évalue le prix de ces violences qui mobilisent police, justice, services médicaux et éducatifs. Pour elle, pas de fatalité : c’est l’éducation différentiée donnée aux enfants qui prépare ces comportements.
Comment avez-vous eu l’idée de chiffrer « le coût de la virilité » ?
Je suis tombée, un jour, sur un simple chiffre : 96 % de la population carcérale en France est masculine. Ce chiffre m’a interpellée, en ce qu’il dit que les personnes reconnues coupables de crimes et de délits sont, dans plus de neuf fois sur dix, des hommes. J’ai donc décidé de tirer le fil, pour m’intéresser à ce que coûtent ces comportements à l’État, qui dépense des milliards pour appréhender, enquêter, juger, sanctionner, rééduquer, soigner les auteurs. Sans compter le coût indirect pour la société, qui doit répondre aux souffrances des victimes. À ma grande surprise, ce travail n’avait jamais encore été mené. Les chiffres donnent le tournis : 86 % des homicides, 99 % des viols, 84 % des coups et violences, 95 % des vols avec arme, 90 % des dégradations sont le fait d’hommes.
« Rien ne prédétermine les hommes à ces comportements asociaux. Ce n’est ni une question de cerveau, ni de production de testostérone, comme on peut l’entendre parfois. La biologie n’a donc rien à voir là-dedans ».
Et pourtant, insistez-vous d’emblée, le sexe fort n’est pas violent par nature…
En effet, les chiffres sont saisissants : en France, au XXIe siècle, un homme a six fois plus de risques de devenir meurtrier et cinq fois plus de devenir délinquant qu’une femme. Mais il me paraît important de le dire : rien ne prédétermine les hommes à ces comportements asociaux. Ce n’est ni une question de cerveau, ni de production de testostérone, comme on peut l’entendre parfois. La biologie n’a donc rien à voir là-dedans. Un simple exemple : une enquête menée auprès de 114 violeurs condamnés a montré que 89 % de ces hommes avaient des rapports sexuels consentis au moins deux fois par semaine avant le crime. Le viol n’est donc pas le fruit d’une pulsion incontrôlable. D’ailleurs, quand les hommes passent devant le tribunal, ils sont bien jugés responsables de leurs actes. La responsabilité incombe à l’éducation qu’on donne aux enfants de sexe masculin.
Et la propension des garçons à adopter des comportements asociaux est mesurable très tôt…
En effet, 92 % des collégiens sanctionnés pour des atteintes aux biens ou aux personnes sont des garçons. Et ça commence même avant : dès l’école primaire, les filles témoignent de l’agressivité verbale ou physique des petits garçons. Des chercheurs ont relevé une violence systémique de la part des ados sur ceux qu’ils considèrent comme faibles : les filles, les timides, les gros, les « intellos », les homosexuels…
« Les valeurs viriles sont inculquées dès le plus jeune âge. On a même montré que les mères allaitaient différemment les bébés garçons et les bébés filles ».
En quoi l’éducation prépare-t-elle les garçons à cette violence ?
Les valeurs viriles sont inculquées dès le plus jeune âge. On a même montré que les mères allaitaient différemment les bébés garçons et les bébés filles. Elles laissent plus facilement aux premiers le choix du moment de la tétée, alors qu’elles imposent un rythme aux secondes. Dès les premiers mois de vie, donc, les filles apprennent qu’il y a des règles à respecter.
Que recouvrent ces « valeurs viriles » responsables, selon vous, du penchant des hommes pour la violence ?
Dès bébé, on valorise la force et la vigueur des garçons. Plus tard, on installe la violence dans les jeux, en favorisant la bagarre, par exemple. Puis, on leur met entre les mains des films et des livres dont les héros, essentiellement des hommes, ont recours à la violence. Ce à quoi on assiste, c’est à une acculturation des hommes à cette violence. On en voit les conséquences. Et dans le même mouvement, on dévalorise le féminin. Par exemple, s’il est tout à fait admis et accepté que les filles peuvent avoir envie de s’inscrire au foot ou à la boxe, on a toujours plus de mal avec le petit garçon qui demande à faire de la danse.
Le problème, c’est qu’au-delà de l’éducation genrée, c’est toute une culture à laquelle il faudrait s’attaquer…
Oui, mais c’est possible. C’est une construction sociale, donc, par définition, on peut la déconstruire. On avance déjà : le mouvement MeToo en est une illustration, car il interroge les comportements agressifs des hommes.
« Si on apprenait aux garçons comme aux filles l’empathie, les comportements humanistes, qu’on cessait d’ériger la force physique et mentale en valeur, etc., bref qu’on éduquait les deux sexes de la même façon, tout en serait changé ».
Cette éducation qui valorise la force mentale et physique, la domination de l’autre, la brutalité parfois, est-elle universelle ?
Elle l’est. Partout dans le monde, ce sont les hommes, bien plus que les femmes, qui sont jugés et emprisonnés. Le pays où le plus de femmes sont derrière les barreaux, c’est Hong Kong, mais elles ne représentent jamais que 20 % des détenus. Quel que soit le milieu social, les chiffres montrent que les femmes s’adonnent largement moins à la violence que les hommes. Et cela est vrai pour celles qui grandissent dans la pauvreté, sous les coups, ou en subissant des agressions sexuelles. La misère est donc un facteur moins déterminant que le sexe.
Vous avez donc fait le calcul : le coût de la virilité, c’est près de 100 milliards d’euros par an en France. Que contient ce chiffre ?
C’est le coût supporté chaque année par l’État français pour faire face aux comportements asociaux des hommes : dépenses directes de sécurité, de justice, de santé, auxquelles il faut ajouter le coût des souffrances psychologiques et physiques des victimes, celui des dommages matériels, la perte de production des victimes. Imaginez tout ce dans quoi on pourrait investir si on économisait sur ce budget…
Vous en tirez une recommandation : plutôt que de dépenser des sommes faramineuses pour juger, réparer les violences masculines, notre société aurait plutôt intérêt à investir dans d’autres modes éducatifs. Lesquels ?
Le mode éducatif, on l’a sous les yeux : c’est celui qu’on donne aux filles. L’éducation non genrée, expérimentée au Danemark, par exemple, ne donne pas de résultats. Elle n’enraye pas la violence. Alors que si on apprenait aux garçons comme aux filles l’empathie, les comportements humanistes, qu’on cessait d’ériger la force physique et mentale en valeur, etc., bref qu’on éduquait les deux sexes de la même façon, tout en serait changé. À l’avenir, l’État économiserait des milliards et les femmes n’auraient plus peur d’être seules le soir dans la rue, plus peur de laisser les enfants jouer dehors, etc., toutes ces situations considérées comme à risque et qu’on a totalement intégrées.
* « Le coût de la virilité : ce que la France économiserait si les hommes se comportaient comme les femmes ? », éditions Anne Carrière, 17, 50 €.
En vidéo :
Les comportements virils coûtent cher à l’État selon Lucile Peytavin
05/03/2021
▻https://www.brut.media/fr/news/les-comportements-virils-coutent-cher-a-l-etat-selon-lucile-peytavin-87e63f4
La virilité, ça coûte cher à l’État. Très cher. C’est ce qu’affirme l’historienne Lucile Peytavin, qui a fait les calculs…
Son site :
▻https://www.lucilepeytavin.com
À PROPOS
Jeune titulaire d’un doctorat en histoire portant sur le travail des artisan.e.s-commerçant.e.s en milieu rural et autrice aux éditions Anne Carrière, j’ai travaillé en tant que chargée de mission à l’égalité professionnelle et au dialogue social pour l’U2P et je suis membre du laboratoire de l’égalité en charge de la question de la précarité des femmes notamment.
Le coût de la virilité
Ce que la France économiserait si les hommes se comportaient comme les femmes
Lucile PEYTAVIN
▻http://www.anne-carriere.fr/ouvrage_le-cout-de-la-virilite-lucile-peytavin-424.html
En France, les hommes sont responsables de l’écrasante majorité des comportements asociaux :
ils représentent 84 % des auteurs d’accidents de la route mortels, 92 % des élèves sanctionnés pour des actes relevant d’atteinte aux biens et aux personnes au collège, 90% des personnes condamnées par la justice, 86 % des mis en cause pour meurtre, 97 % des auteurs de violences sexuelles, etc.
La liste semble inépuisable. Elle a surtout un coût. Un coût direct pour l’État, qui dépense chaque année des milliards d’euros en services de police, judiciaires, médicaux et éducatifs pour y faire face. Et un coût indirect pour la société, qui doit répondre aux souffrances physiques et psychologiques des victimes, et subit des pertes de productivité et des destructions de biens. Pourtant, cette réalité est presque toujours passée sous silence. Lucile Peytavin, historienne et membre du Laboratoire de l’égalité, s’interroge sur les raisons de cette surreprésentation des hommes comme principaux auteurs des violences et des comportements à risque, et tente d’estimer le coût financier de l’ensemble de ces préjudices pour l’État et donc pour chaque citoyen.ne. Quel est le coût, en France, en 2020, des conséquences de la virilité érigée en idéologie culturelle dominante ? L’autrice nous pose la question : n’aurions-nous pas tous intérêts à nous comporter… comme les femmes ?!
Le mode éducatif, on l’a sous les yeux : c’est celui qu’on donne aux filles. L’éducation non genrée, expérimentée au Danemark, par exemple, ne donne pas de résultats. Elle n’enraye pas la violence. Alors que si on apprenait aux garçons comme aux filles l’empathie, les comportements humanistes, qu’on cessait d’ériger la force physique et mentale en valeur, etc., bref qu’on éduquait les deux sexes de la même façon, tout en serait changé. À l’avenir, l’État économiserait des milliards et les femmes n’auraient plus peur d’être seules le soir dans la rue, plus peur de laisser les enfants jouer dehors, etc., toutes ces situations considérées comme à risque et qu’on a totalement intégrées.
C’est un peu une vision angélique de l’éducation faite aux filles. Est-ce que c’est pas par la peur, la soumission, le déni, la culpabilisation, la non reconnaissance de leurs qualité, la silenciation et le viol que la différence est faite ? L’empathie avec les dominé·es me semble plutot être une conséquence du fait d’avoir vécu ces souffrances. Par exemple l’allaitement qui est évoqué, c’est par la frustration et le déni de leurs besoins que les filles apprennent justement à ne pas écouté leurs besoins. Elles apprennent certes des règles, mais ces règles c’est qu’elles ne compte pas et que leurs besoins, leur faim, leurs souffrances, OSEF. Les mères font ca inconsciemment, et du coup il faudrait qu’elles maltraite consciemment les garçons autant qu’elles maltraite inconsciemment les filles.
Je ne voie pas de solution à cela, je me permet juste de tempéré cette « bonne idée ».
When more Covid-19 data doesn’t equal more understanding | MIT News | Massachusetts Institute of Technology
▻https://news.mit.edu/2021/when-more-covid-data-doesnt-equal-more-understanding-0304
“An initial hypothesis was that if we had more data visualizations, from data collected in a systematic way, then people would be better informed,” says Lee. (...) The researchers found that antimask groups were creating and sharing data visualizations as much as, if not more than, other groups.
And those visualizations weren’t sloppy. “They are virtually indistinguishable from those shared by mainstream sources,” says Satyanarayan. “They are often just as polished as graphs you would expect to encounter in data journalism or public health dashboards.”
“It’s a very striking finding,” says Lee. “It shows that characterizing antimask groups as data-illiterate or not engaging with the data, is empirically false.”
L’Appel du 7 juillet 2020 – Ateliers pour la refondation du #service #public #hospitalier
▻https://ateliersrefondationhopitalpublic.org/lappel-du-7-juillet-2020
QUAND LE #SOCIAL #FINANCE LES #BANQUES ET LES #MULTINATIONALES
Les #Contrats à #impact #social, des Social Impact Bonds à la française
▻http://www.associations-citoyennes.net/wp-content/uploads/2016/05/CAC-LivretSIB-mai2016.pdf
Can This New Map Fix Our Distorted Views of the World?
Most of the world maps you’ve seen in your life are past their prime. The Mercator was devised by a Flemish cartographer in 1569. The Winkel Tripel, the map style favored by National Geographic, dates to 1921. And the Dymaxion map, hyped by the architect Buckminster Fuller, debuted in a 1943 issue of Life.
Enter a brash new world map vying for global domination. Like sports, the mapmaking game can sometimes grow stale when top competitors are stuck on the same old strategy, said J. Richard Gott, an astrophysicist at Princeton who had previously mapped the entire universe. But then along comes an innovator: Think Stephen Curry of the Golden State Warriors, splashing 3-pointers from areas of the court the rest of basketball hadn’t thought were worth guarding.
“We were sort of reaching the limit of what you could do,” Dr. Gott said. “If you wanted any significant breakthrough, you had to use a new idea.”
Dr. Gott’s version of Steph Curry’s wait-you-could-shoot-from-there 3? Use the back of the page, too. Make the world map a double-sided circle, like a vinyl record. You could put the Northern Hemisphere on the top side, and the Southern Hemisphere on the bottom, or vice versa. Or to put it differently: You could deflate the 3-D Earth into two dimensions. And if you did, you could blow the accuracy of previous maps out of the water.
No flat map of our round world can be perfect, of course. First you need to peel off Earth’s skin, then pin it down. This mathematical taxidermy introduces distortions. If you have a Mercator projection on your classroom walls, for example, you may grow up thinking Greenland is the size of Africa (not even close) or Alaska looms larger than Mexico (also nope). This warped worldview might even bias you, subconsciously, to under-appraise most of the developing world.
Shapes also change in map projections. Distances vary. Straight lines curve. Some projections, such as Mercator, aim to excel at one of these concerns, which aggravates other errors. Other maps compromise, like the Winkel Tripel, so named because it tries to strike a balance between three kinds of distortion.
Starting in 2006, Dr. Gott and David Goldberg, a cosmologist at Drexel University in Philadelphia, developed a scoring system that could sum up these different kinds of error. The Winkel Tripel beat out other major contenders. But one big source of distortion persisted: a mathematical incision, often running from pole to pole down the Pacific. The resulting shape can never again be stretched and pulled back into the unbroken surface of a sphere. “This does violence to the globe,” Dr. Gott said.
His new kind of double-sided map, crafted with Dr. Goldberg and Robert Vanderbei, a mathematician at Princeton, skips the topological violence entirely. The map simply continues over the edge. You could stretch a string over the side; an ant could walk there. Without any cut, the map’s Goldberg-Gott distortion score blows all other maps currently in use out of the water, the team reports in a draft study.
Cartographers who regularly study world maps — perhaps fewer than 10 people — will now have time to react. “It never came up to me that it could be done in this way,” said Krisztián Kerkovits, a Hungarian cartographer working to develop his own projections.
But while the new map excels at addressing distortion, Dr. Kerkovits said it also introduced a new weakness. You can see only half of the planet at once, unlike the Winkel Tripel and Mercator. That undermines the basic premise of flaying out the whole world for inspection on a single page or screen.
To Dr. Gott, this is no different than the 3-D globe itself. But Dr. Kerkovits isn’t quite sure: After all, you can always rotate a globe slightly to see the neighbors of any chosen point. But in the double-sided map, you might have to flip the entire thing.
Ultimately a map’s success depends on which applications it’s used for, and how its popularity grows over time. Dr. Gott, whose paper also presents double-sided projections of Jupiter and other worlds, envisions the new map style as a physical object to turn over in your hands.
You could cut one out of a magazine, or you could store a whole stack of them in a thin sleeve, showing different planets or different data layers. And he hopes you may be tempted to try to print out and make your own using the appendix of his paper.
“Glue it back to back with double-stick tape — I think that’s better than Elmer’s Glue, but you can use glue,” Dr. Gott said. Then cut it out. “Maybe use card stock paper,” he added.
►https://www.nytimes.com/2021/02/24/science/new-world-map.html
#projection #visualisation #monde #cartographie #distorsion
via @reka
l’article sur arxiv
Flat Maps that improve on the Winkel Tripel
▻https://arxiv.org/pdf/2102.08176.pdf
3D Internet Topology - bl.ocks.org
▻https://bl.ocks.org/vasturiano/2e655fdd1f378cb2002435fe33d7d6ec
#cartographie #D3 #D3js #3D
Global #Material #Resources Outlook to 2060
#Economic drivers and environmental consequences
▻http://www.oecd.org/environment/waste/highlights-global-material-resources-outlook-to-2060.pdf
Simulation of collision between moving particles with different masses inside a container, using the d3-force physics engine.
#Psychiatrie : « Quelque chose de violent est en train de se passer » affirment deux médecins blésois
▻https://www.lanouvellerepublique.fr/blois/psychiatrie-quelque-chose-de-violent-est-en-train-de-se-passer-
« #Islamo-gauchisme » : stopper la confusion et les polémiques stériles
►http://www.cpu.fr/actualite/islamo-gauchisme-stopper-la-confusion-et-les-polemiques-steriles
Assemblée Virtuelle - Association développant des communs de transition
▻https://www.virtual-assembly.org/semapps
The messy business of sand mining explained
▻https://graphics.reuters.com/GLOBAL-ENVIRONMENT/SAND/ygdpzekyavw
Mais tu peux juste pas aller te coucher avec ça …
▻https://www.youtube.com/watch?v=Js0u184Hhng
▻http://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=http%3A%2F%2Fwww.leparisien.fr%2Fculture-loisirs%2Fm
Peu importe leur différence d’âge. Ben Harper, 48 ans, et son illustre aîné Charlie Musselwhite, 74 printemps, génie de l’harmonica, ont tous deux l’amour du blues. Avec leur excellent nouvel album en duo « No Mercy in this Land », les deux compères se retrouvent pour sublimer cette musique.