(342) DES CONS FINEMENT (J’suis pas content ! #S06E15) - YouTube
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Samir l’homme d’origine égyptienne qui s’est fait insulté de bicot et frappé par la police à l’#IleSaintDenis le 26 avril dernier à reçu à l’issue de sa garde à vue une OQTF (Obligation de quitter le territoire français).
#JusticePourSamirILS M’ONT FRAPPÉ, J’ÉTAIS COMME UN BALLON DE FOOT : le témoignage de Samir | Reportages | Là-bas si j’y suis
▻https://la-bas.org/la-bas-magazine/reportages/ils-m-ont-frappe-j-etais-comme-un-ballon-de-foot-le-temoignage-de-samir
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(303) Le gouvernement a brulé des masques ! - #02 Les faits sont têtus - YouTube
Tal Shaller “Parents français l’heure est grave”
La collapsologie. Une pseudo-théorie de la crise pour une non-action politique.
►https://www.autonomiedeclasse.org/ecologie/la-collapsologie-une-pseudo-theorie
Ils ne lâcheront rien, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 5 mai 2020)
►https://blog.mondediplo.net/ils-ne-lacheront-rien
A la veille du déconfinement, des projections épidémiologiques globalement pessimistes, Paul Benkimoun, Chloé Hecketsweiler
▻https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/05/07/a-la-veille-du-deconfinement-des-projections-epidemiologiques-globalement-pe
Selon différentes modélisations, la stratégie du gouvernement est insuffisante pour endiguer une seconde vague de l’épidémie. Elle pourrait frapper de plein fouet des hôpitaux fragilisés par deux mois de lutte contre le Covid-19.
A quelques jours du déconfinement, la France est-elle aussi à la veille d’un rebond épidémique ? « Trop de relâchement et d’insouciance, et c’est une deuxième vague qui menace ; trop d’immobilisme et d’angoisse, et c’est l’asphyxie collective. Tel est le chemin de crête sur lequel nous devons avancer : chaque versant est un à-pic vertigineux » , a résumé le premier ministre, Edouard Philippe, auditionné le 4 mai au Sénat.
Partant de ce constat, plusieurs stratégies sont possibles, mais celle en demi-teinte présentée par le gouvernement est loin de faire l’unanimité parmi les épidémiologistes.
Premier écueil en vue : l’absence de mesures de protection renforcées pour les personnes les plus vulnérables. Dans une étude mise en ligne mercredi 6 mai, les modélisateurs de Public Health Expertise estiment qu’il sera impossible d’éviter une seconde vague si cette population est de nouveau exposée au virus.
Les auteurs prennent pour hypothèse un scénario proche de celui esquissé par le président de la République dans son allocution du 13 avril avec une réouverture des écoles et un retour au travail pour le plus grand nombre. Dans leurs différents scénarios, la circulation du virus est en partie contrôlée par la mise en quarantaine des personnes infectées et le dépistage de leurs contacts. Leur objectif est d’évaluer l’impact de deux autres mesures de contrôle : le port obligatoire du masque et la réduction des contacts dans la vie quotidienne (la « distanciation sociale »).
Protéger la population « vulnérable »
Pour cela, leur modèle « recrée » la circulation du virus au sein d’une population fictive de 500 000 personnes avec la possibilité d’ajuster des dizaines de paramètres selon les hypothèses retenues. Résultat : même si le port de masques et la distanciation sociale permettent de réduire de 75 % le risque de contamination, le nombre de cas graves serait tel que les capacités d’hospitalisation en réanimation seraient débordées dès la fin du mois de juillet (14 000 lits au total dont les trois-quarts réservés aux patients Covid). « Dans ce scénario, un nouveau confinement serait inévitable » , estime Nicolas Hoertel, psychiatre et modélisateur à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), coauteur de l’étude.
Pour l’éviter, l’étude suggère des mesures additionnelles pour protéger la population « vulnérable », celle qui risque le plus d’être hospitalisée en réanimation et de décéder : les personnes âgées de plus de 65 ans, ou présentant des facteurs de risque (diabète, hypertension, maladie pulmonaire, obésité). Sans prolonger leur confinement, elles seraient encouragées à limiter au strict minimum leurs contacts et leurs sorties jusqu’à la fin de l’année. Dans ce scénario, la mortalité globale diminuerait de 85 % avec 33 000 décès entre mai et décembre contre 217 000 dans le scénario le plus pessimiste, qui ne prévoit ni port du masque ni distanciation sociale.
A la fin de cette vague, le nombre de personnes infectées – en majorité les moins susceptibles de développer des formes sévères de Covid – serait suffisant pour atteindre l’immunité de groupe. « Il ne s’agit pas d’exposer une partie de la population plutôt qu’une autre mais de tenir compte du déséquilibre de risque entre elles » , souligne Nicolas Hoertel. « La question, qui devrait faire l’objet d’un débat de société, est : comment protéger de façon humaine une population vulnérable, essentiellement âgée » , ajoute le médecin.
Autre modélisation, celle réalisée par l’équipe de Vittoria Colizza (Inserm) et Pierre-Yves Boëlle (Sorbonne Université). Elle reprend le modèle utilisé pour estimer l’impact du confinement sur le système de soins en Ile-de-France, en l’actualisant avec des données sur les admissions en réanimation jusqu’au 28 avril. « Cela donne une idée de ce à quoi nous pouvons nous attendre pour le 11 mai et après en Ile-de-France, là où l’épidémie est la plus forte » , explique Vittoria Colizza.
« Une seconde vague plus intense que la première »
La question de la réouverture des écoles est ici centrale. Bien que la contribution des jeunes enfants à la transmission du SARS-CoV-2 soit plus faible que celle des adultes, elle entraînerait selon eux une augmentation du nombre de cas de Covid-19 dans les deux mois suivants.
L’épidémie ne pourrait être contrôlée qu’à plusieurs conditions. La première est le maintien des mesures de distanciation physique. « Cela suppose que 50 % des gens restent chez eux – soit que leur activité professionnelle n’ait pas repris, soit qu’ils pratiquent le télétravail –, que les personnes âgées aient réduit de 75 % leurs contacts, et qu’il y ait une réouverture partielle (pas plus de 50 %) de différentes activités et commerces » , détaille Vittoria Colizza.
Autre condition pour ce scénario : que le dispositif de dépistage, de traçage et d’isolement des cas et de leurs contacts détecte au moins 50 % des nouvelles infections. « Si 25 % seulement sont identifiés, nous aurions à affronter une seconde vague plus intense que la première, débutant fin juin avec des capacités de réanimation dépassées jusqu’en août », insiste Vittoria Colizza. La modélisatrice souligne qu’au-delà du nombre de tests disponibles, ce dispositif de traçage des contacts nécessite des ressources humaines massives afin de casser les chaînes de transmission.
Enfin, les modalités de la réouverture des établissements scolaires sont déterminantes. Si maternelles et écoles primaires rouvrent le 11 mai en Ile-de-France, les besoins d’admission en réanimation atteindraient au maximum 72 % des capacités hospitalières. Ce résultat rassurant ne se produirait que dans deux situations : soit aucun autre établissement scolaire ne rouvre avant les vacances d’été, soit les collèges et les lycées ne commencent à accueillir de nouveau leurs élèves qu’à partir du 8 juin, avec dans un premier temps 25 % de l’effectif et une augmentation progressive semaine après semaine.
Dans l’hypothèse où l’ensemble des élèves, de la maternelle au lycée, reprendraient les cours le 11 mai, les chercheurs de l’Inserm envisagent une seconde vague épidémique, similaire à la première. Elle serait toutefois évitée en limitant à 50 % l’effectif pour l’ensemble des classes. Un retour en classe de l’ensemble des adolescents en juin aurait pour effet de submerger les services de réanimation, les nouveaux cas qui en découleraient nécessitant 138 % des capacités.
« Les équipes sont sur les rotules »
Quels que soient les leviers actionnés, l’arithmétique « de terrain » s’annonce, elle aussi, complexe. « On nous demande de faire deux hôpitaux en un, avec des unités Covid + et des unités Covid –. Mais c’est exactement comme dans les écoles : nous n’avons pas assez de place » , constate Romain Dufau, chef du service des urgences de l’hôpital Jean Verdier à Bondy (Seine-Saint-Denis). Faute d’un nombre de chambres simples suffisant, seuls six patients pourront être accueillis au lieu de dix en temps normal. « Nous allons tous perdre 20 % à 30 % de notre capacité d’hospitalisation, alors qu’il n’y avait déjà pas assez de lits » , regrette-t-il.
Avec le départ des renforts, se repose la question des ressources humaines : « Nous aimerions recruter de nouvelles infirmières, les diplômées de juin, mais la prime d’attractivité [destinée à encourager leur installation en Ile-de-France] est insuffisante » , estime le médecin. Faute d’assistante sociale, le suivi des patients précaires s’avère très compliqué, dans ce département qui est le plus pauvre d’Ile-de-France. « Comment va-t-on les isoler ? Nous n’avons déjà pas assez de lits. Je me vois mal immobiliser une chambre en attendant le résultat des tests. Il faut que l’Etat nous donne des moyens pour cela », insiste Romain Dufau.
A l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, le rythme des admissions s’est beaucoup ralenti et une partie des lits de réanimation a été réaffectée à la prise en charge d’autres patients. Mais la perspective d’une nouvelle vague inquiète. « Les équipes sont sur les rotules » , témoigne Alexandre Demoule, chef de service de réanimation. « Nous sommes comme une équipe de foot qui vient de gagner un match et à qui on demanderait de le rejouer le lendemain », souligne le médecin.
L’AP-HP tablait sur 256 patients hospitalisés en réanimation au 21 mai. « Il n’est pas sûr que nous puissions atteindre cet objectif, car les sorties sont plus lentes que prévu » , explique le réanimateur. « Certains patients sont là depuis plus d’un mois et resteront encore longtemps » .
Selon le scénario « intermédiaire » de la modalisation élaborée par l’AP-HP, près de 500 patients pourraient être hospitalisés en réanimation au 30 juin, contre un peu plus de 1 100 au 8 avril. Ce nombre pourrait s’élever à 1 200 en cas d’échec de mesures « post-confinement ».
#cise_sanitaire #déconfinement #deuxième-vague #vulnérables #travail #école #transports_en_commun
C’est surtout qu’aucun modèle n’a l’air de prendre en compte la donnée la plus critique : l’effet de masse.
Plus le virus infecte de gens, plus les gens se réinfectent entre eux, plus la densité de malades augmente et plus la proportion de cas graves augmente dans la population touchée avec une baisse concomitante de l’âge moyen des cas graves.
Autrement dit, plus le virus circule, plus la population « fragile » s’étend.
(253) LES FAITS SONT TÊTUS #1 : La rentrée des classes du 11 mai - YouTube
(249) ALERTE : Pas de procès pour le gouvernement ??? - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=ds4txwkZqsY
Coronavirus : au Venezuela, premiers pillages alors que la famine menace
►https://www.lemonde.fr/international/article/2020/04/29/au-venezuela-pillages-et-protestations-alors-que-la-famine-menace_6038159_32
Sept des vingt-trois Etats du pays sont touchés par la contestation, alors que l’inflation atteint déjà 124 % depuis le début de l’année
Vendredi 1er mai, le revenu minimal vénézuélien a augmenté de plus de 70 %, pour atteindre 4,66 dollars au taux de change officiel. Annoncée par le gouvernement de Nicolas Maduro lundi 27 avril, la mesure ne semble pas de nature à calmer la colère des Vénézuéliens affamés qui, la semaine dernière, ont protesté et pillé des magasins dans plusieurs villes à l’intérieur du pays.
Le mouvement a été contenu, mais les observateurs internationaux, ONU en tête, s’inquiètent des risques de famine que la lutte contre le Covid-19 fait planer sur un pays à bout de souffle, dès avant la pandémie. Le Comité international de secours a placé le Venezuela sur la liste des pays en « double urgence », aux côtés de la Syrie, du Yémen, du Soudan du Sud et du Burkina Faso. La République bolivarienne du Venezuela n’a pourtant pas connu de conflit armé, et la progression du virus y est encore lente, si l’on en croit les chiffres officiels, qui font état, mercredi 29 avril, de 329 cas diagnostiqués et de 10 morts. Mais l’économie du pays est détruite.
(170) L’EFFONDREMENT [EP7] L’île - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=78BB82GBMX0
Une sécheresse exceptionnelle afflige l’est de la France et l’Europe centrale
▻https://reporterre.net/Une-secheresse-exceptionnelle-afflige-l-est-de-la-France-et-l-Europe-cen
(149) Coline Serreau - Coup de gueule (Covid-19 / Coronavirus) - YouTube
►https://www.youtube.com/watch?v=3fLhB1sUv4g
(149) Coline Serreau - YouTube ""Le système économique est conçu pour pomper les richesses du peuple au profit des multinationales"."
►https://www.youtube.com/watch?v=3fLhB1sUv4g
Quarantaine, suivi des malades, verbalisations : les précisions du gouvernement sur l’après-11 mai
https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/05/02/quarantaine-stopcovid-abandonne-verbalisations-les-precisions-du-gouvernemen
Afin de faire respecter ces règles, le projet de loi prévoit également d’étendre les pouvoirs de verbalisation à plusieurs catégories d’agents qui pourront, dès le 11 mai, « constater le non-respect des règles de l’urgence sanitaire et le sanctionner » :
• les adjoints de sécurité,
• les gendarmes adjoints volontaires,
• les réservistes de la police et de la gendarmerie nationale,
• les agents de sécurité assermentés dans les transports,
• les agents des services de l’autorité de la concurrence pour les commerces.
« C’est un apport considérable, c’est une marque de confiance. C’est nous donner toutes les chances pour que le déconfinement se déroule dans les meilleures conditions sanitaires possible », a précisé Christophe Castaner, en appelant cependant au « civisme des Français ».
Un apport considérable de nouveaux petits chefs susceptibles de verbaliser et d’interpréter les consignes…
Oui. Pourtant, à voir la supérette où je fais habituellement mes courses, devant laquelle j’ai du plusieurs fois tourner les talons tellement cet espace très confiné est peuplé, j’aimerais bien que les gérants se fassent rappeler à quelques règles élémentaires (idem d’ailleurs dans des commerces de plus en plus nombreux ou même le basique affichage des prix est aléatoirement présent, quand il ne tend pas à disparâitre. Juste en face, une petite boutique de sushis est le point de rendez vous de grappes de livreurs plutôt.... compactes (ces a... de Parisiens sont pas foutus d’aller chercher leur croquettes de luxe). Mais je ne doute pas qu’on se fera verbaliser seul dans un coin ou un espace très ouvert, ce qui n’est sanitairement pas justifié (infantilisation par des consignes sans fondement, alors forcément « on fait des bêtises », derrière le « restez chez vous » personne ne sait ce qui est réellement justifié).
“Essayez la dictature” qu’il disait…il ne manque que les chasseurs !
#coronavirus #France #stratégie_du_choc #fascistovirus #le_sens_des_priorités
Voir compile des effets délétères indirects de la pandémie :
►https://seenthis.net/messages/832147
les paysans et paysannes dans la lutte des classes | l’agriculture et les luttes paysannes sur Radio Canut
▻https://blogs.radiocanut.org/luttespaysannes
(140) Business VS Santé : que se passe-t-il dans les Ehpad ? - YouTube
►https://www.youtube.com/watch?v=zrHcc_rPacE
(140) La réponse de l’UE à la crise du coronavirus en 9 minutes - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=nM-nlb2Ltxc
1er Mai. Pendant que Marine Le Pen se pavane à Paris, la répression pour les manifestants
http://www.revolutionpermanente.fr/1er-Mai-Pendant-que-Marine-Le-Pen-se-pavane-a-Paris-la-repressi
En pleine crise, l’Etat achète pour 120 millions d’euros de radars dernier cri capables de verbaliser de nombreuses infractions - Réalités Routières
https://realitesroutieres.fr/en-pleine-crise-letat-achete-pour-120-millions-deuros-de-radars-de
Les maires ont-ils le droit de s’opposer à l’ouverture des écoles ? - Libération
https://www.liberation.fr/france/2020/05/02/les-maires-ont-ils-le-droit-de-s-opposer-a-l-ouverture-des-ecoles_1787083
« Le risque sanitaire est trop important et je ne suis pas en mesure de garantir leur sécurité et leur santé. Je ne veux pas mettre leur vie en danger »
(135) Revue de Presse : Vendredi 01 Mai - L’ONU, la dérive et la sécheresse ! - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=nN3XvEb59jE
Corona Chroniques, #Jour47 - davduf.net
http://www.davduf.net/corona-chroniques-jour47
12h, une poignée de volontaires des #Brigades_de_Solidarité_Populaire gagne la place du marché Croix de Chavaux à #Montreuil. Dans leurs cageots, des invendus de Rungis, qu’ils sont allés chercher hier, des fruits qu’ils ont triés, et des légumes qu’ils distribuent à une centaine de pauvres parmi les pauvres, les confinés de TOUT ; geste simple et magnifique, geste barrière suprême, « élan solidaire et autogestionnaire », comme ils disent ; une solidarité pensée, qui doit plus à l’Après qu’à l’Avant, à l’autodéfense qu’à la charité. Depuis le #Corona, le camion des BSP (création italienne, depuis internationale) maraude dans les quartiers populaires, un camion fait des tournées en continu, deux cantines mitonnent des repas prêts pour ceux qui n’ont même pas de cuisine.
Mais 13h20, les voitures de police qui pimponnent. Mais 13h20, les motos des voltigeurs qui débarquent. Mais 13h20, #Lallement qui fait sonner la troupe. C’est brigades contre brigades, braves contre #BRAV (Brigades de Répression de l’Action Violente Motorisées). La distribution gratuite de denrées est interrompue. On nasse, on verbalise, pour manifestation non déclarée. Aux Brigadistes de rue — gantés, masqués, gelés — qui se plaignent d’être contrôlés comme Avant, sans précautions sanitaires ni distance d’aucune sorte, les Brigadistes de #préfecture rétorquent comme dans un aveu de l’Ordre imbécile : « Vous n’avez rien à dire, vos masques ne sont pas aux normes. »
Voir compile des effets délétères indirects de la pandémie :
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#fascistovirus #coronavirus #stratégie_du_choc #contrôles_kafkaïens #violence_policière #violences_policières #France #verbalisations
★ • Brigades Solidarité Populaire
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104203 masques
Nous offrons des masques et des gants aux plus précarisé.e.s et aux plus exposé.e.s.
1111 gels
Du fait de la pénurie, nous produisons, empaquetons et distribuons notre gel hydroalcoolique.
10827 repas
Les Brigades distribuent quotidiennement des repas froids ou chauds aux personnes dans le besoin.
12199 colis alimentaires
Nous distribuons également des denrées alimentaires pour que les personnes préparent leurs propres repas.
466 heures pédagogiques
Notre mission inclut le soutien pédagogique des élèves en difficulté scolaire.
47 brigades
Les Brigades de Solidarité Populaire fédèrent des groupes d’action partout dans le monde.
Rejoignez nous !
Les Brigades de Solidarité sont un réseau de groupes d’aide mutuelle auto-organisés agissant pour une auto-défense pour le peuple par le peuple. Nous opérons partout dans le monde. Les Brigades se sont formées lors de la pandémie COVID-19 qui nous a tou.te.s frappé.e.s.
Nous savons que les gouvernements ne sont pas une solution à la crise sanitaire. Ils sont au service d’un système basé sur le profit et l’intérêt privé qui est à l’origine du désastre que nous connaissons et de la situation dramatique dans laquelle se trouvent les services de soins publics.
Nous savons qu’il nous faudra compter sur nos propres forces. Notre auto-organisation doit générer des solidarités concrètes, sur une base territoriale afin de venir en aide aux plus précaires : travailleur.euse.s, migrant.e.s, personnes sans domicile fixe, personnes âgées, isolées…
Mais ce réseau de solidarité doit aussi s’attacher à une mise en accusation des politiques néo-libérales, dont la situation actuelle, partout dans le monde, démontre une fois de plus la nature criminelle et à l’élaboration de nouvelles formes d’organisation collective.
Formons des Brigades de Solidarité Populaire !
Distribution de masques et de nourriture, aide aux devoirs : qui sont les brigades de solidarité populaire ?
▻https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/05/03/distribution-de-masques-et-de-nourriture-aide-aux-devoirs-qui-sont-les-briga
S’inspirant de l’exemple milanais, militants d’extrême gauche et sans-papiers veulent créer en France « une solidarité immédiate et concrète » .
Certains de leurs militants ont été verbalisés le 1er mai, pour non-respect des règles de confinement, alors qu’ils distribuaient de la nourriture à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Réunissant des personnes engagées issues de l’antifascisme, de l’autonomie mais aussi les sans-papiers du collectif des « gilets noirs » , les brigades de solidarité populaire se définissent comme « un réseau de groupes d’aide mutuelle auto-organisés agissant pour une autodéfense pour le peuple par le peuple, formé lors de la pandémie » due au coronavirus. Sur le site Acta (proche de l’Action antifasciste Paris-banlieue), on peut ainsi lire : « Ce dont l’Etat est capable, c’est tout au plus de gérer le désastre. Il nous faut apprendre à compter sur nos propres forces. »
[...] Les brigades se rendent également dans les foyers de travailleurs immigrés. « On travaille avec quarante-trois foyers, explique Bakary, membre de ce collectif [Gilets Noirs] rendu célèbre par son occupation du Panthéon, en juillet 2019. On distribue nourriture et médicaments. En ce moment, on réfléchit à la manière d’organiser l’iftar [rupture du jeûne lors du ramadan] dans les foyers. » Une gageure en temps de distanciation sociale.
[...] Si les militants italiens se sont rapprochés d’une grosse ONG en lien avec la mairie de Milan, les Franciliens préfèrent l’auto-organisation. Ils revendiquent d’avoir créé un « comité sanitaire » avec des professionnels de santé [un des résultats des luttes de soignants, ndc] pour former aux gestes barrières, à la bonne utilisation des masques pour éviter d’être vecteurs de propagation du virus lors des distributions ou lors des maraudes. [...]
L’élevage intensif nous mène droit vers la prochaine pandémie
https://www.courrierinternational.com/article/opinion-lelevage-intensif-nous-mene-droit-vers-la-prochaine-p