Ah ben voilà qui ne nous rajeunit pas : Metallica "Battery"
▻https://www.youtube.com/watch?v=-E1OhrLhKL8
Metallica’s album “Master of Puppets” was released 35 years ago today
Geek dilettante habitant une belle et grande propriété sur la Côte d’améthyste
Ah ben voilà qui ne nous rajeunit pas : Metallica "Battery"
▻https://www.youtube.com/watch?v=-E1OhrLhKL8
Metallica’s album “Master of Puppets” was released 35 years ago today
C’est aussi,cette année, les 30 ans de « Nevermind »
En 1989, le premier concert de Nirvana en France est à Issy-les-Moulineaux
▻https://www.lemonde.fr/series-d-ete/article/2021/08/16/avec-nirvana-le-futur-du-rock-est-a-issy-les-moulineaux_6091575_3451060.html
Combien sont-ils, en cette soirée du 1er décembre 1989 à l’espace Icare, la MJC d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), à voir « le futur du rock’n’roll », pour reprendre la fameuse formule du critique Jon Landau appliquée quinze ans plus tôt au Sauveur Bruce Springsteen ? Le chiffre de 75 spectateurs a été colporté sur Internet. En fait, 214 entrées payantes seront comptabilisées par l’association Fahrenheit, qui fait venir pour la première fois en France deux groupes de Sub Pop.
▻http://fahrenheitconcerts.free.fr
Le grunge : fin de siècle à Seattle
▻https://www.franceculture.fr/emissions/juke-box/fin-de-siecle-a-seattle
Cobain, en rupture avec sa famille, mène une vie dissolue, faite de petits boulots alimentaires et d’expériences limites. Il fonde #Nirvana en 1987 et deux ans plus tard parait Bleach , le premier opus du groupe, produit par #Sub_Pop, un ancien fanzine qui accompagnera nombre de groupes des débuts du grunge.
Saturé et sombre, empreint des angoisses de la jeunesse de l’époque, le style grunge s’incarne dans des groupes constitués ces années-là dans la région : Soundgarden, Alice in Chains, Pearl Jam mais aussi des groupes « féministes » comme Bikini Kill ou Hole.
En 1991, Nirvana publie Nevermind , dont le succès fulgurant ébranle Kurt Cobain qui refuse d’être érigé en icône de la jeunesse. Tandis que l’industrie du disque rapplique à Seattle et que l’ancienne ville industrielle s’impose comme un nouvel eldorado de l’économie américaine, Cobain l’écorché met brutalement fin à ses jours...
Yep, et Cowboys from Hell de Pantera il y a 31 ans.
Je suppose qu’on peut désormais classer tout ça dans la musique classique. Une version un peu bruyante de la musique baroque.
Mudhoney donne aussi dans l’édition Deluxe
▻https://seenthis.net/messages/781492
Je le confesse, j’y étais :-) Je crois en avoir parlé dans mon bouquin sur le New Moon...
On retrouve un (mauvais) papier de moi dans le press-book du lieu ▻http://fahrenheitconcerts.free.fr/Revue_presse89_Nirvana.pdf
Et ici, où je me plante sur le nombre d’entrées. Le gars du Monde a raison : 214 entrées payantes. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’on était bien plus. C’était étouffant là-dedans ! ça resquillait de partout :-) ▻https://www.liberation.fr/musique/2019/06/28/david-dufresne-dix-jours-en-tournee-avec-nirvana-ont-change-ma-vie_1736824/?redirected=1
J’ai été figurante dans le premier clip de Nirvana
▻https://www.telerama.fr/musique/j-ai-ete-figurante-dans-le-premier-clip-de-nirvana,110735.php
Été 1991. Juste avant la déferlante “Nevermind”, une jeune Française participe au tournage de “Smells like teen spirit”. Souvenirs d’une fan de la première heure
Nirvana, j’attendais de les revoir depuis deux ans. Depuis l’électrochoc reçu au Fahrenheit (une salle d’Issy-les-Moulineaux), le 1er décembre 1989, où ils partageaient l’affiche avec les bûcherons de Tad – entre les mains desquels une guitare électrique semblait aussi grosse qu’un ukulélé. Ce premier concert « parisien » de Nirvana, époque Bleach (leur premier album), et Chad Channing à la batterie, fut déclencheur. Entrée dans le fanzinat, concerts en série, culte de Touch & Go, Amphetamine Reptile, Dischord, Sub Pop, K Records, entre autres labels. Quand certains rêvaient de la scène de Manchester, je ne jurais plus que par les mecques du rock indé : Washington DC, Chicago, Olympia (la capitale de l’État de Washington) et surtout Seattle.
Le 24 juin 1992, Nirvana joue en tête d’affiche au Zénith de Paris. Alors que je me pointe à l’improviste, je demande au gars de la sécurité devant l’entrée des loges s’il peut aller chercher Kurt, Krist ou Dave. Il me répond goguenard : « Moi aussi, je connais les Beatles ». Lorsque Dave est arrivé et m’a fait un hug, le type de la sécurité ne l’a plus ramené.
Il y a trente ans, les dernières heures d’insouciance de l’underground américain
▻https://www.telerama.fr/musique/il-y-a-vingt-cinq-ans-les-dernieres-heures-d-insouciance-de-l-underground-a
Nirvana, “Unplugged in New York” (BMG)
▻https://www.youtube.com/watch?v=vJfmzn0kXZo&t=418s
Le troisième concert de Nirvana réédité en vinyle cette année est un chef d’œuvre à part dans leur courte discographie. En novembre 1993, il ne reste plus longtemps à Kurt Cobain (il meurt en avril 1994), le costume de Jésus de la planète rock pèse des tonnes et son malaise ne peut s’exprimer plus crument que dans cet enregistrement à nu, dans la fausse intimité des studios de MTV. Le répertoire est singulier, piochant chez les autres (Meat Puppets, Vaselines, David Bowie) des chansons que Cobain, dans le plus grand dépouillement, accorde à son propre spleen. L’édition 2019 est enrichie de cinq morceaux joués en répétition.
▻https://www.telerama.fr/musique/johnny-hammond-smith,-nirvana,-james-brown...-la-selection-vinyle-de-la-sem