Trente ans de guerre au Vietnam (#archiveLO, 30 janvier 1973)
#guerre #Vietnam #guerre_du_Vietnam #impérialisme #France #guerre_d'Indochine
Trente ans de guerre au Vietnam (#archiveLO, 30 janvier 1973)
#guerre #Vietnam #guerre_du_Vietnam #impérialisme #France #guerre_d'Indochine
#Agent_orange, la dernière bataille
Utilisé pendant la guerre du Vietnam, l’agent orange a fait des ravages. Cet herbicide était utilisé par l’armée américaine pour détruire les forêts où se cachaient les résistants du Front National de libération et les cultures agricoles qui les nourrissaient. Pourtant, ce produit chimique contenant un produit cancérigène, la dioxine, reste encore autorisé aujourd’hui dans les forêts et les pâturages américains comme dans l’Oregon. En 2014, une ancienne reporter dans la jungle du sud Vietnam a assigné en justice vingt-six fabricants américains, dont Monsanto, depuis la France son pays de résidence, pour dénoncer les épandages. Carol Van Strum, une activiste américaine, mène quant à elle depuis plus de quarante ans, une guerre sans relâche pour dénoncer la responsabilité de l’industrie agrochimique face à cette catastrophe humaine et écologique. Pendant ce temps au Vietnam, une nouvelle génération d’enfants est née avec des malformations effroyables. Dans ce documentaire, Alan Adelson et Kate Taverna enquêtent sur cette arme de destruction massive.
–-> #film_documentaire passé sur arte, ajourd’hui plus disponible.
A voir ici (pour l’instant au moins) :
▻https://cs-cz.facebook.com/MouvCommuniste1/videos/agent-orange-la-derni%C3%A8re-bataille-sur-arte-cest-un-proc%C3%A8s-politique-historique-u/356341652390208
#film #documentaire #Vietnam #guerre_chimique #déforestation #coupe_à_blanc #Oregon #Michael_Newton #sylviculture #justice #Tran_To_Nga #herbicide #Dow_chemical #défoliant #histoire #guerre_du_Vietnam #opération_Ranch_Hand #dioxine #propagande #citizens_against_toxic_spray (#CATS) #cancer #malformations #Bayer #Monsanto #poison_papers
Ma terre empoisonnée
Tran To Nga raconte ici son étonnant destin franco-vietnamien, une vie de combats et d’utopies. Issue d’une famille d’intellectuels, elle grandit au temps de l’Indochine française et vit au plus près la lutte pour l’indépendance.Après de brillantes études à Saigon puis à Hanoi, elle s’engage dans le mouvement de libération du Sud-Vietnam contre la présence américaine. Dans les années 1960, alors que la violence fait rage, elle s’active au coeur de la jungle, dans les camps de maquisards. Son destin bascule quand les avions de l’US Army larguent d’énormes quantités de désherbant sur ces forêts. Ce produit, surnommé « agent orange », a des effets dévastateurs : les arbres meurent, les sols sont pollués, des centaines de milliers de personnes contaminées. Nga, elle-même atteinte par
ces nuages toxiques, découvrira, des années plus tard, les ravages qu’ils peuvent provoquer.
Aujourd’hui, elle vient en aide aux victimes oubliées de l’agent orange et poursuit devant la justice française vingt-six sociétés américaines de pétrochimie l’ayant fabriqué.
Dans ce livre, écrit avec Philippe Broussard, l’auteur retrace le parcours qui l’a conduite également à connaître la clandestinité, la torture et la prison. Son récit de la guerre du Vietnam et de ses conséquences offre une vision inédite du conflit, dénuée de haine, touchante d’humanité, d’amour maternel et de courage.
▻https://www.editions-stock.fr/livres/essais-documents/ma-terre-empoisonnee-9782234079014
#livre #résistance
A venir : Des centaines de caméras avec leurs piles au lithium, au mercure, dans les super marchés, et qui finiront dans les poubelles, histoire d’empoisonner la terre.
La solution Captana.
Ben oui, pour les ruptures, la solution #robots ne fonctionne pas, et les salariés, on les vire
▻https://www.olivierdauvers.fr/2021/12/02/avec-des-cameras-en-rayon-monoprix-fait-un-focus-sur-les-ruptures
« #Agent_orange » : #Tran_To_Nga, une femme en guerre contre les géants de l’#agrochimie
Cette Franco-Vietnamienne au parcours d’exception poursuit devant la #justice française #Dow_Chemical et d’autres firmes, pour avoir fourni à l’#armée_américaine des #pesticides ultratoxiques déversés autrefois sur le #Vietnam.
Des boîtes de médicaments sont dispersées sur la table basse devant le canapé. Un beau portrait de femme – sa mère – est accroché au mur à côté de la Légion d’honneur décernée en 2004 par Jacques Chirac. Côte à côte, plusieurs Bouddha et une statuette de la Vierge veillent sur le salon de Mme Tran, 78 ans. L’endroit n’a rien d’un QG de campagne. C’est pourtant d’ici, au rez-de-chaussée d’un immeuble tranquille situé dans l’Essonne, que cette grand-mère franco-vietnamienne, à l’allure frêle, livre l’ultime combat d’une vie d’une incroyable richesse.
Née en mars 1942, Tran To Nga grandit dans une Indochine qui s’oppose de plus en plus ouvertement au colonisateur français. A la demande de sa mère, très impliquée dans la lutte pour l’indépendance, l’intrépide fillette, francophone, porte bientôt des messages secrets dans son cartable d’écolière. Dans les décennies suivantes, elle s’engagera corps et âme dans la guerre au Vietnam.
▻https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/19/agent-orange-tran-to-nga-une-femme-en-guerre-contre-les-geants-de-l-agrochim
#résistance #guerre_du_Vietnam
« Agent orange » : les demandes d’une Franco-Vietnamienne contre 14 multinationales jugées irrecevables
▻https://seenthis.net/messages/914909
#irrecevabilité
#Phil_Ochs -
Silent soldiers on a silver screen
Framed in fantasies and dragged in dream
Unpaid actors of the mystery
The mad director knows that freedom will not make you free
And what’s this got to do with me
I declare the war is over
It’s over, it’s over
Drums are drizzling on a grain of sand
Fading rhythms of a fading land
Prove your courage in the proud parade
Trust your leaders where mistakes are almost never made
And they’re afraid that I’m afraid
I’m afraid the war is over
It’s over, it’s over
Angry artists painting angry signs
Use their vision just to blind the blind
Poisoned players of a grizzly game
One is guilty and the other gets the point to blame
Pardon me if I refrain
I declare the war is over
It’s over, it’s over
So do your duty, boys, and join with pride
Serve your country in her suicide
Find a flag so you can wave goodbye
But just before the end even treason might be worth a try
This country is too young to die
I declare the war is over
It’s over, it’s over
One-legged veterans will greet the dawn
And they’re whistling marches as they mow the lawn
And the gargoyles only sit and grieve
The gypsy fortune teller told me that we’d been deceived
You only are what you believe
I believe the war is over
It’s over, it’s over
▻https://www.youtube.com/watch?v=OGHHdZoT4F8
ping @sinehebdo
Merci, mais c’est plutôt @val_k qui avait commencé une playlist #antimilitariste :
►https://seenthis.net/messages/734716
#Giles_Duley, survivre pour mieux photographier les victimes de la guerre
Invité par le Centre international de déminage humanitaire à l’occasion d’une conférence sur les mines à l’ONU, à Genève, le photographe britannique, triple amputé, a survécu par miracle à un engin explosif improvisé en Afghanistan. Ce tragique épisode a décuplé son empathie pour les sujets qu’il photographie et renforcé une vocation
« Tu es un dur, tu vas vivre, buddy. » Le 7 février 2011, au cœur de l’Afghanistan. Dans l’hélicoptère qui l’emmène d’urgence à l’Hôpital des Nations unies à Kandahar, des soldats américains s’évertuent à maintenir Giles Duley en vie. Incorporé dans la 101e Division aéroportée de l’armée américaine pour photographier l’impact humanitaire de la guerre sur les civils, il vient de sauter sur une mine improvisée. Deux jambes et un bras arrachés. Transféré à Birmingham en Angleterre, il passe 46 jours aux soins intensifs. Il survit. Un miracle. Il subit 37 opérations en un an avant de pouvoir quitter l’hôpital.
Façonner ma vie future
Invité par le Centre international de déminage humanitaire (GICHD) à Genève à l’occasion de la 22e Conférence internationale de Mine Action réunissant plus de 300 responsables nationaux et onusiens au Palais des Nations jusqu’à vendredi, ce Britannique de 47 ans n’est pas du genre à s’apitoyer sur son sort. A l’ONU, mardi matin, équipé de ses deux prothèses, il lâchera devant un parterre plutôt rangé : « Si je n’avais plus été capable de faire de la photo, j’aurais préféré mourir en Afghanistan. »
« J’ai d’emblée perdu mes ressources financières, ma maison, ma fiancée, poursuit Giles Duley. J’ai vécu dans une petite chambre où même ma chaise roulante ne rentrait pas. Tout le monde voulait façonner ma vie future. A moi qui avais été un sportif (boxe et athlétisme), on m’avait dit, un an après l’Afghanistan, que j’allais pouvoir désormais m’intéresser aux Jeux paralympiques de Londres de 2012. » Une remarque offensante pour lui qui voit le handicap comme l’incapacité de faire ce que l’on veut faire.
« Or aujourd’hui, je fais ce que j’aime. Je suis un meilleur photographe qu’avant. » Dans son appartement de Hastings faisant face à la mer, ce Londonien s’en fait un point d’honneur : son appartement n’est pas aménagé spécialement pour lui. Il rappelle qu’il y a quelque temps, il posait vêtu de noir, avec les amputations visibles, sur un tronc blanc pour un autoportrait, prouvant qu’il acceptait son nouveau physique. « Au British Museum, explique-t-il, il y a bien des statues en partie abîmées qu’on continue de trouver belles. »
Pour la seule année 2018, Giles Duley, exemple de résilience, a voyagé dans 14 pays. Avec la photo comme raison d’être, de vivre. Pour documenter les horreurs réelles de la guerre : « Je ne suis pas un reporter de guerre. Je suis anti-guerre. Je ne photographie jamais des soldats au combat. » Son empathie pour les sujets qu’il photographie est décuplée. En 2015, le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) lui confie un mandat pour raconter la crise des migrants de Syrie en lui donnant pour seule directive : « Suis ton cœur. » Une manière de bien cerner le personnage.
A Lesbos, l’arrivée de migrants épuisés le touche profondément. Il le confesse au Temps : « Je n’ai pas que des blessures. Mes souffrances physiques et émotionnelles sont quotidiennes. Mais c’est précisément cela qui me connecte aux gens. » Giles Duley n’a plus la même palette de possibilités qu’auparavant. Mais il s’en accommode : « Les limites que je peux éprouver me forcent à davantage de créativité. » D’ailleurs, ajoute-t-il, « les meilleures photos ne sont pas celles qu’on prend, mais celles qu’on nous donne ».
Une vérité, pas la vérité
Quand, en 2014, il rencontre Khouloud dans un camp de réfugiés dans la vallée de la Bekaa au Liban, il est touché par cette Syrienne, atteinte par un sniper à la colonne vertébrale et alitée dans une tente de fortune depuis plusieurs mois. Un cliché la montre en compagnie de son mari, « une scène d’amour » davantage qu’une scène dramatique dans un camp de réfugiés, relève-t-il. Deux ans après sa première rencontre, il constate que Khouloud est toujours dans la même tente. La situation l’insupporte. Il lance une campagne de financement participatif pour lui venir en aide. Un jour, il recevra de Khouloud, médicalement traitée aux Pays-Bas, un message disant « Vous m’avez redonné ma vie. »
Giles Duley reste honnête. Ses photos ne représentent pas la réalité, mais une réalité qu’il a choisie. Préférant le noir et blanc, il aime utiliser un drap blanc comme seul arrière-fond pour effacer tout contexte : « Si je photographie une personne dans un camp de réfugiés, on va se limiter à la voir comme une réfugiée. Or elle est bien autre chose. Elle n’est pas née réfugiée. »
La puissance de l’esprit
Aujourd’hui directeur de sa fondation Legacy of War, Giles Duley estime être « l’homme le plus chanceux du monde » à voir les milliers de mutilés qui croupissent dans des conditions de vie inacceptables. Dans une interview avec Giles Duley, Melissa Fleming, directrice de la communication au HCR, le relève : « Au cours de toute ma vie, je n’ai jamais rencontré une personne aussi forte, ayant été si proche de la mort et capable de recourir à la puissance de son esprit et de sa volonté pour surmonter » l’adversité.
La vocation de Giles n’était toutefois pas une évidence. Des cinq frère et sœurs, il est le plus « difficile ». Les études ne le branchent pas, au contraire du sport. Il décroche une bourse d’études aux Etats-Unis pour la boxe, mais un accident de voiture met fin à ses espoirs. Il se lance dans la photo de groupes de rock (Oasis, Marilyn Manson, Lenny Kravitz, etc.) et de mode. Mais un jour, face à une jeune actrice en pleurs dans un hôtel londonien, il réalise que la photo de mode ne le rend plus heureux. Il abandonne, travaille dans un bar, cédant brièvement à la dépression et à l’alcool.
A 30 ans, une nouvelle vocation
Mais comme une bouée de sauvetage, il se souvient d’un cadeau laissé par son parrain à peine décédé quand il avait 18 ans : un appareil photo Olympus et Unreasonable Behaviour, l’ouvrage autobiographique de la légende de la photo Don McCullin. Les images du Vietnam et du Biafra le bouleversent. A 30 ans, il identifie sa nouvelle vocation : raconter par l’image l’histoire personnelle des victimes oubliées du cynisme humain à travers la planète. Pour leur donner la chance d’une nouvelle vie. Malgré les douleurs qui ne le lâchent jamais. Ou peut-être à cause d’elles.
▻https://www.letemps.ch/monde/giles-duley-survivre-mieux-photographier-victimes-guerre
#photographie #victimes_de_guerre #handicap #autonomie
ping @albertocampiphoto @philippe_de_jonckheere
A five-year photographic project exploring the long-term effects of conflict globally. Stories and images by Giles Duley.
Et des photos de #Lesbos, #Grèce.
Photos de 2016.
This is Europe, This is Now : Lesvos to Berlin, 2015 – Part 1
▻http://legacyofwar.com/2433-2
Et la deuxième partie :
Une #carte sur le #parcours_migratoire, probablement dessinée par des volontaires :
Et la barrière frontalière de l’#Evros :
Et #Fylakio :
Forgotten Images of the Vietnam War Made for the Americans Who Fought In It
▻https://www.nytimes.com/2018/08/30/lens/forgotten-images-vietnam-war.html
Mes articles préférés en ce moment : à quel point les vietnamiens admirent John McCain.
Juste pour... #monument rappelant la capture de #John_McCain durant la #guerre_du_Vietnam.
Vu à #Hanoï cet été :
Et une photo de McCain prisonnier dans le #musée de la #Prison_Hoa_Lo toujours à Hanoï (il faudra que je m’y mette à les ajouter à une compilation seenthis...) :
#Eternal_Harvest - USAF Bombing in Laos
Here we have a data visualization of the bombings. Between June 9, 1964, and April 26, 1973, the US carried out the largest bombing campaign, per capita, in history, in Laos. US forces dropped, on average, 1.3 million pounds of bombs a day. For 3,243 days. On a country of 2.5 million people.
This data was originally compiled by the US Department of Defense. This video shows missions from October 1965 through April, 1973.
This video shows most of the logged attack missions flown over Laos by the US Air Force, Navy and Marines. This does not include missions without target coordinates, non-attack missions, missions flown by other countries, or missions flown before October, 1965.
Le #livre :
Between 1964 and 1973, in an offshoot of the Vietnam War, the U.S. military dropped 4 billion pounds of explosives on Laos. Up to 30 percent of those bombs did not detonate, and they remain in the Laotian soil today as UXO—unexploded ordnance—contaminating more than one-third of surface area of the country. Tens of thousands of civilians have been killed and injured in UXO accidents since the war officially ended. 2014 marks 50 years since the first bombs fell. And still, more Laotians are hurt and killed.
Un film devrait sortir bientôt :
▻https://www.eternalharvestfilm.com
▻https://vimeo.com/254417679
US forces dropped, on average, 1.3 million pounds of bombs a day. For 3,243 days. On a country of 2.5 million people.
D’après mes calculs cela fait 758 kilogrammes de bombe par habitant.
#Vietnam 40 ans après la victoire contre les Américains — Impressions de voyage
▻http://www.larevuedesressources.org/vietnam-40-ans-apres-la-victoire-contre-les-americains-impress
Embarquement à Roissy, ce 21 août 2014, pour un voyage de quatre semaines au Vietnam. Atterrissage à Ho Chi Minh-Ville et correspondance vers Da Nang où nous attendent mes anciens camarades d’études en Pologne pour quelques jours de partage de souvenirs et d’excursions... Puis nous avons continué notre route vers le Nord, parcourant 2 500 kilomètres en train via Hue, Dong Hoi, Thanh Hoa, Ninh Binh, Ha Noi, Ha Giang, Dong Van, Hai Phong, et Ha Long, en profitant de séjours d’un à trois jours à (...)
/ Vietnam, #Ecologie, #Guerre_du_Vietnam, #Santé_Publique, Agent Orange (Monsanto & Dow Chemical), (...)
Vietnam war photography
#war #reportage #vietnam #viet_cong #laos #napalm #us_army #army #saigon #photograpy #photojournalism #documentary #'60s #'70s #asia
#Vietnam : après un homicide à la dioxine, un écocide aux #OGM
▻http://www.larevuedesressources.org/vietnam-apres-un-homicide-a-la-dioxine-un-ecocide-aux-ogm,2678
Des centaines de milliers de victimes de l’Agent Orange/Dioxine utilisé par l’armée américaine pendant la #Guerre_du_Vietnam, leurs familles et leur descendance, dont beaucoup survivent en marge de la société dans des conditions extrêmement difficiles, un peu plus de 50 ans après les premiers épandages, ont cruellement besoin d’aide ! L’Agent Orange est un herbicide dont la population vietnamienne, ainsi que les descendants de vétérans américains victimes des épandages aériens effectués de 1961 à 1971 (...)
/ Vietnam, #Mutation,_Métamorphose, #Crise_écologique, Guerre du Vietnam, #Ecologie, OGM, Agent Orange (Monsanto & Dow Chemical), (...)
Agent Orange/Dioxine, armes chimiques, herbicides, pesticides : Plus jamais ça !
▻http://www.larevuedesressources.org/agent-orange-dioxine-armes-chimiques-herbicides-pesticides-plu
J’étais écologiste, « comme tout le monde ». La protection de l’environnement et des populations m’est longtemps apparue, comme à la majorité des gens, un peu abstraite et ne faisait pas partie, hélas, jusqu’à ces dernières années, de mes priorités. Pourtant, je suis vietnamienne, et j’ai vécu pendant mon enfance les bombardements américains responsables de la dévastation de mon pays, semant la terreur, répandant le sang et favorisant la misère. Depuis la fin de la guerre, en Pologne où j’ai fait mes (...)
/ #Vietnam, #Pollution, #Guerre_du_Vietnam, Agent Orange (Monsanto & Dow Chemical), (...)
Drone et kamikaze, jeu de miroirs, par Grégoire Chamayou (avril 2013, en accès libre)
►http://www.monde-diplomatique.fr/2013/04/CHAMAYOU/49004
Le président des #Etats-Unis peut-il faire assassiner un citoyen de son pays ? Telle est la question que pose l’élimination par un drone, en septembre 2011, d’Anwar Al-Awlaki, un dirigeant américain d’Al-Qaida au Yémen. L’usage de ces engins sans pilote, qui bouleverse les règles de la guerre, ne suscite pas de rejet massif dans l’opinion en Occident, alors que les attentats-suicides apparaissent comme le sommet de la barbarie.
#2013/04 #Drones #Armée #Conflit #Armement #Terrorisme #Technologie #Impérialisme
Voir aussi :
« La guerre sera la paix »
►http://www.monde-diplomatique.fr/2013/04/A/49003
Ce texte, qui date de 1973, a été publié par de jeunes intellectuels américains engagés dans le mouvement contre la #guerre_du_Vietnam. Il clôt le #livre Théorie du drone.
Au Vietnam, une petite fille sur une photo... - Les blogs du Diplo
►http://blog.mondediplo.net/2013-05-27-Au-Vietnam-une-petite-fille-sur-une-photo
La petite fille sur cette photo légendaire prise par Nick Ut pendant la guerre du Vietnam n’aurait pas du survivre. Kim Phuc a eu 50 ans le 6 avril 2013 : elle vit avec sa famille au Canada.
#Vietnam #Guerre_du_Vietnam #Photographie
Au Vietnam, une petite fille sur une photo... - Les blogs du Diplo
►http://blog.mondediplo.net/2013-05-27-Au-Vietnam-une-petite-fille-sur-une-photo
Le 8 juin 1972, une attaque aérienne des forces américaines sur le village de Trang Bang a forcé Kim Phuc, deux de ses frères, son petit cousin et sa grand-mère à quitter le temple de Cao Dai où ils avaient trouvé refuge. Sur la route, tous furent touchés par une bombe au napalm.
Oui... Quelques autres images de Syrie et de Gaza aussi, et plus anciennement en Bosnie-Herzégovine...
J’ai rencontré un PhD candidate qui fait sa thèse sur l’analyse de ces images iconiques. Son travail est passionnant, et je voudrai raccrocher ses analyses à ces images, leur fonction, ce qu’elles ont changé, ou pas changé d’ailleurs, car ces atrocités continuent.
A raccrocher aussi à l’opération « 1 000 videocameras » de Btselem en cisjodanie qui permettaient aux palestiniens de filmer les incidents, humiliations, les abus au checkpoints ou n’importe où ailleurs en fait avec l’armée israélienne. Est-ce que la publication de ces centaines de petits films, témoignages accablants, a changé quelque chose ?
Voilà, ; par le biais de ce petit billet, un énorme champs d’exploration.
Une promesse d’insurrection | Marie-Noël Rio
►http://www.monde-diplomatique.fr/2012/04/RIO/47590
Dans la « Lettre à mon ignare et pacifique lecteur » qui ouvre son roman, Nanni Balestrini avertit : « Une œuvre authentique (livre, tableau, musique) sert à te faire voir autre chose, ou mieux à changer ta façon de voir, de percevoir les choses et le monde » afin, peut-être, de susciter le désir de le (...) / #Italie, #Vietnam, #Communisme, Guerre du Vietnam 1959-1975, #Idéologie, #Littérature, Mouvement de contestation, #Violence, #Marxisme, Extrême gauche - 2012/04
#Guerre_du_Vietnam_1959-1975 #Mouvement_de_contestation #Extrême_gauche #2012/04
Retrouvailles des Etats-Unis et du #Vietnam | Xavier Monthéard
►http://www.monde-diplomatique.fr/2011/06/MONTHEARD/20703
Hanoï a tourné la page de la guerre avec les Etats-Unis. Mieux, l’été dernier, des exercices militaires conjoints se déroulaient là où les premiers GI avaient débarqué… / #Chine, États-Unis (affaires extérieures), Vietnam, Commerce international, Guerre du Vietnam 1959-1975, Nucléaire civil, Relations (...) / Chine, États-Unis (affaires extérieures), Vietnam, Commerce international, Guerre du Vietnam 1959-1975, Nucléaire civil, Relations internationales, #Stratégie, #Diplomatie - 2011/06
#États-Unis_(affaires_extérieures) #Commerce_international #Guerre_du_Vietnam_1959-1975 #Nucléaire_civil #Relations_internationales #2011/06