Monolecte 😷🤬

Fauteuse de merde 🐘 @Monolecte@framapiaf.org

  • Les prénoms de la laïcité, ou comment cacher l’islamophobie – L’image sociale
    http://imagesociale.fr/10028

    Comme tout énoncé raciste, les images de la campagne s’appuient sur une forte dimension implicite. Derrière l’apparence d’un melting-pot souriant, que l’on pourrait lire comme un éloge de la diversité d’inspiration antiraciste, le mot-clé « laïcité » donne le mode d’emploi de l’organisation des signes. « Le sous-texte, c’est que la laïcité est faite pour corriger les défauts des élèves de culture et de confession musulmanes » explique Jean-Louis Bianco, ancien président de l’Observatoire de la laïcité, supprimé par le gouvernement pour sa fidélité à l’esprit de 1905. Un siècle plus tard, la laïcité suprémaciste suggère en effet d’interpréter les affiches en cherchant les marques d’une opposition basée sur l’appartenance ethno-culturelle.

    • La sociologie survole la situation, et oublie les chiffres.
      En effet, en France les immigré·es du Maghreb donnent des prénoms de chez eux (c’est leur droit absolu), et sont, majoritairement musulmans.
      La laïcité parlant exclusivement de la religion, il est normal que l’égalité ne soit pas évoquée.
      Ni celle femme-homme, ni les autres.
      Elle est sous-entendue, puisqu’on y voit des femmes en situation égale avec d’autres.
      Allez y voir de l’"islamophobie" (terme inventé par les religieux musulmans islamistes, extrêmes, pour récupérer un terme similaire à homophobie, pour se poser en victime) c’est encore et toujours pleurnicher pour de pauvres victimes qui, depuis trois générations, se sont intégrées, pour ceux qui le voulaient, il n’y a qu’à voir ces prénoms, et noms partout dans la société, et c’est tant mieux.
      Il n’y a qu’à parler avec eux de leur ennuis à se voir stigmatiser, alors qu’ils ne veulent rien, rien d’autre que de poursuivre leur chemin.
      Se faire le relais de ceux qui pleurnichent, et ne font rien en fin de compte, et surtout pas aider ceux qui sont dans la merde, c’est fatigant, très fatigant, pour les autres.

    • Ça a déjà été référencé 8 fois sur seenthis ; mais quand ça veut pas, ça veut pas.

      « Islamophobie », un mot, un mal plus que centenaires
      https://orientxxi.info/magazine/islamophobie-un-mot-un-mal-plus-que-centenaires,1155

      La première utilisation du mot retrouvée date de 1910. Elle figure sous la plume d’un certain Alain Quellien, aujourd’hui oublié. Il proposait une définition d’une surprenante modernité :

      L’islamophobie : il y a toujours eu, et il y a encore, un préjugé contre l’islam répandu chez les peuples de civilisation occidentale et chrétienne. Pour d’aucuns, le musulman est l’ennemi naturel et irréconciliable du chrétien et de l’Européen, l’islamisme2 est la négation de la civilisation, et la barbarie, la mauvaise foi et la cruauté sont tout ce qu’on peut attendre de mieux des mahométans.

      La politique musulmane dans l’Afrique occidentale française, Paris, Émile Larose.