person:olivier schrameck

  • Lancement sous vigilance de la chaîne russe RT en France
    http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2017/12/18/lancement-sous-vigilance-de-la-chaine-russe-rt-en-france_5231583_3236.html

    Revue de presse...

    Le Monde : Lancement sous vigilance [il y a donc danger] de la chaîne russe RT en France

    20 minutes : VIDEO. La chaîne russe RT se lance en français dans la méfiance générale. [puisqu’on vous le disait]

    Pour Le Parisien, c’est la photo qui parle :

    RT, la nouvelle chaîne française financée par le Kremlin : ça c’est France Inter

    Télé Loisir est plus soft au début, mais finit très fort : "Dépendant directement du Kremlin, le site a été plusieurs fois accusé d’interférer dans les élections présidentielles françaises en relayant des « fake news ». Le Président de la République, Emmanuel Macron, avait même déclaré devant Vladimir Poutine, lors de sa visite en France, que RT était un « organe de propagande ». Si ses dirigeants se défendent de la moindre ingérence du Kremlin, le président du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), Olivier Schrameck, a prévenu que l’instance « observerait attentivement » la nouvelle venue du Paf.

    C’est aussi la technique Ouest France, qui a le bon goût d’en faire un encart : Un bras droit du Kremlin ?
    Russia Today est régulièrement accusée de servir la propagande de Vladimir Poutine. « C’est une chaîne qui, d’une certaine manière, développe bien davantage un discours négatif et relativiste sur les pays occidentaux qu’un discours positif sur la Russie, susceptible de renforcer son potentiel d’attractivité », explique dans L’Express Maxime Audinet, doctorant spécialisé de la politique d’influence russe. RT « n’a rien à voir avec un média traditionnel (…) C’est un véritable canal diplomatique », estime également le correspondant à Paris du quotidien russe Kommersant, Alexeï Tarkhanov, auprès de Courrier international. Des analyses fermement rejetées par la présidente de RT France : « Que la chaîne ait été financée par l’État ne veut pas dire qu’elle est une chaîne de propagande (…) Les décisions éditoriales sont prises par les journalistes en interne, en fonction du planning et de l’actualité. » De son côté, le CSA a assuré qu’il observera « constamment » les programmes de la chaîne et agira avec « promptitude » en cas d’"anomalies".

    #monocorde

    • (RT Bashing) L’angoisse de nos médias face à la perte de leur monopole de la propagande
      https://www.les-crises.fr/rt-bashing-l-angoisse-de-nos-medias-face-a-la-perte-de-leur-monopole-de-l

      Magazine Elle : lady famatrice !

      Comme à chaque fois que j’essaie de mettre en lumière les méthodes peu éthiques des journalistes, je me vois accuser de soutenir un camp au détriment de l’autre. C’est bien évidement une facilité de pensée, une forme de manichéisme nuisible au débat et à la réflexion.

      Je précise donc en des termes clairs et non équivoques que je ne cherche pas à défendre RT France, qui ne bénéficiera pour moi d’aucun traitement de faveur dans mon modeste exercice de critique des médias.
      Pour l’heure, je n’ai vu qu’un seul de leur JT, plutôt de qualité, qui affichait une ligne éditoriale propre à RT (tout comme France 24 ou CNN ont la leur).

      J’ai simplement des principes, tels que ne pas accuser sans preuve, ne pas encourager la paranoïa et la peur, éviter le deux poids deux mesures. Et ces principes, j’essaie de les appliquer au mieux quelles que soient les circonstances…

  • Reportage de France 2 sur le bar PMU de #Sevran : un sénateur saisit le #CSA | Bondy Blog
    http://www.bondyblog.fr/201704071225/reportage-de-france-2-sur-le-bar-pmu-de-sevran-un-senateur-saisit-le-csa

    Yannick Vaugrenard, sénateur de Loire-Atlantique, a adressé le 30 mars au président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel, Olivier Schrameck, un courrier lui demandant de se saisir du dossier du reportage de France 2 sur Sevran

    Suite de l’affaire de la manipulation islamophobe de France2 sur le bar PMU
    #islamophobie #racisme #93 #medias #France2

  • « Ennemi de la nation » : ma lettre au CSA Le Club de Mediapart - 19 déc. 2016 - Par Edwy Plenel
    https://blogs.mediapart.fr/edwy-plenel/blog/191216/ennemi-de-la-nation-ma-lettre-au-csa

    Samedi 17 décembre, j’ai été qualifié d’« ennemi de la nation » sur La Chaîne Parlementaire (LCP) par un intervenant, Frédéric Encel, qui répondait à l’invitation d’un journaliste de cette chaîne publique d’information de l’Assemblée nationale de nommer les « ennemis de l’intérieur ». J’ai saisi le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) de cette incitation à la haine et à la violence qui visait aussi les universitaires Alain Badiou et Pascal Boniface. Voici ma lettre à son président, Olivier Schrameck.

    Monsieur le président du Conseil supérieur de l’audiovisuel, cher Olivier Schrameck,

    En tant que simple citoyen et journaliste professionnel, directeur de publication du journal en ligne Mediapart, je saisis par la présente l’instance de régulation que vous présidez.

    Samedi 17 décembre 2016, sur la chaîne d’information publique de l’Assemblée nationale, La Chaîne Parlementaire (LCP), dans l’émission « Entre les lignes » diffusée à 12 heures, puis rediffusée à 19 heures, j’ai été qualifié d’ « ennemi de la nation » par l’un des invités, Frédéric Encel, avec l’approbation de l’animateur, Frédéric Haziza, lequel a même suggéré cette formulation en évoquant, dans sa question, des « ennemis de l’intérieur ».

    Cette incitation à la haine visait aussi deux universitaires renommés, le philosophe Alain Badiou et le géopolitologue Pascal Boniface.

    Elle a été, de plus, diffusée largement sur les réseaux sociaux sur le compte Twitter officiel de la chaîne @LCP, sous forme de teaser de l’émission, à 8h52 le même samedi 17 décembre, soit trois heures avant sa diffusion, dans la formulation suivante, accompagnée d’un extrait vidéo : « - @FredericEncel : “@edwyplenel, Alain Badiou et @PascalBoniface sont des ennemis de la nation” #ELL ».

    . . . . . . . .
    #LCP #députés #elus #appel_au_meutre

  • Numéro 23 : Un plan presque parfait
    http://teleobs.nouvelobs.com/actualites/20151027.OBS8388/numero-23-une-etrange-affaire.html

    Comment ne tomberait-il pas des nues ? Pendant des mois, le CSA s’est comporté, à son égard, en papa gâteau. Et le voilà qui se transforme, sans crier gare, en père Fouettard. Si le procès d’Houzelot a été abondamment instruit, il a épargné tous ceux qui, pendant des lustres, par complaisance, indulgence, voire incompétence, lui ont fait la courte échelle.

    Surtout, Pascal Houzelot a la fibre conviviale : il organise des avant-premières dans une salle de cinéma décorée par Jacques Garcia, reçoit dans son duplex du boulevard Henri IV, avec vue sur la Seine et le Panthéon, une société œcuménique et connivente pour des dîners, en petit comité, c’est le secret.

    Son compas s’est depuis longtemps ouvert vers la gauche, avec laquelle il a plus d’affinités sur les questions sociétales. Se croisent, chez lui, Alexandre Bompard (Fnac), Stéphane Richard (Orange), Xavier Niel (Free), les ministres Fleur Pellerin, Emmanuel Macron, Manuel Valls, et aussi Marc-Olivier Fogiel, Bertrand Meheut, Bertrand Delanoë, Anne Hidalgo et, depuis peu, Alain Weill, entre autres. Sans oublier, mais oui, Michel Boyon, puis Olivier Schrameck, gendarmes de l’audiovisuel le jour et, parfois, hôtes d’Houzelot, le temps d’une soirée.

  • Présidence de France Télévisions : la justice va être saisie
    https://www.mediapart.fr/journal/france/250515/france-televisions-la-justice-va-etre-saisie-du-scandale-ernotte

    À l’origine de la procédure qui a permis de mettre au jour la partie France Télévisions du scandale Bygmalion, Jean-Jacques Cordival, responsable du SNPCA-CGC, a indiqué à Mediapart qu’il engageait « un recours judiciaire visant à contester les invraisemblables conditions de “sélection” concernant la présidence de France Télévisions ». L’affaire devient de plus en plus embarrassante pour le #CSA.

    Depuis que Mediapart a révélé le 16 mai dernier (lire #France_Télévisions : la désignation de la PDG entachée d’irrégularités) que la désignation par le Conseil supérieur de l’#audiovisuel (CSA) de Delphine Ernotte à la présidence de France Télévisions a été entachée de plusieurs irrégularités (manquement aux règles d’équité de la part d’un membre du CSA, plagiat du projet d’un candidat rival…), la question est sur toutes les lèvres et tétanise le CSA lui-même : l’affaire va-t-elle être portée devant la justice ?

    Maintenant, on connaît la réponse : la justice sera effectivement saisie. Mais celui qui a décidé de déposer une plainte auprès du procureur de la République n’est pas celui que l’on attendait, en l’occurrence l’un des candidats éconduits, Didier Quillot, l’ancien patron d’Orange-France puis de Lagardère Active. Pour l’heure, ce dernier réserve sa décision. Mais le plaignant est une personnalité tout aussi déterminée : il s’agit de Jean-Jacques Cordival, le responsable CGC du Syndicat national des personnels de la communication et de l’audiovisuel (SNPCA-CGC), un syndicat très pugnace qui est déjà à l’origine de la plainte ayant conduit à la mise au jour du scandale Bygmalion, dans son volet qui concerne France Télévisions.

    Dans un article récent, le site Atlantico a en effet révélé (l’article est ici) que le Syndicat des personnels de la communication et de l’audiovisuel (SNPCA-CGC), présidé par Jean-Jacques Cordival, avait chargé ses avocats d’étudier les motifs pour lesquels il pourrait déposer plainte auprès du procureur de la République de Paris. Interrogé par Mediapart, Jean-Jacques Cordival nous a confirmé que telle était bien son intention : « Le SNPCA-CGC, à l’origine de la plainte instruite par le juge Renaud Van Ruymbeke dans le volet France Télévisions de l’affaire Bygmalion, a très officiellement donné mandat au cabinet d’avocats qui représente le syndicat dans cette procédure, en l’occurrence maître Maria Cornaz et maître Pierre-Olivier Lambert, afin de saisir la justice pour, cette fois-ci, un recours judiciaire visant à contester les invraisemblables conditions de “sélection” concernant la présidence de France Télévisions. »

    Jean-Jacques Cordival a confirmé à Mediapart « son intention d’aller jusqu’au bout ». Il nous a indiqué avoir « d’ores et déjà transmis à ses avocats l’enquête de 12 pages de Mediapart à ce sujet mais aussi le dossier de sept pages diffusé ce week-end de Pentecôte par "Le M du Monde" [elle est ici – ndlr], tout comme l’article du site Atlantico de ce dimanche 26 mai qui révèle notamment la rencontre avec Marc Chauvelot de l’un des responsables de la CGT France Télévisions et le soutien de son syndicat à Delphine Ernotte ».

    Le SNPCA-CGC et Jean-Jacques Cordival, qui « comme de nombreux parlementaires souhaite la création d’une commission d’enquête, estiment que la coupe est pleine et que les dernières gouttes d’eau ont fini par la faire déborder ». Ils rappellent « aussi et surtout, que "le CSA qui dispose d’une personnalité morale distincte de celle de l’État, désormais responsable sur le plan juridique de toutes ses décisions... doit répondre de ses actes. La loi en effet impose, tout au long du texte, une "obligation d’impartialité" (le mot y est une dizaine de fois inscrit) à ses membres. Pour le syndicat, violer ce principe doit entraîner la révocation de ou des membres défaillants et la nullité de toute procédure de désignation qui ne respecte pas ce principe et encore moins celui de la parfaite égalité de traitement entre tous ».

    Pour le CSA, cette plainte, quelles que soient ses suites, risque donc d’avoir des conséquences terriblement embarrassantes pour une cascade de raisons. Primo, le syndicat est effectivement celui qui est déjà à l’origine de la révélation de tout le volet France Télévisions du scandale Bygmalion. Jean-Jacques Cordival s’en glorifie non sans raison : « Le Syndicat national des personnels de la communication et de l’audiovisuel dans ce dossier a déjà obtenu quatre mises en examen, dont celle de l’ancien PDG de France Télévisions Patrick de Carolis, celle de Camille Pascal, ex-secrétaire général du groupe public, également conseiller et plume de Nicolas Sarkozy, et celles de Bastien Millot et de Bygmalion, la société qu’il créait avec Guy Alvès, mais aussi le placement sous statut de témoin assisté de trois dirigeants, l’actuel et toujours PDG Rémy Pflimlin, Martin Ajdari, ex-financier de France Télé qui vient d’être nommé patron de la DGMIC (organe de contrôle des sociétés de l’audiovisuel public dépendant du ministère de Fleur Pellerin), Damien Cuier, ex-financier, lui aussi du groupe. »

    Deuzio, on ne peut plus exclure que cette plainte soit suivie par d’autres. Car beaucoup de candidats évincés ont été légitimement choqués par l’opacité qui a entouré la procédure de désignation de Delphine Ernotte à la présidence de France Télévisions. Et sous couvert du secret, plusieurs membres du CSA se disent eux-mêmes meurtris par les intrigues et les chausse-trapes qui ont accompagné cette désignation. Pour l’heure, ces membres du CSA sont astreints à une obligation de respect des règles de confidentialité et s’exposeraient à des poursuites pénales s’ils les enfreignaient – Olivier Schrameck, le président du CSA, n’a pas manqué de le leur rappeler. Mais si une information judiciaire était ouverte – ou alors si une commission d’enquête parlementaire pouvait être constituée –, les témoignages de certains membres du CSA seraient ravageurs. Mediapart, qui a recueilli plusieurs témoignages, est en mesure de l’assurer.

    Dans l’immédiat, le gouvernement fait donc mine de croire que tout s’est passé de manière normale et a rejeté la demande de commission d’enquête parlementaire demandée par l’UMP (lire France Télévisions : la désignation de la PDG fait des vagues). Lors des questions d’actualité au gouvernement, mercredi 20 mai, le député Thierry Solère (UMP – Hauts-de-Seine) a ainsi interpellé la ministre de la culture et de la communication, Fleur Pellerin, sur la mascarade qui a conduit à cette nomination, mais la ministre a joué de la langue de bois et a applaudi la désignation de Delphine Ernotte, « une professionnelle reconnue de tous ». Sauf des professionnels de la télévision, où elle n’a pas la moindre expérience…

    https://www.dailymotion.com/video/x2qtyzb_france-televisions-thierry-solere-ump-denonce-l-opacite-de-la-p

    La fin de non-recevoir opposée par la ministre risque pourtant de ne pas mettre fin au scandale. Elle risque même de l’attiser encore un peu plus. Car, depuis que Mediapart a révélé les intrigues et irrégularités qui ont accompagné cette désignation, l’affaire ne cesse effectivement de faire des vagues de plus en plus violentes. D’abord, la presse, au début atone, a commencé à prendre la mesure de ce qui s’est joué, comme en témoigne l’enquête publiée par le magazine du Monde que nous évoquions tout à l’heure, sous le titre ravageur « Mauvaises ondes au CSA ». Mais beaucoup d’autres journaux sont désormais à l’unisson, reproduisant une dépêche AFP. Cette dépêche, on peut par exemple la consulter sur le site de L’Express, sous ce titre tout aussi ravageur : « France Télévisions : le CSA les doigts dans la crise ».

    Même si le gouvernement s’enferme dans le déni, l’affaire Ernotte risque de fonctionner comme une bombe à mèche lente. Et de jour en jour, elle risque d’empoisonner un peu plus le débat public.

    On va ainsi en reparler dès mardi puisque, à défaut d’une commission d’enquête parlementaire, l’UMP a au moins obtenu que le président du CSA, Olivier Schrameck, soit auditionné dès ce mardi par la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale. Mais on peut craindre dès à présent, sans grand risque de se tromper, que le rendez-vous ne se passe mal puisque, à chaque interpellation embarrassante, le président du CSA pourra se réfugier derrière le secret des délibérations instaurée par la loi. En clair, le huis clos, qui a si fortement favorisé les intrigues lors de cette procédure de nomination, générera une nouvelle onde de choc pour les députés, qui seront dans l’incapacité d’y voir clair dans cette obscure affaire.

    Dans l’immédiat, l’heure des intrigues et des jeux d’influence n’est donc toujours par révolue. Preuve décidément que la France est décidément encore bien loin de disposer d’une télévision publique libre et indépendante.

  • Mauvaises ondes au #CSA
    http://lemonde.fr/m-le-mag/article/2015/05/22/mauvaises-ondes-au-csa_4638312_4500055.html

    L’intrigant couronnement de Delphine Ernotte a même achevé de mettre le feu au collège du CSA, désormais scindé en deux camps. Par exemple, ce SMS reçu pendant la sieste, samedi 9 mai, à 15 h 14 : « En tout cas (et même si je choisis le silence), c’est utile que la presse continue de se poser des questions sur ce qui s’est passé. » Envoyé, de façon fort sympathique et fort anonyme, par l’un des huit conseillers du CSA dont on ne peut raisonnablement pas dévoiler l’identité car Olivier Schrameck a été limpide, au moins sur un point : il les a prévenus que si l’un d’eux est identifié comme ayant fait fuiter des infos sur les conditions de nomination de Delphine Ernotte, il saisira le parquet de Paris à des fins de poursuites judiciaires. Est-il, dès lors, peu galant de contredire Frédérique Bayre, conseillère en communication auprès d’Olivier Schrameck, quand elle qualifie l’ambiance actuelle de « très détendue » ?

    Le générique de fin est à lire sur le blog de Catherine Tasca, sénatrice et ancienne ministre de la culture et de la communication (2000-2002) : « Saura-t-on un jour pourquoi de brillants conseillers de l’ombre ont engagé toutes leurs forces et leurs réseaux dans cette campagne souterraine ? » Au téléphone, celle que le président Mitterrand surnommait « la lame » avait un peu de rab : « Ce qui me frappe le plus, c’est que la mission de France Télé n’a pas pesé dans le choix final. Il n’y a pas de vision. Delphine Ernotte est sûrement compétente sur le plan managérial mais on ne s’improvise pas pilote d’un tel paquebot (10 000 ­salariés, 2,7 milliards d’euros de budget) avec des enjeux culturels de cette importance. Je sais qu’il y a eu des tractations. On nomme des gens parce qu’ils ont des réseaux mais on ne se pose pas la question de la compétence. Il y a un patron du CSA qui manœuvre et qui semble avoir assez peu de considérations pour les autres conseillers, qui doivent suivre. Je me suis intéressée à la nomination de Mathieu Gallet. L’unanimité affichée par le collège est fausse. Il a fallu ­revoter. Olivier Schrameck a recommencé avec Ernotte. »

    Cet article est hallucinant. #entre_soi #technocratie #audiovisuel_public (cc @sparf)

    France Télévisions : la justice va être saisie du scandale Ernotte | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/france/250515/france-televisions-la-justice-va-etre-saisie-du-scandale-ernotte

    À l’origine de la procédure qui a permis de mettre au jour la partie France Télévisions du scandale Bygmalion, Jean-Jacques Cordival, responsable du SNPCA-CGC, a indiqué à Mediapart qu’il engageait « un recours judiciaire visant à contester les invraisemblables conditions de “sélection” concernant la présidence de France Télévisions ». L’affaire devient de plus en plus embarrassante pour le CSA.

  • Olivier Schrameck : par le pouvoir du #CSA ancestral - Libération
    http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2013/10/02/olivier-schrameck-par-le-pouvoir-du-csa-ancestral_936598

    L’Elysée ne nommera plus qu’un seul conseiller du CSA - son président, faut pas déconner non plus - contre trois aujourd’hui. Les six autres membres, s’ils seront toujours choisis par les présidents de l’Assemblée et du Sénat, devront tout de même en passer par les commissions des affaires culturelles des deux chambres et surtout obtenir leur assentiment aux trois cinquièmes. C’est-à-dire décrocher un consensus gauche-droite. Le tout premier concerné par la nouvelle procédure, c’est le président de #Radio_France, Jean-Luc Hees. Et beaucoup plus tôt qu’il ne le pensait : le Sénat a décidé que son successeur (ou lui-même, Hees se gardant bien, pour l’instant, de sortir du bois) devrait être nommé trois à quatre mois avant la fin de son mandat, prévue pour mai 2014. Début des hostilités donc : tout de suite.

    #audiovisuel

    Cf. http://seenthis.net/messages/179473

  • Le transfert de la riposte graduée au #CSA s’accélère
    http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/09/10/le-transfert-de-la-riposte-graduee-au-csa-s-accelere_3475328_651865.html

    « Le rapport Lescure proposait de transférer la commission de protection des droits (CPD) [en charge de la riposte graduée] de l’#Hadopi vers le CSA », a rappelé Aurélie Filippetti. « Le gouvernement a arbitré favorablement sur ces préconisations du rapport Lescure et l’arbitrage rendu est celui qui va dans le sens que vous soulignez », a-t-elle ajouté en direction du sénateur (PS) de Paris David Assouline, qui entend déposer très prochainement un amendement proposant ce transfert.

    Et, avec les déclarations de O. Schrameck, ça ne sera pas pour rigoler…

    De son côté, Olivier Schrameck, président du CSA, également auditionné mardi, a déploré une « modification des comportements des utilisateurs qui semble se traduire par une extension massive du piratage ». M. Schrameck s’est appuyé sur ce constat pour souhaiter une évolution rapide concernant la Hadopi.

  • Régulation, redevance TV sur PC, Hadopi... Le CSA, c’est comme ça
    http://www.pcinpact.com/breve/81123-regulation-redevance-tv-sur-pc-hadopi-le-csa-cest-comme-ca.htm

    Lors de la Journée de la création TV, Olivier Schrameck a réaffirmé la volonté du CSA de faire contribuer d’une manière ou d’une autre les acteurs du Net au financement de la création. Sur France Culture, celui-ci se dit favorable à une extension de la redevance aux PC et tablettes, tout en expliquant sa volonté de réguler Internet.Rédigé par Marc Rees

    Sérieuse mise au point par PC Inpact. Rien à ajouter.

    #www.pcinpact.com