person:nathalie goulet

  • #Fraude aux #prestations_sociales : un rapport du Sénat tord le cou aux #idées_reçues | Public Senat
    https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/fraude-aux-prestations-sociales-un-rapport-du-senat-tord-le-cou-aux-idee

    La fraude documentaire aux prestations sociales entraînerait chaque année pour l’État un préjudice de 200 à 300 millions d’euros. C’est ce qui ressort d’un rapport du Sénat remis ce mercredi. L’année dernière, un magistrat spécialisé, l’évaluait pourtant à 14 milliards par an. « Une extrapolation un peu abusive » selon le sénateur MoDem, Jean-Marie Vanlerenberghe.

    #sécurité_sociale #immatriculation #étrangers

  • Le discret voyage de six parlementaires français au Yémen - Le Point
    http://www.lepoint.fr/politique/le-discret-voyage-de-six-parlementaires-francais-au-yemen-30-05-2018-2222748

    Au palais du Luxembourg, il avait été demandé à la direction des relations internationales de garder le secret, et de ne surtout rien publier sur le site du Sénat concernant le déplacement au Yémen de cinq membres de la haute assemblée, accompagnés d’un député. Ce minuscule pays, le plus pauvre des pays du golfe Persique, est en proie depuis 2014 à une guerre civile qui a déjà fait plus de 10 000 morts, dont de nombreux civils. À l’agenda du Sénat comme à celui de l’Assemblée ne figurait qu’un « déplacement en Arabie saoudite ». De la même façon, sur le compte Twitter de l’ambassade de France à Riyad, un message relativement elliptique mentionnait simplement « la visite d’une délégation parlementaire française de six députés menée par Mme Nathalie Goulet ».

    C’est un post sur le compte Facebook du sénateur Hervé Maurey daté du 28 mai qui, le premier, fait mention de cette escapade diplomatico-humanitaire à laquelle participaient également Michel Amiel (président du groupe France Yémen au Sénat, LREM), Fabien Gouttefarde (président du groupe d’amitié France-Yémen à l’Assemblée, LREM), André Reichardt, sénateur LR du Bas-Rhin, et Xavier Iacovelli, sénateur PS des Hauts-de-Seine. « Durant vingt-quatre heures, mes collègues et moi sommes allés au Yémen avec l’ambassadeur de France actuellement réfugié à Riyad. Aucune délégation de parlementaires ne s’était rendue dans ce pays depuis qu’il est en guerre. (…) Nous avons pu visiter un hôpital qui accueille des blessés amputés par des mines antipersonnel, des camps de réfugiés, mais aussi rencontrer des enfants enrôlés dans des milices houthis, les autorités locales et militaires. Quelques heures d’émotions et d’enseignements sous haute protection », écrit l’élu centriste de l’Eure.

    Les parlementaires français répondaient à l’invitation de la coalition d’une dizaine de pays arabes dirigée par l’Arabie saoudite, coalition qui a organisé et financé leur voyage. Cette force régionale, qui intervient au Yémen depuis 2015, combat sur place les Houthis soutenus par l’Iran. « Nous sommes, certes, passés par le territoire saoudien, mais uniquement pour prendre un avion militaire de la coalition et nous rendre à Marib, ville du centre du Yémen, qui était l’objectif du voyage. Nous n’avons pas eu de rendez-vous avec les autorités saoudiennes », assure la sénatrice centriste Nathalie Goulet, à l’origine du déplacement. Une version contredite par le compte Twitter de l’ambassade de France à Riyad, annonçant que « la délégation aura de nombreuses réunions pendant sa présence dans le royaume ».

    « Jouer sur deux tableaux »

    Président du groupe d’amitié France-Yémen à l’assemblée, le député LREM Fabien Gouttefarde ne voit pas matière à polémique : « Nous avons eu l’opportunité de voir une partie de la réalité de ce conflit, invités et accompagnés par la coalition. Je ne pensais pas avoir cette possibilité avant de nombreuses années, tant la situation sur le terrain est tendue. » Et d’évoquer un tir de roquette sur une zone résidentielle de Marib quelques jours avant leur passage.

    Quid du message envoyé à l’Iran, soutien des houthis, ces rebelles chiites que veut écraser la coalition ? « Je pense que l’on peut, comme le fait d’ailleurs l’Élysée, jouer sur les deux tableaux en parallèle. D’un côté, être favorables à l’accord sur le nucléaire avec l’Iran ; de l’autre, trouver un moyen pour que le conflit yéménite baisse d’intensité. » L’élu, également membre du groupe d’étude Action humanitaire, entend d’ailleurs attirer l’attention sur le fait que, dans la région visitée, l’action humanitaire passe essentiellement par des relais saoudiens, sans possibilité pour l’ONU ou les ONG françaises d’intervenir. « Nous ne sommes pas là pour faire la publicité ou être les idiots utiles de l’Arabie saoudite. »
    « Je ne suis pas allée serrer la main de Bachar el-Assad »

    Plus virulente, Nathalie Goulet s’agace : « Je ne suis pas allée serrer la main de Bachar el-Assad, ni en Crimée ni dans le Donbass (deux régions que se disputent la Russie et l’Ukraine, NDLR). Tout s’est organisé en accord avec le Quai d’Orsay pour préparer la grande conférence humanitaire sur le Yémen voulue par le président Macron. » Et par le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, omet-elle de préciser.

    Contacté par LePoint.fr, le ministère des Affaires étrangères n’a pas souhaité faire de commentaire sur ce déplacement qui concerne « des parlementaires », et donc les assemblées.

    #yémen

  • Trouvé sur un réseau social pariétal :

    Entendu ce matin à la radio dans la bouche de Nathalie Goulet, sénatrice centriste spécialiste des questions de sécurité et de terrorisme :

    « Sur 25.000 fichés S, à peine la moitié sont des islamistes. Le reste ce sont des anarchistes, des gauchistes ou des syndicalistes ! »

    J’ai raté le moment où la France est devenue un état policier ?!?

    C’est moi, ou on confirme que les fascistes, ça va ?

  • Cet article derrière paywall ayant suscité ma curiosité :
    http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/09/23/ces-senateurs-globe-trotteurs-aux-frais-des-entreprises-et-des-etats_5190256
    j’ai cherché un peu la source :
    Invitations déclarées par des membres du Sénat effectuant des déplacements financés par des organismes extérieurs (à compter du 1
    er octobre 2014)

    https://www.senat.fr/fileadmin/Fichiers/Images/sgp/Liste2014-2016_en_ligne.pdf

    • J’ai parlé trop vite… En fait, pas si bien que ça.
      Le copier ne prend pas tout, Aperçu se met à ramer et l’arrivée dans Excel s’est interrompue :-(

      Il y a certainement des caractères spéciaux qui perturbent le flux, sans parler (pour après) le bazar des cellules fusionnées !

      D’où, deuxième angle d’attaque, je vais tenter un passage préalable par un éditeur de texte. Mais, plus tard, parce que ça risque d’être chronophage et que je suis pris ce soir…

    • Depuis octobre 2014, 91 élus ont bénéficié de voyages à l’étranger financés par des organismes extérieurs.

      C’est une liste en forme d’inventaire à la Prévert, discrètement publiée sur le site du Sénat : des régimes autoritaires, riches en hydrocarbures, comme l’Azerbaïdjan ou le Qatar, y côtoient la SNCF ou Eco-Emballages, une entreprise privée chargée de recueillir pour les collectivités les financements nécessaires au recyclage. Le point commun de toutes ces entités ? Elles ont invité à plusieurs reprises des sénateurs en « voyages d’études » à l’étranger.

      Depuis le 1er octobre 2014, pas moins de 91 d’entre eux (le quart) ont bénéficié de ces voyages, au demeurant tout à fait légaux. Quatre sénateurs se distinguent : Jean-Marie Bockel, Nathalie Goulet, Yves Pozzo di Borgo, Union des démocrates et indépendants (UDI), élus respectivement du Haut-Rhin, de l’Orne et de Paris, ainsi que Jean-Pierre Raffarin, Les Républicains, élu de la Vienne. A eux quatre, ils ont effectué plus d’un déplacement offert sur quatre.

      Diplomatie parlementaire ou lobbying, le grand flou

      « Impossible de faire de la diplomatie parlementaire le cul devant la télé à regarder “Ushuaia” », assure au Monde la vice-présidente de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées au Sénat, Nathalie Goulet (dix-huit voyages offerts à son actif depuis le 1er octobre 2014).

      Représenter la France auprès des parlements étrangers fait partie des prérogatives des sénateurs. L’Assemblée dispose de groupes d’amitié, qui permettent d’organiser, de financer et surtout d’encadrer ce type de voyages. Leur règlement insiste sur le respect du « principe d’indépendance à l’égard de toute puissance étrangère », mais aussi sur le caractère très ponctuel que doivent prendre ces visites à l’étranger :

      « Un sénateur ne peut pas effectuer plus de deux déplacements par an au titre des groupes d’amitié, dont un seul hors du territoire européen. »
      Insuffisant pour certains, qui acceptent donc, en sus, les invitations d’organismes extérieurs. Mme Goulet, présidente du groupe d’amitié France-pays du Golfe, s’est ainsi rendue cinq fois dans cette région depuis octobre 2014, en plus des voyages parlementaires organisés par son groupe.

      Des excursions, explique-t-elle, principalement à l’invitation des pouvoirs en place, notamment pour « aider à nouer des contacts entre les pays du Golfe et Tracfin », le service de renseignement rattaché au ministère des finances, chargé de la lutte contre les circuits financiers clandestins et le blanchiment d’argent :

      « Je ne vois pas comment on peut avancer si on ne rencontre pas les autorités locales. Comme le Sénat n’a plus de budget pour les voyages officiels, on est obligés d’accepter les invitations. »
      La mission des parlementaires peut aussi être d’ordre commercial. Pour aider à la signature de contrats. « Dans les pays où la politique importe, la SNCF se fait toujours accompagner. Leurs interlocuteurs apprécient la présence d’officiels et les retours d’expérience qu’ils peuvent leur apporter », explique Jean-Marie Bockel, vingt voyages depuis octobre 2014, dont deux avec la SNCF en Iran et à Singapour.

      Entreprises publiques et organismes parapublics qui invitent régulièrement les sénateurs en voyages d’étude

      Nombre de voyages individuels payés aux sénateurs depuis septembre 2014. Passez la souris sur les barres pour en savoir plus sur les organismes invitant.
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      Compagnie européenned’intelligence stratégique
      SNCF
      Eco-Emballages
      Fondation Prospective etInnovation
      Elnet Dialogue stratégiqueFrance Israël (ex-aequo)
      Fondation russe pour la paix (ex aequo)
      SOURCE : SÉNAT, LE MONDE
      Autre enjeu de ces voyages sénatoriaux : « Explorer des relations un peu tendues » avec des pays pas toujours en odeur de sainteté auprès du Quai d’Orsay, explique le constitutionnaliste Didier Maus.

      « Les sénateurs ont un double statut à l’étranger, à la fois officiel et officieux. Ils représentent la France, mais les discussions qu’ils ont avec les responsables du pays d’accueil sont différentes, moins engageantes, que celles que ces derniers ont avec les diplomates ou l’exécutif français. »
      C’est la stratégie employée par Taïwan, qui n’a pas de relation diplomatique officielle avec la France, qui a organisé, depuis octobre 2014, douze voyages pour des sénateurs français, dont M. Bockel. « Nous espérons que Taïwan soit mieux connu et soutenu », explique-t-on au sein du bureau de représentation en France de ce pays.

      Si les constitutionnalistes s’accordent sur la justification de ces trois ingrédients de la « diplomatie parlementaire » (classique, commerciale et parallèle), certains voyages effectués par les sénateurs semblent sortir de ce cadre. L’observation d’élections à l’étranger notamment. « Ce n’est pas de la diplomatie parlementaire, explique Didier Maus. C’est un exercice compliqué qui nécessite de rester longtemps sur place, ce que les parlementaires n’ont pas le temps de faire. »

      Les voyages offerts aux sénateurs durent en moyenne quatre jours. Ceux dont l’objet est d’« observer la bonne tenue des élections » ne font pas exception. L’Azerbaïdjan avait invité Mme Goulet et d’autres parlementaires trois jours en septembre 2016, à l’occasion d’un référendum visant à étendre les pouvoirs du président Aliev. Depuis octobre 2014, les pouvoirs ouzbek et kazakh ont proposé par trois fois à Yves Pozzo di Borgo d’attester du bon déroulement de leurs élections, durant des excursions de quatre à six jours.

      L’enjeu pour ces Etats autoritaires est d’obtenir des officiels européens invités des prises de parole positives à l’issue des scrutins. Yves Pozzo di Borgo, cité par l’agence de presse Ouzbékistan Today en avril 2015, avait déclaré : « Les élections se sont tenues conformément à la loi, elles étaient libres et démocratiques. »

      Dans le même temps, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), chargée d’encadrer les missions officielles d’observation d’élections par des élus européens, avait déclaré : « Malgré des améliorations par rapport à la dernière campagne présidentielle, il est impossible d’être un candidat indépendant à la présidence. »

      A écouter Yves Pozzo di Borgo, il faudrait distinguer ces observations réglementées de celles faites à l’invitation des pays concernés :

      « C’est un signe d’amitié, on n’est pas dans une logique critique quand on est président de groupe [France-Asie Centrale]. (…) Mais cela ne veut pas dire qu’on est instrumentalisé. On est dans une logique diplomatique, on les encourage à faire évoluer les choses. »
      Reste que ces différents cadres de voyages finissent par perdre les intéressés eux-mêmes. Le sénateur de Paris souligne au Monde que ces observations d’élections ont été faites – et financées – dans le cadre de son groupe d’amitié parlementaire, alors qu’il avait déclaré au Sénat les avoir effectuées aux frais de la « partie ouzbèke ».

      L’Azerbaïdjan est le pays offrant le plus de voyages aux sénateurs, devant le Qatar et Taïwan

      Nombre de voyages individuels payés aux sénateurs depuis septembre 2014
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      Azerbaïdjan
      Qatar
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      Chine
      Egypte
      SOURCE : SÉNAT, LE MONDE
      Autre problème soulevé par ces voyages financés par des organismes extérieurs ou des entreprises : s’ils aident les élus à « développer leur expertise sur le terrain », selon les mots d’Yves Pozzo di Borgo, ils sont un moyen pour l’organisme invitant de faire passer des messages. Jusque dans l’hémicycle.

      Le Monde a relevé plus d’une dizaine de questions au gouvernement posées par des parlementaires contenant les mêmes éléments de langage à propos de la mise en concurrence d’Eco-Emballages. Tous ces parlementaires avaient été invités à Vienne, en Guyane ou à Mayotte par l’organisme qui pilote le dispositif national de tri et de recyclage des emballages ménagers.

      La direction de ce dernier estime que « ces voyages s’inscrivent pleinement dans le cadre des missions confiées à Eco-Emballages et de sa demande d’agrément ».

      « Dans le cadre d’un groupe d’amitié, on est bien dans un échange de réflexions sur des thèmes choisis par des parlementaires des deux pays. Mais dans le cadre d’un voyage payé par un Etat, on est dans des opérations de communication, de relation publique, de lobbying », relève René Dosière, ancien député apparenté socialiste de l’Aisne et spécialiste de la gestion des finances publiques.

      « Je ne suis pas née de la dernière averse, on voit bien si on doit se faire instrumentaliser. On sait bien quand on doit dire non », se défend Mme Goulet.

      Six voyages sur dix effectués pendant les sessions ordinaires

      Au-delà des débats suscités par ces voyages, ni tout à fait privés ni tout à fait publics, entre diplomatie parlementaire et lobbying, se pose la question du temps qu’y passent les sénateurs. Dans six cas sur dix ils ont lieu pendant les périodes de travaux parlementaires. Contrairement à ceux des groupes d’amitié, qui s’arrangent pour voyager pendant les « vacances » qui ponctuent les sessions.

      Jean-Pierre Raffarin a effectué près de 8 voyages sur 10 durant les sessions ordinaires du Sénat

      Part des voyages payés par des tiers ayant eu lieu durant les sessions ordinaires du Sénat
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      Jean-PierreRaffarin
      Yves Pozzo diBorgo
      NathalieGoulet
      Sénateurmoyen
      Jean-MarieBockel
      SOURCE : SÉNAT, LE MONDE
      Jean-Pierre Raffarin, président de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, s’est ainsi rendu dix-huit fois à l’étranger grâce à des organismes extérieurs, dont treize fois en Chine. Il a consacré plus de 12 % de son temps à ces voyages durant les sessions ordinaires du Sénat. Une proportion proche de celle des autres « globe-trotteurs » et bien loin des 2 % consacrés par le sénateur moyen. « Présenté en Asie comme l’un des Français parmi les plus connus, j’ai assumé plusieurs responsabilités, bénévolement », explique-t-il au Monde.

      Les sénateurs globe-trotteurs ont consacré plus de 11 % de leur temps de session ordinaire aux voyages payés par des tiers

      Part de leur temps consacré aux voyages payés par des tiers, durant les séances plénières du Sénat, depuis septembre 2014
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      Jean-PierreRaffarin
      Yves Pozzo diBorgo
      Jean-MarieBockel
      Nathalie Goulet
      Sénateur moyen
      SOURCE : SÉNAT, LE MONDE
      Parmi les organismes l’ayant invité en Chine, on trouve le Boao Forum for Asia, le « Davos de l’Asie », dont il est membre du conseil, mais aussi le comité France-Chine et la Fondation Prospective et Innovation, deux organisations dont il est président. Sur les dix-huit voyages payés par un tiers, dix l’ont été par ces organisations, où le sénateur de la Vienne a des responsabilités, dont huit par celles qu’il préside.

      Une manière de préparer l’avenir, puisqu’il renonce à poursuivre son mandat à partir d’octobre ? « Je n’ai pas encore organisé cette “nouvelle vie”. Je me consacre pour l’instant à la mise en place de l’ONG Leaders pour la paix. Pour le reste j’entends bien poursuivre ma connaissance de la Chine. »

    • Un premier essai en diagramme de flux (Sankey, avec un outil gratuit en ligne).

      J’ai enlevé les parlementaires qui avaient une seule mission déclarée.

      Note : il y a pas de boulot, les libellés des pays/villes ne sont pas standardisés
      et il faudrait (mais dans cet outil, c’est manuel) optimiser le placement des sources et des destinations

    • @grommeleur, en général, mon premier réflexe c’est de tout sélectionner et copier (dans mon lecteur de pdf, Aperçu sur Mac, il y a les commandes et raccourcis ad hoc, ce doit être le cas pour les autres lecteurs basiques. Quand tu ne peux pas le faire, c’est que l’auteur du pdf a explicitement interdit la chose en modifiant une propriété du pdf ; ça ne dépend pas (ne devrait pas dépendre) de ton lecteur.

      Après, je colle ça dans mon tableur. Il peut arriver qu’il soit plus simple de retravailler le résultat dans un éditeur de texte avant de terminer dans le tableur.

      Dans ton cas, Tabula plante parce qu’il y a des caractères « spéciaux » dans le pdf (c’est toujours un peu bizarroïde, notamment quand il y a de l’Unicode). Quand ils arrivent dans le texte ils font sauter l’importation. C’est la même chose qui s’est produite dans ma tentative.

    • Il y a une grande variété de payeurs, mais pour l’Azerbaïdjan ou le Qatar, il ne s’agit que d’institutions de l’état (à l’exception d’un financement par l’Association des amis de l’Azerbaïdjan, ce qui ne doit pas changer grand chose à l’origine initiale des fonds…)

  • La sénatrice Nathalie Goulet voudrait sanctionner pénalement les auteurs de fausses actualités Dans une nouvelle proposition de loi
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/13411-la-senatrice-nathalie-goulet-voudrait-sanctionner-penalement-les-au

    Vous savez les « fakes news, ça ne nous concerne pas spécialement, certains se sont fait une spécialité dans ce domaine pour attirer des visiteurs, nous au contraire on essaye de coller à la route, et à chaque fois qu’on a publié un truc qui s’est avéré faux soit on a corrigé soit on a dépublié, mais à chaque fois je l’ai vécu comme un échec personnel, ce que je veux dire par la c’est que PERSONNE n’est à l’abri d’une fausse information. Regardez récemment les accusations de népotisme sur Mélenchon, ce sont pourtant de gros titres qui ont publié dessus et les accusations venait d’un élu.

    Moi ce qui m’inquiète plus, c’est que cette dictature des fakes news vise à détruire les petits sites internet indépendants (les seuls qui ne soient pas corrompus et contrôlable), qui des fois prennent le RISQUE de vous (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Liens avec le Qatar : Jean-Marie Le Guen accuse l’un des journalistes d’être un « porte-parole de Bachar al-Assad » [Georges Malbrunot et Christian Chesnot]
    http://lelab.europe1.fr/liens-avec-le-qatar-jean-marie-le-guen-accuse-lun-des-journalistes-det

    Pour mieux démentir les accusations formulées par les journalistes, Jean-Marie Le Guen s’emploie à les décrédibiliser en avançant que l’un d’entre eux est « un des porte-parole de Bachar al-Assad dans notre pays ». La même méthode donc que le secrétaire d’État à la Simplification Jean-Vincent Placé qui, lors de la webémission du Lab .pol, avait rappelé que les deux journalistes avaient été otages : « ils ont souffert et ils veulent peut être gagner de l’argent en faisant des polémiques comme ça ».

    Outre Jean-Marie Le Guen et Jean-Vincent Placé, d’autres élus et responsables politiques français sont accusés dans ces pages de relations incestueuses avec Doha : le député PS Nicolas Bays, l’ancienne ministre et eurodéputée LR Rachida Dati ou Nathalie Goulet.

  • Quand le contribuable français finance à l’insu de son plein gré Tsahal | Le Libre Penseur
    http://www.lelibrepenseur.org/quand-le-contribuable-francais-finance-a-linsu-de-son-plein-gre-tsah

    Il est toujours bon de rappeler qu’un membre — et il n’est pas le seul — du Conseil d’état français est un soldat israhellien et que le trésor public défiscalise des dons alloués à une armée étrangère – israhellienne ou pas là n’est pas la question – ce qui est non seulement consternant, mais très humiliant. N’insistez pas trop dans vos critiques au risque d’être accusé très vite d’antisémitisme fascisto-nazi-islamiste ! C’est la rançon de la démocrassie et des droits de l’homme…
    Le sujet des dons à Tsahal déductibles d’impôts en France refait surface depuis que la sénatrice de l’Orne Nathalie Goulet a interpellé le secrétaire d’état au budget Christian Eckert ce 10 mars par écrit. Hier, elle a reçu des menaces de mort sur les réseaux sociaux.« L’armée la plus morale du monde » a plus d’un tour dans son sac. C’est bien connu lorsqu’on suit depuis quelques temps ses opérations militaires, mais aussi de communication en tout genre, et de séduction plus généralement quand elle est faite par le gouvernement israélien.

    En revanche peu de monde s’est douté jusque aujourd’hui que Tsahal (L’armée la plus morale du monde donc) pouvait être financé par le contribuable français à l’insu de son plein par le biais d’un mécanisme fiscal que le parti Les Républicains connaît comme d’autres professionnels de l’optimisation fiscale.

    C’est ainsi que l’on peut faire un don aux soldats de Tsahal, tout en bénéficiant d’une déduction fiscale à hauteur de 66%. Cela met sur le même plan l’armée d’Israël et les associations comme Action contre la faim, Amnesty International, Unicef (Déduction à hauteur de 75% pour celles-ci) ou autre ONG ou organismes caritatifs.

    On l’a compris le procédé est très pervers, et nous pouvons être en droit de se demander par quelle magie le contribuable français se retrouve à financer à l’insu de son plein gré une des armées les plus tristement réputées pour ses multiples opérations meurtrières et criminelles.

    C’est la question que Nathalie Goulet, sénatrice de l’Orne a posé au secrétaire d’état au budget Christian Eckert ce 10 mars par lettre écrite et dont la réponse se fait toujours attendre.

    Cette actualité aurait pu passer inaperçue si hier la @sénatrice61 n’avait pas remis le couvert en affirmant à l’AFP avoir reçu des menaces de morts sur les réseaux sociaux. Il faut hélas en arriver là pour qu’un sujet aussi embarassant soit mis sur le devant de l’actualité.

    Une déduction fiscale pour Tsahal ? Vraiment ?

    Evidemment les supporters de ce régime colonial et criminel crient déjà à la calomnie et au mensonge montés en épingle par les islamo-gauchistes/fascistes/antisémites, et plus généralement la blogosphère qui ne va pas dans le sens de son poil. Et quoi de mieux que d’aller voir ces supporters s’exprimer sur leurs sites internet ? J’ai choisi JSS NEWS pour lire leur version des faits. Et comme d’habitude ils ne déçoivent jamais !

    Dans un article plein d’amour, de paix et de tolérance, l’un des membres de ce « blog » (Comme l’a si bien fustigé Aymeric Caron) dézingue la sénatrice ainsi que ses interrogations avec ce titre : La sénatrice Nathalie Goulet abuse-t-elle du goulot ?

    La vérité est que le contribuable français finance malgré lui de l’aide aux soldats de Tsahal, via des associations qui veulent leur apporter du « réconfort » avec des pizzas, des glaces et de la boisson ! Rien que ça !

    Formulaire que l’on pouvait retrouver sur le site JSS NEWS (capture d’écran)

    Cette capture d’écran datant de quelques années vient – ironie du sort – de notre cher blogJSS NEWS qui parle bien de soutiens aux soldats de Tsahal. Certes cette aide n’est pas versée directement à Tsahal mais en revanche il s’agit bien d’une aide financière du contribuable français à une armée étrangère, en l’occurence celle d’Israël.

    Si l’on regarde de plus près ce formulaire à droite, nous voyons qu’il est possible d’obtenir un Cerfa. Le plus incroyable, est que la France octroie presque le double de la déduction possible en Israël !

    Non seulement ces pro-israéliens de JSS font preuve d’une mauvaise foi absolue, mais en plus, ils ont permis de faire découvrir à tout le monde cette manœuvre fiscale qui […]

    Mediapart

  • Ces politiques qui font la manche auprès des émirs du Golfe - Ça n’empêche pas Nicolas
    http://canempechepasnicolas.over-blog.com/2016/10/ces-politiques-qui-font-la-manche-aupres-des-emirs-d

    Ces politiques qui font la manche auprès des émirs du Golfe
    26 Octobre 2016

    Nos très chers émirs est un véritable brûlot, paru ce jour, jeudi 20 octobre. Qui va, là encore, mettre le Parti Socialiste en ébullition. Mais pas que lui : la droite et le Front national aussi. Rachida Dati, Ségolène Royal, Jean-Marie Le Guen, Marine Le Pen, le député Nicolas Bays, la sénatrice Nathalie Goulet, Dominique de Villepin, Jack Lang…. AFP
    Challenge’s

    « Nos très chers émirs », le livre de Christian Chesnot et Georges Malbrunot, est un véritable brûlot. Qui va, là encore, mettre l’ensemble de la classe politique française - du parti socialiste au Front National - en ébullition.

    C’est un véritable brûlot, paru ce jour, jeudi 20 octobre. Qui va, là encore, mettre le Parti Socialiste en ébullition. Mais pas que lui : la droite et le Front national aussi. Rachida Dati, Ségolène Royal, Jean-Marie Le Guen, Marine Le Pen, le député Nicolas Bays, la sénatrice Nathalie Goulet, Dominique de Villepin, Jack Lang…. Tous sont mentionnés dans Nos très chers émirs, le dernier essai des deux journalistes spécialistes du monde arabe, Christian Chesnot et Georges Malbrunot. Un ouvrage fouillé, précis, qui raconte les liaisons dangereuses entre certains politiques français de premier plan et les monarchies du Golfe. Le tout sur fond d’attentats terroristes et de gros contrats difficiles à décrocher…

    Parmi les déclencheurs de cette enquête explosive : le changement d’ambassadeur du Qatar en France. Le nouveau représentant de Doha, Meshaal al-Thani refuse d’être aussi généreux que son prédécesseur. Les auteurs racontent « trois ans après son arrivée à Paris, il semble las de toutes ces pratiques ».

    Un de ses amis témoigne : "Meshaal, qui a été en poste en Belgique et aux Etats-Unis, me dit souvent : « Je n’ai jamais vu cela, auparavant ! J’ai fréquenté des politiques partout ; mais aucun ne s’est comporté comme certains Français, aucun ne m’a demandé de l’argent aussi abruptement, comme si c’était naturel, comme si on leur devait quelque chose ! On n’est pas une banque ». Le livre fourmille de détails et d’anecdotes récentes souvent ravageuses. Challenges en publie quelques extraits.

    Jean Marie Le Guen, sans vergogne

    Comme l’explique un officiel à Doha, Jean-Marie Le Guen annonçait clairement la couleur. "Il disait à nos diplomates à Paris : « En tant que ministre en charge des Relations avec le Parlement, je tiens tous les députés et sénateurs de mon camp, via les questions au gouvernement. Je peux bloquer des questions hostiles au Qatar, ou au contraire les alimenter. Mais je n’ai pas à le faire gratuitement ». Bref, « il nous faisait littéralement du chantage ».

    La duplicité de Rachida Dati

    Ah, le luxueux 7ème arrondissement ! Là où résident tant d’ambassadeurs en poste à Paris. Comme l’émir père, Rachida a le sens de l’opportunité, ne craignant pas d’user et d’abuser de son carnet d’adresses. Elle a donc eu l’idée de lancer un Club des ambassadeurs, qui se réunirait périodiquement dans son arrondissement. Belle idée ! Mais il fallait un peu d’argent pour faire tourner la danseuse de Mme Dati. Qu’à cela ne tienne ! Rachida est allée frapper à la porte de... l’ambassadeur du Qatar.

    « Elle ne demandait pas moins de 400.000 euros pour son association », s’étonne encore un membre de l’ambassade. Une somme extravagante ! Rachida Dati présente sa requête lors d’un dîner avec Meshaal al-Thani, un dimanche soir, le 22 novembre 2015 exactement. Mais le diplomate lui fait comprendre qu’il sera difficile d’y répondre positivement. Elle semble choquée par ce refus, qui lui sera notifié par une lettre officielle signée du représentant du Qatar en France.

    Le lendemain matin, Rachida Dati est l’invitée du talk show de Jean-Jacques Bourdin sur RMC. Nous sommes dix jours après les attentats du Bataclan et du Stade de France. L’ancienne ministre change de pied et charge le Qatar : « L’Arabie Saoudite ou même le Qatar ont une volonté de développer leur idéologie, notamment pour contrer l’islam chiite, affirme-t-elle. On a des pays du Golfe qui financent des mosquées, des associations, des imams [...], des structures qu’on ne contrôle pas », regrette-t-elle. Quand il entend cela, l’ambassadeur n’en revient pas. « Elle dîne avec moi en me demandant de l’aider, et le lendemain elle nous traîne dans la boue ».

    Jack Lang, profiteur

    À la tête de l’Institut du monde arabe (IMA), Jack Lang est cité non seulement par l’ambassade du Qatar, mais aussi par celles d’Arabie et des Emirats arabes unis comme un interlocuteur sans scrupules. « Il vient réclamer trois places en Business pour sa femme et son ami, lorsqu’on l’invite à Abou Dhabi, fulmine un membre de l’ambassade des Emirats. Et si jamais on refuse, on court le risque qu’il critique publiquement les Emirats ».

    Dominique de Villepin « la first », sinon rien

    Villepin, lui, exige d’être en First class, sinon il boude les invitations à Doha, renchérit un autre diplomate de l’ambassade du Qatar. Une fois, Villepin a annulé sa participation à un colloque parce qu’il était en Business et pas en First class. L’ambassadeur en est resté abasourdi. Autre certitude : l’ancien Premier ministre, devenu avocat d’affaires, ne dit pas du bien du Qatar pour rien, comme tous ceux dont nous avons rapporté le comportement. « La France n’a aucune preuve de l’implication du Qatar dans le financement du terrorisme », affirmait Villepin le 4 novembre 2015 sur Europe 1".

    La sénatrice Nathalie Goulet réclame son cadeau de Noël

    La sénatrice de l’Orne, Nathalie Goulet, essuya elle aussi chaque fois un refus clair et net du représentant du Qatar à Paris. Elle a pourtant multiplié les demandes. Fin 2015, elle appela d’abord le bureau de l’ambassadeur pour se plaindre de n’avoir pas reçu son cadeau de Noël. « Comment se fait-il que je n’aie pas reçu mon cadeau de fin d’année, d’autres sénateurs en ont eu un et pas moi ? », protesta-t-elle. « Qu’elle aille au diable ! », maugréa Meshaal lorsque son collaborateur lui rendit compte de l’appel de Mme Goulet.

    Quand le Qatar fut attaqué par des politiques ou dans la presse après les attentats, la sénatrice n’hésita pas à proposer à l’ambassade d’organiser un colloque, contre rétribution bien sûr. La représentation diplomatique dit niet. Depuis, Mme Goulet l’avoue sans ambages : « Je n’aime pas beaucoup le Qatar ».

    Le culot du député Nicolas Bays

    S’il y a un député dont l’ambassadeur du Qatar se montre particulièrement lassé, c’est Nicolas Bays, élu socialiste du Nord – Pas-de-Calais. Membre du groupe d’amitié France- Qatar, il était proche de l’ancien ambassadeur Mohammed al-Kuwari. Avec son successeur, Bays ne fait pas dans la dentelle. Il a personnellement envoyé un SMS à Meshaal al-Thani, dont un témoin nous a rapporté le contenu : « J’ai des problèmes financiers actuellement. La mère de notre jeune enfant est fatiguée. Je voudrais l’emmener à l’étranger. Mais mon budget est un peu serré. Peux-tu me faire inviter dans un hôtel de Doha et nous payer un billet d’avion sur Qatar Airways ? Cela m’aiderait, s’il te plaît ».

    Loin d’être découragé par un premier refus, le député Bays a sollicité à deux reprises encore, par SMS, l’ambassadeur du Qatar. Une première fois, pour lui demander de l’argent afin de payer des travaux dans sa maison. Le diplomate n’a pas répondu. Enfin, il n’a pas hésité à lui réclamer des chaussures de marque.

    Le dépit de Jean Vincent Placé

    Autre victime de la nouvelle donne, le ministre vert Jean-Vincent Placé, qui se plaint dans le carré VIP du PSG que l’ambassadeur actuel ne l’invite plus à des week-ends. « Placé ne recevait pas que des cadeaux de son prédécesseur », souligne un proche de l’ambassade qui refuse d’en dire plus.

    Marine Le Pen 1ere étape, la rencontre avec le président al-Sissi en Egypte en mai 2015

    Ce sont les Emirats arabes unis – alliés et bailleurs de fonds du régime égyptien – qui ont financé le déplacement de Mme Le Pen au Caire. « Ni l’hôtel ni les billets d’avions n’ont été payés par le Front national ou l’Egypte », assure un proche.

    Marine Le Pen 2ème étape : la proposition

    Nous sommes en mesure de révéler que lors de la rencontre de Montretout, le représentant émirien a proposé à Marine Le Pen un financement d’un million de dollars, voire de deux, pour sa campagne électorale. « Il m’a fait l’impression de quelqu’un qui avait l’habitude de parler argent avec les hommes politiques, relève le proche. D’ailleurs Marine a paru décontenancée, elle n’a pas su trop quoi répondre. On verra, a-t-elle dit, en évacuant la question ».

    Les ambigüités de la mairie de Cannes

    La mosquée Al-Medina Al-Mounawara de Cannes est financée à 100% par Saleh Kamel, le PDG de la chaîne de télévision coranique Iqraa, qui habite la ville. Il voulait créer un lieu de culte près de sa villa pour aller prier. L’homme d’affaires saoudien a joué la transparence en associant Bernard Brochand, le maire de la ville de 2001 à 2014, à son projet, sans que celui-ci ne s’y oppose le moins du monde. À tel point, raconte Bernard Godart, qu’à l’époque « le cabinet du maire m’a appelé au ministère de l’Intérieur pour me demander si je connaissais un imam susceptible d’officier dans la mosquée ! J’ai répondu que non, car évidemment ce n’était pas de mon ressort ».

    Un magnat saoudien de la presse, Hicham Hafez, s’est lui aussi fait construire une petite mosquée près de la Croisette, à Cannes où il passe ses vacances. Là encore, avec l’aval de la municipalité ! Il l’a financée sur ses deniers personnels – 250.000 euros. La mairie de Cannes a donc accordé à deux riches Saoudiens le droit de bâtir chacun sa mosquée dans la ville, alors qu’aujourd’hui les autorités locales interdisent aux Françaises de porter le burkini à la plage. Certains ne manqueront pas de relever une certaine incohérence entre ces deux décisions..."

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  • Un livre dénonce les relations entre Qatar et certains politiques
    http://www.tendanceouest.com/region/actualite-198091-un-livre-denonce-les-relations-entre-qatar-et-certai

    Les journalistes Georges Malbrunot et Christian Chesnot dénoncent dans un livre-enquête les « dérives » de la relation entre le Qatar et des personnalités politiques de tous bords, dont Jean-Marie Le Guen et Rachida Dati, qui portent plainte.

    Dans ce livre « Nos très chers émirs » (Michel Lafon), dont l’hebdomadaire Le Point publie jeudi les bonnes feuilles, ils racontent comment l’argent a « pourri » cette relation avec les monarchies du Golfe et en particulier comment l’ambassade du Qatar à Paris est sollicitée par des politiques.

    « A Noël, Mohammed al-Kuwari (ex-ambassadeur du Qatar à Paris, ndlr) offrait aux membres du groupe d’amitié France-Qatar à l’Assemblée nationale des montres Rolex ou des bons d’achat dans des grands magasins », selon ces extraits.

    « Pour certains hommes politiques, pour certains élus, pas tous, l’ambassade du Qatar, c’était tout à la fois un distributeur de billets de 500 euros, une agence de voyages, et la boutique du Père Noël », a affirmé Christian Chesnot sur France Inter. « C’est à dire que, pendant plusieurs années, jusqu’à aujourd’hui, le Qatar reçoit des sollicitations (...) des demandes de subventions pour financer une mosquée, une école, une association. Et puis il y a des hommes politiques qui sont vraiment à l’offensive, qui vraiment demandent de l’argent ».

    Les deux journalistes, selon les extraits du Point, citent nommément le secrétaire d’Etat chargé des Relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen, le député PS Nicolas Bays, l’ex-garde des Sceaux LR Rachida Dati, l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin ou encore la sénatrice centriste Nathalie Goulet.

    Selon Christian Chesnot, Jean-Marie Le Guen « voulait imposer une agence de communication pour gérer des déclarations d’hommes politiques, pour contrôler un peu les déclarations au Parlement qui seraient critiques vis-à-vis du Qatar ».

    Rachida Dati aurait, elle, demandé à l’ambassade du Qatar « pas moins de 400.000 euros pour son association », un « club des ambassadeurs », somme qui lui a été refusée, affirment-ils.

    « J’ai appris avec stupéfaction et consternation les allégations délirantes contenues dans (ce) livre », a réagi M. Le Guen sur Facebook. « Evidemment, je porte plainte pour diffamation », a-t-il ajouté.

    – Ils « font honte à la France » -

    Les avocats de Mme Dati ont dénoncé dans un communiqué à l’AFP « mensonges » et « calomnies » et annoncent que « toutes les actions seront entreprises pour faire cesser les atteintes répétées à la probité » de la maire du VIIe arrondissement de Paris. Rachida Dati a précisé à l’AFP qu’elle portait plainte.

    Nicolas Bays aurait demandé à se « faire inviter dans un hôtel de Doha » et se faire « payer un billet d’avion sur Qatar Airways », essuyant un refus.

    Nathalie Goulet « essuya, elle aussi, chaque fois, un refus clair et net (...) Elle a pourtant multiplié les demandes », écrivent les auteurs cités par Le Point. Elle a indiqué à l’AFP qu’elle portait également plainte.

    Dominique de Villepin est également évoqué, décrit comme un « vieil ami de la famille régnante, qui fait beaucoup d’affaires au Qatar ». Il « exige d’être en première classe, sinon il boude les invitations à Doha », écrivent les journalistes, citant un diplomate de l’ambassade du Qatar.

    « Pendant qu’une grande partie de la classe politique RPS se faisait corrompre par le , ce pays m’attaquait en justice. Tout est dit », a réagi sur Twitter le vice-président du FN, Florian Philippot.

    Ces élus « font honte à la France », a renchéri la députée FN Marion Maréchal-Le Pen.

    « Ces faits, s’ils étaient avérés, seraient gravissimes et relèveraient des tribunaux. Face à la gravité des accusations, nous demandons que la justice soit saisie au plus vite », a demandé Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF.

    Fin novembre 2015, un parlementaire LR s’alarmait du poids pris par le Qatar en France : « Ils sont ici chez eux, on leur passe tout et il y a de la corruption pour acheter des mecs, ils sont prêts à tout pour vous acheter ».

  • Ce que l’affaire burkini nous dit de l’état de notre société | Nathalie Goulet

    http://www.huffingtonpost.fr/nathalie-goulet/interdiction-burkini-france-societe_b_11562246.html

    En Normandie chaque jour depuis la fin du mois de juillet, nous célébrons et commémorons la Libération de notre territoire grâce, notamment, aux Gars de Leclerc, cette division Leclerc, la deuxième division blindée (2e DB), glorieuse armée dont nous entonnons respectueusement l’hymne devant chaque stèle et de quelques vétérans tenaces et soucieux de témoigner encore et encore de leur engagement pour une France libre, fraternelle et victorieuse.

    L’affaire du burkini

    Cette année ces manifestations prennent une tonalité particulière alors que le débat fait rage autour du « burkini de la discorde » et qu’une partie de notre société, en pleine crise d’identité, recherche vers « l’étranger » et, disons-le, le musulman, la cause de ses maux.

    Des candidats à la plus haute fonction, celle de Président de la République, et leurs soutiens, s’alignent sur un discours d’exclusion et de suspicion sans chercher à élever le débat et se contentent de commenter les effets sans jamais débattre des causes. L’islam est devenu une variable d’ajustement de l’applaudimètre des meetings et des Like des comptes Facebook. La pensée est réduite à sa plus simple expression en 140 signes. Twitter est la nouvelle arène avec ses règles, ses censeurs labellisant les bons et les méchants, et des petits groupes qui attribuent bons points et insultes.

  • Une sénatrice s’étonne d’une niche fiscale en faveur de Tsahal et reçoit des menaces de mort
    http://www.itele.fr/politique/video/une-senatrice-setonne-dune-niche-fiscale-en-faveur-de-tsahal-et-recoit-des-men

    Nathalie Goulet, sénatrice UDI de l’Orne, a annoncé vendredi avoir reçu des menaces de mort via les réseaux sociaux après s’être étonnée d’une réduction d’impôts de 60%, dont peuvent bénéficier les contribuables français qui effectuent un don à l’armée israélienne.

  • Déductions fiscales pour aider l’armée israélienne ?

    Question écrite n° 20545 de Mme Nathalie Goulet (Orne - UDI-UC)
    publiée dans le JO Sénat du 10/03/2016 - page 911
    Mme Nathalie Goulet attire l’attention de M. le secrétaire d’État, auprès du ministre des finances et des comptes publics, chargé du budget sur la réglementation actuelle qui permet aux Français et Françaises qui font des dons à l’armée israélienne (Tsahal), de défiscaliser leurs dons et leur donne le droit à 60 % de réduction d’impôts, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Il s’agit donc d’une niche fiscale payée par le contribuable français au profit d’une armée étrangère.
    Elle souhaiterait avoir l’explication de cette disposition exorbitante du droit commun.

    @senateur61

    http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ160320545&idtable=q311695|q301540|q300677|q295410|q293207|q312

  • Et si nous faisions de la politique autrement ?
    Nathalie Goulet
    https://blogs.mediapart.fr/senateur-goulet/blog/240714/et-si-nous-faisions-de-la-politique-autrement

    Combien de fois ai-je entendu des propos misogynes dans notre hémicycle ? Le 17 janvier 2013 a sans doute été le plus symbolique : Bruno Sido interrogeant le Sénat au moment où Laurence Rossignol prenait la parole : « c’est qui cette NANA ? ».

    Combien de fois n’a-t-on pas entendu : « les femmes doivent faire leurs preuves et puis on verra au prochain scrutin ». Après tout, il faut bien qu’une femme soit Garde des Sceaux, sans quoi, qui s’occuperait du parquet ?

    Jamais on ne demande, et c’est bien dommage, aux hommes de « faire leurs preuves ». Eventuellement, on leur demande d’avoir « un métier » avant d’être élu, et encore…

  • Aujourd’hui à Davos...
    http://www.azerbaijan.az/portal/newsen.html?action=GetFullNews&ldid=2005-07-26&ltid=21:41:54&ndid=2014-01

    President of Azerbaijan Ilham Aliyev has met French Foreign Minister Laurent Fabius in Davos.

    The French FM conveyed President Francois Hollande`s greetings to the Azerbaijani President.

    vs.

    http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/diplomatie-economique-901/actualites-liees-a-la-diplomatie/article/deplacement-de-laurent-fabius-au-110487

    Laurent Fabius a participé notamment aux sessions consacrées au dérèglement climatique. [...]. Il s’est entretenu en particulier avec les deux envoyés spéciaux du Secrétaire général des Nations unies sur le climat, MM. Jens Stoltenberg et John Kufuor, et avec la Commissaire européenne chargée de l’action pour le climat, Connie Hedegaard.

    Le ministre a participé également à des rencontres bilatérales sur les questions économiques avec des chefs d’entreprises de groupes internationaux...

    Je vois pas pourquoi le MAE n’évoque même pas une rencontre avec un chef d’état...
    Edit : le twitter de Lolo en parle, il a fallu chercher...
    http://t.co/FAwdFyqZft
    #azerbaïdjan