company:numérobé

  • Lorsque la culture s’immisce dans une unité de dialyse…

    http://www.lavoixdunord.fr/170630/article/2017-05-31/lorsque-la-culture-s-immisce-dans-une-unite-de-dialyse

    Depuis plusieurs mois, deux artistes interviennent dans des unités de dialyse de Santélys. Le Grand Mix participe ainsi à un projet de l’Agence régionale de santé. Objectif : amener la culture où elle ne va pas et ainsi ouvrir de nouveaux horizons aux patients. Une centaine de malades ont déjà assisté à l’une des performances.

    Par Anne Courtel | Publié le 31/05/2017

    Les deux artistes réalisent leur performance (son et images) pendant une séance de dialyse.
    Dans la grande salle de dialyse de Tourcoing, le musicien et l’artiste visuel paraissent incongrus. D’autant qu’en plein set, seuls le ronronnement des machines de dialyse et la minuterie des traitements troublent le silence. Il y a comme un film muet dans la performance des deux artistes.
    Pourtant, certains patients, munis d’un casque, dodelinent de la tête ou scrutent le plafond… où des images sont projetées. NUMéROBé, jeune compositeur-beatmaker, et Clément Goffinet, qui projettent des tableaux sonores, se sont ainsi adaptés aux contraintes de ce lieu pas comme les autres. Là des patients sont dialysés pendant plusieurs heures. « On nous avait demandé de ne pas imposer notre performance, de respecter la tranquillité de chacun. Nous avons donc choisi de proposer un casque aux patients qui voulaient participer et de diffuser quelque chose de relaxant », explique NUMéROBé.

    « C’est agréable. Cela nous sort un petit moment de notre environnement de soin. »

    Dans le même temps des images sont projetées au plafond. « Les patients sont couchés et ont un bras immobilisé par les perfusions. Nous avons donc décidé de juste leur faire lever les yeux », raconte Anne Martello, chef de projet Santélys.

    « Ce n’est pas de la musicothérapie »

    Depuis plusieurs mois, les deux artistes, sous la houlette du Grand Mix, interviennent régulièrement dans dix unités de dialyse de Santélys. « C’est intéressant pour nous, car on sort du cercle des personnes avec lesquelles on a l’habitude de travailler. C’est un peu une performance, il y a un côté improvisé », précise Clément Goffinet.

    Après une première session, il y a quelques mois, les deux artistes proposent une autre version. « Nous leur avons demandé ce qui les touchait et nous l’avons intégré dans notre set. » Les patients peuvent ainsi percevoir la chaude voix de Barry White ou voir Édith Piaf s’animer au plafond. « Franchement, c’est agréable. Cela nous sort un petit moment de notre environnement de soin », salue Charles Sona, un patient qui vient tout juste de quitter son casque. Même sentiment chez Jacky Gadeyne, fan de Johnny Hallyday. « C’est agréable et reposant. Même si mon rêve est d’enregistrer une chanson. »
    Il faudra peut-être attendre un peu, même si, après cette action, Santélys et le Grand Mix espèrent bien engager un nouveau projet. « L’année prochaine, nous irons peut-être plus loin. Mais ce n’est pas de la musicothérapie. Il n’y a pas d’aspect thérapeutique. La maladie isole, entraîne des peurs… La culture peut améliorer la qualité de vie, la prise en charge… Même les soignants ont pu découvrir les patients différemment », souligne Anne Martello de Santélys.

    « Apporter la culture partout »

    L’an dernier, le Grand Mix avait participé à un projet avec le centre hospitalier de Wattrelos. Cette année, sa candidature a été retenue pour ouvrir les portes d’un nouvel établissement de soins à la culture. « Notre but est bien d’apporter la culture où elle n’est pas. Cela permet de toucher des publics qui n’iraient pas forcément vers l’art », précise Juliette Callot, responsable de l’action culturelle au Grand Mix. « Il y a un droit universel à la culture même si à chaque action (prison, milieu hospitalier, écoles…), il faut accepter les contraintes. Nous n’avons pas l’habitude d’être au contact des malades. Chacun, dès lors, apporte son savoir-faire. »

    • DOUAI : Trois ouvriers grièvement brûlés à l’abattoir ce mercredi soir
      Trois salariés d’une entreprise extérieure venue procéder ce mercredi à des travaux de sous-traitance à l’intérieur de l’abattoir de Douai ont été brûlés dans un accident provoqué par des travaux de soudure. . . . . . . . . . .
      http://www.lavoixdunord.fr/171021/article/2017-05-31/trois-ouvriers-grievement-brules-l-abattoir-ce-mercredi-soir

      Valenciennes : À partir de ce jeudi, à Valenciennes, plus aucun tram ne s’arrêtera à la station Hôtel de ville
      Ça va être une surprise pour pas mal d’usagers du tram. À partir de jeudi matin, plus aucun tram ne s’arrêtera à la station Hôtel de ville. L’arrêt est reporté soit à Clemenceau soit à Sous-Préfecture . . . . . . .
      http://www.lavoixdunord.fr/170813/article/2017-05-31/partir-de-ce-jeudi-valenciennes-plus-aucun-tram-ne-s-arretera-la-statio

      Lille : Des parents saisissent la justice contre les tarifs « aberrants » du conservatoire
      Le tribunal administratif était saisi ce mercredi en urgence pour bloquer une délibération de la ville de Lille. En cause, une nouvelle tarification pouvant faire bondir les frais d’inscription des élèves non-Lillois du conservatoire
      http://www.lavoixdunord.fr/171047/article/2017-05-31/des-parents-saisissent-la-justice-contre-les-tarifs-aberrants-du-conser
      Une délibération municipale adoptée en mars rebat les cartes des participations familiales au budget de cette école prestigieuse. Auparavant, les foyers de la métropole lilloise mettaient la main à la poche en fonction d’un quotient familial. Dès la rentrée prochaine, les non-Lillois dont la commune n’a pas signé de convention (pour une participation financière) avec Lille verront la facture enfler. « On va nous demander 1 866 €, hors 3e cycle et certaines disciplines, grimace un parent. Une explosion du tarif. Aberrant ! »

      Aux yeux de Manuel Gros, la ville de Lille prend tout simplement près de 200 élèves (sur 2 000) en otage. « On règle un problème politique avec les communes voisines sous couvert d’un financement de cette structure », tonne l’avocat des familles. Et de multiplier les accusations de « discrimination ». « Sur les 7 M€ de budget du conservatoire, deux sont payés par l’État, la Métropole européenne de Lille (MEL) ou la Région, martèle Me Gros. Les non-Lillois financent donc également via leurs impôts. » Enfin, que dire des 200 petits Lillois inscrits dans les écoles hors de leur commune ? . . . . .

  • Saison 3 en vue pour la pépinière d’artistes de l’Aéronef, de la Cave aux poètes et du Grand Mix - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/91201/article/2016-12-16/saison-3-en-vue-pour-la-pepiniere-d-artistes-de-l-aeronef-de-la-cave-au

    Saison 3 en vue pour la pépinière d’artistes de l’Aéronef, de la Cave aux poètes et du Grand Mix
    La Métropole de Lille financera bien une troisième saison de la PAM, pépinière d’artistes « musiques actuelles ». L’Aéronef, la Cave aux poètes et le Grand Mix couvent chacun un groupe pour l’aider à réussir sa professionnalisation.

    Par Bruno Renoul | Publié le 16/12/2016

    Toutes les parties intéressées voient dans la PAM l’instrument idéal pour muscler la scène locale métropolitaine. La Métropole de Lille, qui finance ce dispositif à hauteur de 70 000 € par an. Les salles de spectacle qui l’ont conçu et le portent, l’Aéronef de Lille, le Grand Mix de Tourcoing et la Cave aux poètes de Roubaix. Et bien sûr les artistes qui en ont bénéficié.

    Alors ça va continuer : Olivier Henno (UDI), qui était alors encore vice-président à la culture avant les modifications survenues dans l’exécutif métropolitain le 15 décembre, a annoncé cette semaine le maintien de la subvention en 2017. Pour une troisième saison, donc.

    « 
    Ce dispositif nous a permis de rencontrer des gens, de sortir de la région et de notre entourage

     »

    Depuis 2015, chacune de ces trois salles parraine et suit un groupe en particulier, dans l’objectif de l’aider à franchir le palier de la professionnalisation. « Dans les critères de choix, il y a l’artistique, bien sûr, mais aussi la volonté et la capacité à franchir ce cap », explique Nicolas Lefèvre, le directeur de la Cave aux poètes, qui juge que « sur les 800 groupes qui existent dans la métropole, tous n’ont pas ce souhait ».

    Concrètement, les groupes choisis bénéficient d’un accompagnement personnalisé, fait de rencontres avec des professionnels, d’organisation de résidences et de concerts, et de participation à des ateliers pour apprendre à créer un clip ou à exister sur les réseaux sociaux.

    Evrst, Be4tSlicer et Numérobé
    La première année, le gros lot a été décroché par Chamberlain, Antoine Pesle et Le Duc Factory. Mathieu, l’un des deux membres du duo Chamberlain, juge avec le recul que la PAM a servi d’accélérateur à son groupe. « On avait déjà un contenu artistique, mais quand on envoyait des mails, ça se perdait dans le cosmos, sourit-il. Ce dispositif nous a permis de rencontrer des gens, de sortir de la région et de notre entourage. » Aujourd’hui, tout va bien pour le duo, qui vient de signer avec un agent et un label.

    Cette année, les trois groupes qui bénéficient de ce dispositif – Evrst, Be4t Slicer et Numérobé (voir vidéos ci-dessous) – ont pu à leur tour jouer aux Trans Musicales de Rennes, ou à Crossroads, le nouveau festival de showcases de la Condition publique, à Roubaix. Cette semaine, ils suivaient une session de formation de deux jours. Les voilà (presque) prêts à voler de leurs propres ailes !❞

  • Quand le Grand Mix aide la prison à libérer la créativité vidéo - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/65998/article/2016-10-28/quand-le-grand-mix-aide-la-prison-liberer-la-creativite-video

    Pour la première fois, le Grand Mix a organisé un atelier audiovisuel au centre pénitentiaire d’Annœullin. Huit détenus, déjà rompus aux techniques vidéo, ont imaginé et créé trois vidéos d’animation avec deux artistes : Loup Blaster pour le côté graphique et Numérobé pour le son. Reportage à l’intérieur des murs.

    Par ANNE COURTEL | Publié le 28/10/2016

    Ce jour-là, Antonio et Dominique peaufinent le décor de leur vidéo. Ils ont reconstitué une… cellule de prison avec des bouts de carton et de la récup. Ils ont également écrit le scénario et commencent l’animation. « C’est une personne qui écrit un courrier pour s’inscrire sur les listes électorales. Son co-détenu engage la conversation sur la politique mais on a voulu que ce soit plutôt drôle. » Saïd, le formateur, vient leur expliquer comment animer leurs personnages à l’aide d’un enchaînement de photos. Les deux hommes écoutent. Cela fait plusieurs semaines qu’ils suivent une formation audio vidéo et ils étaient volontaires pour cet atelier d’une semaine. « On en découvre un peu plus chaque jour. Moi, je n’avais jamais touché un ordinateur ; aujourd’hui, je sais travailler les sons. Cela nous passionne même le soir en cellule, on réfléchit à notre vidéo », confie Dominique. Antonio renchérit. « On oublie que l’on est entre quatre murs, ici. Ça nous évade même si nous avons reproduit notre quotidien pour cette vidéo. »

    Les métaphores de la détention
    Plus loin, Khaled a lui dessiné son synopsis avant de le mettre en scène. L’histoire d’un SDF qui regarde passer les voitures dans un tunnel dont on ne voit pas le bout. Une métaphore de la détention. « J’ai écrit l’histoire et je ferai la voix off. Je trouve cet atelier plaisant et enrichissant. Je n’ai aucune prétention, je veux juste apprendre quelque chose. » Sur le tableau blanc, ses dessins semblent s’animer autour de voitures griffonnées sur un carton. Plus loin, Ismaël a, lui, recréé l’arche de Noé avec ses animaux enfermés pour gagner la terre promise. Il réfléchit à animer ses animaux et à créer des sons. Le producteur de musique, Numérobé, est là pour les aider. « On les guide pour trouver les sons et ensuite, on leur apprend à se servir d’un logiciel gratuit qu’ils pourront retrouver dehors pour continuer à faire des montages. » Comme un lien entre l’intérieur et l’extérieur.

    « Chacun aura apporté sa connaissance. Ici, on redonne une place à l’humain »
    Saïd assure, depuis quatre ans, cette formation audio vidéo au sein du centre de détention. « Certains y participent depuis un an et ont maintenant de vraies connaissances alors qu’ils peinaient avec l’écriture ou l’ordre chronologique. » Mais surtout, cette formation, ouverte aux longues peines, peut leur permettre de mieux accepter les conditions de détention. « Il y a ici un esprit de groupe, de resocialisation. Si on réussit à créer quelque chose, ce sera le succès du groupe. Chacun aura apporté sa connaissance. Ici, on redonne une place à l’humain. »

    Les quatre clips, créés pendant cette semaine avec les deux artistes du Grand Mix, seront rassemblés sur un CD qui sera remis aux participants.

    La mission du Grand Mix
    La salle de concert tourquennoise n’est pas qu’un lieu de diffusion. Dès sa création, le Grand Mix a souhaité développer de nombreux projets en direction de différents publics. Que ce soit à l’école, à l’hôpital, en maison de retraite, le Grand Mix intervient pour sensibiliser à l’art. « Nous ne sommes pas spécialistes des formations mais, en revanche, nous avons les contacts avec les artistes », explique Juliette Callot, responsable de l’action culturelle.

    Depuis dix ans, le Grand Mix propose des concerts dans les prisons. Mais cette fois, les responsables n’ont pas voulu se contenter de la diffusion. Pour la première fois, trois ateliers sont menés (aux centres pénitentiaires de Lille-Annœullin, de Sequedin et de Quiévrechain).

    Après Annœullin, c’est la maison d’arrêt des femmes de Sequedin qui accueillera une artiste folk, Saso. « Il existe une nursery à la maison d’arrêt de Sequedin. Cela nous a donné l’idée de faire des ateliers d’écriture pour inventer des comptines. Mais cet atelier sera ouvert à toutes les femmes qui le souhaitent et pas seulement à celles qui ont leur enfant avec elles. La création de comptines devrait permettre l’extériorisation des émotions. » Les comptines seront compilées sur un CD, qui pourra faire un beau cadeau de Noël.

  • Quand le Grand Mix aide la prison à libérer la créativité vidéo - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/65998/article/2016-10-28/quand-le-grand-mix-aide-la-prison-liberer-la-creativite-video

    Pour la première fois, le Grand Mix a organisé un atelier audiovisuel au centre pénitentiaire d’Annœullin. Huit détenus, déjà rompus aux techniques vidéo, ont imaginé et créé trois vidéos d’animation avec deux artistes : Loup Blaster pour le côté graphique et Numérobé pour le son. Reportage à l’intérieur des murs.

    Par ANNE COURTEL | Publié le 28/10/2016

    Ce jour-là, Antonio et Dominique peaufinent le décor de leur vidéo. Ils ont reconstitué une… cellule de prison avec des bouts de carton et de la récup. Ils ont également écrit le scénario et commencent l’animation. « C’est une personne qui écrit un courrier pour s’inscrire sur les listes électorales. Son co-détenu engage la conversation sur la politique mais on a voulu que ce soit plutôt drôle. » Saïd, le formateur, vient leur expliquer comment animer leurs personnages à l’aide d’un enchaînement de photos. Les deux hommes écoutent. Cela fait plusieurs semaines qu’ils suivent une formation audio vidéo et ils étaient volontaires pour cet atelier d’une semaine. « On en découvre un peu plus chaque jour. Moi, je n’avais jamais touché un ordinateur ; aujourd’hui, je sais travailler les sons. Cela nous passionne même le soir en cellule, on réfléchit à notre vidéo », confie Dominique. Antonio renchérit. « On oublie que l’on est entre quatre murs, ici. Ça nous évade même si nous avons reproduit notre quotidien pour cette vidéo. »

    Les métaphores de la détention

    Plus loin, Khaled a lui dessiné son synopsis avant de le mettre en scène. L’histoire d’un SDF qui regarde passer les voitures dans un tunnel dont on ne voit pas le bout. Une métaphore de la détention. « J’ai écrit l’histoire et je ferai la voix off. Je trouve cet atelier plaisant et enrichissant. Je n’ai aucune prétention, je veux juste apprendre quelque chose. » Sur le tableau blanc, ses dessins semblent s’animer autour de voitures griffonnées sur un carton. Plus loin, Ismaël a, lui, recréé l’arche de Noé avec ses animaux enfermés pour gagner la terre promise. Il réfléchit à animer ses animaux et à créer des sons. Le producteur de musique, Numérobé, est là pour les aider. « On les guide pour trouver les sons et ensuite, on leur apprend à se servir d’un logiciel gratuit qu’ils pourront retrouver dehors pour continuer à faire des montages. » Comme un lien entre l’intérieur et l’extérieur.

    « Chacun aura apporté sa connaissance. Ici, on redonne une place à l’humain »

    Saïd assure, depuis quatre ans, cette formation audio vidéo au sein du centre de détention. « Certains y participent depuis un an et ont maintenant de vraies connaissances alors qu’ils peinaient avec l’écriture ou l’ordre chronologique. » Mais surtout, cette formation, ouverte aux longues peines, peut leur permettre de mieux accepter les conditions de détention. « Il y a ici un esprit de groupe, de resocialisation. Si on réussit à créer quelque chose, ce sera le succès du groupe. Chacun aura apporté sa connaissance. Ici, on redonne une place à l’humain. »

    Les quatre clips, créés pendant cette semaine avec les deux artistes du Grand Mix, seront rassemblés sur un CD qui sera remis aux participants.

    La mission du Grand Mix

    _La salle de concert tourquennoise n’est pas qu’un lieu de diffusion. Dès sa création, le Grand Mix a souhaité développer de nombreux projets en direction de différents publics. Que ce soit à l’école, à l’hôpital, en maison de retraite, le Grand Mix intervient pour sensibiliser à l’art. « Nous ne sommes pas spécialistes des formations mais, en revanche, nous avons les contacts avec les artistes », explique Juliette Callot, responsable de l’action culturelle.

    Depuis dix ans, le Grand Mix propose des concerts dans les prisons. Mais cette fois, les responsables n’ont pas voulu se contenter de la diffusion. Pour la première fois, trois ateliers sont menés (aux centres pénitentiaires de Lille-Annœullin, de Sequedin et de Quiévrechain).

    Après Annœullin, c’est la maison d’arrêt des femmes de Sequedin qui accueillera une artiste folk, Saso. « Il existe une nursery à la maison d’arrêt de Sequedin. Cela nous a donné l’idée de faire des ateliers d’écriture pour inventer des comptines. Mais cet atelier sera ouvert à toutes les femmes qui le souhaitent et pas seulement à celles qui ont leur enfant avec elles. La création de comptines devrait permettre l’extériorisation des émotions. » Les comptines seront compilées sur un CD, qui pourra faire un beau cadeau de Noël.

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