La « culture du pouvoir », pour quoi faire ?
L’approche des élections municipales fait rentrer le maire de Grenoble Eric Piolle dans une nouvelle dimension politique nationale. L’union de la gauche à la grenobloise est prise en modèle dans quantité de villes françaises. Le député-reporter François Ruffin en a fait une égérie du « Front populaire écologique » qu’il entend construire. Samedi, lors d’un meeting commun à Amiens, Piolle a exhorté les militants amienois à acquérier la "culture du pouvoir". Mais pourquoi faire ?
Voici un article du Postillon de fin septembre qui revient sur cette nouvelle lubie.
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Ne se sentant plus pisser après leur très relatif « bon score » aux Européennes [1], les Verts répètent à l’envi qu’ils sont en « capacité de gouverner » et qu’ils doivent développer une « culture du pouvoir ». Mais pour quoi faire ? Cinq ans et demi de municipalité écologiste grenobloise ont prouvé que ce parti et ses alliés étaient effectivement en « capacité de gouverner », c’est-à-dire de poursuivre globalement les politiques menées depuis des décennies, autoritarisme et langue de bois compris.
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