@mona Il me reste 50 pages. Le livre dissèque une communauté qui « essaye autre chose » avec un regard cynique et brutal, plein de clichés, notamment sur les corps, tout en prétendant le contraire. Aucune pitié pour les corps non normés, juste une succession de brutalités emballées dans une belle langue normalienne. Ce n’est pas parce qu’un personnage défend la beauté de toustes, que le livre ne reproduit pas sa cohorte de clichés violents, notamment sur l’intersexuation où là, c’est vraiment n’importe quoi. Je ne comprends pas l’enthousiasme qu’a suscité ce livre.