Ballake Sissoko And Vincent Segal: NPR Music Tiny Desk Concert
▻https://www.youtube.com/watch?v=QtiTfejYpgs
#musique #kora #violoncelle #Ballake_Sissoko #Vincent_Segal #NPR #Tiny_desk #live
Bibliothécaire sur le sillon lorrain
Ballake Sissoko And Vincent Segal: NPR Music Tiny Desk Concert
▻https://www.youtube.com/watch?v=QtiTfejYpgs
#musique #kora #violoncelle #Ballake_Sissoko #Vincent_Segal #NPR #Tiny_desk #live
Tes amis qui n’auront pas cultivé leur mémoire auront juste vécu une seule vie, la leur, qui doit avoir été assez mélancolique et pauvre de grandes émotions
Lettre d’Umberto Eco à son petit fils ... janvier 2014
▻http://www.deslettres.fr/lettre-dumberto-eco-a-fils
Pour ceux et celles qui pensent qu’un auteur est omniscient et unique, un peu de complexité ne fait jamais de mal ;)
►https://scinfolex.com/2017/07/17/humain-robotique-animal-que-devient-lauteur
L’Internet libre et gratuit, c’est bien fini | InaGlobal
►http://www.inaglobal.fr/numerique/article/l-internet-libre-et-gratuit-c-est-bien-fini-9725
Appareils, réseaux, services en ligne deviennent les adjuvants utiles mais aussi envahissants de notre vie personnelle et professionnelle ainsi que de notre expression publique. Or, ce processus a lieu dans une économie globalisée et dérégulée qui favorise la concentration extrême de ressources[+]. On est donc loin de l’idéal tant encensé par le passé d’un média par essence démocratique, participatif et décentralisé, un idéal présent notamment dans les discours autour de l’émergence supposée d’un « Web 2.0 »[+]. Au contraire : au cours des dernières années, l’internet est devenu un champ de compétition acharnée entre groupes sociaux, institutions politiques et entreprises multinationales pour la distribution du pouvoir sur les canaux de communication numériques. Par conséquent, la forme actuelle de l’internet ne doit rien à ces caractéristiques techniques supposément intrinsèques mais résulte des relations complexes entre acteurs dont les intérêts économiques et politiques sont à la fois puissants et antagoniques.
Solid, le projet de Tim Berners-Lee pour sauver Internet | Usbek & Rica
▻https://usbeketrica.com/article/solid-le-projet-de-tim-berners-lee-pour-sauver-internet
Comme il n’est pas homme à rester les bras croisés, Tim Berners-Lee a pris la tête du projet #Solid, développé au sein du MIT et dérivé du syntagme « social linked data ». Un projet de recherche, donc, dont l’objet est de créer un nouveau standard pour permettre de séparer les données des applications et des serveurs qui les utilisent.
Un standard de ce type vous permettrait par exemple de stocker les données liées à votre réseau social préféré sur le serveur de votre choix, dont vous gardez le contrôle. L’idée est que vous décidiez de stocker toutes vos données personnelles sur un serveur vous appartenant, en autorisant, ou pas, les plateformes à s’y connecter. Autrement dit, dans le monde idéal de Berners-Lee, la constitution d’un Web moins centralisé est encore possible : « Le point de bascule pourrait être atteint quand les gens réaliseront que les données leur appartiennent », confie-t-il à Wired, avant de mentionner les décisions récentes des législateurs américains comme potentiel détonateur de cette prise de conscience.
#seenthis_fonctionnalités : les flux RSS
C’est devenu excessivement old school, les flux RSS, mais c’est tout de même bien pratique (et, mine de rien, c’est aussi une façon de « signer » l’esprit de la maison avec des outils qui facilitent l’ouverture - les grosses plateformes ont une lourde tendance à les fermer).
Principalement, il y a les flux fabriqués par Seenthis, qui permettent soit de suivre avec un lecteur dédié, soit de brancher Seenthis sur autre chose (reposter sur un autre réseau social notamment, afficher les messages sur un site Web).
L’organisation des flux d’un auteur a été refondue ici :
►https://seenthis.net/messages/118128
À l’inverse, on a la possibilité d’importer automatiquement les éléments d’un flux RSS dans un compte Seenthis, comme c’est expliqué ici :
▻https://seenthis.net/messages/120604
Ici une discussion sur l’utilisation de IFTTT pour poster automatiquement ses messages Seenthis sur un autre réseau (en utilisant les flux RSS donc) :
▻https://seenthis.net/messages/112013
Je ne sais pas si on a une doc plus « pas à pas »… La « doc officielle » pour Twitter n’est pas forcément super-simple pour un débutant :
►https://seenthis.net/français/article/passerelle-twitter
Moi je ne suis Seenthis quasiment que par mon flux le plus complet dans Thunderbird, et que je ne vais sur le site que pour écrire nouveau seen ou commentaire. (Sinon c’est au format Atom, pas RSS, mais ça c’est un détail technique.)
Ajouter une page de doc listant tous les flux Atom possibles
►https://github.com/seenthis/seenthis_squelettes/issues/181
Avoir des flux Atom de commentaires
►https://github.com/seenthis/seenthis_squelettes/issues/182
Avoir un flux Atom des tags qu’on suit uniquement (sans les gens)
►https://github.com/seenthis/seenthis_squelettes/issues/184
Pour réduire les #inégalités à l’#école, il faut repenser le rapport au savoir
▻http://www.inegalites.fr/spip.php?page=article&id_article=2275
Il faut tout d’abord penser l’école pour celles et ceux qui, pour l’essentiel, n’ont que l’école pour apprendre les savoirs formels. Les activités d’apprentissage doivent être conçues pour que l’école fournisse à tous les élèves les moyens de les réussir. Cela suppose de renoncer aux logiques de compétition, de classement, de filières hiérarchisées, de structures de relégation pour élèves en difficulté. L’école doit permettre l’accès aux moyens matériels des apprentissages : ressources bibliographiques, informatiques, culturelles, etc. Elle doit être organisée pour fournir à tous les élèves les étayages, les explications, les pistes de réflexion, les conseils méthodologiques, permettant de franchir les obstacles aux apprentissages.
Journal d’un photographe par Alan Keler
Que reste-t-il de notre mémoire si ce n’est une photographie
#photography
►http://alain-keler.tumblr.com
Le sourire photographique, ou les révolutions du portrait expressif par André Gunthert
Pourquoi sourit-on sur les portraits photographiques au XXe siècle, et pas au XIXe siècle ? Sous cette forme élémentaire, la question est devenue une énigme prisée des études visuelles.
►http://imagesociale.fr/4275
LA GRANDE GUERRE SUR LE WEB : UN ÉCLAIRAGE INÉDIT
A méditer au moment où certains flattent les communautarismes
Le piège de la « lutte contre l’islamophobie » | Le mensuel
►http://mensuel.lutte-ouvriere.org/2017/01/22/le-piege-de-la-lutte-contre-lislamophobie_75202.html
Une partie de la « gauche de la gauche » organise avec ce milieu réactionnaire toutes sortes d’initiatives, leur ouvre ses colonnes ou discute doctement avec eux de leurs positions.
Ce n’est pas par accident. Il y a longtemps que la LCR, et plus encore le NPA, se refusent à critiquer clairement le voile, et font preuve vis-à-vis de l’islam d’une bonne dose de démagogie. On se souvient de l’affaire de la candidate voilée du NPA dans le Vaucluse, en 2011. Se refusant à affirmer sans ambages le caractère oppressif du voile et de ses divers avatars vestimentaires, des membres de ce parti sont allés par exemple, en août dernier, jusqu’à organiser dans le cadre de leur université d’été une manifestation pour défendre le droit des femmes à porter le burkini, aux cris de « Trop couvertes ou pas assez, c’est aux femmes de décider ». On n’est, on le voit, pas très loin du féminisme décolonial.
Le NPA a déclaré, à la suite d’une réunion de sa direction nationale les 17 et 18 septembre dernier, que « le NPA, ses militants, ses porte-parole et son candidat seront au cœur de l’action contre le racisme et l’islamophobie ». Un communiqué du 16 octobre appelle à « faire de la lutte contre l’islamophobie une véritable priorité ».
Cela n’a rien de fortuit, de la part d’un courant qui a pour habitude d’épouser les idées d’autres courants, dans l’espoir de gagner l’oreille de telle ou telle fraction de la jeunesse, de la petite bourgeoisie intellectuelle ou du monde du travail. Autrement dit : tentons d’attirer les jeunes des banlieues à nous… en nous rangeant derrière des organisations qui, elles, disent ce que ces jeunes veulent entendre, quelque réactionnaires que soient leurs idées.
Cet opportunisme est une vieille tradition d’une partie du mouvement trotskyste, la même qui l’a conduite, dans le passé, à soutenir sans s’en démarquer les nationalistes des pays colonisés, comme le FLN algérien, ou certains courants staliniens, à trouver des vertus aux associations les plus réformistes, comme Attac, ou à faire les yeux doux aux décroissants.
« Trop couvertes ou pas assez, c’est a Lutte Ouvrière de décider ».
Où l’on apprend que lorsque les forces de l’ordre contraignent des femmes à se déshabiller sur les plages, Lutte Ouvrière approuve.
C’est en effet une information intéressante, mais un texte plus court aurait amplement suffit.
C’est à croire que l’ensemble ou presque des acteurs politiques et autres partenaires sociaux ne s’imaginent plus devoir exister que comme #alternative_au_FN...
« Katiba des Narvalos » : rencontre avec une armée d’internautes qui fait la chasse aux jihadistes
▻http://www.francetvinfo.fr/economie/medias/charlie-hebdo/katiba-des-narvalos-rencontre-avec-une-armee-d-internautes-qui-fait-la-
« Katiba des Narvalos » : rencontre avec une armée d’internautes qui fait la chasse aux jihadistes
Depuis l’attentat de Charlie Hebdo il y a deux ans, des internautes, regroupés sous la bannière de la « Katiba des Narvalos », font la chasse aux jihadistes sur les réseaux sociaux. Ses membres ont témoigné de leur engagement.
Alerte rouge pour le cormoran noir
▻http://www.politis.fr/blogs/2017/01/alerte-rouge-pour-le-cormoran-noir-34169
Un arrêté cadre triannuel publié le 8 septembre 2016 autorise le tir de plus de 150 000 Grands Cormorans par an, officiellement pour protéger les élevages de pisciculture en étangs et marais, la protection de ces zones naturelles et d’espèces de poissons protégées. Des quotas qui mettent l’espèce aviaire en danger et ne sont pas justifiés. Mais des associations résistent et ont montré comment obliger les préfets à en annuler ou modifier quelques uns.
Le Grand cormoran noir, de son petit nom Phalacrocorax carbo sinensis (ou Carbo carbo pour l’espèce maritime) est un grand oiseau aquatique d’Europe (jusqu’à 1,5m d’envergure) , vivant souvent en couple stable, friand de poissons de rivières, canaux et étangs. Plongeur émérite grâce à un plumage non imperméable qui se charge d’eau, il est doté d’une grande capacité respiratoire. On l’admire pour son port altier de tête et de cou, et pour cette posture très caractéristique où il déploie ses ailes pour les sécher après la pêche. Nidifiant aux Pays Bas, en Allemagne et en Pologne, il hiverne ensuite dans les pays plus tempérés de novembre à mars. Décimé au 19ème siècle, le cormoran a disparu de certains pays et fait partie des espèces protégées depuis les années 70. BirdLife estime la population européenne (Russie inclus) à 310 à 370 000 d’individus. En France le dernier recensement de 2011 comptabilisait 94 000 individus et 8720 couples. Il opte plus volontiers pour les eaux libres des grands cours d’eau, ou pour les eaux closes des canaux, marais et étangs. On considère qu’il prélève moins de 1% du stock continental de poissons – beaucoup de cyprinidés de faible valeur halieutique et de poissons abondants et affaiblis faciles à capturer. Sa « concurrence » est donc minime pour les pêcheurs/éleveurs. Mieux, il est l’ami de l’homme depuis toujours. Pendant des siècles les pécheurs japonais et chinois l’ont capturé et dressé pour qu’il travaille pour eux. Une ligature de la gorge lui permet d’avaler les petits poissons et de ramener les plus gros à son maître.
Que reproche-t-on donc à ce bel oiseau pour vouloir le décimer ? L’arrêté du 8 septembre 2016 « fixant les quotas départementaux dans les limites desquelles des dérogations aux interdictions de destruction peuvent être accordées par les préfets concernant les grands cormorans (Phalacrocorax carbo sinensis) pour la période 2016-2019 » autorise en effet la mise à mort de 50058 individus par an pendant trois ans, soit la moitié de la population ! Les motifs invoqués par leurs prédateurs humains, sont la prévention des dommages importants aux piscicultures en étang, de la dégradation des habitats naturels que ces dernières sont supposées entretenir, et des atteintes à des espèces de poissons protégées. Le texte détermine pour chaque département, des quotas en eaux libres et en eaux closes. Les préfets ont pour mission de prendre les arrêtés d’exécution fixant modalités et personnes autorisées à tirer, de s’assurer de leur bonne application et de réaliser un bilan au terme des trois ans et non plus annuellement comme avant.
A entendre certains, le péril Cormoran serait grandissime. Proche de la disparition il y a 40 ans, « aujourd’hui, ils sont presque devenus un fléau, provoquant depuis plusieurs années la colère des pisciculteurs et des pêcheurs, inquiétant les responsables d’aéroports, mobilisant les députés français et européens, des dizaines d’équipes de recherche de par le monde, suscitant des plans d’action et de lutte, des réunions de toutes sortes » se lamente Jean-Luc Nothias dans son blog au Figaro. Il est inspiré, semble-t-il, par les propriétaires d’étangs qui affirment que le nombre d’oiseaux augmente d’année en année. Sans preuve et en contradiction avec les derniers recensements comme le Rapport Loic Marion qui, eux, constatent une diminution des effectifs.
En ce cas, ne pourrait-on faire autrement pour protéger ces pauvres pisciculteurs ? Apparemment non. Il en va du cormoran comme du loup. L’homme se dit démuni face à certains « prédateurs », mais il n’a fait qu’oublier les méthodes traditionnelles d’élevage et vouloir un rendement maximal. « Il ne supporte pas les espèces qui entrent en concurrence avec ses activités économiques » explique Jean Christophe Lemesle, conservateur de la réserve naturelle aux Portes en Ré. Il s’amuse de ce que les « éleveurs » réthais qui souhaitent tirer du cormoran soient parfois des pisciculteurs du dimanche et non déclarés. « Des moyens de protection de ces installations existent et des mesures d’effarouchement doivent être opérées. Avec un tel quota d’oiseaux autorisés, ce n’est plus un projet de régulation, mais de massacre » commente un intervenant sur le site de la consultation publique ouvert avant la prise définitive de l’arrêté. Consultation de pure forme, puisque le texte était déjà prêt, et que les personnes entendues avant étaient des syndicats de pêcheurs et de pisciculteurs et pas des défenseurs des oiseaux ou de l’environnement, commente Vincent Ramard du service juridique de la LPO.
Notre ministre de l’environnement, émettrice de cet arrêté, n’est-elle pas sensible à la protection de ce superbe volatile qui a lui aussi son rôle dans l’écosystème aquatique ?
Pour J. Thevenot, auteur d’un article très documenté sur le blog de Nature-Environnement 58 « il est plus facile de tuer à l’aveugle des boucs émissaires que de lutter contre l’eutrophisation et la pollution des eaux de nos cours d’eau par les pesticides et les nitrates ! Faut-il rappeler les véritables catastrophes écologiques que représentent les lâchers d’espèces exogènes tels le silure, la perche soleil, les poissons d’élevage qui entraînent une pollution génétique. Sans oublier la disparition de 90% de nos zones les plus poissonneuses à savoir les zones humides et d’irrigation ».
Quelques associations de défense de l’environnement et de la biodiversité ont intenté des recours administratifs pour annuler les arrêtés préfectoraux. Parfois avec succès. Comme à Toulon où le juge a estimé qu’il y a « risque de confusion entre l’espèce de grand cormoran maritime et le grand Cormoran (ndlr le Carbo carbo exclu des tirs et le Carbo sinensis » et que les « atteintes aux ressources piscicoles ne sont pas établies ». En particulier en eaux libres où les quotas sont les plus élevés. On pourrait y ajouter le fait que pour sauver l’espèce, les couples nicheurs devraient être eux aussi exclus. Ou encore remettre en cause ces quotas, dont on ignore qui les a fixés, en s’appuyant sur quelle expertise et selon quels critères, bases et méthodologie.
N’importe quelle association ou citoyenNe concernéE peut reprendre ces arguments et déposer un recours en référé et sur le fond devant le tribunal administratif pour éviter que 50 000 cormorans ne meurent cette année et les deux suivantes. Voici les départements (Voir le tableau complet des départements ►https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=5E593586B29EF3D41CC9179361FEF6FE.tpdila19v ) où les quotas de tirs sont les plus élevés et où il faudrait agir en priorité : Ain (4500), Haute Garonne (1000), Indre (3667), Indre et Loire (1060), Loir et Cher (2500), Loire (1650), Loire Atlantique (1600), Loiret (1650), Maine et Loire (1000), Moselle (2500), Saone et Loire (1550)Tarn (1140),Vendée (2060). A vos claviers !
Sur le web
L’Appel à mobilisation de la LPO
▻https://www.lpo.fr/actualites/appel-a-mobilisation-repondez-a-la-consultation-publique-sur-les-grands-cormoran
L’arrêté du 8 septembre 2016
►https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=5E593586B29EF3D41CC9179361FEF6FE.tpdila19v
« Sale temps pour les grands cormorans » - Blog de Nature Environnement 58 ▻http://ecologie58.blog4ever.com
Le rapport Loïc Marion
▻http://www.naturessonne.fr/telechargements/Rapport-recensement-GC-L-Marion-2008-2009.pdf
Lire aussi : Les animaux ont-ils droit à un avocat ?
►http://jefklak.org/?p=3228
Je me demande que faire de plus pour sauver ces oiseaux magnifiques.
Auriez vous des idées ?
Une petite représentation carto des données du PDF :
Réalisée rapidement à l’aide de l’outil Karthis signalé par @fil ici ►https://seenthis.net/messages/535485
Assez étonnant de remarquer que le quota est nul pour les départements du Finistère et des Côtes d’Armor.
merci @b_b ! on voit tellement mieux.
Qu’il y a des quotas nuls en Bretagne et Aquitaine aussi, mais que comme je le craignais les départements qui shootent le plus sont sur les voies de migrations vers le Nord de l’Europe. Sauf l’Yonne où FNE s’est pas mal mobilisée. Et c’est là qu’ils vont passer dans pas longtemps. Le printemps est précoce et les grues arrivent déjà :-(
Et hop, une autre version de la carte qui permet d’afficher les valeurs pour chaque département.
▻http://bl.ocks.org/brunob/e19581e8c2f37f861a9555616b52194a
@fil je suis ému, c’est ma première carte avec #d3.js ^^
#seenthis_idée : on pourrait récupérer les vignettes des liens vers bl.ocks.org depuis autoembed (thumbnail.png ou preview.png/preview.jpg).
Une recherche rapide me donne cette image, mais pas de données SIG :
Mais je ne doute pas que les gens de la LPO ont plus d’infos à ce sujet.
je vais chercher demain et leur demander si besoin
J’ai demandé et aussi si on pouvait se fier aux routes migratoires
des grues
des oies
ou à la carte des migrations pré-nuptiales (de l’EU Sud vers EU Nord au printemps)
Quel que soit le cas, ça craint !
Je viens de trouver un rapport sur le sujet, extrait :
Grâce à une mobilisation des ornithologues et secondairement des pêcheurs, qui ont progressivement pallié en grande partie au retrait de l’ONEMA au niveau national en 2011 et à celui de la Délégation Régionale Rhône-Alpes de l’ONCFS en 2009, nous n’avons dû simuler qu’environ 3150 Grands cormorans soit 3% seulement de l’effectif national, contre 7% en 2009 et 4,8% en 2013. Toutefois, le nombre de départements en partie ou totalement simulés remonte à 8 ( dont 4 majoritairement simulés : Ain, Allier, Isère et Var ), contre 7 en 2013, mais loin des 12 de 2009 (cf. figure 1).
...
On ne peut que regretter l’absence de couverture des Dombes compte tenu du contexte socio-économique de la pisciculture et du quota de tir accordé à l’Ain (le plus élevé de France).
...
Sur les 15 départements sans tirs, les effectifs de cormorans hivernants ont baissé de plus de 10% par rapport au dernier recensement national de 2013 dans 27% des cas, stagné dans 60% des cas, et augmenté de plus de 10% dans 13% des cas (Figure 11). Parmi les 80 départements avec tir, 37% ont vu leur effectif baisser, 22% stagner et 40% augmenter. Pour la première fois depuis le début des opérations de tir en France on observe une différence significative d’évolution des effectifs entre les départements avec ou sans tir (X2 = 3,909, p<0,048 en regroupant les départements dont les effectifs ont stagné ou baissé afin de respecter les conditions du test statistique), mais à l’inverse du but recherché, à savoir que la baisse des effectifs ou leur stabilité a été plus importante dans les départements sans tir que dans les départements tirés ! De même, le nombre d’oiseaux tués n’a de nouveau eu aucune influence sur l’évolution des effectifs départementaux entre 2013 et 2015 (R2 = 0,0008, figure 12), comme cela est le cas depuis le début des tirs en France (Marion 2005, 2007, 2009, 2012, 2014) mais aussi à l’étranger (Chamberlain et al. 2013), même si les tirs ont un effet à court terme sur le déplacement d’oiseaux et à long terme sur l’éclatement des dortoirs (cf. supra). Tous ces résultats montrent de nouveau que l’évolution des effectifs d’un recensement à l’autre ne dépend nullement des tirs mais de facteurs naturels comportementaux en relation avec les paramètres biologiques (succès reproducteur sur les colonies, choix des routes de migration et des sites d’hivernage, compétition intra-spécifique, survie naturelle...) et les facteurs de l’environnement (ressources alimentaires notamment), probablement à plusieurs niveaux d’échelle (locale, régionale, nationale, européenne). Contrairement à l’hypothèse d’une grande fidélité des cormorans à leur site d’hivernage et à des échanges limités durant un même hiver entre régions (Frederiksen et al. 2001), l’hypothèse contraire (cf. Marion 1997) d’une très grande mobilité des individus (notamment immatures) qui réoccupent rapidement les places devenues vacantes du fait des tirs ou de la mortalité naturelle, et rend les tirs inefficaces dans la régulation des effectifs locaux, s’en trouve renforcée.
▻http://files.biolovision.net/www.faune-anjou.org/pdffiles/news/Bilan_Grand_Cormoran2015-9749.pdf
source : ▻http://www.faune-anjou.org
En se fiant à ce que dit ce rapport « La voie de migration Est traversant la France via les plaines de la Meuse, de la
Saône puis du couloir rhodanien jusqu’au littoral languedocien et Midi-Pyrénées, a été
nettement moins fréquentée en 2015, avec une diminution importante des dortoirs de plus de 400 cormorans mais aussi des petits dortoirs de moins de 51 cormorans, au profit des dortoirs intermédiaires, tandis que la voie longeant la Manche puis l’Atlantique s’est trouvée renforcée » la carte N°3 serait correcte.
J’attends plus d’infos de Yves Marion qui est ze expert es’ Cormoran.
Désolé de polluer le fil @de_quels_droits_ mais voici une troisième version de la carte basée cette fois sur leaflet et leaflet-choropleth signalé par @fil ici ▻https://seenthis.net/messages/427498
Pas de réponse de Marion, mais je pense qu’on peut se baser sur la carte 3 ci-dessus
pour les routes migratoires.@de_quels_droits_ je veux bien l’ajouter à la carte, mais ça serait bien plus pratique de partir de données SIG plutôt que d’une simple image, sans quoi je vas devoir « redessiner » approximativement les couloirs...
chuis bête ! bien sur, mais je ne les ai pas ces données SIG.
tant pis alors on oublie.
@de_quels_droits_ voilà une nouvelle version de la carte avec les couloirs de migration en plus :
J’ai extrait les contours des couloirs depuis l’image citée en source dans le descriptif de la carte, cf :
alors je dis bravo @b_b et merci et je modifie la chronique en ligne depuis ce soir
Arte lance sa plate-forme entièrement dédiée au cinéma
▻http://www.konbini.com/fr/entertainment-2/arte-plate-forme-entierement-dediee-cinema
Arte lance sa plate-forme entièrement dédiée au cinéma
share on Facebook twitter
6.3K Shares
Arte a lancé hier une plate-forme entièrement dédiée au septième art. Au programme : films, courts métrages, magazines, interviews et making-of de qualité.
arte-192003Cela fait un moment que Arte donne une belle leçon aux chaînes françaises en termes de streaming. Et après le succès de son service ARTE + 7 (qui permet de visionner les contenus vidéo en intégralité pendant 7 jours), elle a lancé hier une nouvelle plate-forme 100% cinéma.
À travers un site internet entièrement dédié au septième art, Arte permet aux internautes d’accéder à son catalogue aussi riche que pointu, et de regarder en streaming tous les films proposés par la chaîne. Mais ce n’est pas tout.
La vie artificielle en route pour le web « InternetActu.net
►http://www.internetactu.net/2014/09/03/la-vie-artificielle-en-route-pour-le-web
La vie artificielle en route pour le web
Articles Technologies complexitéintelligence artificielle
Par Rémi Sussan le 03/09/14 | 4 commentaires | 669 lectures | Impression
Faut-il vraiment proclamer la mort de la vie artificielle ? Ce champ d’investigation, qui fit fureur il y a une vingtaine d’années, semble depuis quelque temps être au point mort, comme nous l’avons souligné à plusieurs reprises. Pourtant, d’après le chercheur australien Tim Taylor, ce n’est qu’une apparence. En fait, selon lui, la vie artificielle a “migré” des labos de recherche au web, et surtout, elle intéresse aujourd’hui des gens qui se situent hors du monde académique. Des concepteurs de jeu, des artistes, des designers… Il a écrit à ce sujet un article sur le “WebAL”, le mariage du web et de la vie artificielle, qui a attiré l’attention de la Technology Review.