7h36

Chaque matin, par email, une sélection de seenthis

  • Renverser la vulnérabilité | Les canards masquées
    https://cabrioles.substack.com/p/renverser-la-vulnerabilite-a-ta-sante

    Il nous faut toutes et tous prendre conscience de notre vulnérabilité collective et penser le soin dans cette perspective. Le Covid 19 a démontré que ce sont nos organisations collectives qui sont vulnérables, sanitairement et politiquement. Renverser la catégorie « vulnérables » est un enjeu antivalidiste et antifasciste. Source : Cabrioles

  • La poudre énergisante « Sniffy » suspendue de la vente
    https://www.linforme.com/sante/article/la-poudre-energisante-sniffy-suspendue-de-la-vente_1761.html

    Ces petites doses énergisantes à sniffer qui font fureur depuis quelques semaines vont être rappelées après une levée de boucliers contre cette « cocaïne décocaïnée ».

    J’avoue ne pas comprendre comment on a pu, quelque part, se dire qu’il pouvait être pertinent de sortir un produit pareil.

    • En effet…

      Plus généralement, j’ai des discussions fréquentes avec les enfants pour les mettre en garde contre la mode des « boissons énergisantes », parce que même si c’est pas « de la drogue », le principe même de prendre un produit « pour atteindre tes objectifs », « booster tes performances », je pense que c’est une très mauvaise idée.

      J’essaie de leur faire passer le message que c’est digne de merdeux de droite qui feraient une école de commerce, et qu’on ne boit pas des truc pour « gagner en efficacité », « booster son énergie » et « attendre ses objectifs »… et que les seules substances légitimes, à mon avis, c’est au contraire celles qui provoquent l’effet inverse.

  • Amount of Israeli bombs dropped on Gaza surpasses that of World War II
    https://www.aa.com.tr/en/middle-east/amount-of-israeli-bombs-dropped-on-gaza-surpasses-that-of-world-war-ii/3239665

    Israel has dropped more than 70,000 tons of bombs on the Gaza Strip since last October, far surpassing the World War II bombings of Dresden, Hamburg, and London combined during World War II.

    In late April, Euro-Med Human Rights Monitor estimated that approximately 70,000 tons of bombs were dropped on Gaza, covering the six-month period between Oct. 7 and April 24.

    “It is estimated that Israel has dropped more than 70,000 tons of explosives on the Gaza Strip in addition to its bulldozing operations, resulting in the destruction of all buildings at a distance of up to one kilometer in the east and north of the Strip in order to create a so-called buffer zone,” according to the Geneva-based human rights monitor organization.

    The Germans bombed London, dropping around 18,300 tons of bombs between 1940 and 1941, according to various estimates, including archives from the New York Times.

    The Allies dropped 8,500 tons of bombs on Hamburg in the summer of 1943, said Hendrik Althoff, a research fellow at the Department of History at the University of Hamburg.

    The Allies also used 3,900 tons of bombs on Dresden in February 1945, according to historical records.

  • sur les agriculteurs « intimidés ». Toujours les mêmes mensonges pour criminaliser et justifier la répression. Débunkage 🧶

    https://threadreaderapp.com/thread/1798061717869789355.html

    👉 Premièrement, l’#A69 n’est pas massivement soutenue par la population locale, bien au contraire : elle s’y oppose franchement (61%) et demande l’organisation d’un référendum local (82%).
    L’#A69 ne sert pas le bien public ou à « désenclaver » Castres, mais à générer de juteux profit pour ses promoteurs (au premier rang @PierreFabre), avec l’aide de l’État et de la région - dont @CaroleDelga soutien infaillible de ce projet et qui n’a jamais dénoncé la répression.
    Ces petits arrangements au sein de la bourgeoisie locale et conflits d’intérêts ne passent pas inaperçus et ont fait l’objet de nombreuses enquêtes journalistiques.
    👉 Deuxièmement, les recours juridiques sont loin d’être purgés. Actuellement, on compte : des recours au fond dont le jugement est attendu pour fin 2024, 5 requêtes administratives et 4 plaintes au pénal. Les promoteurs et l’État passent donc en force.
    👉 Troisièmement, sur les saisies d’armes, il s’agit d’une technique fallacieuse employée systématiquement pour criminaliser les manifestants.
    Cela consiste à réaliser de très nombreux contrôles de véhicules, avec des réquisitions très large sur une vaste zone et plusieurs jours avant la manif.
    Ainsi, le moindre outil (hachette, marteau), bidon d’essence, boule de pétanque trouvé dans les véhicules des conducteurs non avertis de ses contrôles sera comptabilisé comme « arme par destination » et pris en photo par la préfecture afin de nourrir son récit criminalisant.
    Exemple à Sainte-Soline, en mars 2023 : 24 010 contrôles de véhicules, pour 62 couteaux, 67 boules de pétanque, 13 haches, 5 matraques saisies entre le 18 et le 24/03, en zone rurale et sur plusieurs départements.

    Si des agriculteurs sont bien « intimidés », c’est par la police qui les traquent et harcèlent ceux qui osent s’opposer aux expropriations, aux centaines d’ha bétonnés, aux exploitation coupées en deux, etc.

    Alors, face à ce projet catastrophique et injuste, face aux intimidations du vilain Darmanin, ce weekend rejoignons massivement la mobilisation « Roue libre » et faisons que le Tarn se soulève !

  • Christian Porta soumis à un « interrogatoire politique » à la gendarmerie : une intimidation grave
    https://www.revolutionpermanente.fr/christian-porta-soumis-a-un-interrogatoire-politique-a-la-genda

    Une criminalisation de l’activité syndicale telle que le procureur de la République a même dû intervenir pour empêcher la garde à vue prévue pour le syndicaliste, transformée en audition libre pendant deux heures dans les locaux des forces de répression. Une répression délirante qui vient prolonger l’offensive subie depuis février par Christian Porta. Si la direction était déjà coutumière des mesures policières, n’hésitait pas à intimider les travailleurs au sein de l’entreprise, appelant dans un tract les travailleurs solidaires de Christian Porta à « se manifester pour discuter de leur sortie hors de l’entreprise dans les meilleurs délais », et avait déjà fait appel à la gendarmerie pour empêcher le syndicaliste, en février, d’accéder au site de l’usine pour remplir ses devoirs syndicaux, elle semble prête à tout pour en finir avec le syndicaliste et sa section syndicale.

    Face à cette atteinte grave aux libertés syndicales, le syndicaliste dénonce, à la sortie de l’entretien, l’implication de la gendarmerie dans la campagne d’intimidation orchestrée par la direction d’InVivo et son DRH, Sébastien Graff : « Aujourd’hui, la gendarmerie m’a dit qu’elle était neutre. Mais c’est moi qui ait dû donner mes empreintes, pas mon patron alors qu’il a été signalé par la justice. C’est à ma porte que vient la gendarmerie le matin pour me menacer de garde-à-vue alors qu’il n’y a aucun élément matériel qui justifie cela. C’est ça la neutralité de la gendarmerie : alors même que la justice dit que je dois être réintégré, la gendarmerie est à chaque fois derrière la barrière avec ma direction, elle prenait la carte d’identité des élus du personnels qui rentraient dans l’usine et bloquait les grévistes alors qu’elle ne l’a jamais fait avec la direction ».

    En rapport avec : https://seenthis.net/messages/1056346

  • Lemkin Institute for Genocide Prevention
    https://x.com/LemkinInstitute/status/1795295046088221017

    The Lemkin Institute has had it with the cynical lies and propaganda from Israel and the USA. One can have different views about the definition of genocide, but one may not use definitional disputes to deny genocide. If a genocide may be occurring, every nation is compelled by customary law to try to stop it.

    Let us be clear: Israel is committing genocide in Gaza. The US is complicit in genocide. These are not political statements. They are statements that are made from knowledge and experience. Nevertheless, you do not need a PhD , a law degree, or X-ray vision to see the genocidal dimensions of Israel’s carnage in Gaza. It is clear in the behavior of the state and its military, on full display in yesterday’s horrific bombardment of a Rafah camp.

    But even if there were legitimate doubts about Israel’s genocide, there is no doubt that Israel is committing atrocity crimes of the most barbaric kind. Israel must be stopped. Israel must be stopped now.

    We are disgusted by Western leaders, especially in the USA, Germany, and the UK. They have demonstrated not only that they don’t care one bit about genocide prevention and human rights, but also that they are willing to allow an ally to commit atrocity crimes while they offer material and diplomatic support. It is reprehensible and the individuals involved in this gaslighting campaign should be deeply ashamed. They should also be put on trial.

    Humanity has a choice: Either we decide that our children can all be killed whenever a superior force alleges that “terrorists” are among us, or we decide that under no circumstances will we allow these superior forces to lay waste to our world any longer.

    We each must choose and act accordingly. The watershed moment is now.

  • Pourquoi le patronat persécute de plus en plus les syndicalistes
    https://www.frustrationmagazine.fr/syndicalistes-discrimination

    On s’étonne souvent de la faiblesse du taux de syndicalisation en France – environ de 8 % dans le secteur privé et 18 % dans le public – en mettant ce faible engagement sur le compte du « repli individualiste » ou de « l’atomisation des collectifs de travail ». Ces deux idées reçues ne […]

    • (...) il y a une explication qui est nettement moins mise en avant, et qui dit pourtant beaucoup de l’époque autoritaire dans laquelle nous vivons : les discriminations, violences et intimidations judiciaires dont sont victimes les syndicalistes dans ce pays. Loin d’être un phénomène isolé, ces comportements anti-syndicaux sont devenus, de la part des directions d’entreprise, de véritables stratégies, avec la bénédiction de l’Etat, comme en témoigne le succès du hashtag StopDictaturePatronale sur les réseaux sociaux.

  • Cour des comptes
    Rapport sur l’application des lois
    de financement de la sécurité sociale
    https://www.ccomptes.fr/fr/documents/69939

    À l’avenir, les effets du vieillissement
    de la population ne permettront pas
    de poursuivre la stratégie de réduction
    du nombre de lits . La poursuite de la
    progression du recours à l’ambulatoire
    en chirurgie, qui pourrait atteindre
    8 0 % d e s h o s p i t al i s at i o n s , n e
    compenserait qu’un tiers des besoins
    de lits liés au vieillissement, ce qui
    nécessitera de mieux coordonner les
    professionnels de santé d’un territoire
    pour limiter les hospitalisations et
    fluidifier les parcours de santé afin que
    l’utilisation des lits réponde mieux aux
    besoins .
    En particulier, le nombre de passages
    des patients âgés de 75 ans et
    plus dans les services d’urgence et
    d’hospitalisation doit être réduit
    par
    un renforcement de l’offre médico-
    sociale et de soins primaires dans les
    territoires sous-dotés .

    Comparaison de la prise en charge d’un patient de moins de 75 ans
    et d’un patient de plus de 75 ans en 2022

    Patient âgé de 75 ans
    ou plus - Hospitalisé dans 50 %
    des cas après un
    passage aux urgences - Dans le cas d’une sortie
    à domicile (hors HAD),
    sa durée de séjour est
    alors de 6,5 jours

    Patient âgé de moins
    de 75 ans - Hospitalisé dans 14 %
    des cas après un
    passage aux urgences - Dans le cas d’une sortie
    à domicile (hors HAD),
    sa durée de séjour est
    alors de 3,5 jours

    Source : Cour des comptes à partir des données du programme de médicalisation des
    systèmes d’information 2022

    Le fait que la macronie prépare la reglementation de l’euthanasie me laisse songeuse.

  • Planter 1 milliard d’arbres : comment le plan de Macron rase des forêts
    https://reporterre.net/Planter-1-milliard-d-arbres-comment-le-plan-de-Macron-rase-des-forets

    Le projet du gouvernement de planter 1 milliard d’arbres est « une supercherie », dénoncent des associations. D’après des documents obtenus par Reporterre, il servirait à financer des coupes rases et à industrialiser la filière.

  • Quand le brevet sert la soupe au SNU
    https://www.cafepedagogique.net/2024/06/03/quand-le-brevet-sert-la-soupe-au-snu

    On rappellera que l’EMC est un matière censée nourrir l’esprit critique. Aussi faut-il scruter de près le questionnement sur les documents pour comprendre le cheminement intellectuel demandé à l’élève. Force est de constater que c’est assez simple ici puisqu’il s’agit de procéder en deux temps :

    – S’assurer que l’élève a bien saisi les informations des documents publicitaires

    – Lui demander de mobiliser ces informations pour faire la promotion du SNU auprès de ses camarades.

    C’est simple, concis, et franc du collier.

    On nous rétorquera sans doute que le gouvernement n’est nullement responsable de la confection des sujets, trop occupé à batailler pour faire accepter l’inique réforme des groupes de niveau/besoins/niveau. Et qu’il faut donc plutôt pointer la responsabilité de collègues et de l’Inspection. C’est sans doute vrai, et même pire tant cela reflète la toxicité d’une chaîne de loyauté fabriquée sur la base d’une soumission aveugle à l’autorité et d’autocensure face à la possibilité – même minime- de la critique.

    Il est donc permis de se demander comment enseigner l’esprit critique à des élèves si l’on est soi-même saisi d’effroi à la simple idée d’introduire une pincée de nuances et un soupçon de distance dans l’analyse de documents. Ce n’était pourtant pas impossible à faire comme le montre cette proposition de sujet alternatif élaboré par nos soins.

    • 4) Expliquez pourquoi toutes les activités menées permettent de développer l’engagement citoyen.

      5) Vous souhaitez faire une présentation en cours d’Enseignement Moral et Civique sur la Défense nationale. Expliquez à vos camarades les conditions pour participer au SNU, les activités proposées et les objectifs de ce séjour de cohésion.

    • Les parti pris sont de compagnie pour le deuxième sujet aussi, la, pour appeler l’événement historique par son nom de propagande occidentale, « chute du mur de Berlin ».
      Les notions sur lesquelles on interroge les enfants et leur présentation comme allant de soi n’incitent pas à des réponses nuancées et critiques mais à des phrases qui recrachent les formules vides de sens apprises par coeur.
      « RDA régime autoritaire », « liberté retrouvée par les Allemands de l’Ouest », « conséquences pour les Allemands », etc.
      Je n’entre pas dans le détail de la question.

      #France #pédagogie #propagande

  • La Columbia Law Review avait fièrement annoncé hier la publication de son « Vol. 124:4 » :
    https://x.com/ColumLRev/status/1797514373256323135
    Mais depuis quelques heures, le site de la revue est « en maintenance ».

    L’explication qui circule, c’est que le Conseil d’administration de la revue a fait couper l’intégralité du site pour tenter de faire disparaître l’article : Toward Nakba as a Legal Concept, par Rabea Eghbariah
    https://perma.cc/L3US-9V8R

    • Columbia Law Review refused to take down article on Palestine, so its board of directors nuked the whole website - The students who edit the journal sought out the article by a Palestinian scholar who was censored by Harvard Law Review last year
      https://theintercept.com/2024/06/03/columbia-law-review-palestine-board-website

      Seven editors who had worked on the article told The Intercept that, over the weekend, members of the board of directors pressured the law review’s leadership to delay and even rescind publication. Most of the CLR editors spoke to The Intercept on the condition of anonymity, fearing the backlash that others have faced for speaking out for Palestine.

      Numerous editors stressed that the editorial input had been extensive, and that the text was more widely circulated among a greater number of people than is the case prior to the publication for most CLR articles.

      After a back-and-forth with the board and fellow editors, the members of CLR responsible for the Eghbariah article said they feared that the draft had been leaked and decided to preempt outside pressure by publishing the issue online in the early morning hours of June 3. After the editors declined a board of directors request to take down the articles, the board pulled the plug on the entire website.

      The CLR board of directors told The Intercept in a statement that there were concerns about “deviation from the Review’s usual processes” and said it had taken the website down to give all CLR members the chance to read the article and that the decision was not a final decision on publication.

      “We spoke to certain members of the student leadership to ask that they delay publication for a few days so that, at a minimum, the manuscript could be shared with all student editors, to provide them with a chance to read it and respond,” the board said. “Nevertheless, we learned this morning that the manuscript had been made public. In order to provide time for the Law Review to determine how to proceed, we have temporarily suspended its website.”

  • Je découvre que la liste du parti qui a décidé de faire exploser la NUPES a baptisé sa liste « Gauche Unie » (Gauche unie pour le monde du travail soutenue par Fabien Roussel). La novlangue de vieux stal, c’est quand même quelque chose… :-))

  • Macron, en marche vers l’#extrême_droite ?
    https://www.youtube.com/watch?v=G43ZVd7wN60

    En 2017, puis en 2022, Emmanuel Macron a remporté l’élection présidentielle face à Marine Le Pen. Mais sa fascination pour l’extrême-droite et sa complaisance vis-à-vis d’empires médiatiques qui propagent la xénophobie contribuent à « booster » le Rassemblement national. Au second tour de la présidentielle de 2022, Marine Le Pen recueillait 41,8% des voix. Un record. Et le résultat d’une politique. Depuis 2017, interdictions de manifestations, arrestations arbitraires et surveillance généralisée sont utilisés par l’exécutif pour mater des révoltes populaires contre des politiques libérales imposées sans concertation, et considérées comme « anti pauvres ».
    Demain, l’Etat de droit et la devise républicaine « Liberté, égalité, fraternité » ne seront ils plus qu’un lointain souvenir ? Durant quatre mois, Thierry Vincent et Daphné Deschamps ont interviewé d’anciens macronistes déçus par la dérive autoritaire du président et des figures conservatrices et d’extrême-droite qui se réjouissent qu’Emmanuel Macron leur prépare un « boulevard » pour 2027.
    À quelques semaines des élections européennes, enquête au coeur d’une France en marche vers l’extrême droite.

    #Macron #Emmanuel_Macron #ni_de_droite_ni_de_gauche #de_droite_et_de_gauche #monarchisme #action_française #en_marche #jeanne_d'arc #Puy_du_Fou #11_novembre_2018 #Maréchal_Pétain #Pétain #décivilisation #Renaud_Camus #autoritarisme #macronisme #islamo-gauchisme #front_national (#FN) #arc_républicain #Jean-Michel_Blanquer #Amélie_de_Montchalin #front_républicain #Rassemblement_national (#RN) #Patrick_Vignal #intersectionnalité #gauche_radicale #extrême_gauche #France_insoumise #tenue_vestimentaire #habits #retraite #xénophobie #racisme #Elisabeth_Borne #Valeurs_Actuelles #migrations #connivence #symbole #Bruno_Roger-Petit #Bolloré #Vincent_Bolloré #médias #groupe_Bolloré #François_Coty #punaises_de_lit #bouc_émissaire #Pascal_Praud #grand_remplacement #Pap_Ndiaye #Rima_Abdul_Malak #Rachida_Dati #Cyril_Hanouna #Geoffroy_Lejeune #Journal_du_Dimanche (#JDD) #Gérald_Darmanin #conservatisme #homophobie #homosexualité #violences_policières #loi_immigration #préférence_nationale

  • A Holocaust museum cut a survivor from its speaker’s list — for protesting the war in Gaza
    https://forward.com/news/618082/holocaust-survivor-cut-museum-protest-gaza

    Holocaust survivor Rene Lichtman, 86, laid down in the road outside a Detroit-area Holocaust museum to protest Israel’s military campaign in Gaza.

    With other members of Jewish Voice for Peace in that December demonstration, Lichtman held up a sign. His read: “Jews and allies say never again for anyone.”

    Days after the protest, Lichtman got a call from the CEO of the museum, The Zekelman Holocaust Center in Farmington Hills. Rabbi Eli Mayerfeld told him that the board had voted to remove him as a speaker in its Survivor Talk Sundays series.

  • The question of Hamas and the Left – Mondoweiss
    https://mondoweiss.net/2024/05/the-question-of-hamas-and-the-left

    Un tout petit bout d’un article qui devrait faire débat.

    Hamas represents only one of many political projects and historical attempts to break through the Iron Wall imposed by Israel. It might fail or it might succeed, but it hasn’t done anything that other socially progressive forces in Palestine haven’t tried. More importantly, Hamas in Gaza is not merely an external influence or importation; it is intrinsically woven into the larger social fabric and, at the very least, merits more than being summarily dismissed on simplistic grounds of being “regressive” versus “progressive.”

    Hamas isn’t going anywhere in Palestinian politics. It is an energetic political entity that has astutely learned from the mistakes of its predecessor, the PLO, both in warfare and negotiations. It has meticulously invested its intellectual, political, and military resources into understanding Israel and its psychic center of gravity. Whether we like it or not, Hamas is now the primary force leading the Palestinian struggle.

    The left must confront this basic fact. One cannot ground solidarity with Palestine on a politics that dismisses, overlooks, or excludes Hamas. This stance fails to grasp the complexities and contradictions inherent in the Palestinian struggle. In doing so, the left overlooks the dividing line between collaboration and resistance to its peril.

  • Comment les Vietnamiens sont devenus parmi les principaux migrants sur les « small-boats » vers l’Angleterre - InfoMigrants
    https://www.infomigrants.net/fr/post/57420/comment-les-vietnamiens-sont-devenus-parmi--les-principaux-migrants-su

    Comment les Vietnamiens sont devenus parmi les principaux migrants sur les « small-boats » vers l’Angleterre
    Par Louis Chahuneau Publié le : 30/05/2024
    Depuis le début de l’année, les migrants vietnamiens sont de plus en plus nombreux à traverser la Manche en direction du Royaume-Uni. Depuis le drame du camion charnier en 2019 où 39 Vietnamiens avaient trouvé la mort par asphyxie en se rendant de manière irrégulière au Royaume-Uni, les exilés originaires du Vietnam continuent de tenter d’atteindre les côtes britanniques, mais par voie maritime.
    Au Royaume-Uni, 10 Downing street tremble. À cinq semaines des élections législatives britanniques, le Premier ministre conservateur Rishi Sunak ne parvient pas à limiter le nombre de migrants arrivant par bateau au Royaume-Uni : elles ont atteint un record sur les premiers mois de l’année 2024 avec 10 000 passages.Récemment, le ministère de l’Intérieur britannique a constaté un autre phénomène inquiétant. Depuis le début de l’année, la part de migrants vietnamiens sur les « small-boats » a considérablement augmenté. Entre janvier et mars 2024, 1 060 personnes originaires du Vietnam ont débarqué au Royaume-Uni par bateau, soit 14% du total des arrivées. Selon les médias britanniques, ils représentent désormais la plus large communauté qui traverse la Manche.
    « Une théorie sur l’augmentation récente des traversées en bateau est que l’autre itinéraire irrégulier, à l’arrière d’un camion à travers le tunnel sous la Manche, est devenu plus difficile en raison des réglementations récemment mises en œuvre dans le cadre du Brexit. Cela a poussé les migrants vietnamiens à emprunter les petites embarcations », explique à InfoMigrants Seb Rubsy, sociologue britannique à l’Université de Birmingham et spécialiste de cette communauté. « Avec le Brexit, les échanges commerciaux entre le Royaume-Uni et l’Europe continentale ont été réduits, ce qui a entraîné une diminution du nombre de camions transportant des marchandises entre les deux régions », complète Mimi Vu, experte indépendante sur le trafic d’êtres humains.
    En 2019, la Grande-Bretagne a par ailleurs été marquée par la tragédie du camion charnier retrouvé dans l’Essex, dans lequel 39 migrants vietnamiens avaient trouvé la mort par asphyxie. Un drame qui a également participé au changement de méthode. Chez les bénévoles français qui maraudent sur les plages du nord, c’est un peu la sidération. « À notre grande surprise, on a constaté depuis le début de l’année beaucoup de Vietnamiens sur la côte. C’est incroyable, c’est une population qu’on ne croisait pas du tout avant », raconte à InfoMigrants Olivier Ternisien d’Osmose 62 qui patrouille sur les plages dans le Boulonnais et le Montreuillois.
    « On croise autant de femmes que d’hommes, des personnes plutôt jeunes mais je n’ai pas vu de familles avec enfants », ajoute Sophie Roux, de la même association, qui se souvient d’une communauté un peu plus argentée que d’autres : « Quand ils échouent à traverser, ils ne cherchent même pas à négocier le prix des taxis pour rentrer vers Dunkerque », se souvient-elle. Même écho chez les bénévoles d’Utopia 56. « Depuis l’été dernier, on voit de plus en plus de Vietnamiens sur le littoral nord, surtout à Grande-Synthe et Dunkerque », commente Angèle Vettorello, coordinatrice de l’association à Grande-Synthe.
    Dans les années 2010, les Vietnamiens se regroupaient essentiellement vers Angres (Pas-de-Calais), à une centaine de kilomètres des côtes françaises. Les médias avaient même surnommé cette ville « Vietnam city » en raison de l’entraide qui régnait entre l’ex-municipalité communiste et cette communauté asiatique à qui elle avait mis un local à disposition. Mais les temps ont changé et le hangar a fermé en 2018. Désormais, les Vietnamiens se mélangent d’avantage aux autres communautés (kurde, bangladaise ou encore soudanaise). « Il y a de plus en plus de Vietnamiens qui viennent sur les points de distribution, ce qui nous a poussé à traduire nos textes de prévention en vietnamien », explique encore Salomé Bahri d’Utopia 56. « Parfois on voit des Kurdes et des Vietnamiens prendre un bateau ensemble. Je pense que les communautés se mélangent de plus en plus car le nombre de passagers par ’small-boat’ est de plus en plus élevé ». (...)
    Les migrants vietnamiens peuvent aussi compter sur l’appui d’une communauté historiquement établie en France. Fin mai, une opération de police conjointe menée par les services de l’Office central de lutte contre le trafic illicite de migrants (OLTIM) et la police anglaise ont permis de démanteler une filière de passeurs de migrants entre la France et le Royaume-Uni. Douze personnes, soupçonnées d’être des logeurs ou des convoyeurs, ont été arrêtées en banlieue parisienne, tandis que quatre autres ont été interpellées en Angleterre. Parmi eux, un jeune homme de 25 ans, surnommé
    Cette opération de police a permis de comprendre comment fonctionne les réseaux de passeurs vietnamiens. « Pour diminuer leurs frais de passages clandestins, les migrants transportaient de la métamphétamine, afin d’alimenter les trafiquants asiatiques du Val-de-Marne », expliquent les enquêteurs français dans un document consulté par InfoMigrants. Lors d’une perquisition, les policiers ont notamment découvert chez l’un des suspects 218 grammes de kétamine, 102 grammes de méthamphétamine et 36 grammes d’ecstasy, des drogues de synthèse.
    "Depuis la tragédie de l’Essex, les trafiquants demandent dorénavant 50 000 dollars [environ 46 000 euros, ndlr], voire plus, et prétendent garantir la sûreté du voyage jusqu’au Royaume-Uni avec un emploi à la clé, expliquaient dans une étude parue en 2020 les expertes indépendantes Nadia Sebatoui et Mimi Vu. « Les familles empruntent au moins la moitié de la somme totale pour payer la première partie du voyage du Vietnam jusqu’à un pays européen (…) Les trafiquants et les groupes criminels utilisent cette situation d’endettement pour exercer un contrôle sur le migrant tout au long du voyage, ce qui l’oblige à se soumettre en route à des situations d’exploitation, par exemple en étant forcé de travailler dans un atelier clandestin ou de vendre des médicaments contrefaits. »
    Le réseau franco-britannique logeait des migrants dans plusieurs communes du Val-de-Marne, à Thiais, Choisy-le-Roi ou encore Ivry-sur-Seine. « L’un des interpellés a confié aux policiers que le coût de la traversée était d’environ 20 000 euros par migrant. Son rôle était de réceptionner des migrants vietnamiens fraîchement arrivés en France avec des visas hongrois de deux ans. Il devait ensuite leur trouver des hébergements et un emploi dans des ongleries. »
    D’après les études publiées ces dernières années, il apparaît que les migrants vietnamiens profitent des relations diplomatiques entre leur pays et les anciens États du bloc communiste (Hongrie, Roumanie, Slovaquie, Pologne...) pour atteindre l’Europe. « Entre 1981 et 1990, 217 183 Vietnamiens ont été employés sous contrat dans ces pays », expliquent notamment deux chercheurs dans une enquête de terrain publiée en 2017."La majorité des nouveaux arrivants sont originaires de quelques provinces du centre du Vietnam, comme Nghệ An et Hà Tĩnh, qui ont été négligées sur le plan économique et présentent des taux de chômage élevés. Ils sont généralement issus de milieux pauvres, ruraux ou urbains, et n’ont probablement pas de diplôme universitaire", analyse le chercheur britannique Seb Rusby. Actuellement, il semblerait que la Hongrie tienne la corde pour attirer les migrants vietnamiens.
    Il y a quelques années, des passeurs ont ainsi profité d’un partenariat entre le Vietnam et Malte pour inscrire de jeunes Vietnamiens au Malta College of Arts, Science and Technology. Selon le quotidien britannique The Guardian, sur les 265 étudiants vietnamiens qui ont obtenu ce visa, seuls deux sont depuis rentrés au Vietnam."Ces enfants, à la merci des réseaux de passeurs, ont été retrouvés par la police dans des pays comme la Belgique, l’Allemagne et la Suisse, réduits en esclavage dans des salons de manucure et exploités", explique l’experte indépendante Mimi Vu. Depuis, l’université a fermé son visa.
    Lorsqu’ils arrivent au Royaume-Uni, les Vietnamiens sont employés dans des bars à ongles, ou plus rarement dans des fermes à cannabis, que la police britannique ferme régulièrement. Au début des années 2000, la diaspora vietnamienne a importé au Royaume-Uni le concept des bars à ongles très populaire aux États-Unis. « Depuis, ils représenteraient plus de 60% des commerces montés par la communauté vietnamienne », constatent des chercheurs.
    Les réseaux de passeurs vietnamiens récupèrent directement leurs clients à la sortie des « small-boats ». « Ce qu’on comprend c’est qu’il y a une grosse organisation côté anglais, ils savent où ils vont. Tout est organisé de l’autre côté », explique Olivier Ternisien de l’association Osmose 62. Pour tenter de décourager les Vietnamiens de monter sur les frêles embarcations, le gouvernement britannique a lancé il y a quelques semaines une campagne de communication sur les réseaux sociaux pour les sensibiliser aux dangers de la traversée de la Manche. De quoi remédier au phénomène ? Au moins 16 migrants sont morts en tentant de traverser la Manche depuis le début de l’année 2024.

    #Covid-19#migrant#migration#vietnam#royaumeuni#routemmigratoire#mineur#famille#traversee#manche#reseau#sante#trafic

  • Traversées de la Manche : « On meurt plus au moment de l’embarcation qu’en pleine mer » - InfoMigrants
    https://www.infomigrants.net/fr/post/57455/traversees-de-la-manche--on-meurt-plus-au-moment-de-lembarcation-quen-

    Traversées de la Manche : « On meurt plus au moment de l’embarcation qu’en pleine mer »
    Par Charlotte Boitiaux Publié le : 31/05/2024
    Confrontés à une pression policière toujours plus forte, à une surcharge des canots plus importante et à des départs de plus en plus loin de Calais, les migrants risquent davantage leur vie lors des tentatives de traversées de la Manche. Dans la nuit de samedi 13 janvier à dimanche 14 janvier 2024, un groupe de Syriens, dont un bébé d’un mois, rejoint un canot déjà en mer. Il est 2 heures du matin. La houle, la nuit et les vagues font paniquer le groupe au moment de monter dans l’embarcation. Le bateau se retourne. Les migrants tombent à l’eau. Dans la confusion, deux adolescents syriens de 14 et 16 ans se noient, à quelques mètres seulement de la plage. Trois autres personnes mourront aussi cette nuit-là. L’eau était à 9 degrés.
    Depuis plusieurs mois, les traversées de la Manche ont « changé... en pire », estime Salomé Bahri, coordinatrice de l’association Utopia 56 à Grande-Synthe, présente depuis des années sur le littoral français. « On a remarqué que les décès [de migrants] se produisent désormais près des côtes. On meurt plus au moment de l’embarcation, et moins en pleine mer », résume-t-elle. « On peut aussi mourir avant même d’avoir atteint la Manche. Prenez l’exemple de cette fillette de sept ans [morte par noyade, le 3 mars 2024]. Elle est décédée dans le canal de l’Aa, le canot n’avait même pas atteint la mer ».Seize migrants, dont dix enfants âgés de sept à treize ans, se trouvaient à bord de ce bateau. Celui-ci « n’était pas dimensionné pour supporter autant de personnes », avait affirmé la préfecture du Nord dans un communiqué.
    Pour Utopia 56, « les traversées ne sont plus celles d’il y a un an ou deux ans ». D’abord, parce que les départs sont plus « dangereux ». De plus en plus d’embarquements se font en amont de la Manche, sur les canaux, les rivières qui se jettent dans la Manche. Le but : éviter les policiers qui patrouillent sur les plages. « On pense être à l’abri, être discret, mais les gens tombent des canots et meurent aussi », résume Fabien Touchard, un autre coordinateur d’Utopia 56.
    D’autres passeurs envisagent aussi de faire monter leurs passagers quand l’embarcation est déjà en mer, forçant les femmes et les enfants à s’enfoncer dans l’eau sur plusieurs dizaines de mètres avant de les hisser à bord. Pourquoi une telle prise de risques ? Parce que les trafiquants savent que les policiers n’ont pas le droit d’intercepter les migrants une fois qu’ils sont en mer. Cette compétence relève du droit maritime. Pour Fabien Touchard, les trafiquants agissent donc par souci de rentabilité. « Il y a un an et demi, deux ans, on était sur des canots de 30, 40 personnes, aujourd’hui on est sur des bateaux de 60, 70 personnes voire plus dans des cas exceptionnels. Les passeurs se disent que le taux d’empêchement [des traversées] est élevé, il faut donc charger davantage les bateaux. »
    Or la qualité des canots, elle, ne s’est pas améliorée. « Dans la précipitation et la peur de se faire repérer par les forces de l’ordre, les migrants ne prennent plus le temps de correctement gonfler les pneumatiques que certains passeurs fournissent », explique encore Salomé Bahri d’Utopia 56. « Par exemple, on constate que des migrants n’installent plus le sol rigide au fond des bateaux, or ce sol permet de maintenir le canot à flot. Sans, le bateau s’affaisse rapidement, il prend l’eau… On voit de plus en plus de personnes rentrer à la nage sur les plages ». Pour Fabien Touchard et Salomé Bahri, les trafiquants s’adaptent aussi face à l’important dispositif policier déployé sur les plages du nord du pays. Un arsenal militaire qui s’inscrit dans des accords passés entre le Royaume-Uni et la France pour tenter d’endiguer l’immigration clandestine. En mars dernier, les Britanniques ont annoncé verser plus de 500 millions d’euros sur quatre ans à la France pour militariser davantage la frontière maritime.
    « Les rapports de forces entre exilés et policiers se durcissent inévitablement. Il y a des surveillances au drones, des patrouilles partout... », explique Salomé Bahri. « On assiste à des gazages sur les plages, des bateaux lacérés au couteau… Des migrants nous racontent que les policiers jettent maintenant des gaz lacrymogènes dans les canots sur le départ alors même que des enfants se trouvent à l’intérieur. Résultat, les mises à l’eau [de bateaux] sont plus chaotiques qu’avant ». Ces rapports de force ont aussi une influence sur le timing des départs. « Pour éviter au maximum ces confrontations violentes, les migrants prennent désormais des risques au niveau de la météo. Par exemple, ils vont prendre la mer quand le temps est instable, quand les vagues sont très hautes. Ils pensent que les plages sont moins surveillées par temps de pluie », explique Fabien Touchard.
    Et ils partent de plus en plus loin. « Avant, les canots partaient depuis le Calaisis ou le Dunkerquois. Maintenant, on reçoit des appels à l‘aide des personnes qui se trouvent à Boulogne-sur-Mer, au Touquet, à Berck », développe Salomé. Soit des villes plus au sud, très éloignées des côtes anglaises. « Si avant, les migrants mettaient six ou huit heures pour aller de Calais à Douvres [port de débarquement des migrants en Angleterre, ndlr], désormais ils doivent doubler voire tripler ce temps de trajet en mer ». Enfin, les montées à bord aussi se complexifient, notamment à cause d’un nouveau phénomène de « montées sauvages ». Les exilés qui vivent depuis plusieurs semaines voire mois dans le nord de la France n’ont parfois plus les moyens de payer les passeurs. « Ils ont épuisé leurs économies dans différentes tentatives », explique encore Salomé Bahri. « Ils ont tenté la traversée deux trois, quatre fois, 10 fois... Quand ils n’ont plus rien, ils essaient alors de monter à la dernière minute à bord d’une embarcation, gratuitement, avec les problèmes que cela peut créer : surnombre, altercations avec les autres passagers… » Malgré tous ces dangers, les traversées de la Manche sont loin d’être enrayées. Depuis le début de l’année, plus de 10 000 migrants sont arrivés sur le sol anglais, contre 7 600 l’année dernière à la même période. Et les morts ne cessent d’augmenter. Au moins 16 exilés sont morts en tentant de traverser la Manche depuis le début de l’année 2024. Ils étaient 12 pour l’ensemble de l’année 2023, et un en 2022, selon la préfecture de la Manche et de la mer du Nord.

    #Covid-19#migrant#migration#france#royaumeuni#routemigratoire#manche#traversee#trafic#mortalite#sante

  • Spy vs. Spy, The Complete Casebook 1961 - 2009


    La vie d’espion vu par Antonio Prohias, un dessinateur Cubain anticommuniste témoigne d’un état d’esprit libre malgré la paranoïa officielle et l’ambiance politique pesante dans les pays du « mondes libre ». Ses bandes dessinées sont à la fois hilarantes, authentiques et poignantes malgré leur sujet tragique et degré d’abstraction élevé. Une collection de 40 fichiers est disponible sur archive.org.
    Source :
    https://archive.org/details/mad-magazine-spy-vs-spy-collection/Spy%20vs.%20Spy%20-%20The%20Complete%20Casebook%20%281961-2009%29/page/n1/mode/1up

    La série télévisée ...
    https://maditsmadfunny.fandom.com/wiki/Spy_vs._Spy
    ... est nettement moins bonne. Example :
    https://www.youtube.com/watch?v=onR7PD3Grc0


    94 episodes
    https://www.youtube.com/watch?v=pJwJS4QEEas&list=PL17mZ766yGx6eN5ORBU4J4i6HyC3qi-QV

    Paru dans MAD magazine, une source de moqueries astronomiques !

    #bande_dessinée #Cuba #USA #guerre_froide #humour #tragédie

  • Nouvelle évidence :
    – si un parti politique, ou un pays, condamne le massacre à Gaza, il faut immédiatement dénoncer « une instrumentalisation politicienne de la question palestinienne » ;
    – en revanche si un parti politique, ou un pays, s’aligne sur la politique raciste et génocidaire du gouvernement israélien, ça n’est jamais par calcul politicien. C’est une question de valeurs.

  • Hanegbi : Israël ne mettra pas fin à la guerre pour conclure un accord sur les otages - média - The Times of Israël
    https://fr.timesofisrael.com/hanebi-israel-ne-mettra-pas-fin-a-la-guerre-pour-conclure-un-accor

    Le conseiller à la sécurité nationale, Tzachi Hanegbi, aurait déclaré jeudi que le gouvernement ne mettrait pas fin à la guerre contre le Hamas en échange de la libération des otages encore aux mains du groupe terroriste.

    C’est probablement la première fois qu’un haut responsable israélien se livre à un tel aveu, particulièrement lors d’une réunion houleuse au cours de laquelle Hanegbi aurait eu des mots durs et même insulté les proches de certains otages. Il est revenu sur l’impasse des négociations sur les otages, le Hamas exigeant un cessez-le-feu permanent là où Israël n’est prêt qu’à un arrêt des combats provisoire.

    Selon la transcription de cette rencontre à laquelle la Douzième chaine a eu accès, Hanegbi a indiqué que le gouvernement serait sans doute en mesure de conclure ce qui constitue la première phase de l’accord examiné en ce moment, à savoir la libération des femmes, des personnes âgées et des blessés, qui représentent vraisemblablement 33 otages sur les 121 encore à Gaza.

    Dans les deuxième et troisième phases de l’accord, le Hamas libèrerait les derniers otages – c’est-à-dire les hommes et les soldats – puis les corps des otages tués en captivité, dont l’armée israélienne estime le nombre à 37. Selon les médiateurs, ces deux dernières phases devraient s’accompagner de l’accord d’Israël pour envisager la fin définitive des combats – ce qu’Israël ne fera pas, sauf à avoir obtenu la défaite du Hamas.

    Les propos tenus par Hanegbi laissent penser que le gouvernement israélien estime que le Hamas refusera de libérer la totalité des otages sans cessez-le-feu définitif.

    L’organisation terroriste a durci ses prétentions, jeudi, en annonçant avoir informé les médiateurs qu’il ne reprendrait les négociations sur les otages que si Israël cessait toute opération dans la bande de Gaza. Elle a d’ailleurs déclaré par voie de communiqué être prête à conclure « un accord complet » avec Israël, assorti de la libération de tous les otages en échange de prisonniers palestiniens de sécurité, sous réserve qu’Israël « arrête sa guerre et son agression envers le peuple de Gaza ».

    Lors de cette rencontre avec les proches d’otages, Hanegbi a affirmé qu’Israël assurerait la mise en œuvre de la première phase de cet accord dans les prochains mois. « Cela ne prendra pas des mois et des années », aurait-il dit, selon la transcription à laquelle a eu accès la Douzième chaîne.

    Toutefois, aurait-il ajouté, « je ne crois pas que ce gouvernement réussira à conclure l’accord dans son ensemble. Ce gouvernement ne prendra pas la décision de stopper la guerre en échange de la libération des otages ».

    « Il nous faut continuer à nous battre pour qu’il n’y ait pas un autre 7 octobre en octobre 2027 », aurait dit Hanegbi.

    « Si les otages ne sont pas libérés dans les semaines ou les mois à peine, nous n’avons pas d’autre plan », a-t-il admis. « Nous continuerons à nous battre à Gaza et dans le nord, puis nous réexaminerons la situation. »

    L’un des participants aurait réagi en disant : « Eh bien, alors nous sommes perdus. » Ce à quoi Hanegbi aurait répondu : « En effet. »

    Une autre participante aurait évoqué de récentes informations faisant état de fonds publics alloués à la rénovation de la piscine de la résidence privée de Netanyahu, disant que de telles dépenses étaient inappropriées en temps de guerre.

    Hanegbi aurait vivement réagi à cette remarque. « Il peut se faire construire 10 piscines avec son argent si ça lui chante. C’est odieux de dire une chose pareille », aurait-il rétorqué, ajoutant que ce n’était pas le bon endroit pour parler de cela et accusant la femme en question d’être pleine de haine.

    Elle aurait alors répondu : « J’ai parfaitement le droit de ressentir de la douleur et de la haine parce que je suis restée dans la pièce sécurisée [de ma maison] pendant 15 heures [pendant l’attaque du Hamas]. J’ai réussi à échapper aux terroristes en marchant sur des cadavres. Pas vous. »

    Ce à quoi Hanegbi aurait répondu : « D’accord, faites. Maudissez-moi. »

    Selon la Douzième chaîne, la femme aurait alors quitté les lieux, en larmes. Une autre participante l’aurait suivie, ce que Hanegbi a commenté en disant : « Toi aussi, tu vas faire une scène et claquer la porte ? »

    La Douzième chaîne a précisé avoir recoupé le contenu de la transcription avec des membres de cinq familles, ajoutant que Hanegbi n’avait pas nié les propos qui lui sont attribués.

    Hanegbi a déclaré à la Douzième chaîne avoir « rencontré les familles de tous les otages qui le souhaitaient depuis le début de la guerre. Sans enregistrer les conversations ni en diffuser le contenu. C’est ainsi que l’on maintient le dialogue entre l’échelon politique et les familles qui souffrent. »

  • A Lacq, l’injection d’eaux usées industrielles identifiée comme principale responsable des séismes | CNRS
    https://www.cnrs.fr/fr/presse/lacq-linjection-deaux-usees-industrielles-identifiee-comme-principale-responsab

    Chaque année de nombreux séismes sont détectés dans la région de Lacq, dans les Pyrénées-Atlantiques, sans que la cause exacte soit clairement identifiée. Une étude internationale menée par Jean Letort, enseignant-chercheur à l’université Toulouse III – Paul Sabatier au sein de l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie (IRAP/OMP – CNES/CNRS/UT3), vient confirmer une hypothèse récente. Les injections d’eaux usées industrielles sont à l’origine de la sismicité de la région. Les résultats ont été publiés le 23 mai dans Geophysical Journal International.

  • En une décennie, Internet a perdu plus d’un tiers de son contenu | Le Grand Continent
    https://legrandcontinent.eu/fr/2024/05/31/en-une-decennie-internet-a-perdu-plus-dun-tiers-de-son-contenu

    Selon une étude réalisée par le Pew Research Center, 38 % des pages internet qui existaient en 2013 sont désormais inaccessibles — ce qui représenterait plus de 250 millions de sites. Les sites gouvernementaux, privés, les réseaux sociaux sont tous concernés par la « dégradation numérique ».

  • Comme mes arguments politiques ne semblent pas porter face à des BFMIStes sous hallucinations xénophobes. Je demande quel est le poids de ton vote, que vaut ton morceau de papier dans l’urne, crois-tu que cela change quoique ce soit.
    La réponse est non à 90% mais il faut bien voter.
    Oui, mais alors, quitte à n’avoir aucun pouvoir face aux maitres du monde, puisque tu sais que nous allons vers le pire, pourquoi ne pas choisir le rêve et la générosité.
    Ce qui porte l’humain à la joie, au partage ?

    Mais là, je n’ai plus de réponse.